Il existe pas mal de commandes et de softs pour connaître la liste des points d’accès wifi qui vous entourent et obtenir quelques informations les concernant. Si network-manager, Wicd et pour les plus aguerris aircrack-ng font largement l’affaire, notre collègue de lamiradadelreplicante.com nous a présenté un autre petit soft sympathique et facile à utiliser qui se nomme LinSSID.

Celui-ci est écrit en C++ et va vous permettre de scanner facilement les réseaux wifi présents aux alentours, afin d’obtenir quelques informations utiles. Cela peut être particulièrement pratique quand vous rencontrez des problèmes de réception et que vous avez besoin d’établir un diagnostic précis pour éventuellement acheter une antenne adaptée à votre environnement (maison avec des murs épais et ou sur plusieurs étages par exemple).

LinSSID va vous permettre d’avoir accès et d’afficher pas mal d’informations, comme par exemple le nom des points d’accès, la force du signal, le type de chiffrement (AES, TKIP), de sécurité (WEP, WPA, etc), le canal utilisé par l’AP, la qualité du signal, l’adresse MAC de l’AP, le fabricant etc. Malgré une interface simple ce soft est très efficace et  il dispose en prime d’un système de graphique affichant plusieurs courbes vous permettant ainsi de visualiser rapidement les différents paramètres de puissance.

Comme vous pouvez le voir sur la capture ci-dessous,  l’interface ne fais pas dans la complexité et la partie située à gauche va vous permettre de trier les informations que vous voulez afficher.

Je pense que nous n’avons pas besoin d’en dire plus, alors si vous avez envie de tester LinSSID sachez que celui-ci est disponible sur la plus part des distribution GNU/Linux via les sources. Les utilisateurs d’Archlinux peuvent passer par AUR pour se le procurer et les utilisateurs d’Ubuntu (et dérivés) peuvent utiliser le PPA suivant, à l’aide de ces quelques lignes de commande.

Installer LinSSID sur Ubuntu et dérivés :

sudo add-apt-repository ppa:wseverin/ppa
sudo apt-get update
sudo apt-get install linssid

Désinstaller LinSSID :

sudo add-apt-repository -r ppa:wseverin/ppa
sudo apt-get update
sudo apt-get remove linssid

Amusez-vous bien et bon scan!

via – lamiradadelreplicante.com

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Dans le cadre de mes activités professionnelles, nous avons récemment dû installer la distribution OSSIM (basée sur une Debian 6) sur un serveur équipé d'un RAID 0 de 2 x 146GB. L'installation se passe généralement sans aucun souci, sauf cette fois là, où au moment de l'installation, l'installeur ne reconnaissait pas notre grappe de disques.

Une légère investigation m'a permis de voir qu'en fait nous n'avions aucun accès à l'assistant de partitionnement des disques, normalement présent par défaut sur cet installateur (lancez une installation de Debian pour voir ;-) ).

Le menu de partitionnement ressemble (en gros) à ça.

Ce menu étant complètement désactivé dans l'installeur présent dans l'ISO, les étapes pour le retrouver sont :

1. Désarchiver l'ISO
2. Trouver le bon fichier
3. Modifier ce fichier
4. Recréer l'ISO

La méthode donnée ici est spécifique à OSSIM et au menu de partitionnement, mais sera sûrement adaptable à toutes les distributions qui utilisent cet installeur.

Accéder aux fichier de l'image ISO

Pour pouvoir "désarchiver" une image ISO, la meilleur technique que j'ai trouvé est de la monter sur le système, puis de copier tous les fichiers :

cd working_directory/
mkdir iso
mkdir /tmp/iso
sudo mount -o loop ~/work/iso/AlienVault_OSSIM_64Bits_4.2.iso /tmp/iso
sudo cp -a /tmp/iso iso/

J'ai lu dans certains articles qu'on pouvait remplacer cp par rsync. C'est sûrement mieux, mais moi ça a marché du premier coup avec cp, donc j'ai pas cherché plus loin.

