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Tasse de Café : GNOME Shell supportera un mode classique

jeudi 22 novembre 2012 à 09:00

Il y a un peu moins de deux semaines, nous avons appris que le projet GNOME abandonnait le fallback mode en vue de la version 3.8 de l’environnement de bureau. Sauf que voila, le fallback mode a beau poser des problèmes de compatibilité avec certaines applications et a beau ne plus être amélioré, quelques utilisateurs de GNOME l’utilisaient pour conserver une interface dans le style de GNOME 2.x… une « astuce » qui ne fonctionnera donc plus.

gnome-tweak-tool

Et en fait si. Car si le fallback mode devrait être bel et bien abandonné, l’équipe de GNOME a décidé de satisfaire ses utilisateurs qui préfèrent l’ancienne interface en intégrant ce qu’on pourrait qualifier de mode classique, un mode qui permettra donc de retrouver des éléments de l’interface de GNOME 2.x comme la fameuse barre de tâches par exemple.

Alors « mode classique », ce n’est qu’une définition possible du truc, car il s’agirait en fait plus d’un pack, une liste d’extensions supportées par les développeurs de GNOME eux-mêmes et ces extensions vont donc apporter les éléments qui manquaient tant à certaines personnes. Ces extensions viendront directement avec GNOME et ne devraient donc pas apparaître sur le site extensions.gnome.org (où vous pouvez, pour rappel, installer et désinstaller des extensions d’un simple clic).

À noter que pour le moment, on ne sait pas encore comment ce mode sera activable (les développeurs ne le savent pas non plus eux-mêmes en fait), cela pourrait donc être un bouton dans gnome-tweak-tool par exemple. Et si vous vous demandez pourquoi ce type d’extensions doit absolument être intégré à GNOME lui-même, la réponse à cette question est en fait très simple : il s’agit d’être sûr du fait que ces extensions restent compatibles avec GNOME au cours des différentes versions de l’environnement libre.

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Hobbestigrou : Lire des fichiers distants

jeudi 22 novembre 2012 à 01:02

Introduction

Il arrive qu'on est besoin de lire des fichiers stockés sur une machine distante, ça m'est arrivé il y a quelques jours sur un projet, je devais aller lire des logs. L'une des solutions aurait été d'utiliser par exemple Net::SCP pour copier le fichier distant dans un répertoire temporaire locale, le lire et le supprimer, mais j'ai pas pensé devait exister un module pour la gestion de fichier distant, c'est le cas et son nom est File::Remote il est plutôt pas mal bien qu'un peu vieux et facile à utiliser.

Installation

Je n'ai pas vu de paquet Debian, mais pour ma part tant-donné que j'utitilise perlbrew je n'utilise pas les paquets système.

cpanm File::Remote

Usage

Il va fournir un certain nombre de méthodes, création de fichier ou répertoire sur la machine distante, supression de fichier ou répertoire distant, copie de fichiers similaire à scp, lecture de fichier distant. Il y a deux manière de l'utiliser, la première c'est la manière procédurale et la deuxième la manière objet. Je préfère la deuxième, car en général je fais de la programmation objet, mais aussi car elle offre un avantage, elle donne la possibilité de travailler sur différents serveur en utilisant différente méthode (rsh, ssh), après c'est une question de choix. En utilisant la manière procédurale, il faudra utiliser un tag spécial :replace au chargement du module, qui va remplacer les méthodes built-in de Perl concernant les opérations sur fichiers par celle du module.

#!/usr/bin/env perl

use strict;
use warnings;

use File::Remote qw(:replace);

mkdir("hobbestigrou@erakis.im:/tmp/essai");
chown("hobbestigrou", "root", "hobbestigrou@erakis.im:/tmp/essai");
open(FILE, ">hobbestigrou@erakis.im:/tmp/essai/file") or die "Open failed: $!" . "\\n";
print FILE "Salut le monde";
close(FILE) or die "Close failed: $!" . "\\n";
unlink(hobbestigrou@erakis.im:/tmp/essai/file);

Il gère aussi les fichiers locaux, il suffit de ne pas préciser de host, mais somplement indiquer le chemin. Pas besoin donc de réécrire un vieux script pour les parties qui concerne des operations sur des fichiers locaux, si vous ajoutez File::Remote pour travailler sur des fichiers distants.

