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Framablog : Solitude(s), un site libre et collaboratif

mardi 6 mai 2014 à 20:30

Une interview menée par Pouhiou

Dany Caligula est un youtubeur qui — littéralement — donne à réfléchir. C’est en voyant sa vidéo sur « le Sens de la Vie » (dont le son a été depuis coupé par YouTube) que je suis tombé sous le charme de son personnage de prof pédant au pull rouge. Bon sang, à grands coups de références ciné, philo et jeux vidéos, ce mec parlait de ce moment qui a changé ma vie et m’a mené à écrire ma première pièce de théâtre ! Quand j’ai appris qu’il est toulousain, je me suis dit qu’il fallait qu’on se rencontre… C’est chose faite, et cela nous a mené à de belles collaborations

Un épisode de Doxa, feat. Pouhiou. Cliquez sur l’image pour voir la vidéo sur YouTube.

Lorsqu’il m’a demandé de participer à la nouvelle version de son site, Solitude(s), je savais qu’il serait sous licence libre… Mais j’ai été ravi de conseiller la fine équipe de ce site sur leur choix de licence (libre et non de libre diffusion ^^) ainsi que de signer l’article fondateur « Pourquoi Solitude(s) passe au libre ? » On a là un projet qui n’émane pas de la communauté libriste, mais s’en inspire et s’empare de ses outils et idées pour les transmettre vers un public nouveau qui ne demande qu’à être convaincu… Forcément, ça méritait bien une petite interview pour le FramaBlog !


pouhiou plus petit— Salut Dany. Tu t’es fait un pseudo en ligne en proposant la chaine Doxa sur YouTube … Comment tu présentes ces vidéos à quelqu’un qui ne les connaît pas ?

caligula en nounours— Salut. Doxa c’est une chronique mensuelle, des vidéos de quinze minutes environ sur des questions de société relativement larges (comme le travail, la sexualité, l’art) dont la finalité est de vulgariser la philosophie et les sciences humaines pour les néophytes et les plus jeunes. C’est pour cela qu’on a fait le choix de mettre ces vidéos sur YouTube, parce que la plateforme concentre un maximum d’attention, notamment auprès des 15-30 ans. Avec Ovis Solo (le co-auteur de l’émission) le partage des savoirs et l’apprentissage de la sagesse nous semblent des notions essentielles à transmettre. On a eu le bonheur de voir que la démarche a été suivie et qu’on a désormais un public fidèle qui commente les vidéos et débat véritablement sur les sujets proposés.

— En réalité, ton projet initial n’était pas Doxa mais bien le site Solitude(s), dont la V2 est sortie il y a quelques jours…

— Oui, à l’origine Doxa n’est qu’une « production » de Solitude(s). J’ai créé Solitude(s) avec quelques amis parce que nous étions lassé des médias traditionnels (dits « verticaux »), et qu’au lieu d’en rester à la simple critique, nous souhaitions apporter notre petite pierre à l’édifice en proposant une plateforme sur laquelle on pourrait partager nos opinions et inviter d’autres solitudes à s’exprimer.

— La suite de l’histoire, tu la racontes dans la vidéo de lancement de la V2 de Solitude(s)… Vous n’êtes pas connus et avez peu de moyens, donc le site vivote mais vous permet de faire de belles rencontres (interview de Pierre Carles) et de vous lancer dans la production des Doxa… Mais alors, pourquoi ressortir Solitude(s) des cartons maintenant ?

— Le succès de Doxa nous a ouvert de nouvelles perspectives. Déjà, il était important pour nous de savoir comment nous allions utiliser cette notoriété grandissante et quel rapport nous allions entretenir avec notre public. Nous aurions pu simplement nous en contenter et surfer sur la vague en enchaînant les émissions. Mais très vite, nous avons décidé d’aller plus loin, et nous nous sommes interrogés sur comment et avec quels outils nous allions pouvoir poursuivre la démarche et discuter des alternatives que nous évoquons dans nos épisodes. C’est ce qui nous a d’abord poussé à faire des lives où l’on peut échanger et approfondir les sujets avec le public. Puis on s’est mis à repenser à Solitude(s), dont toutes ces choses étaient les objectifs initiaux. Simplement, comme cette fois-ci nous avions avec nous une communauté grandissante, un peu d’argent grâce aux dons, et que nous avons eu la chance de rencontrer Anthony Alexandre, un webmaster qui partageait nos envies et nos valeurs, le site allait enfin pouvoir se doter des moyens de ses ambitions.

