jeudi 5 décembre 2019 à 07:46
Dans un enregistrement, le Premier ministre canadien, Justin Trudeau, semble se moquer avec Emmanuel Macron et Boris Jonhson de Donald Trump en marge du sommet de l'Otan, mardi soir. La vidéo a, sans surprise, déclenché la colère du président américain. "Il est hypocrite", a lâché ce dernier avant d'annuler sa conférence de presse finale.
jeudi 5 décembre 2019 à 07:41
C'est un partenariat business plutôt que sportif. Le Rwanda a signé mercredi un accord avec le club de football français Paris St Germain pour promouvoir le tourisme dans ce pays d'Afrique orientale, son deuxième accord de ce type depuis l'année dernière. "Nous investissons une partie de nos recettes touristiques dans des collaborations stratégiques telles que celle avec Paris St Germain, car nous comprenons leur effet positif sur la perception globale du pays", a déclaré la directrice du Rwanda Development Board, le Rwanda Development Board, dans un déclaration après la signature. Akamanzi n'a pas précisé combien le Rwanda paierait pour la transaction. Une source proche du club français a déclaré qu’elle valait entre 8 et 10 millions d’euros. Dans le cadre de cet accord, le PSG fera la promotion des produits rwandais, tandis que les messages promouvant le Rwanda seront affichés sur le kit de son équipe féminine et dans le stade du club. Le Rwanda devient un sponsor premium au même titre que Renault. Le nom du pays n'apparaîtra pas sur le maillot des matches du PSG mais sur les tuniques d'entraînement des joueurs. Tout cela pour un revenu annuel de 10 millions d'euros. En mai dernier, le Rwanda a signé un accord de sponsoring et de promotion du tourisme avec le club de football anglais Arsenal. Le tourisme a rapporté 380 millions de dollars au Rwanda en 2018, a annoncé la banque centrale le mois dernier, et devrait rapporter 405 millions de dollars cette année. Il devrait gagner 800 millions de dollars d’ici 2024, principalement grâce aux conférences et aux touristes haut de gamme qui marchent avec des gorilles.
jeudi 5 décembre 2019 à 06:48
Si l’Otan a péniblement réaffirmé son unité, mercredi, au cours d’un sommet à Londres, les tensions autour de la Turquie ont marqué les discussions. Pour en comprendre les enjeux, France 24 s’est entretenu avec Yves Boyer, chercheur spécialiste de l’Otan.