ElementaryOS dispose de son propre player audio « Musique » qui offre la capacité de lire vos musiques issues de votre bibliothèque. Nuvola Player permet lui de se connecter aux différents acteurs du marché dédiés au streaming musical :

1. Amazon
2. 8tracks
3. Google Play Music
4. Grooveshark
5. Hype Machine
6. Pandora
7. Rdio

Pour procéder à l’installation de ce logiciel, il vous faudra passer par la case ppa :

sudo add-apt-repository ppa:nuvola-player-builders/stable
sudo apt-get update
sudo apt-get install nuvolaplayer

Certains service nécessiteront l’installation de Flash, il faudra passer par une méthode détournée (l’installation du plugin Flash par les dépots ne fonctionne pas pour Nuvola) :

Pour les distributions 32 bits :

sudo apt-get install libatk1.0-0 libcairo2 libcurl3-gnutls libfontconfig1 libfreetype6 libgcc1 libglib2.0-0 libgtk2.0-0 libnspr4 libnss3 libpango1.0-0 libstdc++6 libx11-6 libxext6 libxt6 libasound2

Pour les distributions 64 bits :

sudo apt-get install libatk1.0-0:i386 libcairo2:i386 libcurl3-gnutls:i386 libfontconfig1:i386 libfreetype6:i386 libgcc1:i386 libglib2.0-0:i386 libgtk2.0-0:i386 libnspr4:i386 libnss3:i386 libpango1.0-0:i386 libstdc++6:i386 libx11-6:i386 libxext6:i386 libxt6:i386 libasound2:i386

Une fois cette étape réaliser il vous faudra installer un autre logiciel : nspluginwrapper

sudo apt-get install nspluginwrapper

L’objectif est d’installer Flash player 32 bits dans le dossier de Nuvola Player (pour des raisons de sécurité) :

wget https://bugs.launchpad.net/nuvola-player/+bug/1058586/+attachment/3405385/+files/nuvolaplayer-flash-installer.sh

Puis on va exécuter le script sh :

sudo bash ./nuvolaplayer-flash-installer.sh –install=11.2.202.297

On redémarre obligatoirement Nuvola et voilà :

Source :

http://www.elementaryupdate.com/2013/05/third-party-app-nuvola-player.html
https://answers.launchpad.net/nuvola-player/+faq/2107

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Voici le 16 ème lot dans le cadre de l’anniversaire du blog (lien du tirage au sort en fin de billet).

A gagner : compte Newsoo Cloud 200 GO (2 mois)

J'ai découvert Newsoo récemment, il s'agit d'un fournisseur newsgroups qui est basé en france (Strasbourg) et c'est une excellente surprise.

La fonctionnalité que j'ai vraiment apprécié c'est la possibilité de raccrocher un (ou plusieurs) serveur(s) FTP pour que tout ce que vous téléchargez soit dupliqué sur un FTP distant, en temps réel. C'est la première fois que je croise cette possibilité et c'est tout simplement génial !

Vous pouvez facilement envoyer tout le contenu de votre seedbox directement dans votre Synology, serveur FTP, etc. Cela vous permet aussi d'étendre votre espace FTP, ou de lier votre seedbox avec celle d'un ami

Vous pouvez aussi envoyer vos .torrent ou .nzb pour les ajouter depuis l'interface newsoo, bref c'est vraiment customisable à souhait!

Parmi les spécificités :

• Serveur FTP (sécurisé TLS et SFTP) avec support IPv6 et FXP
• Client Torrent utilisant Transmission et GUI ruTorrent like (interface maison dév sous PHP5 et Symfony2)
• Partage d'un lien directement via un clic droit
• Possibilité d'ajouter des amis pour partager l'accès à votre seedbox
• Traffic illimité
• Serveurs sur le territoire français et donc au droit français
• Blocage des IPs indésirables en amont
• Export vers jHeberg
• Compresser un fichier en .rar
• Créer un torrent (privé) à partir d'un fichier
• +1000 jours de rétention
• 10 connexions cryptées en SSL à 256 bits

Mais aussi un accès à vos fichier via un partage SMB/CIFS depuis Windows, Mac et Linux, en direct ou via un tunnel PPTP dans le cas où votre FAI filtre les flux SMB (ne coupe pas votre accès internet car pas n'agit pas en tant que passerelle) :

Avec Numericable je suis obligé de passer en mode VPN...