— Donc, concrètement, qu’est-ce que l’on trouve sur Solitude(s) ?

— On y trouve d’abord des chroniques et des articles qui donnent à réfléchir tout en restant compréhensibles par tous. Bien sûr, il y a les Doxa, mais aussi Bastards Inc, que les lecteurs du Framablog connaissent normalement déjà… Il y a aussi des articles qui proposent un regard sur les médias, l’actualité, tel film, tel jeu, ou parfois simplement des aphorismes. Après, on est encore en train de migrer le contenu sur notre nouveau Joomla, mais le plus important c’est que n’importe qui puisse proposer ses chroniques ou ses articles sur un site qui se veut entièrement collaboratif.

— Clairement, il y a une volonté de faire un site participatif, où l’internaute n’est pas un simple consommateur pantoufles&zapette, mais peut proposer, débattre, réagir…

— Oui, on a tout particulièrement veillé à proposer un ensemble d’outils pour que tout le monde puisse contribuer au site. Outre le module qui permet à tous de proposer ses articles, on a un forum qui est lié directement aux commentaires des articles, et qui est centré autour de la culture et des débats. On aussi un chat, on est en train d’installer un mumble et la communauté vient de nous demander d’ajouter carrément un wiki dédié. L’important pour nous étant vraiment de retrouver une horizontalité dans l’échange afin que n’importe quel internaute puisse participer à ce site en lisant, en proposant ses idées, en corrigeant les articles, en modérant… etc.

— T’es pas libriste à l’origine. Pourtant, dès que j’ai évoqué l’idée de placer Solitude(s) sous CC-BY-SA, t’as été enthousiaste… Comment tu t’es intéressé au libre et pourquoi tu as décidé de sauter le pas ?

— Pour moi, ce n’était pas vraiment « sauter le pas », mais plutôt trouver chaussure à mon pied. Quasiment tout ce que je sais, toutes mes lectures, mes découvertes cinématographiques et vidéoludiques ne proviennent pas de mon éducation, des écoles, ou de tout ce que j’ai acheté à la FNAC ou sur Amazon… Au contraire, si je m’en étais limité à ça, je ne serais pas celui que je suis aujourd’hui. Par contre, les initiatives populaires, les bibliothèques, les internets et surtout le téléchargement m’ont permis de me construire intellectuellement. Vraiment, pour moi le libre était quelque chose d’inné, j’ai toujours trouvé que les choses et la culture étaient libres, d’autant plus avec internet, où quels que soient tes verrous on va te hacker. C’est pourquoi je me permets de télécharger et d’utiliser des extraits d’œuvres (films, musiques, etc.) dans mes émissions.

— Ce qui ne t’a pas forcément réussi, puisque tu t’es fait épingler à plusieurs reprises par le fameux « Content ID » de YouTube… Tu as d’ailleurs fait une vidéo, à l’époque, quand les youtubeurs ont cessé d’être protégés par leurs Networks…

— Justement, il y a eu un vrai concours de circonstances autour de cette vidéo. J’étais en train de réfléchir depuis quelque temps à un format pour parler des internets, du téléchargement, et de la culture du remix. J’ignorais encore si j’allais en faire le sujet d’un Doxa ou d’une toute nouvelle émission. Et paf, c’est là qu’arrive ce durcissement des règles de Google. Je fais cette vidéo à chaud, un peu sous la colère, et elle fait plus de 400 000 vues. Elle a donc suscité un vrai débat, et c’est en lisant les commentaires, et en voyant les réactions positives comme antagonistes que je me suis dis qu’il fallait vraiment que je consacre toute une émission à ces problématiques. C’est là que j’ai pris réellement conscience de la portée symbolique et politique de l’utilisation des licences libres et de la terminologie qui les accompagne.

