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bazzanella : Bash: Redirection distance vers un fichier du contenu d'une variable

dimanche 6 janvier 2013 à 12:07

Dans un script bash, vous avez une variable chaine contenant par exemple ceci :

  1. chaine="Bonjour \\"$LOGNAME\\" et bienvenue"

Avec un echo "$chaine" le résultat est de la forme suivante :

Bonjour "Thierry" et bienvenue

Sur un serveur distant, vous souhaitez faire une redirection de cette forme :

  1. echo "$chaine" > /home/user1/file1.txt

Il vous suffit alors décrire ceci :

  1.  
  2. ssh -p 22 -i /home/user1/.ssh/id_dsa user1@remoteserver "echo '$chaine' > /home/user1/file1.txt"
  3.  

Sur le serveur distant votre fichier file1.txt contiendra alors :

  1. Bonjour "Thierry" et bienvenue

Vous remarquez que les double quotes entourant votre login (ici Thierry), ont été conservées.

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Cyrille BORNE : Amateur et amateur...

dimanche 6 janvier 2013 à 11:33

Il y a amateur et amateur. Dans son commentaire à l'un des derniers articles de Cyrille sur le wiki francophone de la distribution qui se prend pour la reine, FabriceV me demande quel logiciel de développement je « conseillerais à un amateur ».

J'ai commencé ma réponse en commentaire, en cachant un peu mon jeu, l’air de rien, à la manière d'un bon Normand…

C'est à cause des champs de patates si le chemin ne va pas droit. Mille excuses pour cette non-réponse mais je venais de relire, dans la foulée, le dernier commentaire de Diogène sur l'un des articles consacrés au format RAW. Commentaire auquel je ne répondrai pas, en tous cas pas dans l'immédiat. Et pour tout dire, je n'avais pas vu/lu ce commentaire avant. Je n'y répondrai pas mais, en revanche, je peux vous en épargner la (longue) lecture en deux ou trois phrases : Les développeurs de Darktable sont des gens formidables parce qu'ils proposent, avec trois fois rien, un logiciel libre et gratuit. Fin de la récréation. De la suie sur du suif. Gratuit le libre ? — Oui, enfin, pas pour tout le monde mais c'est une autre histoire. Nous y reviendrons…

— Franchement, il ne faut pas s'étonner qu'avec de pareils raisonnements, les utilisateurs de systèmes (plus ou moins) libres aillent voir ailleurs pour y trouver les outils (stables, fiables, etc.) dont ils ont besoin, en production, s'ils n'existent pas sur telle et telle distribution, plus ou moins libre et plus ou moins gratuite. Plus directement, pour ma part, je n'ai plus beaucoup de temps à consacrer à la bidouille. Je rêve d'une stabilité et d'une fiabilité qui me permettraient de travailler un peu plus sereinement. Fiabilité des mises à jour et stabilité de mon environnement de travail quotidien. J'ai fini par me lasser de ne jamais vraiment les trouver sur la majorité des distributions Linux*. Combien de fois je me suis dit : « Ne mets pas à jour maintenant, on ne sait jamais. » En réalité, on ne le sait que trop. Ce que l'on redoute arrive souvent. Il y a toujours, à un moment ou à un autre, quelque chose qui va de travers. C'est terrible à dire mais c'est ainsi. Et depuis quelques mois que je suis sous Fedora (17), c'est pareil. Les deux dernières mises à jour importantes proposent un nouveau noyau avec lequel je ne peux plus démarrer graphiquement. Bordel ! Que de temps perdu à comprendre le pourquoi du comment ! Sous Debian, j'en avais fait mon parti, je bricolais, la bidouille a du bon, au moins pour la connaissance et l'autonomie. Et puis, il m'a fallu admettre que Debian ne reconnaîtrait pas de sitôt mon écran graphique EIZO en display port (central dans mon workflow) alors que sous Fedora sa reconnaissance est immédiate. Enfin, bref, inutile de proposer quelque solution en commentaire, je n'en attends plus aucune, je n'en suis plus là…

