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wilfried caruel : Présentation de « LollyPop » lecteur de musique

dimanche 14 janvier 2018 à 16:06

Présentation LollyPop

 

Bonjour la communauté libriste.

Je n’écris pas beaucoup en ce moment (on est loin des 2 articles par semaine au tout début de cette aventure).

Je vais vous parler d’un sujet que je ne maîtrise pas , la musique (j’écoute plus de musique depuis plusieurs mois).

Je vais vous parler du lecteur de musique « LollyPop ».

Ce lecteur est à la base pour l’environnement de bureau (gnome) qu’on ne présente plus, mais si vous n’avez pas ce (DE)( vous pouvez l’installer et l’utiliser sans problème, c’est juste il me semble une question d’intégration).

Ce logiciel disponible sur gnu/linux

il est disponible pour certaines distributions officiellement comme :

Autant dire qu’il est accessible facilement par une grande partie de la communauté.

Ce logiciel est disponible sous la licence très connue (GPLv3).

Concernant les fonctionnalités elles sont nombreuses.

Ce logiciel a été créé par « Cédric Bellegarde »

La vidéo

Mon avis :

Même si je m’en sers très peu (au moins pour le présenter et faire la vidéo) avec son design qui rafraîchi notre écran , le mode soirée qui semble pas mal (vous permet de filtrer pour que tel album ou style ne passe pas).

Par contre au premier abord le logiciel est assez déroutant peut- être car il est épuré (le principal des boutons est en haut alors que la plupart des logiciels de musique c’est en bas).

Le fait que ça permette d’écouter la radio (régionale ou nationale) c’est une bonne intégration,

par contre, je ne  connais pas ce genre de chose mais on peut utiliser une clé api google , je sais pas si il y a des alternatives open source (d’après ce qui est renseigné c’est pour chercher les jaquettes des albums).

Par contre pour moi soit c’est la clé api qui est déjà limitée ou alors c’est le style de musique qui est pas courant pour Google (la musique japonaise).

Pas grave pour l’utilité que j’en ai.

Pour conclure je dirais que j’aime bien son interface , mais que je m’occupe pas des tags alors je sais que dans un lecteur de musique c’est primordial.

Allez- vous l’installer ou l’utiliser ? Ou si c’est déjà fait , n’hésitez pas à prendre la parole dans les commentaires.

 

Installation :

ArchLinux
yaourt -S lollypop

Liens :

Site officiel

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Articles similaires

blog-libre : Danse avec les reboots

samedi 13 janvier 2018 à 11:45

A l’occasion des failles Spectre et Meltdown, des millions de serveurs vont être redémarrés. On m’a demandé à mon boulot, pourquoi certains serveurs rebootaient en 40s et d’autres en plus de 100s ?

Extinction puis démarrage

Un redémarrage (reboot) est composé de deux phases : l’extinction (shutdown) et le démarrage (boot). Peu de gens s’intéressent à l’extinction de leur pc, normal on arrête de l’utiliser. En revanche le temps de redémarrage d’un serveur est important, plus il sera long, plus longue sera la période d’indisponibilité des services fournis. Pour moi 60s c’est que dalle mais sur un serveur mutualisé avec disons 100 clients dessus, c’est 100 clients qui seront impactés pendant 1 minute. Cette minute devient très importante.

Pour réduire le temps de redémarrage, kexec (1, 2, 3) est l’outil le plus utilisé. Chez Ubuntu il y a Canonical Livepatch qui peut éviter d’avoir à redémarrer. Le démarrage est la partie visible de l’iceberg et la plus « simple ». On a en effet une session, nos outils, des logs, on peut déboguer. La base sera de jouer avec journalctl, dmesg -T | grep quelquechose, un petit journalctl -p err vous mettra sûrement sur la voie.