C’est pourquoi mes vidéos sont désormais sous CC-BY et que Solitude(s) est sous CC-BY-SA parce que même si je crois que tout est intrinsèquement libre il est important d’afficher cette intention et d’encourager la sérendipité, les remixes et tout ce qui peut en découler.

— En définitive, Google avec son serrage de vis t’as directement inspiré cette idée de nouvelle émission ?

— Ironiquement, oui. En fait, c’est surtout les réactions des gens par rapport à cette vidéo. La grande majorité des commentaires allaient globalement dans le même sens : « Mais vous avez rien pour vous protéger juridiquement ? » « Internet c’est libre, je ne comprends pas, vous devriez avoir le droit de faire ça », « Est-ce que c’est à cause d’ACTA et des méchants lobbys d’ayants droits que Google est en train de se corrompre ? »…. En lisant tout cela, je me suis rendu compte qu’il fallait intervenir, tellement il y a encore de fausses-vérités et des incompréhensions dans les esprits par rapport à ces questions-là. Visiblement, la grande majorité des internautes soutiennent l’idée d’un internet libre, mais n’ont que peu de connaissances par rapport à ce qu’il se passe. Une nouvelle émission qui pourrait vulgariser ces problématiques et apporter des sources réelles me semble nécessaire, et dans la même lignée de ce que j’ai déjà entrepris avec Doxa.

— Pour finir, revenons sur Solitude(s)… Juste pour le plaisir, tu nous expliques le nom ?

— J’ai emprunté le terme à Rainer Maria Rilke, un poète allemand du début du XXe siècle. Alors qu’aujourd’hui la solitude est souvent perçue négativement et méprisée, Rilke nous invite non seulement à la développer comme source de richesses mais surtout à la dépasser en allant à la rencontre de nouvelles Solitude(s) : « Il sera cet amour que nous préparons, en luttant durement : deux solitudes se protégeant, se complétant, se limitant, et s’inclinant l’une devant l’autre. » C’est un nom rêvé pour un site internet participatif où de nombreuses solitudes seront amenées à échanger.

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wilfried caruel : Goggles Music Manager : Le logiciel opensource de la semaine

mardi 6 mai 2014 à 19:38

Présentation Goggles Music Manager

capture
Je vais vous présenter un logiciel qui fera sûrement plaisir aux mélomanes.

Le logiciel s’appelle « Goggles Music Manager »
Ne pas confondre ce logiciel et « Google Music Manager » le client made in « Google ».

Ce logiciel ne permet pas de synchroniser ce que vous avez chez google musique.

« Goggles Music Manager »n’ est disponible que sur « Linux ».

Le logiciel est complètement en français et disponible dans d’autre langues comme :

« Goggles Music Manager » est écrit en « C++ ».

Ce logiciel permet de lire :

Le logiciel peut s’utiliser avec les raccourcis clavier.

On peut voir la jaquette du cd que vous écoutez.

Ce logiciel est distribué sous la licence GPLv3

Fonctionnalités :

Le logiciel « Goggles Music Manager » a été dévelopé par Sander Jansen.

La vidéo

Mon avis :

Je ne suis pas un grand fan de musique, donc mon avis comme toujours n’engage que moi.
Ce logiciel est assez austère niveau graphisme, je dirais même que c’est moche.
« Goggles Music Manager » a un faux air de « Rhythmbox ».
Ce logiciel permet aussi d’écouter du streaming ainsi que des radios internet.
Je trouve le logo du logiciel sympa, la possibilité de voir la jaquette du cd peut être un plus pour un fan de musique.
Ce que je trouve bien : on n’a pas besoin d’ajouter des musiques à la bibliothèque car le logiciel est capable de lire les musiques dans tous les répertoires.
Ce que j’aime bien aussi c’est le fait d’avoir différents thèmes (toujours plus ou moins moches) .
Le fait de modifier la police de caractère ainsi que la taille des caractères est pour moi un grand plus.