Regarder à droite et à gauche, pour aller droit, nous fait tomber. J'en suis venu à me dire que, peut-être, il serait bon de passer à autre chose, de tourner une page. Depuis le temps que je lorgne sur RedHat, voilà, c'est fait. Je viens tout juste de souscrire un abonnement pour la Red Hat Enterprise Linux Desktop. Dans la foulée, j'ai mis fin à ma contribution à la Free Software Foundation. Les slogans ont, eux aussi, fini par me lasser. L'un dans l'autre, c'est une économie de moitié. Je viens de graver la dernière ISO de Red Hat Desktop (6.3) et dans quelques jours mon poste de travail aura migré, histoire de voir ce que ça donne une Red Hat en production. Parce qu'au fond, voilà le maître mot : production. Je sais, le mot en fait frémir plus d'un, et ça, je peux le comprendre.

Ce n'est pas à la hache qu'il faut faire des reproches quand le poulet [qu'on veut tuer] crie. Un autre petit détour… Entre autres gesticulations pour le moins amusantes, Diogène essaie de démontrer que les développeurs de Darktable sont très certainement gens très compétents. Pour preuve, il y a même des photographes parmi eux. Ah ! Des photographes ? Voilà qui est intéressant. Photographes développeurs. Et, comme de bien entendu, Il me reproche de ne pas être allé jeter un œil sur la page de contact de l'équipe qui propose des liens avec les galeries desdits développeurs/photographes. Soit.

Frotté de piment on ne sent pas plus mau­vais, enduit de miel on ne sent pas plus bon, c'est ce que l'on fait qui nous rend meilleur. Variante de… C'est au pied du mur que l'on reconnaît le maçon. Ben, depuis, j'y suis allé, sur la page de contact de Darktable, j'ai suivi les liens mais je n'ai pas vu de photographes bien convaincants. Très certainement parce qu'il y a photographe et photographe. Dans l'équipe de Darktable, il y a bien des gens qui manipulent des appareils photo, ça oui, et même des appareils qu'on ne trouve plus que chez les brocanteurs (entièrement mécanique celui-là) ou sur l'avenue des Gobelins, Chez M. Wu Dinh. — Précisons, au cas où, qu'il s'agit d'une boutade… Ce qui est ici en cause ce n'est pas l'appareil lui-même mais bien plutôt la destination des photographies que l'on réalise avec. Ce qu'on pourrait appeler l'ancrage social du photographe et de ses images (statut). Au mieux, ce que j'ai vu est une "approche de l'intime" par la photo (domaine privé), parfois ce pourrait être de l'illustration (domaine public). Destination et approche que je ne dénigre nullement mais qui n'imposent nullement les mêmes exigences qu'au photojournaliste, par exemple. Dans le travail du photographe, il y a une dichotomie fondamentale entre le privé et le public, même si ces deux pôles (public et privé) s'entremêlent souvent, se joignent, se distendent, s'entrecroisent, se contredisent, luttent l'un contre le l'autre autant qu'ils se complètent, selon les moments.

Non mais plus simplement, autant le dire tout net, je n'ai pas vu de photos bien renversantes, tant par les constructions que par les sujets eux-mêmes. Et même parmi celles prises avec l'increvable Hasselblad. En même temps, ce n'est pas l'appareil qui construit l'image, mais je n'apprends rien à personne. Ah ! la belle époque de l'argentique… Révolue. Il y a dans cet attachement pour ces vieilles machines comme une forme d'anachronisme — voyez la photo présidentielle du président normal réalisée avec un Rolleiflex de 1962 par Depardon — que je peux comprendre mais lorsque Capa, Cartier-Bresson, Frank… adoptent le Leica, ils sont en phase avec leur temps, le Leica est, à ce moment de l'histoire, ce qui se fait de mieux. Comme me le disait récemment Corentin Fohlen, en basses lumières, un Leica c'est aussi pourri qu'un iPhone. Les très rares photos en très basses lumières signées Capa ont été réalisées grâce à des lumières incidentes. L'appréciation des effets produits par le jour, le « sentiment de la lumière », ça ne s'apprend pas, comme le disait Nadar.