Déboguer l’extinction sera plus difficile. Le système s’éteint, on n’a plus de connexion réseau, pas la main sur un quelconque outil et ça dure une poignée de secondes. Pour « voir » une extinction, il faut avoir un écran branché sur le serveur ou utiliser certains outils basés sur IPMI (ipmitool), Dell iDRAC, HP iLO, KVM over IP. Évidemment c’est un peu mieux puisqu’on « voit » quelque chose cependant ça va très (trop) vite. Avec un peu de chance vous verrez « A stop job is running for… » mais on doit trouver plus exploitable.

journalctl

Si vous faites journalctl, vous afficherez les logs depuis le démarrage mais comment avoir les logs de l’extinction ? Dans un article précédent, j’avais souligné un choix par défaut discutable dans /etc/systemd/journald.conf. Faites un petit man journald.conf.

Storage=
           Controls where to store journal data. One of "volatile", "persistent", "auto" and "none". If "volatile", journal log data will be stored only in memory, i.e. below the /run/log/journal hierarchy
           (which is created if needed). If "persistent", data will be stored preferably on disk, i.e. below the /var/log/journal hierarchy (which is created if needed), with a fallback to /run/log/journal
           (which is created if needed), during early boot and if the disk is not writable.  "auto" is similar to "persistent" but the directory /var/log/journal is not created if needed, so that its
           existence controls where log data goes.  "none" turns off all storage, all log data received will be dropped. Forwarding to other targets, such as the console, the kernel log buffer, or a syslog
           socket will still work however. Defaults to "auto".

Par défaut Storage=auto, le journal est stocké dans /run/log/journal qui est perdu à chaque extinction puisque /run est un système de fichier temporaire (tmpfs). On a deux solutions pour avoir des logs de l’extinction, mettre Storage=persistent dans /etc/systemd/journald.conf ou simplement créer le dossier /var/log/journal (« so that its existence controls where log data goes », si /var/log/journal existe les logs seront envoyés dedans). Afin que la modification soit prise en compte sans rebooter (ha ha ha), on aura éventuellement besoin de faire systemctl restart systemd-journald. Faites journalctl --list-boots pour afficher les derniers boots, vous n’en aurez qu’un seul (le dernier). Maintenant si vous redémarrez votre pc/serveur puis que vous refaites journalctl --list-boots, vous en aurez deux. On va pouvoir regarder les logs de la précédente extinction ;)

journalctl -p err sera encore utile mais perso je préfère journalctl -b -1 -n250 | grep 'timed out' # ou grep 'kill'. Cette seconde commande affiche les 250 dernières lignes (-n250) des logs du précédent boot (-b -1). C’est ainsi que j’ai trouvé mon fautif, j’ai confirmé en désactivant et stoppant le service systemctl disable --now servicerelou puis en rebootant : 40 secondes au lieu de 100.

Allons plus loin

Tout d’abord pour mieux comprendre journald, man systemd-journald. On y trouvera notamment une explication plus claire du point précédent : « By default, the journal stores log data in /run/log/journal/. Since /run/ is volatile, log data is lost at reboot. To make the data persistent, it is sufficient to create /var/log/journal/ where systemd-journald will then store the data ».

A noter que le Storage=auto fait actuellement débat, Ubuntu est revenu dessus, les arguments avancés sont très intéressants à lire.

Si /var/log/journal existe ou si vous passez Storage=persistent, attention cela signifie que vous allez avoir rsyslog qui fera son boulot ET journald. Perso je crée le dossier /var/log/journal au besoin et une fois que j’ai fini de déboguer, je le supprime.

DefaultTimeoutStartSec et DefaultTimeoutStopSec

J’ai trouvé le service responsable mais j’ai dû déboguer, je n’ai évidemment pas fait cela sur des serveurs en prod. Peut-on réduire le temps de reboot en se passant de la phase de recherche/debug ?

Déjà afin de connaître le temps d’arrêt et de démarrage d’un service, on peut utiliser time systemctl stop servicerelou et time systemctl start servicerelou.