Trouver le fichier qui gère l'installation

Pour ça, il faut y aller au petit bonheur la chance. Moi j'ai parcouru les répertoires jusqu'à trouver un fichier qui me semblait pas mal.

Et j'ai trouvé mon bonheur dans simple-cdd/.

Ce dossier contient plusieurs fichiers .preseed, qui contiennent le déroulement de la procédure d'installation.

La partie sur le partitionnement débute par

### Partitioning.

Et elles contient des trucs de ce genre :

d-i partman-auto/disk string /dev/sda
d-i partman-auto/method string regular
d-i partman-auto/purge_lvm_from_device boolean true
d-i partman-lvm/device_remove_lvm boolean true
d-i partman-md/device_remove_md boolean true
d-i partman-lvm/confirm boolean true
d-i partman-auto/choose_recipe select atomic
#d-i partman-auto/expert_recipe string                         \\
#      boot-root ::                                            \\
#              40 50 100 ext4                                  \\
#                      $primary{ } $bootable{ }                \\
#                      method{ format } format{ }              \\
#                      use_filesystem{ } filesystem{ ext3 }    \\
#                      mountpoint{ /boot }                     \\
#              .                                               \\
#              500 10000 1000000000 ext4                       \\
#                      method{ format } format{ }              \\
#                      use_filesystem{ } filesystem{ ext3 }    \\
#                      mountpoint{ / }                         \\
#              .                                               \\
#              64 512 300% linux-swap                          \\
#                      method{ swap } format{ }                \\
#              .

En gros, elle dit que tout est fait automatiquement, en choisissant les bons disques, en les reformatant, et en recréant des partitions.

Pour rajouter le choix manuel, j'ai commenté toute la partie sur la partitionnement, que j'ai remplacé par ceci :

d-i partman-auto/choose_recipe select All files in one partition (recommended for new users)
d-i partman-auto/choose_recipe select Desktop machine
d-i partman-auto/choose_recipe select Multi-user workstation

Recréer l'ISO

Pour ré-empaqueter nos fichiers dans notre image ISO, la commande suivante tirée de la doc Debian fait l'affaire :

sudo mkisofs -o ossim_parted.iso -r -J -no-emul-boot -boot-load-size 4 -boot-info-table -b isolinux/isolinux.bin -c isolinux/boot.cat iso

C'est très spécifique à mon problème, je suis pas sûr que ça puisse vous aider, ou même vous être un jour utile, mais au cas où, la doc Debian est pas mal, sinon j'ai aussi pompé 2-3 trucs ici

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PosteRazor est un petit soft multiplateforme et open source que je viens de découvrir, qui a pour but de vous permettre de créer très facilement des posters à partir de vos photos à l’aide d’une interface graphique simple et très facile à prendre en main. Si on se fie au site officiel du projet celui-ci n’a pas l’air très récent et actif, mais si j’en crois la page Launchpad, il est encore maintenu régulièrement. Alors nous n’allons pas nous attarder en bavasseries inutiles et voir tout de suite comment tout ça fonctionne.

Comme vous avez pu le voir sur l’image d’introduction, il va falloir commencer par lancer la bête et importer l’image de votre choix. La capture ci-dessous vous montre la deuxième étape qui va consister à choisir le format du papier.

La troisième étape va consister à choisir la zone de recouvrement.

La quatrième étape va consister à choisir la taille et la position de l’image finale, avec au choix les valeurs initiales ou celles que vous aurez déterminé en fonction de vos besoins. La grille va s’adapter en conséquence et les différentes zones représentent les futures vignettes que vous aurez à assembler.

Il ne vous reste plus qu’à valider les changements et à enregistrer l’image dans le répertoire de votre choix.

IMPORTANT!