Par contre, quel que soit le logiciel de développement et l'appareil utilisés, franchement, quand on affiche pareille photo on doit s'attendre à quelque critique. Je ne parle ni du sujet ni de la construction de l'image mais regardez, l'image de gauche est l'originale, celle à droite une mise à niveaux…

© All rights reserved by Henrik A.

J'ai d'abord cru à un effet, une recherche esthétique de la part dudit "photographe". Pour en avoir le cœur net, j'ai donc testé plusieurs images (noir/blanc et couleurs) et systématiquement j'obtiens le même problème de niveaux. Des plus anciennes aux plus récentes.

© All rights reserved by Henrik A.© All rights reserved by Henrik A.

Alors, de deux choses l'une, soit le logiciel de développement est franchement mauvais (Darktable) soit l'œil du photographe est partiellement "étoupé". Ou les deux.

Ça me rappelle une discussion récente avec l'un de mes amis qui me montrait ses photos de voyages (au pluriel) en Asie. L'une d'elles étaient magnifiquement construite. Seul hic, les niveaux !

© All rights reserved by Luciano b., 2012.

La photo, sans qu'il en ait aucunement conscience et sans aucune volonté esthétique de sa part, est orangée. Ce n'est malheureusement pas la seule. Toutes ou presque sont du même tonneau. C'est d'autant plus regrettable qu'elle est intéressante.

Quel que soit l'appareil et le logiciel utilisés, il y a, en photographie, des choses qui ne s'apprennent pas, qui ne relèvent pas d'une connaissance technique. Le zèle, la recherche, le travail infatigable, la poursuite persévérante et acharnée… mais, surtout, l'intelligence morale de son sujet. En somme, on n'apprend pas à regarder.

P. S. : Pour répondre à ta question FabriceV, j'ai utilisé pendant quelques années le très simple RawStudio. Il est un peu limité mais c'est un très bon logiciel pour se faire la main. Quand on en a fait le tour, on est très certainement en mesure de choisir soi-même ce qui nous convient.


À propos de l'auteur : Christophe
Photographe
Photoblog

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Emmanuel Kasper : Augmenter le volume d'un fichier video avec ffmpeg

samedi 5 janvier 2013 à 20:29
En ligne de commande:
ffmpeg -i file.mpg -vcodec copy -vol 1024  file_louder.mpg

-i : fichier en entrée à modifier
-vcodec copy: laisser la partie video inchangée
-vol 1024: multiplie le volume par 4 ( la valeur de base est -vol 256)

Il est important de se rappeler qu'a trop faire augmenter le volume, le son risque de saturer, bien vérifier par une écoute préliminaire, ou encore mieux, extraire la piste audio et la modifier dans Audacity.

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mumbly58 : Monter automatiquement les disques de la Freebox

samedi 5 janvier 2013 à 17:00

freebox-nas1

En ces temps de crise freeboxienne (c’est beau ça !) où on parle plus de publicité que de Libre, je me suis pencher sur une question bien précise : comment connecter et monter, au démarrage du PC, mon disque externe brancher sur le Freebox Server ainsi que le disque du Freebox Player ?

Tout se passe bien évidemment dans le fstab (/etc/fstab). Et tout se passe avec le système CIFS.
On va d’abord s’assurer que smbfs (Samba FileSystem) est bien installé pour les partages CIFS.

Je souhaite donc monter mon disque esterne et le disque dur du freebox player automatiquement au démarrage de du PC. On va d’abord s’assurer que smbclient trouve bien le serveur Freebox en tapant cette commande :

smbclient -L mafreebox.freebox.fr

 

Le cas échéant, tapez votre mot de passe root. Et voici ce que ça donne chez moi :

smbclient1

On voit donc bien ici que le serveur FREEBOX est reconnu sur le réseau. On pourrait évidemment prendre ce nom (donné par le paramètre NETBIOS sur la console Freebox mais, après divers tests, il semble beaucoup plus judicieux de prendre mafreebox.freebox.fr qui est toujours l’adresse du serveur freebox.

