PROJET AUTOBLOG


Planet-Libre

source: Planet-Libre

⇐ retour index

Tasse de Café : Android sans Eclipse : tester, installer et debugger une application

dimanche 16 septembre 2012 à 16:01

Après avoir vu comment installer le SDK Android et comment créer un projet et le compiler, nous allons voir ici ce qu’il faut faire pour tester votre application en l’installant soit sur un terminal physique, soit sur un émulateur. Nous verrons ensuite comment utiliser un outil très utile pour debugger : le logcat.

AVD

Un Android émulé

Pour tester votre application, il vous faut un terminal, qu’il soit physique ou émulé importe peu. Pour créer une version d’Android émulée, il suffit d’aller dans Android SDK Manager (via la commande android). Dans cette fenêtre, allez dans le menu Tools et sélectionnez Manage AVDs….

Android SDK Manager : Manage AVDs

Android SDK Manager : Manage AVDs

Ici, cliquez sur New… pour créer un AVD. Vous pouvez bien sûr en créer plusieurs (pour tester différentes versions d’Android). Pour lancer un Android émulé, sélectionnez-en un que vous avez créé et cliquez sur le bouton Start…. Ensuite, tout se passe de la même façon qu’avec un terminal physique.

La subtilité d’un terminal physique

Sur un terminal physique, il faut faire attention : par défaut vous ne pouvez pas installer des paquets ne provenant pas du Play Store. Il vous faut donc avant tout autoriser ces installations (vous pourrez plus tard désactiver l’option si vous avez peur pour la sécurité de votre smartphone) en vous rendant dans la rubrique Sécurité des paramètres d’Android. En bas de cette rubrique, vous trouverez une case Sources inconnues qui, si elle est cochée, autorise l’installation de paquets téléchargés autre part que sur le Play Store.

Sources inconnues

Sources inconnues

De plus, votre terminal étant connecté en USB, il faut autoriser votre ordinateur à communiquer avec lui. Pour cela, rendez vous dans la rubrique Options pour les développeurs des paramètres et cochez la case Débogage USB.

Débogage USB

Débogage USB

Installer une application

Précédemment, je vous avais parlé d’adb. C’est une commande qui va vous permettre de faire pas mal de choses sur votre terminal, y compris installer une application afin de la tester ! Avant toute chose, vous devez lancer le serveur adb via la commande :

adb start-server

Si vous avez connecté votre terminal ou si vous avez lancé un AVD après avoir exécuté cette commande, il vous faudra relancer le serveur pour qu’il prenne en compte le nouveau terminal avec :

adb kill-server
adb start-server

Sans cela, votre terminal n’existera pas pour adb, ce qui est un peu gênant pour pouvoir l’utiliser… La compilation a créé, entre autres, un paquet nommé NomDeLApplication-debug.apk, c’est ce paquet que nous allons tester en l’installant, tout simplement :

adb install ./bin/NomDeLApplication-debug.apk

Attention, ça ne fonctionne que si vous êtes à la racine de votre projet (comme pour compiler). Si vous n’y êtes pas, déplacez-vous ou pensez bien à modifier le chemin du paquet !

Si l’application est déjà installée, vous obtiendrez une belle erreur :

Failure [INSTALL_FAILED_ALREADY_EXISTS]

Plutôt que de désinstaller le paquet, vous pouvez indiquer que c’est une réinstallation (ce qui vous permettra de conserver les données stockées par votre application par exemple) :

adb install -r ./bin/NomDeLApplication-debug.apk

Le cas de plusieurs terminaux

Si vous avez plusieurs terminaux (émulés ou physiques) connectés à votre ordinateur, vous pouvez les lister avec :

adb devices

L’utilité immédiate étant de récupérer l’identifiant du terminal sur lequel vous voulez lancer la commande (d’installation ou de quoi que ce soit d’autre) et de pouvoir l’utiliser comme ceci par exemple :

adb -s [id] install ./bin/NomDeLApplication.apk

Faites bien attention à l’emplacement de l’option -s : placée après le nom de la commande (ici, après install), elle signifie autre chose et cela ne fonctionnera pas comme voulu !

