Au moins 65 personnes ont été tuées dans des bombardements, jeudi soir, à Taëz, au Yémen, tandis que deux pilotes de la coalition arabe sont morts vendredi dans la chute de leur hélicoptère Apache à la frontière yéménite.

Les premiers éléments surgissent au sujet de l'homme qui voulait ouvrir le feu sur les passagers d'un train Thalys. Connu des services de renseignement, il pourrait avoir des liens avec le terrorisme et aurait séjourné en Syrie.

Alors que l'ultimatum nord-coréen doit expirer à 8 h 30 GMT, samedi, des dirigeants des deux Corées doivent se rencontrer dans la journée pour tenter de désarmorcer la situation.

Des passagers américains ont permis de maîtriser l'assaillant du train Thalys, vendredi, évitant ainsi un possible carnage. Leur courage a été salué de Washington à Paris. Le suspect faisait l'objet d'une fiche des services de renseignement.

La Maison Blanche a annoncé vendredi que le numéro deux de l'organisation de l'État islamique a été tué dans une frappe américaine près de Mossoul, en Irak.