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Damien : Comment créer sa campagne de financement participatif

mercredi 16 avril 2014 à 11:29

Ce week-end ont eu lieu les 15ème Journées du Logiciel Libre sur Lyon. Parmi les nombreuses conférences, j’en ai suivi deux, « Comment créer sa campagne de financement participatif » et   »Pourquoi encourager le Libre dans les associations ».

Je partage ma prise de notes, remise au propre.

 

Comment créer sa campagne de financement participatif

par Nathael Pajani qui a animé la campagne Domotab

1)  faire des dons à un blog ou une association, c’est possible

Les plus connus sont Flattr et Paypal : ce sont outils qui simplifient le financement et permettent d’assurer un fonctionnement dans le temps. On peut prendre les exemples de wikipedia et de framasoft.

2) Quel est l’intérêt de faire financer le projet par le biais d’une campagne participative ?

Cela permet :

- de se faire connaître du grand public
- d’avoir un retour en créant une communauté qui se fédère autour de votre projet
- de récolter des fonds, évidemment, pour lancer son projet.
- de préparer une autre campagne de financement

3) Quelles sont les plate formes existantes ?

- Kickstarter, le plus connu
- Ululu (fr)
- kisskissbang
- Indiegogo

Ces plateformes prennent entre 7 à 12% de commission au passage. Si ça ne marche pas, les fonds reviennent aux particuliers. Indiegogo, par contre, propose de récupérer les fonds engagés par les souscripteurs, même si le niveau final n’est pas atteint. Par contre, Indiegogo prend une plus grande commission si la campagne n’atteint pas le palier de 100%.

Elles amènent une visibilité sur une plateforme accessible, à destination des professionnels et du grand public.

Attention donc au choix de la plate-forme au départ.

Alternatives libres

- Selfstarter
Pas simple a installer. Pas simple a diffuser car on est tout seul. Peut être à utiliser en complément lors de sa campagne ?

- OpenFunding
Pour les logiciels, cette plateforme lui est dédiée. 
Les développeurs demandent de l’argent selon les fonctions à développer : les gens paient selon ce qu’ils veulent voir développer en priorité.

4) Et en pratique ?

- il faut commener par choisir sa plate-forme (indiegogo permettra de reussir sa campagne, pas les autres).
- Il faut choisir une duree &  un objectif. La durée peut être repoussé en cours de campagne : il est parfois dommage d’arrêter sa campagne alors que la levée de fonds atteint 90%.
- Il faut penser aux contreparties données aux souscripteurs selon le montant donné : il est intéressant de créer des paliers de contribution qui permettront aux souscripteurs d’avoir des bonus ou des choses inédites, pour les remercier de leur participation financière. En cas de cadeaux ou goodies, attention aux frais de port. En cas de produits finis offerts, attention aux taxes ! L’intérêt est d’offrir quelque chose qui coutera moins que ce que la personne offre comme fonds.
- Il faut ensuite s’assurer de bien presenter le projet, le produit et l’equipe. Pour la présentation du projet, penser à faire court et accrocheur : il faut vendre le produit sur le site de campagne !
- il faut également penser à mettre en place un site annexe où le produit sera présenter dans son entiereté, dans son aspect le plus technique.
- L’intérêt, avant de lancer sa campagne participative, c’est d’être déjà connu avant.

5) Pendant la campagne ? 

Il faut faire vivre la campagne et avoir un maximum de temps pour la faire vivre le mieux possible.

Le site annexe devra être mis à jour quotidiennement ou presque. Il faudra du temps pour répondre aux commentaires sur le site participatif et sur le site annexe. Si vous le pouvez, faites que d’autres sites parlent de vous et de votre projet. Il faut publier et faire publier de l’information sur votre projet. Les réseaux sociaux seront également très sollicités pour faire parler de votre campagne.