Debugger une application

Pour debugger une application et résoudre un problème, il peut être pratique de voir quand ce problème est survenu exactement… Pour cela, nous pouvons utiliser le logcat pour visualiser en direct ce qui se passe sur notre terminal :

adb logcat

Ça fonctionne de la même façon que install : vous pouvez l’utiliser sur un terminal émulé aussi bien que physique et si vous avez plusieurs terminaux connectés, vous pouvez sélectionner le terminal voulu via l’option -s.

Maintenant c’est fini !

La série des tutoriels concernant le développement pour Android sans passer par Eclipse s’arrête ici (enfin normalement). Pour le reste, ça se passe de la même manière que sur Eclipse : il faut programmer du Java, tout simplement. Notez bien que cet article est loin de citer toutes les choses possibles avec adb : si vous voulez aller plus loin, le manuel visible via adb –help est très bien détaillé.

Gravatar de Tasse de Café
Original post of Tasse de Café.Votez pour ce billet sur Planet Libre.

Clapico : Identifiez les modifications de vos sites favoris dans Ubuntu avec Deltify

dimanche 16 septembre 2012 à 11:16

Qu’y a-t-il de nouveau sur les site que je fréquente régulièrement ?

Deltify est un utilitaire permettant en un seul coup d’oeil d’identifier les modifications intervenues sur un site à condition que ce dernier soit enregistré dans les marque-pages de votre navigateur internet préféré.

En scannant les pages internet de vos marque-pages, Deltify va prendre en compte et vous informer des différences présentes depuis la dernière lecture.

Lorsque vous ouvrez Deltify pour la première fois, vous devez choisir de quel navigateur doivent provenir les marque-pages à surveiller.

Vous pouvez à tout moment modifier ce choix dans les préférences de l’application.

Lancez ensuite le scan.

Une fois ce dernier terminé, les sites ayant subi des modifications apparaissent en gras dans la colonne de gauche. Vous pouvez visualiser les modifications en cliquant sur le nom du marque-page en question.

Comme vous pouvez le constater, les modifications de texte sont surlignées en jaune.

Deltify ne remplacera jamais un lecteur de flux RSS mais peut vous être utile lorsque le flux RSS d’un site est défaillant ou lorsque vous savez qu’un de vos blogueurs préférés modifie régulièrement des billets déjà publiés.

Pour installer Deltify dans votre Ubuntu, il vous suffit de le rechercher dans la logithèque ou d’entrer dans un terminal la commande

sudo apt-get install deltify

Amusez-vous bien.

Source : iloveubuntu

Billets reliés

Gravatar de Clapico
Original post of Clapico.Votez pour ce billet sur Planet Libre.

Framablog : De Linux à Mac OSX - 1 an plus tard

samedi 15 septembre 2012 à 10:30

Allez, on ne va pas se mentir, non seulement Apple séduit les jeunes, mais il séduit de plus en plus souvent les geeks.

Et même certains libristes qui, comme ici, abandonnent lâchement leur premier amour GNU/Linux pour s’en aller vers le Mac.

Un témoignage cinglant qui devrait faire couler un peu d’encre électronique dans les commentaires…

Terry Johnston - CC by

De Linux à OSX - 1 an plus tard

From Linux to OSX - 1 Year Later

Bozhidar Batsov - 9 septembre 2012 - Blog personnel (think)
(Traduction : geeckodev, Louson, tibs, X, amyrit, nanoPlink, Kiwileaks, cpt_p, Unagi)

Prélude

Il y a un peu plus d’un an j’ai écrit mon post coup de gueule « The Linux Desktop Experience is Killing Linux on the Desktop » et pour la première fois en 8 ans, je n’étais plus un utilisateur de Linux. J’ai passé plus d’un mois à me bagarrer contre Windows 7, mais reconnaissons-le, Windows est mal conçu pour des programmeurs Ruby professionnels comme moi (et il est mal conçu pour la plupart des programmeurs, sauf peut-être Java et .Net je suppose).

De toute façon, rester sous Windows n’a jamais été mon intention, je faisais juste mon transfert vers Mac. Maintenant, avec plus d’un an d’utilisation d’OSX, j’aimerais partager avec vous mon expérience jusqu’à aujourd’hui.

