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Philippe Scoffoni : Edito vidéo – Financer un logiciel libre : la Free Software Foundation mieux que KickStarter ?

lundi 22 octobre 2012 à 07:46


Transcription du texte de la vidéo

Bonjour à toutes et à tous et bienvenue pour cet édito du 22 octobre 2012. Qui de la Free Software Foundation ou de KickStarter est le mieux placé pour financer un projet de logiciel libre ?

Pour rappel, la Free Software Foundation est une organisation à but non lucratif basée aux USA et qui a été fondée en 1985 par Richard Stallman, un chercheur du MIT qui avait été quelque peu agacé par un pilote d’imprimante dont le code source n’était pas disponible.

Quant à KickStarter, il s’agit d’un site dit de crowfunding ou de financement par la foule. Le principe est simple : vous proposez un projet plus ou moins fou et vous demandez aux internautes de vous apporter une somme d’argent en échange parfois de futurs “goodies” ou même de la création en elle-même. A condition bien-sûr que les fonds soient réunis en temps et en heure. A ce titre, les logiciels sont également éligibles et on se souvient d’ailleurs du projet Diaspora qui réussit à réunir une somme bien supérieure à ce qui avait été demandé.

Alors quel rapport entre la FSF et KickStarter ? A priori aucun, sauf qu’un projet de logiciel libre a préféré s’appuyer sur la FSF pour lancer une campagne de crowfunding. Christopher Webber, l’un des leaders du projet MediaGoblin a publié un billet dans lequel il explique les raisons de ce choix.

Sur le fond, il ne rejette pas le principe de KickStarter et trouve que ce dernier remplit bien sa fonction et que les avantages compensent les quelques inconvénients du système. Ne pas choisir KickStarter n’était pas un choix neutre pour le projet.

Choisir la FSF, c’était aussi prendre un risque, car celle-ci ne disposait pas des outils nécessaires à ce genre de campagne.  Pourtant cette dernière a confirmé qu’elle les mettrait à disposition en temps et en heure car visiblement c’était une direction vers laquelle elle souhaitait aller ; y compris pour de futurs projets.

Un autre point en faveur du choix de la FSF : c’est une organisation à but non lucratif. Et les membres du projet MediaGoblin estimaient que cela allait en résonance avec la notion de don et la nécessité d’intégrité du receveur. Sans oublier que ces dons sont déductibles en partie pour ceux qui paient des impôts ; un avantage non négligeable.

A l’heure où Canonical, société privée, collecte des dons pour Ubuntu la distribution Libre GNU/Linux, il me semblait intéressant de montrer que d’autres modèles existent pour financer les logiciels libres. Certes, dans notre pays les choses ne sont pas encore aussi simples, il n’est pas possible de faire de Fondations directement pour les logiciels libres, mais il est déjà possible de mettre en œuvre au travers d’associations des mécanismes aptes à favoriser indirectement le développement de ces derniers. Alors réfléchissez-y !

On se retrouve pour un prochain édito semaine prochaine. En attendant, portez-vous bien et à très bientôt.


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Article original écrit par Philippe Scoffoni le 22/10/2012. | Lien direct vers cet article

Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons BY à l'exception des images qui l'illustrent (celles-ci demeurent placées sous leur mention légale d'origine).

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Planet Libre : Brèves du Planet Libre - Monday 22, October 2012

lundi 22 octobre 2012 à 00:00

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s3tc s2tc opengl mesa linux brevet


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Artisan Numérique : Configurer son VIM

dimanche 21 octobre 2012 à 23:24
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VIM Pathogen VIMScript
Configurer son VIM
Le 21 octobre, 2012 - 23:24 | Ulhume

Soyons honnête, en mode "découverte", VIM n'est pas l'outil le plus sexy qu'il soit. On a même l'impression qu'il est conçu pour être moche et ne pas faire grand chose de plus qu'un notepad compliqué par pur plaisir. La raison fondamentale de cet état de fait est que VIM est un outil conçu pour s'adapter au plus large éventail de besoin possible (sans pour autant faire le café, et encore...). Au départ ce n'est donc qu'une toile vierge, un peu comme un FireFox brut de coffrage avant que vous y installiez vos extensions favorites. Comme FireFox, VIM est conçu pour être programmé et/ou étendu en piochant dans sa très dense collection de plugins. Mais à la différence de FireFox, VIM ne s'écroulera que difficilement sous le poids de ses propres plugins ;-)