L'équipe newsoo m'a confié être axée sur le développement de l'infrastructure cloud avec possibilité de déploiement d'autant de machines virtuelles qu'il le faut en cas de pic pour absorber la charge réseau. Du côté des newsgroups l'équipes Newsoo a le souhaite d'ici deux ans de s'imposer comme le fournisseur NNTP français avec sa propre infrastructure de routage pour assurer un maximum de débit aux abonnés ayant du très haut débit (fibre, câble).

Infrastructure technique

J'ai voulu savoir comment tout ça fonctionnait en coulisse et l'équipe Newsoo nous détaille l'architecture :

"Le stockage (Strasbourg) : 2 serveurs de stockage et un serveur de métadonnées (une sorte d'annuaire qui sait où on doit chercher les données). Chaque serveur de stockage est en RAID1 et les données sont en RAID0 sur l'ensemble du pool pour avoir 2x20Gbps potentiels en lecture (car on cherche le fichier sur les 2 bécanes s'il est assez gros). Aux yeux du reste du réseau, on a un énorme volume extensible avec tous les utilisateurs dessus, ça va permettre de nouveaux usages qu'on va développer.

Le coeur Usenet/Seedbox (Strasbourg) : 2 serveurs pour le seed (car 24/24h) + instances cloud publiques OVH (pour des besoins ponctuels, comme l'usenet). Chaque démon torrent possède une IPv4 interne (type 10.xxx.xxx.xxx) et ne peut pas accéder à Internet directement. Ca permet d'atteindre des débits de 2x20Gbps entre utilisateurs Newsoo, car en LAN. En revanche pour Internet, on a un routeur avec un puissant firewall (BSD pfSense).

La gestion HTTPS/FTP à Roubaix, est confiée à des petites VM qu'on allume au besoin suivant la charge de la première allumée en permanence. Chaque VM déployée nous garantit 100Mbits vers l'extérieur. Elles tapent directement sur la partie stockage avec un cache adapté à la lecture séquentielle (alors que le bittorrent le cache est optimisé pour les accès random).

On virtualise exclusivement avec VMWare et XenCitrix (on va migrer vers 100% Xen en raison de leur politique opensource qu'ils ont adopté récemment) en hôte et Debian7 en invité."

Rien à dire, ça tient la route avec un pfSense en tête de pont avec ipfilter, idéal ! La seule amélioration que je vois est le support des liens magnet torrent.

Conditions et participation au tirage au sort ?

Tout le monde peut participer.

Inscrivez-vous avant le 13/08/2013 à 23h59

Pensez à retwitter ce billet ou le partager depuis la page Facebook pour augmenter vos chances au tirage au sort en utilisant les boutons de partage intégrés au formulaire de participation.

Note : écrire un commentaire ne vous permet pas de participer, inscrivez-vous pour chaque lot auquel vous souhaitez participer.

Merci à notre partenaire Newsoo.

Article original écrit par Mr Xhark publié sur Blogmotion le 06/08/2013 | Un commentaire |
Attention : l'intégralité de ce billet est protégée par la licence Creative Commons

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Le client P2P renommé Transmission, installé par défaut sur Ubuntu, dispose d'une version «headless» que l'on peut installer sur un serveur sans interface graphique.

Ce daemon permet de récupérer des images ISO depuis un serveur, et est gérable depuis une interface Web. Le problème c'est que, quand on ajoute un .torrent, tout est sauvegardé par défaut dans un seul dossier.