De Linux à OSX

La transition fut pénible au départ, j’avais une sensation très bizarre lorsque je devais glisser une icône de programme dans le dossier Applications pour l’installer. Pour être honnête, j’étais plutôt perdu la première fois que j’ai dû installer une application de cette manière (Il n’y avait pas ces aides avec les flèches qu’ont la plupart des applications). La gestion de paquets de Linux est incontestablement bien meilleure, ou en tout cas elle l’est de mon point de vue. Heureusement la plupart des outils que j’utilise sont disponibles dans le gestionnaire de paquets homebrew pour OSX. Ça ressemble à une version extrêmement basique de portage du légendaire Gentoo, mais en général le programme fait du bon travail.

Pour être plus positif, j’ai été impressionné par la qualité et la réactivité du bureau de OSX et l’utilisation par défaut des raccourcis clavier d’Emacs dans l’éditeur de texte (mais perplexe concernant le manque d’une touche Control à droite du clavier - et si j’osais, comment peut-on taper Control + a ?). Une application en particulier, Spotlight, m’a carrément impressionné , surtout après avoir eu affaire aux copies bas de gamme disponibles sur Linux telles que beagle. Spotlight trouve à peu près tout, a son propre langage de requête ressemblant à SQL et est étonnamment rapide.

J’ai rapidement trouvé un bon terminal (qui est iterm2, et qui est en fait le meilleur terminal au monde, à mon humble avis) et la plupart des outils en ligne de commande que j’utilisais jusqu’à maintenant étaient déjà là (après tout, OSX est Unix), et à ma grande surprise, certains trucs comme PostgreSQL (seulement sur OSX Server) et zsh étaient préinstallés. La plupart des autres applications dont j’avais vraiment besoin avaient des ports natifs pour OSX.

Ayant détesté OpenOffice.org durant plusieurs années, j’ai été agréablement surpris par la qualité d’applications telles que Keynote et Words.

Étant le genre de type qui prêche l’utilisation du clavier à l’église Das Keyboard j’étais un peu déçu au début par tout ce micmac autour du multi-touch, mais après un certain temps j’en suis venu à la conclusion qu’Apple a les seuls trackpads et souris qui valent la peine d’être utilisés (même si je préfère toujours utiliser le clavier).

Pour résumer, je me suis habitué assez rapidement, mais cela n’a pas été de tout repos.

Voici quelques détails…

Les choses que j’adore chez OSX

Le bureau

C’est joli, c’est rapide, c’est stable. KDE4 et GNOME3 ressemblent à des projets d’étudiants à côté. Ai-je mentionné que les polices de OSX sont même plus belles que celles de Windows ?

Les applications « à la OSX »

Sparrow est le premier client e-mail que j’aie jamais aimé (Google, honte à vous de l’avoir tué).

iTerm2 est le terminal ultime. Lui seul justifie l’achat d’un Mac.

Keynote est le meilleur logiciel de présentation que j’aie pu utiliser jusqu’à présent.

Parallels Desktop est à des années-lumière de VirtualBox et KVM (si l’on ne considère que la virtualisation de type desktop).

Je pourrais continuer comme ça pendant un moment, mais je vais arrêter tout de suite.

Il est évident que les utilisateurs de Mac ont développé un certain goût pour les logiciels extrêmement raffinés.

Compatibilité matérielle

Si quelque chose est supposé marcher avec OSX - ça marche à merveille directement. J’en ai presque oublié les jours de bataille contre le matériel non supporté. La mise en veille fonctionne parfaitement. La durée de vie de la batterie est exceptionnelle (grâce à la gestion de l’énergie très avancée).

Il est certain que sélectionner le matériel pour le système d’exploitation aide beaucoup, mais il faut tout de même reconnaître le travail d’Apple.

Stabilité

Un an, trois Macs - seulement un ou deux plantages. Pour un développeur qui aime bricoler un peu plus qu’il ne le devrait, c’est impressionnant.

Ceci dit, j’ai eu quelques distributions Linux qui ont fonctionné pendant plus de 6 mois sans redémarrer (et les redémarrages étaient causés par les pannes électriques ou les mises à jour de la distribution et/ou du noyau). La stabilité de Linux sur un ordinateur portable (plutôt récent) ? C’est une autre histoire…

Les bonnes choses

Les applications par défaut

Les applications fournies avec OSX ne sont pas mauvaises du tout, mais pas particulièrement excellentes. Safari reste un très bon navigateur, Mail est un bien meilleur client que Evolution/Thunderbird, Calendar est un bon organisateur (mais un peu buggé quand il s’agit de synchroniser Google Calendar), Messages est moyen.