6) L’apres campagne

Une fois la campagne terminée et 100% des fons atteint, il faudra continuer à informer vos souscripteurs et le public de l’avancement du projet via le site annexe.

Conclusion

Les plateformes amènent une visibilité très forte. les premiers à vous soutenir seront les membres de votre entourage, amis, familles, collègues, afin d’attire d’autres cercles et de déclencher une meilleur visibilité dans le site participatif lui-même.

L’intérêt de lancer une campagne doit être mesurée : cela prend du temps, beaucoup de temps sur une période plus ou moins courte, c’est un réel effort à fournir pendant la période. On lance pas une campagne pour 500 €…

 

[La suite demain avec la deuxième conférence]

 

_ Damien

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Monnaie libre : Tout comprendre sur la monnaie

mercredi 16 avril 2014 à 10:05

Bernard Maris nous explique… Et il conclut « une fois qu’on a bien compris ça on a tout compris sur la monnaie »… Alors vu qu’on a là un conseiller de la Banque de France qui nous explique tout ça en 1 minute 20, allons-y !

Votre navigateur ne lit pas le format libre HTML5 webm vidéo sur Youtube

Si on a pas compris ce qui est, selon ses propres dires, « quelque chose qui est très difficile à comprendre », on pourra approfondir le sujet avec les vidéos suivantes :

Mais à la suite de quoi, on a pas « tout compris » à la monnaie, comme le dit ce conseiller de la Banque de France, mais on a bien compris quelque chose.

Qu’en est-il alors de la légitimité d’appeler monnaie « commune », valeur intermédiaire d’échange et de comptabilité commune, ce qui se crée sous une forme ou sous une autre, en privilégiant ainsi les uns au détriment des autres ?

Qu’en est-il d’une prétendue unité de mesure commune de « l’activité économique », qui privilégie telle ou telle génération d’hommes devant les autres générations ?

Qu’en est-il donc in-fine, Mr le conseiller, de la légitimité même de votre activité devant chacun des citoyens présents et futurs censés utiliser cette même monnaie ?

Un homme, lors d'une tentative héroïque de

Un homme, lors d’une tentative héroïque pour « tout comprendre » sur « la » monnaie commune entre les hommes, conseillé par Bernard Maris

Qu’en est-il ensuite des autres monnaies non-libres telles que bitcoin, freicon, litecoin, de Monnaie M, des monnaies libres telles que OpenUDC/uCoin ?

Qu’en est-il de la première liberté économique, du choix de son système monétaire ? Qu’en est-il des 4 libertés économiques ? Qu’en est-il du choix d’une monnaie libre plutôt que d’une monnaie non-libre ?

On peut étudier la Théorie Relative de la Monnaie (TRM 2.718), publiée sous licence libre GPL v3, que l’on pourra initier ou approfondir avec les courtes vidéos Light Speed TRM View et Light Speed R&Q TRM View, se faire sa propre opinion, et agir conformément à ce que l’on a compris soi-même.

Tout ceci est de l’ordre du possible ! Cette affirmation est non-péremptoire car rigoureusement démontrée par la TRM.

Light Speed TRM View :

Light Speed R&Q TRM View :

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Association GOALL : C’est comment une certification LPI ?

mercredi 16 avril 2014 à 08:19

La découverte de GNU/Linux

En 2000, j’ai découvert GNU/Linux dans une des premières revues spécialisées disponibles en librairie, il y avait peu d’accès internet chez les particuliers à cette époque et GNU/Linux était totalement inconnu du grand public.
C’était une distribution Red Hat qui était vendue sur un CD-ROM avec la revue. J’ai mis une semaine à l’installer (paramétrage ardu de la souris et de l’écran dans XF86Config) mais lorsque ça a fonctionné, quelle surprise ! J’avais connu CP/M, Domain/OS d’Apollo Computer, j’utilisais encore MS-DOS et Windows 98 tout moche et là, plein de logiciels avec un superbe environnement graphique. Il y avait même le père Noël qui passait avec son traîneau et ses rennes sur l’écran (xsnow). Le noyau Linux plantait de temps en temps mais c’était un système intéressant à découvrir.