Sauf que moi, j'aime bien que mes image ISO soient bien triées dans plusieurs dossiers, du coup ça me les casse un peu de devoir tout redéplacer après parce que (1) c'est chiant à faire, (2) si on le fait, ça implique de devoir arrêter de seeder les fichier, et (3) si on veut seeder, il faut avoir le fichier à 2 endroits différents.

Du coup, je me suis penché un peu plus sur le truc, et j'ai découvert qu'il existait un outil qui permet de gérer plus finement Transmission, directement depuis la ligne de commande.

Cet outil, c'est transmission-remote, disponible dans les dépôts de toute bonne distrib' GNU/Linux.

Je ne vais pas détailler tout le machin, pour ça vous avez le man, je vais juste donner la commande permettant de lancer un téléchargement sur un serveur distant (en passant par le service Web) à partir d'un .torrent, tout en fixant un répertoire de destination différent de celui par défaut.

transmission-remote server:9091/transmission/ -a fichier.torrent -w /repertoire/de/destination/ -n user:password

• server:9091/transmission/ : URI du service Web de transmission
• -a fichier.torrent : Fichier .torrent
• -w /repertoire/de/destination/ : Répertoire de destination, sur le serveur distant
• -n user:password : login et mot de passe de connexion au service Web

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Crédits image ajenti.org

Si la majeur partie des utilisateurs communs n’ont pas forcément besoin de monter un serveur, le moment venu se retrouver face à une interface entièrement en ligne de commande peut être déroutant et poser quelques problèmes à ceux qui voudraient s’y mettre. Ajenti est un projet open Source qui va vous aider dans cette tâche, en vous fournissant une interface graphique facile à prendre en main, vous permettant de gérer en local ou à distance votre serveur Ubuntu, Debian (et dérivés), Red Hat, CentOS, etc …

Alors bien entendu je ne vais pas vous dire que cela va vous affranchir totalement de la ligne de commande, qui sous bien des aspects reste encore incontournable et plus rapide dans ce domaine. Mais ça va quand vous aider à effectuer quelques actions courantes et vous faire ainsi gagner un temps précieux.

Le panneau de contrôle d’Ajenti est assez complet et comprend tout un panel d’outils vous permettant entre autres, d’effectuer des actions de monitoring et de gestion à partir d’un simple navigateur Web. Vous serez ainsi en mesure de contrôler les ressources système en temps réel (cpu, ram etc), de contrôler les processus en cours d’éxécution, de rédiger des fichiers texte, d’utiliser des outils de gestion DNS, Apache, Cron, de gérer vos Firewall, MySQL, Samba etc … La liste est très longue.

Alors je vais vous avouer que je ne l’ai pas testé car j’ai eu la flemme de monter un serveur sur mon PC juste pour ça. Néanmoins ayant visité le site et fouiné comme il se doit, j’ai trouvé le projet assez sympa et très dynamique. Je pense qu’Ajenti est un très bon outil et si ça vous branche, nous allons voir tout de suite comment l’installer en prenant pour l’exemple une plateforme (Ubuntu).

Installation des dépôts et de la clé d’authentification :

sudo -s (pas taper les puristes)
echo "deb http://repo.ajenti.org/ng/debian main main" >> /etc/apt/sources.list
wget http://repo.ajenti.org/debian/key -O- | apt-key add -

Une fois que c’est fait effectuez une mise à jour et installez Ajenti :

sudo apt-get update
sudo apt-get install ajenti

Il ne vous reste plus qu’à vous connecter à l’interface Web en entrant cette url pour un accès local :

https://localhost:8000

Et celle-ci pour un accès distant :

https://indirizzo-ip:8000 (-ip doit bien entendu être remplacé par l’ip de votre serveur).

IMPORTANT!

Lors de la première utilisation le login et le mot de passe à entrer sont les suivants :

Nom d’utilisateur : root

Mot de passe : admin

Une fois sur l’interface d’Ajenti vous pourrez bien heureusement les modifier :D

Pour le reste je vais vous laisser en découdre et découvrir tout ça par vous-même. Si vous avez envie de voir plus de captures et d’avoir plus de détails sur ce soft, vous trouverez une documentation assez complète sur le site officiel, qui vous indiquera en prime la procédure d’installation pour les autres distributions.