Le vrai problème est qu’il est possible d’aller très loin avec les applications fournies, mais qu’elles ne sont pas parfaites. Mon conseil : chercher des alternatives (qu’elles soient libres ou propriétaires).

Le Mac App Store

C’est une manière convenable de distribuer des applications propriétaires, mais avec toutes les restrictions d’Apple sur le sandboxing des applications, il n’y a pas vraiment d’applications intéressantes. Espérons que cela s’améliore avec le temps. La possibilité de mise à jour vers la nouvelle version d’OSX en l’achetant sur l’App Store est vraiment bien (pour un OS propriétaire, bien sûr).

Emacs

Le port Cocoa d’Emacs est un peu jeune et il y a quelques bugs visuels (essayez M-x linum-mode par exemple), mais ils sont pardonnables. Je regrette l’intégration forte d’Emacs avec Linux. Et quel est l’idiot qui a conçu tous les claviers officiels Mac sans une touche Control à droite ? J’ai finalement compris pourquoi tant d’utilisateurs de Mac utilisent vim :-)

De toute façon, remapper la touche Caps pour Control n’est pas la solution. Je le fais maintenant, je le faisais déjà sur Linux. Mais vous n’êtes pas supposé avoir à taper Control + une autre touche avec la même main. C’est perturbant pour la frappe… mais une fois encore, vous devriez probablement écrire avec un clavier pleine taille :-)

Développement logiciel

OSX ne nourrit pas le développement logiciel autant que Linux, mais il arrive juste en seconde position. Tous les outils que vous connaissez et que vous aimez sont disponibles, mais leur installation et leurs réglages nécessitent un peu plus d’implication sur OSX. Ce n’est pas un hasard si la plupart des livres de programmation montrent des captures d’écran d’OSX.

Administration système

Il y a clairement un recul par rapport à Linux. Les programmes comme launchctl (par exemple) ne sont pas très agréables à utiliser, mais ils font ce qu’on leur demande. Je n’utiliserais jamais un OSX pour autre chose qu’un ordinateur de bureau. Modifier un $PATH n’est pas aussi trivial que sous Linux (/etc/paths et quelques plists que j’ai oubliés me viennent à l’esprit).

Ce que je déteste

Les touches spéciales

Pas exactement une particularité de OSX, mais tout de même…

Un an et je hais toujours Command et Option, option est en fait Alt mais à un endroit étrange et Command est totalement inutile, à mon avis. Je ne les haïrais pas tant s’il y avait de l’espace restant sur les claviers Apple (sans parler du vieux clavier Apple câblé) pour une touche Control en plus. Heureusement pour moi j’utilise un clavier externe Das Keyboard Ultimate la plupart du temps…

Command et Option ont des avantages, je les aurais probablement appréciées si elles ne ne prenaient pas la place de la touche Control à droite (je suppose qu’elle ne doit manquer qu’aux utilisateurs d’Emacs).

Aucun gestionnaire de paquets tout-puissant de base

Sur Linux j’avais aptitude, yum, portage et pacman, tous exceptionnels dans leur domaine. Sur OSX, homebrew est une option décente mais c’est tout autre chose comparé à la puissance des gestionnaires de paquets de Linux.

D’horribles fichiers de configuration XML

Ici et là sur OSX vous devez ecrire d’épouvantables fichiers de configurations XML. Je pensais que je n’aurais plus jamais à voir affaire avec eux après avoir abandonné le développement Java :-).

XCode

Est-il vraiment nécessaire d’installer un IDE usine à gaz juste pour avoir accès à quelques outils de développement en ligne de commande ? C’est l’une des choses les plus ennuyeuses que j’ai pu rencontrer sur OSX jusqu’à maintenant.

Oui, je connais depuis peu quelques outils disponibles séparément, mais demander une licence développeur Apple me semble un peu trop.

Épilogue

Suis-je maintenant plus heureux sans Linux ? Certainement ! OSX est-il un meilleur OS que Linux ? Absolument pas !