Premiers paramétrage

En réalité le terme de paramétrage est quelque peu erroné. En effet, VIM ne se configure pas par le biais d'un quelconque fichier xml ou ini, mais se programme à travers un langage, le VIMScript. Ce langage de script comporte tous les éléments d'un langage classique : variables, assignation, boucles, conditions, fonctions, modules, etc. Maintenant rassurez-vous, il n'est pas nécessaire de maîtriser ce langage pour pouvoir utiliser VIM car dans un premier temps il s'agira essentiellement de modifier les valeurs des variables système pour faire coller l'éditeur à vos besoins.

Pour charger ces réglages, VIM exécute à chaque lancement le code contenu dans le fichier ~/.vimrc. Prenons un exemple simple et disons que nous désirons que VIM active la numérotation des lignes, ce qu'il ne fait pas par défaut. Nous allons pour cela créer notre premier fichier .vimrc et y placer le contenu suivant en tapant vim ~/.vimrc :

set nocompatible
set number
mon premier vimrc

Sans sortir de VIM, vous pouvez tester ce code en tapant :w|source % (w pour sauvegarder source pour exécuter le code du fichier courant %).

Dans ce code nous avons utilisé la fonction système set pour affecter des valeurs. set number affecte la valeur vrai à number. Si nous voulions faire l'inverse, nous aurions écrit set nonumber.

La variable compatible indique un compatibilité avec l'ancêtre de VIM, le célèbre VI. Aujourd'hui on préfèrera mettre cette valeur à faux via set nocompatible pour activer un ensemble de réglages plus actuels.

La commande :help documente absolument toutes les variables. Essayez :help number ou :help compatible pour plus d'information.

Une fois le fichier sauvegardé, il suffit de quitter VIM, puis que votre premier paramétrage soit définitif.

Nous n'allons pas étudier ici tous les réglages possibles pour VIM, ce serait bien trop long. Sachez donc trouver les solutions à vos besoins grâce à votre automate de recherche préféré. Vous découvrirez alors rapidement que nous sommes très nombreux à utiliser cet outil. Par exemple si vous désirez activer la coloration syntaxique, chercher "vim activate syntax highlighting" et vous aurez moulte réponses qui vous mèneront à ajouter à votre vimrc les lignes suivantes :

filetype plugin indent on
syntax on
coloration syntaxique

Sauvez et éditez à nouveau, miracle, votre vimrc est maintenant colorisé.

Le langage VIMScript permet de faire de nombreuse choses et pour qui a à cœur de personnaliser son environnement à fond, sa maîtrise n'est pas un luxe. Une ressource très précieuse sur ce point est l'excellent tutoriel d'IBM.

Structure

Le paramétrage de VIM ne se limite pas au simple fichier .vimrc. Il est aussi possible d'exploiter toute une arborescence de dossiers nichés sous ~/.vim (non créé par défaut). Les principaux sont :

autoload
On trouve dans ce dossier des scripts qui vont être chargés au démarrage, avant le fichier ~/.vimrc.
colors
Ici sont stockés des scripts appelés par la commande colorscheme permettant de charger un jeu de couleur.
syntax
Là se trouvent des scripts gérant la colorisation syntaxique pour un type de fichier donné sous la forme type_de_fichier.vim.
plugin
Dans ce dossier sont stockés les plugins de VIM.
doc
Les fichiers documentation des plugins utilisables par la commande :help.
spell
Pour les dictionnaires du correcteur orthographique.
Pour une description complète et exhaustive de tous les autres dossiers, utilisez la commande help runtimepath.