On va maintenant créer les points de montage dans /mnt. Mon disque dur externe branché sur le freebox server s’appellera Sauvegarde et le disque dur du freebox player s’appellera Freebox :

sudo mkdir /mnt/Sauvegarde
sudo mkdir /mnt/Freebox

 

Si on regarde le résultat de smbclient -L (ci-dessus), on s’aperçoit que, dans la colonne Sharename on a un premier disque du nom de PRIEUR-sauv1 et un deuxième disque du nom de Disque dur. On va donc pouvoir monter PRIEUR-sauv1 sur /mnt/Sauvegarde et Disque dur sur /mnt/Freebox.

! –> Sous Ubuntu, Xubuntu, … il vous faudra d’abord installer le package cifs-utils sinon vous aurez une erreur du type : CIFS VFS: cifs_mount failed w/return code = -22 et évidemment, ca ne fonctionnera pas ;)

On ouvre /etc/fstab et on rajoute les deux dernières lignes comme suit :

//mafreebox.freebox.fr/PRIEUR-sauv1 /mnt/PRIEUR-sauv1 cifs _netdev,rw,users,iocharset=utf8,uid=1000,sec=none,file_mode=0777,dir_mode=0777 0 0
//mafreebox.freebox.fr/Disque\\040dur /mnt/Freebox cifs _netdev,rw,users,iocharset=utf8,uid=1000,sec=none,file_mode=0777,dir_mode=0777 0 0

 

Avec cette config, vous pourrez créer de nouveaux fichiers ou répertoires et les effacer. Je n’ai pas configuré l’accès authentifié pour mon NAS freebox. Sinon, j’aurai du ajouter dans chaque ligne :

-o user=freebox,password=password,

 

C’est évidemment une configuration assez simple, tirée des différentes doc, mais qui a le mérite de fonctionner. Vous adapterez bien évidemment les différents emplacements avec vos propres données.
Il ne vous reste plus qu’à sauvegarder le /etc/fstab.
Au prochain redémarrage, vous devriez voir les deux partages actifs dans votre gestionnaire de fichiers.
Sans plus attendre, vous pouvez directement voir si ça fonctionne bien tapant :

sudo mount -a

 

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Cyrille BORNE : Le projet PhpVirtualbox cherche un nouveau leader

samedi 5 janvier 2013 à 15:00

Article rédigé par Stephdl

C'est une bien triste nouvelle que d'apprendre sur la page du projet phpvirtualbox, que le développeur jette l'éponge. Anecdotiquement, l'annonce est apparue durant la période des fêtes, pendant que je rigolais et que je partageais un moment de bonheur avec ma famille, cette personne écrivait ces lignes à l'autre bout du monde.

My marriage is falling apart. I no longer have the capacity to support a full time job, a family, and this project. I'm looking for someone to take over phpVirtualBox.


Avec un coup de googletraduction, cela donne ceci.

Mon mariage est en train de s'effondrer. Je n'ai plus la capacité de soutenir un emploi à temps plein, une famille, et ce projet. Je cherche quelqu'un pour reprendre phpVirtualBox.


Ce système permet de créer un hyperviseur de virtualisation probablement pas complètement à la hauteur d'un Vmware en version serveur, mais cela permet de s'en approcher sympathiquement. En effet on peut lancer des O.S virtualisés en tache de fond grâce à Virtualbox (en mode headless pour les experts), avec une gestion (création, arrêt, démarrage) des O.S invités par le navigateur internet (cela fonctionne avec l'aide conjointe d'Apache et de Php, sans base Mysql).

L’intérêt est d'avoir un serveur de virtualisation dont la gestion est décentralisée (certains rigolos laissent des accès par le web, googleduckduckgo vous montrera la voie), facile car du coup on peut se passer de la ligne de commande disponible (Vboxmanage). Comme tous ceci n'est pas suffisant, il existe des Easter-egg puisque lorsque l'on active le mode avancé de phpvirtualbox, on accède à des fonctions non disponibles graphiquement dans le GUI....du coup phpvirtualbox permet de s'affranchir bien plus de la ligne de commande que l'interface graphique officielle.