Pour la méthode objet, le constructeur peut prendre trois paramètres, rsh qui représente le chemin de rsh, rcp qui répresente chemin de rcp, et tmp pour le chemin du répertoire temporaire. Bon personnellement on est en 2012 donc je préfère utiliser ssh et scp, je vous conseil vivement d'utiliser le module File::Which pour ne pas mettre les chemins des binaires en dur ce n'est pas beau et ça risquerait de ne pas fonctionner partout.

#!/usr/bin/env perl

use strict;
use warnings;

use File::Remote;
use File::Which;

my $remote = File::Remote->new(
    rsh => which('ssh'),
    rcp => which('scp'),
);

my @lines = $remote->readfile('hobbestigrou@erakis.im:/tmp/essai/file');

foreach my $line (@lines) {
    print $line, "\\n";
}

$remote->touch(''hobbestigrou@erakis.im:/tmp/essai/file2');

Les valeurs par défaut de rsh et rcp sont '/usr/bin/rsh' et '/usr/bin/rcp'.

Conclusion

Un petit module assez pratique qui permet de facilement gérer des fichiers distants.

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Politique du Netz : Surprise ! Facebook n’aime pas la nouvelle régulation sur la protection des données !

mercredi 21 novembre 2012 à 20:28

Facebook a récemment envoyé à la CNIL irlandaise via ses lobbyistes un rapport de 40 pages sur la position de la compagnie concernant le projet de régulation de la protection des données, en s’opposant régulièrement aux mesures proposées. Le groupe Europe vs Facebook a pu se le procurer. Morceau choisi de la première page : 

«Le nouveau cadre législatif devrait se concentrer sur l’encouragement des meilleures pratiques au lieu d’imposer des règles précises et techniques qui seront rapidement obsolètes et coûteuses, pour les utilisateurs comme pour les fournisseurs de services»

Facebook préférerait ne pas devoir composer avec le Contrôleur européen de la protection des données. Mieux vaudrait s’adresser directement à l’instance de protection des données irlandaises, comme c’est le cas actuellement. Cette cour semble être très favorable aux entreprises, et c’est un euphémisme. En témoignent les nombreuses difficultés du groupe Europe vs. Facebook pour réussir à obtenir cette instance de régulation l’application des régulations européennes déjà existantes.

Viviane Reding l’avait déjà signalé dans une interview traduite sur ce blog : l’Europe voudrait harmoniser par le haut la protection des données, tandis que l’Irlande ou l’Angleterre tirent vers le bas les standards de protection pour attirer les entreprises internationales, qui les utilisent comme plate-formes d’accès aux marchés européens.

Facebook s’oppose à l’obligation de demander le consentement explicite des utilisateurs pour diffuser leur contenu, au droit à l’oubli, ou à la limite légal à 18 ans pour pouvoir accepter la diffusion de ses contenus. Facebook préfère que la responsabilité pénale commence à 13 ans.

Facebook s’oppose aussi à la possibilité pour les utilisateurs de supprimer les contenus postés sur eux par d’autres, ou à la nécessite de notifier les autorités de régulation de toutes les fuites de données.

Last but not least, la compagnie s’oppose fermement à l’augmentation des amendes pour les infractions aux lois sur la protection des données, parce que le respect de ces lois serait coûteux, à la fois pour l’État et pour les entreprises, et que par conséquent celles-ci risquent de moins coopérer avec l’État :

«Facebook est préoccupé par le fait que l’ampleur des amendes potentielles pourrait désinciter l’innovation et la création d’emploi dans la fourniture de services par Internet. Cela pourrait limiter l’essor du secteur économique d’Internet dans l’Union Européenne, pourtant le premier secteur de création d’emploi dans un environnement économique moribond.»