Il y avait dans la revue une publicité pour le salon GNU/Linux à Paris. Comme je cherchais du travail et que passer du métier de commercial à celui d’informaticien me tentait bien, j’y suis allé.
À cette époque, il y avait plus d’associations libristes que d’entreprises au salon. J’y ai découvert notamment l’APRIL, l’AFUL et l’organisme de certification LPI. J’ai eu les coordonnées de la SSLL Free&ALter Soft à Metz (Moselle) que j’ai appelée dans la semaine. Ils embauchaient et j’ai eu un poste pendant 2 années, avant qu’elle ne soit rachetée. J’y ai appris beaucoup de choses sur les commandes UNIX, les expressions rationnelles, la programmation en TCL, Perl, PHP, le réseau IP… grâce à mes collègues (Arnaud, Ludovic, si vous me lisez…). J’ai installé d’autres distributions GNU/Linux puis j’ai commencé à aider Xavier COUDIN de l’AFUL à organiser des install-party au sein du GRAOULUG (LUG de Metz) qu’il avait créé.
J’ai progressivement acquis une relative bonne maîtrise du système GNU/Linux au cours des années suivantes en achetant quelques livres et surtout en lisant les documentations sur internet et les pages des manuels de commandes GNU/Linux.
Fin 2011, je me suis dit qu’il serait intéressant de valoriser ces connaissances sur mon CV en ajoutant une certification professionnelle reconnue en France et à l’étranger, notamment au Luxembourg où j’ai déjà travaillé pendant 2 ans. Je me suis souvenu de la certification LPI et j’en ai parlé avec Éric DESCHAMPS, un formateur certifié LPIC-3 (le niveau le plus haut) qui tenait un stand lors d’un salon à Metz. Il m’a expliqué le fonctionnement de la certification LPI et m’a encouragé car ces certifications vont être de plus en plus reconnues et demandées par les employeurs dans les métiers demandant des compétences en administration de système GNU/Linux.


La formation et la certification LPI

La certification LPI comporte 3 niveaux : LPIC-1, LPIC-2 et LPIC-3.
Chaque niveau comporte plusieurs examens : LPI 101 et LPI 102 pour le niveau LPIC-1, LPI  201 et LPI 202 pour le niveau LPIC-2 et LPI 301 à LPI 304 pour le niveau LPIC-3.
J’ai donc décidé de commencer par l’examen LPI-101 en 2013 puis de continuer chaque année, au fur et à mesure de la progression de mes connaissances et de ma motivation.
On peut s’inscrire à un ou plusieurs examens LPI, sans suivre une formation au préalable, mais  ayant l’expérience du premier examen, je le déconseille. Il vaut mieux suivre une formation qui prépare à l’examen, comme je l’ai fait. On est sûr de réviser tout ce qui est dans le programme et rien que cela augmente fortement les chances de réussite. Surtout que le contenu des examens évolue chaque année.

Je me suis inscrit à la formation organisée par LINAGORA et Formations Linux LPI à Metz. LINAGORA m’a envoyé un devis que j’ai donné au service RH de mon entreprise. Le service RH a fait une demande de prise en charge du coût de formation par mon DIF. J’aurais pu suivre la formation pendant mes heures de travail mais mon entreprise ayant refusé, j’ai donc dû prendre une semaine de congés.

La formation a commencé le lundi à 9 h dans une grande salle prêtée gracieusement par SUPELEC à Metz.

Parking SUPELECLe parking de SUPELEC avec un des bâtiments de la cité universitaire au fond.

 

L'entrée de SUPELECL’entrée de SUPELEC.

 

La salle de formationLa salle de formation.