Amusez-vous bien et bonne administration serveur!

source

Original post of Noireaude.Votez pour ce billet sur Planet Libre.

Bon ce n’est pas un scoop l’informatique c’est insinué dans nos vies depuis un moment et nos fichiers personnels se sont multipliés en plus de s’être dispersés sur toutes sortes de terminaux. Nos bon vieux PC fixes ont laissé la place à un paquet de terminaux mobiles qui vont de nos Netbooks / Notebooks à nos tablettes tactiles, Smartphones, appareils photo, baladeurs et même nos montres connectés et je ne parle même pas de toutes nos plateformes de Cloud. Dans ce contexte même le plus organisé d’entre nous a bien du mal à garder un minimum d’ordre dans ces dossiers/fichiers et les outils de synchronisation sont devenus quasiment indispensables si on veut s’en sortir.

Il en existe pas mal mais aujourd’hui j’ai décidé de m’arrêter sur Synkron pour la bonne et simple raison que je ne le connaissais pas encore et qu’il m’a l’air pas mal du tout. Nous allons donc voir brièvement comment installer et utiliser ce soft (sur Ubuntu 13.04), qui va vous aider à garder un minimum d’ordre dans vos étables numériques.

Installation sur Ubuntu 13.04 :

Pour installer et compiler Synkron nous allons utiliser la méthode évoquée dans ce billet signé Unixmen.

Commencez par installer les dépendances suivantes à l’aide de cette ligne de commande :

sudo apt-get install build-essential libqt4-dev

Nous allons ensuite télécharger Synkron à l’aide de cette ligne de commande :

wget http://sourceforge.net/projects/synkron/files/synkron/1.6.2/Synkron-1.6.2-src.tar.gz

On décompresse l’archive :

tar -xvf Synkron-1.6.2-src.tar.gz

Et une fois que tout est en place nous allons compiler les paquets à l’aide des commandes suivantes :

cd Synkron-1.6.2-src/
sudo lrelease-qt4 Synkron.pro
sudo qmake-qt4 Synkron.pro
sudo make

Si tout s’est bien passé nous devrions pouvoir lancer Synkron et commencer à synchroniser nos fichiers et dossiers. Entrez ceci dans votre terminal :

./synkron

Comme vous pouvez le voir sur cette image il suffit de sélectionner les dossiers à synchroniser à l’aide des deux champs dédiés et de cliquer sur « Synchronisation » pour effectuer cette tâche.

Cette capture nous montre une option intéressante qui nous permet de récupérer des dossiers/fichiers éventuellement supprimés par erreur, en choisissant une synchronisation plus ancienne. Ça peut être vraiment pratique pour le têtes en l’air comme moi :)

Pour le reste Synkron va vous permettre de créer des filtres et d’exclure certains dossiers ou fichiers de vos opérations de synchronisation. Mais aussi de planifier des tâches, d’effectuer une synchro via plusieurs sources vers un répertoire unique (très pratique), de comparer des répertoires sans rien synchroniser et bien d’autres choses encore.

Le seul truc qu’on peut éventuellement lui reprocher c’est qu’aux dernières nouvelles il ne prenait pas en charge SSH et ne permettait que la synchro en local. Ceci peut être éventuellement contourné avec un petit script Cron et cela ne gâche rien à cette application, qui reste au final quand même très sympathique.

Si ça vous branche vous pouvez consulter la doc Synkron pour en savoir plus sur les fonctions disponibles et éventuellement jeter un œil sur la doc Ubuntu si l’allemand ou l’anglais ne sont pas votre tasse de thé.

Si vous voulez installer Synkron sur les autres distributions GNU/linux vous pouvez vous procurer les sources sur cette page.

Bonne Synchro et amusez-vous bien.

source

Original post of Noireaude.Votez pour ce billet sur Planet Libre.