Nous le verrons plus loin, cette liste n'est pas exhaustive car certains plugins vont ajouter ici leur propres sous-dossiers. Alors dans la mesure où ~/.vim va vite devenir le centre névralgique de votre configuration, je vous conseille la manipulation suivante :

gaston$cd
gaston$mkdir -p .vim/{autoload,colors,syntax,plugin,spell,config}
gaston$mv .vimrc .vim/vimrc
gaston$ln -s .vim/vimrc .vimrc
Initialisation de sa configuration VIM

Ceci a pour but de pré-créer .vim et un ensemble de sous-dossiers. D'y déplacer notre .vimrc en un fichier visible (sans point devant) et de faire un lien symbolique pour permettre à vim de le démarrer en ne se rendant compte de rien. Ainsi toute votre configuration sera à un seul et même endroit.

Pour parfaire le dispositif, vous noterez la création du sous-dossier config. Il ne s'agit pas d'un dossier de VIM mais d'un endroit où nous allons stocker des bouts de vimrc. En effet, vous vous en rendrez vite compte, vimrc peut rapidement devenir titanesque. A titre d'exemple le mien fait plus de 1000 lignes de code... Du coup, il est bien pratique de pouvoir ventiler cette configuration dans plusieurs fichiers thématiques (ex. settings.vim, mappings.vim, etc.).

Pour que cela fonctionne, il faut que nous rajoutions à vimrc le code permettant de lire ce dossier config :

runtime! config/**/*.vim
Lecture des scritps contenus dans .vim/config

Ceci fait, vous pouvez déplacer dans un .vim/config/settings.vim tout ce qui se trouve après set nocompatible (il est préférable de laisser cette ligne en en-tête de vimrc).

A plugin to rules them all

Comme vous le savez sûrement, VIM dispose d'un stock impressionnant de plugins. Il sera en effet bien rare de ne pas trouver le plugin correspondant à l'un de vos besoin.

Techniquement, un plugin est fournie sur un site comme vim.org sous la forme d'une archive zip à décompresser à la racine de .vim provoquant l'ajout de fichiers dans un ou plusieurs sous dossiers (plugin, doc, autoload, etc.). A terme je vous laisse imaginer le foutoir... Fort heureusement il y a une solution à ce problème. Il y en a même plusieurs en réalité, mais celle que j'ai retenu s'appelle pathogen.

Le principe de pathogen est très simple. Il s'agit de créer un nouveau dossier .vim/bundle dans lequel chaque plugin aura son propre dossier dans lequel nous retrouverons plugin,doc, autoload, etc. Pathogen se chargera alors, au démarrage de VIM, d'explorer ce dossier et d'instruire VIM sur tous les fichiers à charger. Ainsi tout reste bien rangé.

Pour mettre en place pathogen, il faut d'abord le télécharger. Comme pour absolument tous les plugins pour VIM, le plus simple est clairement de passer par GIT via GitHub. Pour ceux qui découvrent, GIT est un gestionnaire de version et github une plateforme hébergeant de très nombreux projets libres et bâti autours de GIT.

Même pour si le développeur d'un plugin n'utilise pas github, le site vim.org effectue un mirroring automatisé de tous ses plugins sur github. Ainsi si vous cherchez la version \\"github\\" d'un plugin, il suffit généralement de taper dans votre moteur de recherche \\"github vim le_plugin_que_je_cherche\\" pour le trouver. Ainsi toute installation de plugin passera systématiquement par github, ce qui est extrêmement pratique.

La première chose à faire est donc d'installer git sur votre système, cela se fait sur debian par sudo apt get git, tout simplement. Ceci fait, allez sur la page du projet pathogen. Dans la partie du haut, vous trouverez une URL qu'il suffit d'utiliser comme ceci

gaston$cd ~/.vim
Cloning into pathogen...
remote: Counting objects: 225, done.
remote: Compressing objects: 100% (120/120), done.
remote: Total 225 (delta 61), reused 209 (delta 48)
Receiving objects: 100% (225/225), 27.14 KiB, done.
Resolving deltas: 100% (61/61), done.
gaston$cd autoload
gaston$ln -s ../pathogen/autoload/pathogen.vim .
Récupération du code source de pathogen

Nous sommes allé dans notre dossier .vim pour y cloner (comprendre récupérer) le code source de pathogen dans un dossier pathogen. Ensuite nous avons créé le dossier autoload, y sommes rentré, puis avons créé un lien symbolique à partir du fichier ../pathogen/autoload/pathogen.vim.