L’accès à la salle était fléché dès l’accueil et nous avons été accueillis par Patrick, le responsable des systèmes d’information et par son équipe technique qui nous ont aidés et choyés tous les jours. Ils ont même organisé un soir une visite de l’école et de toutes les installations informatiques, assez impressionnantes.

Nous avons commencé par préparer notre poste de formation : installation de VirtualBox sur les machines puis ajout d’images de plusieurs systèmes GNU/Linux distribuées par Éric (Fedora, Debian).
Éric nous a distribué le programme de la formation, sous la forme de cartes heuristiques. C’est très pratique pour suivre le programme et comme aide-mémoire car en très peu de pages, on a tout le programme à réviser, découpé en chapitres.

Éric, formateur LPIExplications pour la lecture des cartes heuristiques


Quelques exemples de cartes heuristiques :

GNU screenCarte heuristique de la commande GNU Screen (cliquer sur l’image pour l’agrandir)

 

Éditeur de texte VICarte heuristique VI (cliquer sur l’image pour l’agrandir)


Pour chaque chapitre, Éric détaille chaque commande, les options principales puis nous passons à une série d’exercices corrigés pour chaque commande. Les exercices et les corrections sont regroupés dans un manuel distribué aussi le premier jour.
C’est assez intense, il faut donc être bien attentif et concentré. J’ai eu un peu de mal à suivre la première matinée mais Éric passe sans arrêt voir chaque personne pour aider si on bloque ou si on a des questions. Et il y a des pauses régulières pour aller se détendre au distributeur de boisson, ou bien des petits jeux de mémoire variés pour faire un récapitulatif du dernier chapitre ou du cours de la matinée ou de la veille.
Éric suit régulièrement des formations à la pédagogie et ça se voit. Il est à l’écoute et rythme très bien les cours pour mieux faire passer les passages ardus.

En fin de cours, on fait un petit quiz, avec le logiciel Anki et des séries de questions (des paquets de cartes tirées au sort). Pour chaque question, on répond oralement puis on affiche la réponse. On indique ensuite si on s’est trompé ou non et la question est alors reposée ou non au bout d’un certain temps. Éric nous donne des séries de questions pour pouvoir réviser chaque soir. C’est un excellent moyen pour se préparer à un examen LPI.

Logiciel de quizz Anki

Pendant 9 demi-journées, nous allons ainsi éplucher tout le programme LPI-101, faire des exercices, des jeux et des séries de questions / réponses pour nous rappeler tout ce que nous avions appris plus ou moins bien avant de venir à la formation, compléter les lacunes et mémoriser les points essentiels.

À la pause repas, nous mangeons tous ensembles sur le campus, ce qui nous permet de mieux faire connaissance entre nous, d’échanger sur nos expériences professionnelles et de reprendre des forces.

Un beau gâteauAprès l’effort, le réconfort.


Le vendredi à 14 h, c’est le début de l’examen LPI 101 qui dure 90 minutes. Nous nous rendons dans une salle appropriée, avec une petite table isolée par personne. Le surveillant agréé LPI France (aussi appelé proctor LPI), membre de l’association Mosaïque du Monde, est venu de Paris. Il a préparé la salle et les questionnaires pour l’examen, en anglais ou en français, au choix. Si on est à l’aise avec l’anglais, il vaut mieux choisir les questionnaires en anglais car  il y a parfois des traductions litigieuses dans les questionnaires en français.

Le Proctor

Le proctor vérifie les identités, tente de joindre sur son portable une personne manquante puis nous fait remplir nos coordonnées sur les fiches de réponses. Il distribue les questionnaires puis donne le top départ.

Les questionnaires LPI

 

Crayon et gomme

Je suis les conseils d’Éric : bien respirer pour rester calme, lire tranquillement chaque question et ne pas y passer plus d’une minute si elle paraît difficile. J’ai en effet répondu au questionnaire en 60 minutes et il me reste 30 minutes pour le relire rapidement, revoir les questions où j’avais un doute ou qui étaient sans réponse. L’examen se passe donc très bien.