Faites attention à bien ajouter le nom que vous aurez choisi pour le fichier de sortie à la fin de l’URL, afin de dégriser la touche « OK » et de pouvoir l’enregistrer (voir capture ci-dessous).

Une fois l’image enregistrée vous retrouverez les vignettes de votre image rassemblées au sein d’un fichier PDF, qu’il ne vous restera plus qu’à imprimer. Pour le reste un peu de colle et (ou) de scotch devraient faire l’affaire.

PosteRazor est vraiment bien foutu et comme vous avez pu le voir, il est très simple à utiliser. Ce n’est pas obligatoirement un soft que nous allons être amenés à utiliser tous les jours (sauf si vous partez en campagne électorale peut-être) mais dans l’absolu, c’est toujours bon d’avoir un truc de ce genre sous la patte. C’est un bon moyen d’occuper vos bambins un jour de pluie par exemple.

Si vous voulez le voir en action je vous propose de jeter un coup d’œil sur cette petite vidéo :

Si ça vous tente PosteRazor est disponible sous Windows, Mac OS X et sur GNU/Linux depuis cette page. Les utilisateurs d’Ubuntu et dérivés peuvent également l’installer à l’aide du PPA et de ces quelques lignes de commande.

Installer PosteRazor sur Ubuntu et dérivés :

sudo add-apt-repository ppa:bhavi/ppa
sudo apt-get update
sudo apt-get install posterazor

Désinstaller PosteRazor :

sudo add-apt-repository -r ppa:bhavi/ppa
sudo apt-get update
sudo apt-get remove posterazor

Amusez-vous bien.

source

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Parmi les projets initiés par Canonical récemment, il y a le très attendu Ubuntu pour Android (à ne pas confondre avec Ubuntu Touch). Comme son nom le laisse suggérer, il permet de faire tourner Ubuntu sur les smartphone android. L’autre grand avantage d’Ubuntu pour android, c’est qu’une fois votre téléphone branché à un dock et une télévision, vous disposez d’un vrai environnement de bureau. Comme si vous travaillez sur votre ordinateur de bureau.

Mais voilà, Ubuntu pour android risque de ne jamais sortir. C’est du moins ce qu’a laissé entendre trois développeurs de Canonical lors d’une session AMA sur reddit. D’après ce que j’ai compris, le sort de Ubuntu pour android est lié à Ubuntu Edge, si ce dernier ne réussis pas collecter les 32.000.000 de dollars, le premier ne verra pas le jour !

Personnellement, et si ça avère vrai, je trouve ça con. Jeter comme ça le travail de plus d’un an, surtout que les quelques vidéos qui ont été mises en ligne de Ubuntu pour android, donne vraiment envie de l’utiliser sur son smartphone.

Cliquer ici pour voir la vidéo.

Cet article Ubuntu pour android pourrait ne jamais voir le jour est apparu en premier sur crowd42.

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J’ai déjà eu l’occasion de parler sur ce blog de ma méthode pour suivre les flux rss avec rss2email (voir ce billet), un petit code python qui permet d’héberger sa solution en deux minutes. Le projet avait été lancé par Aaron Swartz.

J’avais gardé dans ma liste d’entreprendre un nettoyage du code de ce logiciel, notamment parce que j’ai été confronté à un bug mystérieux qui a ensuite disparu, et vu l’état du code, c’était peine perdu que de comprendre pourquoi.

Finalement, d’autres contributeurs m’ont épargné cette réécriture pour laquelle le temps me manquait. Voici le nouveau dépôt du projet, et ils ont réalisé tout ce que je voulais faire (fichier de configuration, stockage des données, sections pour les flux, etc) et même plus car rss2email est maintenant capable de dialoguer en imap comme feed2imap.

Puisque l’auteur demande de faire passer le mot, je m’empresse de le faire. Je suis heureux de voir que ce petit logiciel reprend de la vigueur.

Original post of François.Votez pour ce billet sur Planet Libre.