Des milliers de soignants ont battu le pavé un peu partout en France, mardi, pour rappeler le gouvernement à ses promesses sur l'hôpital. Ses revendications ne sont pas nouvelles et ne sont pas apparues avec le coronavirus. Ils espèrent donc que le soutien de la population durant la crise sanitaire leur permettra d'obtenir enfin des avancées. Reportage dans un hôpital en banlieue parisienne.

La France est aujourd'hui le théâtre de violences. Qu'elles soient inter-communautaires, comme à Dijon, ou sociales, comme à Paris, lors de la manifestation des soignants infiltrée par des casseurs, qui ont fait régner le chaos place des Invalides, mardi. La France perd-elle sa cohésion sociale ? Guillaume Peltier, vice-président délégué des Républicains et député du Loir-et-Cher est l'invité de Roselyne Febvre et Frédéric Rivière dans "Mardi Politique". 

Sur les réseaux sociaux, des personnes se présentant comme esthéticiennes proposent des injections dans les lèvres, avec la promesse de les rendre "plus pulpeuses", photos avantageuses à l’appui. Peu chères, ces injections attirent de nombreuses clientes, souvent très jeunes, désireuses de ressembler aux canons de beauté actuels. Mais elles ne mesurent bien souvent ni le danger, ni le caractère illégal de ces interventions, réalisées un peu partout en France.

Le footballeur de Manchester United Marcus Rashford, qui avait interpellé le gouvernement britannique, a obtenu de celui-ci qu'il maintienne un programme de distribution de repas scolaires gratuits pour de nombreux enfants en difficulté.

Donald Trump a signé un décret ordonnant une réforme limitée des forces de l'ordre, notamment l'interdiction des prises d'étranglement, sauf "si la vie d'un policier est en danger". Et ce, pour tenter de répondre au mouvement historique de colère contre les violences policières aux États-Unis.