C’est en sortant de la salle pour laisser la place à l’examen LPI 102 et en discutant avec les autres personnes que je découvre que j’ai répondu quelques horreurs. Mais pas tant que ça.

La salle d’examen n’étant pas agréée LPI, l’examen a eu lieu sur papier et non sur ordinateur (je préfère personnellement). On n’a donc pas eu les résultats dans la journée mais une semaine après (les copies sont envoyées à la correction au Canada). On reçoit un courriel avec un relevé de note et un lien à cliquer avec un mot de passe. Je me suis bien planté là où je m’y attendais le moins, sur les systèmes de paquetage !

Linux Professional Institute
Relevé de notes pour l'examen 101

---------------------------------------------------------------------------
Identifiant du candidat : LPI000XXXXXX
Identifiant d'enregitrement : xxxxxxx
Date du relevé de notes : Jul 11 2013

Votre résultat : 590
Score nécessaire pour obtenir l'examen : 500
Statut : Pass

Information sur l'examen
Pourcentage de résultats corrects

 75%            System Architecture

 45%            Linux Installation and Package Management

 73%            GNU and Unix Commands

 80%            Devices, Linux Filesystems, Filesystem Hierarchy Standard


Voilà, j’ai réussi l’examen !


Conclusion

Toutes les personnes qui ont suivi la formation ont réussi leur examen. J’ai vraiment aimé cette semaine de formation. Grâce à elle, j’ai passé facilement l’examen, motivé et sans stress. Et ça m’a permis de discuter avec des personnes sympathiques qui travaillent au quotidien avec GNU/Linux dans des écoles et dans des entreprises. Cette année, malgré la charge de travail qui m’attend, je demande la formation LPI-102 et je passe l’examen. Ça me permettra de consolider plus sérieusement mes connaissances et de préparer l’avenir.

Heureusement que LINAGORA et Formations Linux LPI ont accepté d’organiser des formations et des examens LPI à Metz, sinon, il aurait fallu aller pendant une semaine à Paris, au Luxembourg ou en Allemagne. C’est d’ailleurs dommage qu’il n’y ait pas plus de certifications LPI organisées en France, seuls quelques centres sont agréés LPI (LINAGORA, Pearson VUE…). Cela freine l’organisation d’examens et le nombre d’inscriptions. Dans d’autres pays, il est beaucoup plus facile de passer un examen LPI et la certification est mieux connue et reconnue.

David VANTYGHEM


LPI : http://www.lpi.org
LPI France : http://www.lpi-fr.net
LINAGORA : http://www.linagora.com
Formations Linux LPI : http://www.formation-lpi.com
Le logiciel libre Anki : http://ankisrs.net
Les sessions de formation et de certification LPI à Metz en juin 2014 : http://www.goall.fr/formations-et-certifications-lpi

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wilfried caruel : LuckyBackup : logiciel opensource de la semaine

mardi 15 avril 2014 à 21:35

Présentation LuckyBackup

lucky

Je vais vous présenter un logiciel comme une alternative à « Areca Backup ».

Ce logiciel s’appelle « LuckyBackup ».

Ce logiciel permet de faire des sauvegardes en excluant :

Toutefois c’est un logiciel très spécifique qui fait dans la sauvegarde :

Donc si ce genre de données persos n’est pas sensible ce n’est pas le cas des fichiers et dossiers système.

En effet une mauvaise manipulation est toujours possible avec de fâcheuses conséquences.

Ce logiciel est publié sous la licence « GPLv3 »
« LuckyBackup » est un logiciel multiplate-forme.

Le logiciel est assez simple à prendre en main, en effet tout le logiciel est en français et il suffit de créer un profil en choisissant la source et la destination de la sauvegarde.
Rien de plus simple ensuite si vous savez ce que vous faites . Il y a une partie avancée avec divers paramètres genre :

Permet entre autres un envoi d’émail a chaque sauvegarde effectuée (avec ou sans erreur) etc.