Je vous invite maintenant à lire ceci. Les options DefaultTimeoutStartSec= et DefaultTimeoutStopSec= permettent d’influer sur le timeout par défaut du démarrage/arrêt d’un service. Si vous modifiez ces valeurs dans le fichier /etc/systemd/system.conf, c’est le timeout par défaut de tous les services que vous modifiez.

Concrètement systemd attend 90s (par défaut) qu’un service s’arrête (stop), si au bout de ces 90s il n’est pas arrêté il va le tuer (kill). On comprend dès lors que si on met DefaultTimeoutStopSec=30s, systemd n’attendra au maximum que 30 secondes avant de tuer le service nous économisant de précieuses secondes. On peut donc au choix surcharger servicerelou (à l’aide des drop-ins) ou modifier le timeout par défaut pour tous les services (via /etc/systemd/system.conf).

Attention cependant ! Tuer un service peut provoquer une perte de données. Si votre service postgresql est éléphantesque, qu’il a besoin de 43 secondes pour s’arrêter et que vous avez mis DefaultTimeoutStopSec=30s, il sera tué au bout de 30s.

On en vient à se demander si la valeur par défaut (90s) est pertinente, est-elle juste ? Chacun se fera sa propre idée, on pourrait considérer qu’un service qui ne s’arrête pas en 60s ne s’arrêtera probablement pas davantage en 90s.

On peut ruser ainsi en mettant DefaultTimeoutStopSec=60s dans /etc/systemd/system.conf suivi d’un systemctl daemon-reexec, redémarrer le serveur puis remettre DefaultTimeoutStopSec=90s suivi d’un systemctl daemon-reexec. On sera d’accord pour dire que ce n’est pas propre mais les contraintes de la prod obligent parfois à utiliser des « trucs » et des rustines pour arrondir les angles.

Conclusion

Voilà c’est ce genre de « détails » que je traite dans mon nouveau job, vous aimez ?

Et puisqu’on parle de Spectre et Meltdown, OVH décrit sur cette page la disponibilité des patchs par système d’exploitation, un lien pratique mais aussi intéressant. Pour Windows Server 2008 et 2012, il faut upgrade to Windows Server 2008/2012 R2. Il y en a qui doivent l’avoir très mauvaise, il faut racheter des licences et migrer vers une autre version lol. Ça permet aussi de suivre les plus impactés et les plus rapides à patcher, par exemple Windows Server 2016 et SUSE Linux Enterprise Server sont intégralement patchés mais Debian n’a pour l’instant patché qu’une CVE sur 3.

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blog-libre : Mieux utiliser la barre d’adresse de Firefox

samedi 13 janvier 2018 à 11:30

Récemment j’ai fait un point sur mon workflow avec Firefox, voici les raccourcis clavier que je juge intéressant :
Ctrl+w : Fermer l’onglet
Ctrl+t : Ouvrir un nouvel onglet
Ctrl+k : Mettre au point sur la barre de recherche
Ctrl+l (ou Alt+d) : Mettre au point sur la barre d’adresse
Ctrl+d : Marquer cette page
Alt+flèche gauche : Page précédente
Ctrl+Tab : Onglet suivant
Ctrl+Shift+Tab : Onglet précédent

Je me suis mis un peu à Ctrl+k, rapidement remplacé par Ctrl+l que j’utilise maintenant constamment. Pour rappel on peut changer les résultats à la volée de la barre d’adresse :
^ pour rechercher des correspondances dans votre historique de navigation
* pour rechercher des correspondances dans vos marque-pages
+ pour rechercher des correspondances dans les pages que vous avez étiquetées
% pour rechercher des correspondances dans les onglets actuellement ouverts
~ pour rechercher des correspondances dans les pages que vous avez saisies
# pour rechercher des correspondances dans les titres de page
@ pour rechercher des correspondances dans les adresses web (URL)
$ pour rechercher des correspondances dans les suggestions de recherche

* jdh cherchera jdh dans mes marque-pages. Il est possible de combiner certains de ces filtres, par exemple : ^ # app. Perso j’utilise surtout * (marque-pages) et ^ (historique).

