Les dirigeants européens sont réunis à Paris pour la seconde conférence contre le chômage des jeunes. Six milliards d’euros doivent être répartis pour aider les pays les plus en difficultés, mais sur le terrain, les doutes persistent.

Dans son dernier essai "Du printemps arabe... à l'automne islamiste?", Walid Pharès dresse l'état des lieux de l'islam politique au Moyen-Orient. Il pointe les les erreurs stratégiques commises par les Occidentaux dans leur appréhension des courants islamistes et des rapports de force politiques dans les pays arabes. Certes, les partis islamistes sont très influents, mais les libéraux ont bien plus de poids qu'on ne leur attribue. Armelle Charrier le reçoit.

Le club d'Al-Ahly, tout récent vainqueur de la Ligue des champions d'Afrique, est en proie à une polémique dont il se serait bien passé. Son attaquant Ahmed Abdel Zaher a été suspendu lundi pour avoir affiché son soutien aux pro-Morsi.

Selon une enquête menée par l'agence Reuters, l'ayatollah Ali Khamenei, serait à la tête d'un obscur empire financier d'environ 70 milliards d'euros - dont les revenus dépassent les exportations pétrolières de l'Iran.

Depuis le renversement du président Mohamed Morsi, début juillet, l’Égypte se cherche un nouvel homme fort, capable de faire revenir l’ordre dans les rues… Cet homme, le pays semble l’avoir trouvé en la personne du général Abdel-Fattah Al-Sisi, le ministre de l’Intérieur. Au Caire, son portrait est à chaque coin de rue : sur les posters, les t-shirts et jusque dans les boites de chocolat...