Quel est le logiciel que vous utilisez pour lire vos musiques et /ou que pensez vous de celui là ?

Installations :

Arch

 pacman -S gogglesmm
Lien

Site officiel

Musique : SnakesArt – Here Comes The Beast

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crowd42 : Privacy BADGER, la nouvelle extension développée par l’EFF

mardi 6 mai 2014 à 15:01

Privacy Badger

L’Electronic Frontier Foundation (EFF) est connue essentiellement pour ses combats en faveur de la protection de la vie privée et les libertés numériques des internautes. Mais son champ d’action ne se limite pas à des batailles dans les tribunaux ou lancement des campagnes de sensibilisation (ACTA, SOPA, TAFTA pour ne citer qu’eux), elle est connue du grand public et de l’internaute “lambda” pour être derrière l’extension HTTPS Everywhere (en collaboration avec The Tor Project).

Récemment, l’EFF a annoncé qu’elle travaillait sur une nouvelle extension, qui va permettre aux utilisateurs de bloquer les publicités et autres scripts tiers sur les sites que vous visitez, ceux qui essaient de vous traquer pour être plus précis. L’extension s’appelle Privacy Badger.

L’Electronic Frontier Foundation a expliqué dans un billet de blog comment Privacy Badger fonctionne. Quand vous visitez un site web, l’extension note tous les scripts, images issus des domaines tiers (google analytics, adsense par exemple). Si ces derniers essaient de vous traquer (collecter des informations à propos des sites que vous visitez), Privacy Badger les désactive immédiatement, sauf si ces scripts sont nécessaires pour le site (une carte de google map par exemple).

Pour le moment Privacy Badge est encore en version alpha, donc si vous décidez de l’installer, attendez-vous à quelques bugs. L’extension est disponible pour Firefox et Chromium (Google Chrome) et vous pouvez la télécharger depuis cette page

Cet article Privacy BADGER, la nouvelle extension développée par l’EFF est apparu en premier sur crowd42.

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mozillaZine-fr : SeaMonkey 2.26 est sorti

lundi 5 mai 2014 à 23:15

SeaMonkey 2.26 : Sélecteur de couleur pour input type=colorSeaMonkey 2.26, du même train de sorties que Firefox 29, ne contient cependant pas les nouveautés qui ont fait parler de cette nouvelle version majeure de Firefox, à savoir le thème Australis et la nouvelle version de la fonctionnalité de synchronisation, Sync, via la création d’un compte Firefox. Cette version 2.26 de la suite Internet tout-en-un basée sur Gecko (29) de Mozilla mais menée par la communauté est sortie 3 jours après Firefox 29 et est disponible en 26 langues dont le français pour Windows, Mac OS X et Linux. Cette nouvelle version majeure (style développement rapide) comprend, pour la première fois, les nouveautés majeures suivantes (les liens venant en très grande majorité de notre article sur la version 2.26 bêta 1 et du billet de BlogZiNet sur Firefox 29 bêta) :

  • Le délimiteur pour les messages transmis peut désormais être configuré (NDT : bogue 776 438 ; via la préférence cachée mailnews.forward_header_originalmessage).
  • Une option pour retirer les signatures sur une réponse a été ajoutée pour empêcher les signatures au-dessus de supprimer le corps du message (bogue 201 581 de 2003 ! via la préférence cachée mail.strip_sig_on_reply).
  • Voir la page des changements pour un aperçu plus complet.
  • L’API Gamepad (bogue 878 828) a été finalisée et est activée (en savoir plus).
  • navigator.plugins n’est plus énumérable, pour améliorer la vie privée de l’utilisateur (bogue 757 726).
  • L’API d’internationalisation ECMAScript a été activée (bogue 853 301 et méta-bogue 837 963).
  • La propriété ‘box-sizing‘ (qui a perdu son préfixe -moz-) a été implémentée (bogue 243 412 de 2004 !).
  • SharedWorker est activé par défaut (bogue 924 089).
  • Les variables CSS3 ont été implémentées (NDT : bogue 773 296 ; derrière une préférence cachée layout.css.variables.enabled pour l’heure).
  • L’objet console est désormais disponible dans les Web Workers (bogue 620 935).
  • Les promises sont activées par défaut (bogue 918 806).
  • a été implémentée et est activée par défaut (bogue 547 004).
  • a été implémentée et est activée par défaut (bogue 344 616 de 2006).
  • Correction de plusieurs problèmes de stabilité.