Il faut savoir que la barre d’adresse est capable d’afficher des résultats d’après l’historique, les marque-pages, les onglets ouverts et de proposer de faire une recherche avec votre moteur de recherche par défaut. On peut paramétrer la barre d’adresse afin qu’elle propose moins de choses. Dans Préférences, Vie privée et sécurité, Barre d’adresse, j’ai pour ma part décoché Onglets ouverts. J’ai aussi décoché Afficher les suggestions de recherche parmi les résultats de la barre d’adresse dans Préférences, Recherche, Moteur de recherche par défaut. Ces deux paramétrages me permettent surtout de « nettoyer » les résultats (meilleure lisibilité) que je peux avoir via la barre d’adresse afin d’être plus efficace/rapide.

Maintenant je vais sur https://www.journalduhacker.net/newest, je marque cette page (Ctrl+d) et je la nomme Jdh. Je vais sur https://www.cic.fr/fr/banques/particuliers/index.html, je marque cette page et je la nomme CIC. Je vais sur http://www.allocine.fr/seance/salle_gen_csalle=B1139.html, je marque cette page et je la nomme Carré Sénart. En gros je crée une liste des pages où je vais régulièrement, mes favoris (évidemment la majorité concerne le boulot).

A présent Ctrl+l (je mets au point sur la barre d’adresse), je tape car (j’ai mon favori Carré Sénart qui s’affiche dans la barre d’adresse), je fais Tab (je le sélectionne), je fais Entrée (je me retrouve sur http://www.allocine.fr/seance/salle_gen_csalle=B1139.html).

Ce petit changement de workflow me fait gagner un temps prodigieux. Auparavant je passais quasi-systématiquement par une recherche dans un moteur de recherche, suivi de plusieurs clics sur le site pour arriver où je souhaitais. J’ai également ouvert un compte Sync (Préférences, Compte Firefox), je synchronise ainsi Marque-pages et Préférences entre mes différents pc.

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Miamondo : Linux, pour sortir de l’obsolescence programmée !

vendredi 12 janvier 2018 à 14:14

Cet article du collectif Emmabuntüs est également publié dans le journal l’âge de faire

 

Linux est un système d‘exploitation libre qui permet de sortir de la dépendance à Windows et Apple. À partir de ce « noyau » libre, ont été développées de multiples distributions GNU/Linux, dont certaines sont très faciles à installer et à utiliser (voir notre chronique du mois dernier). Utiliser une distribution GNU/Linux, ce n’est pas seulement utiliser un « commun » et sortir des logiciels propriétaires, c’est aussi permettre à son matériel informatique de vivre plus longtemps, en sortant de l’obsolescence programmée par les grandes firmes. Votre ordinateur ne s’alourdira pas démesurément à chaque mise à jour, il ira plus vite, pas besoin de le changer, de remplacer les périphériques…

Et de fait, les avantages de Linux par rapport à Windows sont nombreux au quotidien. En voici une liste non exhaustive :

  • Prise en charge de périphériques anciens (imprimantes, etc.) qui ne sont plus supportés par les versions récentes de Windows (grâce à l’intégration dans le noyau Linux d’une multitude de pilotes) ;

  • Moindre consommation de mémoire RAM, grâce à des environnements graphiques plus légers ;

  • Moindre utilisation du disque dur, environ 10 Go, contre 20-25 Go pour Windows 7 ;

  • Faible à très faible sensibilité aux virus : pas besoin d’antivirus, donc gain en ressources du processeur ;

  • Durées de démarrage et d’arrêt constantes dans le temps ;

  • Mises à jour des logiciels plus simples, et sur lesquelles l’utilisateur garde le contrôle (quand, quoi, etc.) ;

  • Pas de migration de version sans votre consentement, comme le fait Windows pour générer de l’obsolescence programmée tous les 3 ans ;

  • Des bugs existent aussi sous Linux. Mais les codes (la recette du logiciel) étant accessibles à tous, cela permet une analyse par tous, et non pas seulement de l’éditeur, qui pourrait avoir la tentation de « contrôler » les failles ;

  • Possibilité de tester les distributions Linux sans avoir besoin de les installer sur votre disque dur. Cela s’appelle l’essai en mode « live ».

