Sans surprise, à droite comme à gauche, les réactions aux annonces du président Emmanuel Macron destinées à calmer la contestation des Gilets jaunes sont plutôt négatives, jugeant les concessions insuffisantes et contre-productives.

La Première ministre britannique Theresa May entame des consultations auprès des dirigeants européens pour tenter d'obtenir des assurances supplémentaires sur l'accord de Brexit.

Lancée le 3 décembre, la mobilisation lycéenne contre Parcoursup et la réforme du baccalauréat, notamment, entame sa deuxième semaine, galvanisée par les images choquantes de Mantes-la-Jolie et avec l'espoir de converger avec les Gilets jaunes.

Lors de son discours à la Nation, Emmanuel Macron a tendu la main aux Gilets jaunes en annonçant des mesures fortes, estiment les politologues, qui s'interrogent sur le financement de ces mesures sociales.