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Yopland : Installer Google Play sur une tablette Logicom s1024

lundi 2 février 2015 à 08:00

Je possède une tablette Logicom s1024 livrée avec un store maison. Ce dernier propose un nombre d’applications consternant tant le choix est limité. Cette situation certes gênante, pourrait être anecdotique s’il était possible d’installer le store de son choix. Mais voila, mes diverses tentatives pour installer Google Play se sont toutes soldées par un échec, jusqu’à aujourd’hui !

Certes, on peut survivre à l’absence de Google Play et je vous propose quelques alternatives piochées ci et là sur le web. Mais, c’est une question de principe. Je ne vois pas pourquoi un fabriquant tel qu’il soit viendrait m’empêcher de faire ce que je veux avec le matériel que j’ai acheté.

La solution que je vous propose est à la fois très simple à mettre en œuvre et totalement radicale. En effet, la solution consiste à installer une version modifiée du système présent par défaut sur la tablette. Donc attention, tous ce qui se trouve sur votre tablette va être effacé. Faites des sauvegardes !

La solution fonctionne correctement, mais la contrepartie est qu’il ne faut surtout pas mettre à jour l’application « Google Play ». En effet, cette manipulation rend l’installation d’applications totalement impossible via le « Play » de Google.

Autre limite, pour installer la nouvelle version de l’OS, il faut passer pour l’outil de l’éditeur qui ne fonctionne malheureusement que sous Windows.

L’image de la nouvelle version d’Android se trouve à l’adresse suivante : http://www.t411.me/torrents/android-4-1-1-logicom-s1024-avec-playstore. Vous y trouverez un lien de téléchargement via un torrent ainsi que la marche à suivre.

Pour finir, une capture d’écran de l’outil utilisé pour l’installation.

Pad product tools

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Planet Libre : Brèves du Planet Libre - lundi 02, février 2015

lundi 2 février 2015 à 00:00

Discussion sur la licence et le modèle économique de PEPS, une nouvelle solution de messagerie (et plus) pour Linux - Journal sur LinuxFR.org

licence économie


antistress : À l'occasion de ce journal sur LinuxFR, naît une discussion intéressante dans les commentaires, avec les auteurs, sur le choix de la licence à adopter (non finalisé) et les modèles économiques possibles... intéressant.


Tor : les 12 premiers relais de Mozilla sont en ligne - Next INpact

Tor pistage Mozilla


antistress : "Après avoir dévoilé son projet Polaris, en partenariat avec Tor, Mozilla indique désormais que ses premiers relais Tor sont en ligne. Ils sont douze pour le moment, et la fondation a pris soin de les installer sur une infrastructure indépendante avec 2x10 Gb/s de bande passante."


Le lobby anti-DRM s’étoffe - Libération

DRM EFF


antistress : Le journaliste et auteur de science-fiction Cory Doctorow est un fervent défenseur du partage en ligne et un grand penseur des technologies, qui ne doivent pas selon lui brider l’accès du public à la culture. On ne s’étonne donc pas de le voir rejoindre l’Electronic Frontier Foundation (EFF) en tant que consultant spécial chargé du lobby anti-DRM.


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Lionel Zuber : LightTable, un challenger parmi les éditeurs

dimanche 1 février 2015 à 11:00

A l'heure où l'on parle énormément de Sublime Text, Atom, et Brackets, j'aimerai vous présenter un de leur challenger : LightTable. Pour tout vous dire, c'est celui que j'utilise au quotidien. Avant de rentrer dans le détail, un petit condensé des plus et moins de ce programme.