Grâce à toutes ces qualités, Linux fait fonctionner des ordinateurs DualCore de 10 ans sur des versions récentes et maintenues jusqu’en 2022 ! C’est vraisemblablement le matériel qui cessera de fonctionner avant la version de Linux !

Pour prolonger votre lecture, voir :

Le mois prochain :« Pour passer au Libre, faites appel à des ami.e.s dans le monde réel !».

Collectif EmmabuntüsGPL V3

Affiche : Conception ThierryMC pour LAC-Chablais CC BY-NC-ND, pictogrammes par différents auteurs de Flaticon


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Carl Chenet : LinuxJobs.fr : les chiffres de décembre et de 2017

jeudi 11 janvier 2018 à 00:00

Quels sont les principaux chiffres de LinuxJobs.fr, le site d’emploi de la communauté du Logiciel Libre et Open Source pour décembre et plus globalement de 2017 ?

Les chiffres de décembre 2017

Afin de tenir au courant notre communauté des évolutions de LinuxJobs.fr, nous présentons les principaux indicateurs du mois précédent et les objectifs pour le mois en cours (et ceux à venir).

Revenus et annonces

Ce mois de décembre a été un petit mois pour LinuxJobs.fr, l’activité s’arrête en effet brusquement dans la 3ème semaine du mois. Seules 9 nouvelles offres ont été postées ce mois-ci pour un gain total de 278€.

Réseaux sociaux

LinuxJobs.fr est présent sur 3 réseaux sociaux :

Mastodon et l’intérêt des Mastonautes pour LinuxJobs.fr a été la bonne surprise de ces derniers mois. Le compte Twitter quant à lui continue à se développer régulièrement.

Les chiffres de 2017

Plus globalement, nous présentons les différents chiffres de LinuxJobs.fr pour l’année 2017, classés selon les revenus par mois, le nombre d’annonces par mois, le gain moyen par mois ainsi que le nombre d’offres moyens par mois

Revenus par mois en 2017

Pour rappel comme j’avais précisé dans mon dernier billet sur le sujet, LinuxJobs.fr n’est devenu payant qu’en février 2017. Le prochain graphique détaille les gains par mois sur l’année 2017.

Nombre d’annonces par mois en 2017

Le prochain graphique indique le nombre d’annonces publiées en 2017. Les recruteurs pouvant supprimer leurs annonces, il s’agit de chiffres approximatifs mais qui donnent une idée du nombre d’annonces publiées par mois.

Moyennes des revenus et des annonces pour 2017

La moyenne des revenus pour 2017 s’établit donc à 442€ pour mois. Le nombre moyen des offres d’emploi postées est donc de 23.

Directions pour janvier 2017

Notre principal objectif pour janvier 2017 et pour les mois suivants : continuer à faire connaître LinuxJobs.fr, à la fois aux professionnels du Logiciel Libre en France, mais aussi aux recruteurs du secteur. Le petit mois de décembre doit pousser à penser que rien n’est gagné et à continuer à travailler dur.

Nous tenons aussi à nous affirmer comme un membre à part entière de la communauté du Logiciel Libre, en communiquant sans langue de bois sur les différents éléments relatifs à l’activité de LinuxJobs.fr.

Me suivre sur les réseaux sociaux

N’hésitez pas à me suivre directement sur les différents sociaux pour suivre au jour le jour mes différentes projets dans le Logiciel Libre dont LinuxJobs.fr :

 

 

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