Sinon, Facebook veut bien sûr qu’il soit plus facile de transférer des données en dehors de l’Union Européenne.

Vu le contenu du rapport (en anglais), il est surprenant que Facebook ne demande pas plus simplement qu’on enterre nos principes de respect de la vie privée.

Par l’Edri, en anglais.

Si cet article vous a intéressé, vous pouvez aimer la page Facebook du blog, le suivre sur Twitter ou s'abonner à son flux RSS.

Mais surtout, n'hésitez pas à participer aux traductions ou à faire un don pour remercier celles déjà faites ! Toute aide est la bienvenue :)

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Clapico : Changez automatiquement de fond d’écran sur Ubuntu et bien d’autres distributions grâce à Wally

mercredi 21 novembre 2012 à 19:33

Wally est une application en QT4 qui permet de changer automatiquement de fond d’écran en utilisant soit les images de vos dossiers personnels, soit différentes sources comme Flickr, Yahoo!, Panoramio, Ipernity, Photobucket, Buzznet, Picasa, Smugmug, Google, Vladstudio, deviantART images ou un dossier FTP distant.

L’interface graphique est simple, intuitive et facile à paramétrer tant pour les réglages que pour le choix des sources d’images.

Vous pouvez choisir de filtrer ces images afin d’éviter certains contenus choquants.

Wally est disponible dans les dépôts officiels d’Ubuntu. Vous pouvez donc l’installer soit à partir de la logithèque, soit en ouvrant un terminal et en entrant la commande

sudo apt-get install wally

Pour lancer l’application, appuyez simultanément sur les commandes [Alt] et [F2] de votre clavier et entrez la commande

wally

Malgré le filtre vu précédemment,  un message d’avertissement apparaît afin de vous informer des “surprises” que peuvent réserver les sites de partage de photos. Une fois l’avertissement validé, une nouvelle icône apparaît dans votre tableau de bord. Il vous suffit de cliquer dessus pour ouvrir la rubrique “paramètres”.

Si vous souhaitez que Wally se lance au démarrage de votre machine, cherchez dans le dash “applications au démarrage”

Choisissez “Ajouter” et indiquez “wally” comme commande

Wally est disponible pour de nombreuses distributions GNU/Linux mais également pour MacOSX et Windows. Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site du projet.

Amusez-vous bien.

Source : Distro Geeks

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Olivier Delort : Erreur GPG à la mise à jour de Squeeze

mercredi 21 novembre 2012 à 13:32

Lors de la dernière mise à jour de ma Squeeze j’ai eu le message d’erreur suivant :

W: Erreur de GPG : http://mozilla.debian.net squeeze-backports Release : Les signatures suivantes ne sont pas valables : KEYEXPIRED 1352888501

En cherchant un peu sur internet je suis tombé sur le forum de la crunchbang qui m’a ouvert un début de piste.
J’utilise le dépôt Debian Mozilla pour avoir une version d’iceweasel toujours à jour. C’est en me rendant sur le page du projet, comme le suggéré un utilisateur du forum Crunchbang, que j’ai résolu mon problème, .
Le paquet qui installe la clé GPG, pkg-mozilla-archive-keyring, a été mis à jour et du coup cela provoque cette erreur GPG lors de ma mise à jour.
Pour y remédier j’ai téléchargé la dernière version du paquet directement depuis le site du projet Debian Mozilla, grâce à ce lien : http://mozilla.debian.net/pkg-mozilla-archive-keyring_1.1_all.deb.
Ensuite depuis mon terminal j’ai installé cette nouvelle version.

sudo dpkg -i pkg-mozilla-archive-keyring_1.1_all.deb

J’ai put relancer ma mise à jour, tout s’est déroulé correctement, je suis même passé à la dernière version du noyau via les backports.

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