Capture_du_2013-01-05_14_03_44.png

C'est le type d'hyperviseur que j'utilise à la maison depuis  2 ans sur mon serveur, sans connaître de crash ou d'ennuis de paramétrages délicats. C'est un Projet Gigantesque maintenu par une seule personne aussi incroyable que cela puisse paraître. On n'est pas à l'abri de se faire renverser par une voiture, de succomber à une crise cardiaque, et alors le projet on l'enterre avec vous.....difficile d'imaginer, de comprendre cette dure réalité des logiciels libres, cette solitude du développeur.

C'est vrai que travailler en dehors d'un projet  pour gagner de l'argent, c'est une situation qui arrive à plein de monde dont je fais parti, puisque mon engagement dans le Libre se fait en plus de mon activité de salarié, de ma famille. C'est une partie intégrante de ma vie, et si les problème s'accumulent mon engagement  en souffrira, c'est malheureusement ce qui se passe pour cette personne..Ne dit on pas que la foi déplace des montagnes....sans devoir y mettre des convictions religieuses.

Nous avons pu souvent lire sur ce site des questions sur l'engagement du combat que nous menons sur le Libre et sur l'engagement associatif, gratuit, désintéressé que nous apportons souvent sur les projets que nous concrétisons....Est ce bien, je répondrai par un grand Oui, est ce normal, ma réponse sera plus mitigée puisque gratuité est souvent ramené à "médiocrité" sans que cela soit fondée.
Lors de nos discussions avec des représentants politiques Aveyronnais, il est souvent question du modèle économique du Libre, et les incompréhensions fusent, le logiciel gratuit, le support payant.....mais est ce bien, est ce vraiment pro ?

Au risque d'enfoncer des portes ouvertes puisque j'imagine que les lecteurs sont ici convaincus des valeurs du Libre, oui c'est vraiment professionnel, comme la solution proposée par Phpvirtualbox .

Le développeur a mis un formulaire de don paypal que j'ai déjà utilisé plusieurs fois pour le gratifier du développement de son soft...mais j'imagine que ce n'est pas le cas de tout le monde, car les appels aux dons ce sont bien multipliés ces derniers mois dans la communauté....la crise aidant il parait que les envois d'argent ne sont plus à la hauteur des besoins.

La question qui me tarabusque est de savoir jusqu'à quel point notre engagement dans le Libre se manifeste, est ce que notre compréhension des besoins des uns, des efforts de certains, du travail des autres, sont vitaux pour la communauté dans son ensemble....

Le don de soi est l'aspect le plus merveilleux qui m'a séduit la première fois que j'ai utilisé une distribution Linux, mais cela ne peut aller en sens unique, ce que certains vous offrent, comment le retournez vous ?

Pour ma part mon engagement dans le Libre se fait dans l'Aru2L. N’étant pas développeur, la possibilité qui m'a été donnée d'animer, de faire vivre une communauté dans un territoire, de partager et d’échanger avec quelqu'un d'autre que mon moi intérieur, fut la plus belle révélation de ces dernières années....prenez d'assaut vos Associations Locales de promotion des LL.

.....voila des marques d'engagements concrets qu'un projet comme phpvirtualbox mériterait et ferait probablement que ce développeur se sentirait moins seul....voila des gestes ou des attitudes que nous devrions tous essayer d'adopter pour cette nouvelle année 2013....de bonnes résolutions, que j'aimerai perrenes :')

Ce qui est malheureux c'est de voir comment sur des projets qui comblent un manque aussi important du programme Virtualbox, il n'y ait pas de financement d'Oracle pour l’intégrer de base, ou embaucher le développeur...Oh grand Oracle, un geste bienfaiteur svp....ton image n'en sera que plus grande.

je suis vraiment peiné par ce genre de news...les cimetières du Libre sont remplis de projets indispensables, j'attends désormais un Miracle.   

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Stephdl

.....être Libre, c'est aussi être Militant.....

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