Au cours de ce mois de novembre nous allons relancer notre appel à soutien car nous en avons bien besoin.

Il y a une corrélation directe entre la venue d’un deuxième permanent et, comme illustré ci-dessous par notre ami Gee, le dynamisme actuel de notre réseau qui a vu la sortie ou mises à jour de nombreux projets (et, vous verrez, ce n’est pas fini !). Mais cela a un coût.

Nous avons pleinement conscience que les temps sont durs. Nous savons également que certains d’entre vous nous ont déjà aidé par le passé.

On ne demande pas la lune (ou alors une tout petite), juste une base de donateurs (idéalement récurrents, par exemple à 10€/mois défiscalisable) pour nous permettre en toute indépendance de pérenniser la structure et continuer à assurer ensemble son futur développement.

-> Soutenir Framasoft…

Merci.

Crédit : Simon Gee Giraudot (Creative Commons By-Sa)

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Le Planet-Libre rassemble quand même un nombre assez impressionnant d’articles étant donné que nous avons actuellement une base de donnée qui atteint les 12327 articles !! Considérable n’est-il pas?

Alors je me suis demandé s’il était possible d’avoir un petit aperçu des sujets les plus abordés ici. Pour ça j’ai récolté tous les tags utilisés sur le Planet-Libre et je les ai mis dans un petit service web qui propose d’en faire une belle image (Wordle).

Je vous invite à admirer le résultat (très artistique) :

On peut donc constater que les grands sujets champion sont :

• Linux
• Ubuntu
• Libre

Encore heureux qu’on reste dans le domaine du libre me direz-vous

Mais si on regarde les mots suivants, voici ceux qu’on obtient :

• Debian
• Fedora
• Gnome
• Firefox
• Internet

On peut donc en conclure qu’on parle beaucoup de distributions Linux par ici. On parle également beaucoup d’internet et des différentes questions qui y sont liées telles que les guerres de navigateurs et autres.

Ca vous donne donc une petite idée des sujets phares abordés. Est-ce que les sujets traités sur le Planet-Libre actuellement vous conviennent? Quels sont les sujets que vous aimeriez voir traités ici et que vous ne trouvez pas assez souvent à votre goût? Faites-nous part de vos souhaits !!

Et si vous avez un blog ou si vous connaissez des blogs qui auraient leur place ici, parlez-en ! Le Planet-Libre veut également diversifier les sujets qu’il traite ! Aidez-vous à le faire en nous faisant découvrir des nouveaux blogs qui parlent du libre autrement !

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Décidément, les Media Queries et les animations CSS inspirent les développeurs en ce moment puisqu’après Pacmanimation qui nous faisait jouer avec Pac-Man en redimensionnant notre fenêtre de navigateur, nous avons maintenant le droit à Super Mario Bros. ! Et pour ceux qui étaient déçus de l’animation Star Wars qui ne contenait aucun son, soyez heureux, car la magnifique mélodie de Mario retentit dans nos oreilles avec cette nouvelle animation !

C’est donc encore une fois dans le DemoStudio de Mozilla que cette animation a été mise en ligne. Au lancement, il nous sera donc demandé de redimensionner notre fenêtre afin d’obtenir un petit rectangle dans lequel nous trouverons un petit bouton Start. Bien évidemment, l’envie de cliquer dessus est irrésistible et une fois que nous aurons assouvi cette soif de curiosité, nous pourrons observer Mario s’élancer vers le premier niveau qui démarrera aussitôt.

Et Mario ne joue pas tout seul car s’il est entièrement déplacé grâce aux animations CSS, c’est bien vous qui contrôlez le début de ces animations en augmentant progressivement la taille de votre fenêtre de navigateur (d’ailleurs, on préférera Firefox pour cette animation…), tout ça avec la magie des Media Queries dont nous avons déjà parlé.

Si cette création est semblable à Pacmanimation, elle n’en reste pas moins impressionnante car assez complète (le niveau est plutôt long). De plus, l’ajout du son est réellement une très bonne idée : jouer à Super Mario Bros. sans ses fameuses musiques relève du sacrilège. Et si vous vous posez la question, la musique provient directement d’une balise audio issue de HTML5, donc non, point de Flash (qui utilise encore cette technologie dépassée ?).

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Introduction

Je me souviens qu’à mes débuts sur CentOS, je recherchais plusieurs fois comment mettre une adresse IP statique, ainsi que le masque de sous-réseau, la passerelle par défaut de manière permanente sur une interface réseau. Ce billet fait office de pense-bête pour les utilisateurs de plateforme Linux à base RedHat à savoir RedHat, CentOS et Fedora pour une configuration d’une interface réseau classique.

Configuration

Editez ou créez le fichier suivant : /etc/sysconfig/network-scripts/ifcfg-eth0. Remplacez eth0 par l’interface réseau de votre choix. Pour attribuer l’adresse IP : 192.168.172.55, avec le masque : 255.255.255.0 et la passerelle : 192.168.172.2, entrez la configuration suivante :

DEVICE=eth0
BOOTPROTO=none
HWADDR=[ADRESSE_MAC_DE_VOTRE_CARTE]
ONBOOT=yes
NETMASK=255.255.255.0
IPADDR=192.168.172.55
GATEWAY=192.168.172.2
TYPE=Ethernet

Remplacez les variables suivants vos besoins. Sauvegardez le fichier, pour appliquer les modifications entrez la commande suivante (attention : cette commande va couper tout accès réseau pendant quelques secondes) :

service network restart

Conclusion

Nous avons vu brièvement comment configurer une adresse IP statique sur CentOS et ce de manière permanente. Utilisez-vous une autre méthode pour configurer votre machine de manière statique ?Loic FONTAINE

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Ces derniers temps, c’est presque toutes les semaines que l’on entend parler de failles critiques de sécurité dans Java. Ces failles sont le plus souvent corrigées mais encore faut-il que les utilisateurs mettent à jour leur version de Java… Java comme Flash peuvent donc être utilisés pour attaquer l’utilisateur et, tant que ce dernier ne met pas à jour ses plugins, il est vulnérable.

C’est pourquoi les développeurs de Firefox ont décidé d’intégrer une fonctionnalité qui devrait se révéler extrêmement utile dans la version 17 du navigateur. En effet, si vous possédez une ancienne version des plugins Java ou Flash, les éléments utilisant ces plugins ne seront pas activés par défaut : il faudra cliquer dessus pour pouvoir les lire.

L’avantage est en réalité double : non seulement les utilisateurs ne mettant pas à jour leurs plugins seront protégés mais la navigation sera également accélérée, étant donné que le nombre d’éléments à charger est moins important. Et l’utilisateur qui n’aurait pas été au courant à l’avance de cette fonctionnalité ne sera pas perdu car le cadre dans lequel il faudra cliquer contiendra un message indiquant que le plugin à utiliser est vulnérable et qu’il est impératif de le mettre à jour. Ce message sera suivi d’un lien pointant vers les sites officiels d’Oracle et d’Adobe.

Bien entendu, si l’utilisateur ne souhaite pas mettre à jour ses plugins pour une raison ou pour une autre, un système de liste blanche sera disponible, permettant d’autoriser certains sites à afficher du contenu utilisant Flash ou Java (sur ces sites, il ne sera donc pas demandé de cliquer pour lire).

Via

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