Il offre une bien meilleure expérience utilisateur et depuis que je passe la plupart de mon temps sur un ordinateur en interagissant avec le bureau, c’est une grande victoire pour moi. Bien sûr, je n’en voudrais pas à Linux d’arriver à ce niveau de maturité et de stabilité pour son environnement graphique :-)

Faut-il lâcher Linux et me rejoindre dans les ténèbres ? Comment le saurais-je ? :-) Je n’ai fait que partager mon avis - Si vous êtes heureux avec Linux, vous devez incontestablement y rester. Ce n’était évidemment pas mon cas et il n’y avait pas tant d’alternatives que ça.

Ne pas avoir à s’occuper de problèmes matériels et des applications immatures est une grande bouffée d’air pour moi et cela compense largement les quelques lacunes d’OSX. Rien ne compense le manque de la touche Control droite sur la plupart des claviers, mais après tout ce n’est pas un problème de l’OS ;-)

Il y a une grande communauté de hackers autour d’OSX et c’est une des forces de l’OS. Il y a aussi malheureusement une grosse pression d’Apple, mais comme vous le savez déjà, le perfection n’est pas de ce monde, il y a toujours des compromis à faire. Je préfère utiliser un OS propriétaire qui me laisse en paix plutôt qu’un OS libre sur lequel je me cogne à chaque virage.

Crédit photo : Terry Johnston (Creative Commons By)

Gravatar de Framablog
Original post of Framablog.Votez pour ce billet sur Planet Libre.

Clapico : Écoutez la radio dans le terminal d’Ubuntu ou de toute autre distribution Linux

vendredi 14 septembre 2012 à 23:23

Si vous souhaitez profiter de votre station de radio préférée dans le terminal de votre distribution Linux, rien de plus simple ! Il vous suffit d’installer MPlayer et de connaître l’adresse de la webradio désirée.

MPlayer est disponible dans la logithèque Ubuntu. Si vous préférez l’installer en ligne de commande, ouvrez un terminal et entrez la commande

sudo apt-get install mplayer

Récupérez l’adresse de votre Webradio (voir la documentation Ubuntu-fr) et entrez la commande

mplayer adresse_de_votre radio

Si vous souhaitez écouter Europe 1, la commande sera

mplayer http://vipicecast.yacast.net/europe1

Pour arrêter la diffusion, appuyez sur la touche [Q] ou fermez le terminal.

Amusez-vous bien

Source : Up Ubuntu

Billets reliés

Gravatar de Clapico
Original post of Clapico.Votez pour ce billet sur Planet Libre.

crowd42 : Une équipe universitaire conçoit un supercalculateur avec Lego et Raspberry PI

vendredi 14 septembre 2012 à 19:51

Sur Twitter, le terme geek est galvaudé par la Twittoma (communauté marocaine sur le réseau social). Il suffit qu’un adolescent s’achète un iBidule, ouvre un compte sur Facebook et jouer à au dernier jeu vidéo à la mode, pour s’auto-proclamer geek. Et aujourd’hui en lisant mes flux, j’ai eu une petite pensée à tous ces wannabe.

En effet, une équipe de l’université de Southampton dirigé par le professeur Simon Cox, épaulé par son fils de 6ans, a réalisé un petit exploit, concevoir un supercalculateur (supercomputer) avec uniquement du Lego et en utilisant le micro ordinateur Raspberry PI ! En tous, ils ont utilisé 64  unités de ce dernier, chacune équipe d’une carte SD de 16 Go.

Pour la petite histoire, le fils de Simon Cox a passé l’été à apprendre Python pour programmer Raspberry PI !

Ah j’ai failli oublié, si vous souhaitez assembler votre propore supercalculateur, l’équipe a publié un guide pas-à-pas.

Source et suite de l’article.

Cet article Une équipe universitaire conçoit un supercalculateur avec Lego et Raspberry PI est apparu en premier sur crowd42.

Related posts:

  1. MagPI : premier numéro d’un magazine consacré à Raspberry PI
  2. Débuter avec #Vim
  3. #Geekerie : riper et encoder vos cd avec la console

flattr this!

Gravatar de crowd42
Original post of crowd42.Votez pour ce billet sur Planet Libre.