Features

Le logiciel a été écrit par « Loukas Avgeriou ».

La vidéo

Mon avis :

« LuckyBackup » est un bon logiciel de sauvegarde plus joli que le logiciel « Areca Backup » mais ils sont tout aussi performants.

Concernant les fonctionnalités, elles sont pratiquement toutes en rendez vous ou presque . Il me semble qu’il manque le chiffrement des sauvegardes . Mais je n’en suis pas sûr.
J’aime bien le rapport par émail et pour ceux qui connaissent il y a la possibilité de l’utiliser via « SSH ».

Je ne sais pas si je vais l’utiliser pour faire des sauvegardes, je n’ai pas le réflexe de me servir de mon disque dur externe pour faire des sauvegardes régulièrement (un tort de ma part . j’en conviens).

L’interface est plutôt jolie mais surtout à la porté de tous ou presque.

Et vous, quel logiciel utilisez vous pour vos sauvegardes ?

Installations :

Manjaro/Arch

yaourt -S luckybackup

Gentoo

emerge -av luckybackup

Windows

Instructions

Debian (sid)

apt-get install luckybackup
Liens

Site Officiel
Téléchargement

Article Arobaseinformatique
Article Geekinpact

Musique : Unitan – Farewell my friend

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mozillaZine-fr : Chris Beard au CA de Mozilla Corporation et à sa direction par intérim

mardi 15 avril 2014 à 21:03

Chris Beard24 mars14 avril : trois semaines seulement et nous voilà avec une nouvelle nomination à la tête de Mozilla Corporation. Et, entre-temps, quelle tourmente !

Une nouvelle fois Mozilla, avec à sa direction l’emblématique Mitchell Baker, fait appel au canal historique pour trouver le directeur général – CEO – de sa filiale détenue à 100 % dédiée au développement de logiciels et maintenant de services Web. Après Jay Sullivan qui a assuré l’intérim pendant presque un an et Brendan Eich, cofondateur de Mozilla, qui a choisi de démissionner pour protéger Mozilla de la polémique née de l’exhumation d’une donation qu’il avait faite en 2008 pour une campagne dont l’objectif était de revenir sur une loi californienne autorisant le mariage gay, voici maintenant Chris Beard qui avait quitté Mozilla en juillet 2013 pour rejoindre Greylock Partners.

Chris Beard est Mozillien depuis 10 ans. Il a rejoint les premiers employés de la fondation Mozilla en 2004 avant la sortie de Firefox 1.0 (novembre) pour diriger le marketing et gérer le produit jusqu’à Firefox 3. Ensuite, il a fondé et dirigé les Mozilla Labs. Plus récemment, il a été CMO de Mozilla dirigeant les activités d’engagement utilisateur, développeur et communauté, dont les lancements initiaux de Firefox sur Android et de Firefox OS au MWC.

Mark Surman, directeur exécutif de la fondation Mozilla, affirme être heureux de cette nomination dans un billet de son blog dans lequel il revient sur des réalisations de Chris dont la publicité dans le New York Times pour Firefox 1.0 qu’avait financée la communauté.

Dès le titre du billet, Mark Surman estime que Mozilla est fait de nous tous. En effet, Mozilla n’est pas une entreprise que se définit par son PDG comme Apple, Google, Microsoft, Facebook le sont ou le furent à différents degrés, sans compter que le CEO de MoCo ne dirige pas le projet.

La recherche d’un CEO à long terme continue selon un processus plus ouvert.

N’oubliez pas de lire la FAQ réécrite sur la démission de Brendan Eich qu’a publiée Mozilla comme mise au point face à la tourmente médiatique dans laquelle est prise Mozilla.

Illustration Sean Martell.

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