SeaMonkey 2.26 corrige également douze failles de sécurité dont cinq critiques. Certaines d’entre elles permettent à un attaquant de provoquer une exécution de code arbitraire à distance, un déni de service à distance et un contournement de la politique de sécurité.

La page des nouveautés dans SeaMonkey 2.26 des notes de diffusion mentionne d’autres corrections de bogues pendant la phase de développement et de tests de ce SeaMonkey. Pour davantage de renseignements sur les bogues corrigés et les nouveautés de ce train de sorties, voir les notes de diffusion de Firefox 29.0.

Si vous disposez déjà de SeaMonkey, vous avez dû recevoir une notification de mise à jour automatique dans les 24 à 48 heures. Vous pouvez aussi l’obtenir manuellement en choisissant « Rechercher des mises à jour… » dans le menu « ? ».

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La vache libre : 4 plugins intéressants pour Geany

lundi 5 mai 2014 à 22:54

Après vous avoir présenté Geany dans ce précédent article, j’aimerais faire le tour de quelques plugins plutôt intéressants pour ce dernier, qui vont vous permettre d’étendre les fonctions du logiciel. La liste sera bien évidemment loin d’être exhaustive et n’hésitez pas à nous en indiquer d’autres dans les commentaires, si vous pensez qu’ils peuvent se révéler utiles.

SplitWindow est le premier plugin de cette liste, qui comme son nom l’indique a pour fonction de vous permettre de diviser la fenêtre d’édition en deux parties, verticalement ou horizontalement. C’est extrêmement pratique, à tel point qu’on en vient même à se demander pourquoi cette fonction n’est pas implémentée nativement dans Geany.

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GeanyLipsum est un plugin extrêmement simple mais pratique, pour ceux qui utiliseraient Geany dans le but de faire de l’HTML ou du LaTeX. Il permet de générer automatiquement un faux-texte d’une longueur prédéfinie, vous permettant ainsi de tester le rendu graphique d’une page HTML alors même que son contenu n’est pas encore présent. Je pense qu’il n’est pas nécessaire d’en dire plus.

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GeanyLatex est un plugin dont le but est de vous faciliter la tâche, lors de la création de l’architecture de base d’un fichier de type LaTeX. Ce plugin est loin de faire de Geany un LaTeXila ou encore un Texmaker, mais c’est amplement suffisant si vous utilisez LaTeX de manière occasionnelle.

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GeanyVC est un plugin assez évolué, qui va vous permettre d’effectuer les actions de bases liées aux logiciels de gestion de version depuis Geany . Il est compatible avec un grand nombre de gestionnaires de version, dont GIT, SVN, Bazaar, ou encore Mercurial. Cela va vous permettre entre autres de faire des commits et de visionner les différences et les logs d’un fichier ou d’un dossier.

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Il existe bien évidemment d’autres plugins pour Geany, dont la liste complète est disponible sur cette page. Vous pouvez les installer très facilement depuis la page de téléchargement ou mieux encore, les installer tous en utilisant les dépôts officiels de votre distribution GNU/Linux.

Pour Debian, Ubuntu et dérivés il suffit d’entrer la commande suivante :

sudo apt-get install geany-plugins

Et celle-ci pour Archlinux, Manjaro et dérivés :

sudo pacman -S geany-plugins

Voilà, amusez-vous bien.

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