Nous aurions aussi pu cloner le dépôt n'importe où et ensuite juste recopier pathogen.vim dans le dossier autoload mais en procédant par lien symbolique, nous pourrons facilement bénéficier des éventuelles mises à jour de pathogen de la manière suivante :

gaston$cd ~/.vim/pathogen
gaston$git pull
Mise à jour de pathogen

Maintenant il ne reste plus qu'à ajouter quelque ligne de code à vimrc, juste après set nocompatible pour que la magie pathogen opère :

" Initialisation de pathogen
call pathogen#infect()
call pathogen#helptags()
Ajout de la gestion des plugins par pathogen

Et c'est tout.

Pour tester tout cela, installons notre premier plugin que je classe dans la catégorie incontournable, NerdTree. Sont rôle est d'ajouter à VIM un volet latérale permettant d'explorer les fichiers et sous-dossiers du dossiers courant. Comme pour pathogen, nous allons passer simplement par la page du projet GitHub de NerdTree.

gaston$cd ~/.vim
gaston$mkdir -p bundle
gaston$cd bundle
Cloning into nerdtree...
remote: Counting objects: 2396, done.
remote: Compressing objects: 100% (805/805), done.
remote: Total 2396 (delta 1076), reused 2314 (delta 999)
Receiving objects: 100% (2396/2396), 979.05 KiB | 485 KiB/s, done.
Resolving deltas: 100% (1076/1076), done.
Installation de NerdTree

Et... C'est tout :-) Il ne nous reste qu'à redémarrer VIM et à taper la commande :NERDTree pour disposer d'un navigateur du plus bel effet.

Conclusion

Comme vous le voyez, VIM peut rapidement devenir très personnalisé tant par ajout de paramétrage, que par celui de plugins (personnellement je tourne avec déjà 26 plugins...). Alors évidement, cette approche ne conviendra pas à tous ceux qui veulent "que ça marche". Mais pour les autres, ceux qui aiment construire leur environnement, VIM est une véritable bouffée d'oxygène.

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dimanche 21 octobre 2012 à 19:25

L’équipe du projet Icinga viennent de livrer la version 1.8 du fork du projet Nagios. Cette version automnale est sous le signe de la performance et de la pratique.

D’abord côté coeur, la limite de la liste au niveau du check_result est dorénavant paramétrable. Cet outil pratique permet d’améliorer considérablement la performance sur des environnements de milliers de services. Les notifications peuvent être désormais désactiver avec la notion d’expiration d’évènements et surtout inutile lorsque la commande « scheduling forced check » est utilisée.

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En bonus, la pagination dans divers vues a été rajouté ainsi qu’un champ de recherche par expression régulière dans le panneau de configuration ce qui rend l’utilisation plus aisé dans les environnements complexe.

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Pour plus d’informations, je vous invite à voir le change log de la version 1.8 sur l’article du blog Icinga

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Denis Szalkowski : dnsmasq, un cache dns performant !

dimanche 21 octobre 2012 à 14:26
Par     21 octobre 2012  - Catégorie(s): Dns  Dns

J’ai troqué mon serveur dns Posadis – peu performant à mes yeux – pour le cache dns Dnsmasq.

Installation de dnsmasq sur CentOS

yum -y install dnsmasq
chkconfig --level 35 dnsmasq on
service dnsmasq start

Configuration

Mon serveur Web est devenu une Ferrari ?Editez le fichier /etc/dnsmasq.conf.

Je limite dnsmasq au cache dns sur l’interface de loopback de mon serveur. Je bloque accessoirement le dhcp.

interface=lo
listen-address=127.0.0.1 ::1
no-dhcp-interface=lo eth0 eth1

J’ajoute l’adresse de Loopback au niveau de la 1ère ligne du fichier /etc/resolv.conf.

search dedibox.fr
nameserver 127.0.0.1
nameserver 88.191.254.60
nameserver 88.191.254.70

Résultats des courses…

Ils sont tout bonnement spectaculaires. La 1ère requête effectuée avec la commande dig sur le domaine laredoute.fr a mis 223 ms. Lors de la 2e exécution, elle a mis 1 ms.

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