LightTable

En rapide

Pourquoi choisir LightTable

Les points moins cool

Les mains dans le cambouis

Naviguer dans les fichiers

LightTable est installé et lancé, vous êtes dans sa petite interface toute noir. A droite, un éditeur avec un message de bienvenu. A gauche, un appel aux allures vides. Et en haut un menu des plus standard que je vous invite à ne pas utiliser ! Que faire ? Selon moi, le premier réflexe à avoir est de lancer le panel de commande avec un petit Ctrl-Space, aussi accessible via View > Commands. Ce panel permet de rechercher parmi toutes les commandes de l'éditeur. En premier lieu vous voudrez probablement ouvrir un fichier ou un dossier. Si vous tapez folder, le panel vous proposera en premier résultat : Workspace : Add folder.

LightTable est organisé autour de Workspace au sein duquel vous pouvez ouvrir des fichiers et des dossiers. Le panel de gauche (celui actuellement vide) est un navigateur qui montre tout les fichiers disponible au sein du workspace actif. Si vous voulez travailler dans le projet "Hello-World", vous voudrez probablement ouvrir le dossier de source. Add folder est là pour cela ! En validant la commande (touche entrée ou click souris), votre système affichera un composant de choix de dossier. Naviguez, choisissez et valider, le dossier apparaîtra alors dans l'explorateur à gauche de l'éditeur.

Maintenant que le dossier est ouvert, vous pouvez utiliser l'explorateur pour parcourir les dossiers et ouvrir des fichiers. Vous pouvez également ouvrir des dossiers grâce au panel View > Navigator ou le raccourci Ctrl-o. Ce panel permet de chercher un fichier de l'ouvrir en tapant une partie de son nom. A noter qu'en plus du Ctrl-o, vous pouvez ouvrir ce panel via la commande Navigate: open navigate.

Rajoutons à cela le classique Ctrl-fpour rechercher dans le fichier actif, et Ctrl-Shift-f pour rechercher dans tous les fichiers du workspace, et vous avez de quoi naviguez confortablement.

Configurer son éditeur

La configuration de l'éditeur passe par deux fichiers : - User behaviors : qui définit les comportements de l'éditeur et de ses plugins - User keymap : qui définit les raccourcis claviers

Et pour les ouvrir ? Rien de plus simple, il suffit d'invoquer les commandes Settings : User behaviors et Settings : User keymap. Par défaut la structure du fichier est déjà posé et vous pouvez y voir un exemple. Pour rajouter un raccourci clavier, la ligne va ressembler à quelques chose de ce genre :

    [:editor "ctrl-n" :editor.sublime.selectNextOccurrence]

Qui se traduit par " dans un éditeur, le raccourci Ctrl-n permet de déclencher l'action selectNextOccurence ". Pour ceux qui se pose la question, il s'agit de la sélection multi-curseur. Avec Ctrl-n, j'ajoute à la sélection la prochaine occurrence du mot sélectionné.

Pour les français, un petit block que je rajoute toujours pour la fermeture automatique des symboles [, (, et { :

    [:editor ")" (:editor.close-pair ")")]
    [:editor "(" (:editor.open-pair "(")]
    [:editor "ctrl-alt-[" (:editor.close-pair "]")]
    [:editor "ctrl-alt-4" (:editor.open-pair "{")]
    [:editor "ctrl-alt-5" (:editor.open-pair "[")]
    [:editor "ctrl-alt-=" (:editor.close-pair "}")]

Il y a un point que je tient à signaler concernant les fichiers de configuration : l'auto-complétion de LightTable a été vraiment bien travaillé sur ce point ! Ainsi si je tape [:editor "ctrl-n" ], je peut commencer à taper le mot "Next" pour la commande à exécuter. Là, LightTable va me proposer une liste de commande avec le même libellé que dans le panel de commande ! Bref, il est facile de s'y retrouver !

Configuration et LightTable

Coté configuration des comportements, la structure est assez similaire et la complétion tout aussi agréable :

    [:editor :lt.objs.editor/line-numbers]

Ce petit bout de code permet d'afficher les numéro de lignes à gauche de l'éditeur.

Évaluer du code

Pour certains langages (de base : javascript, python, et clojure), il est possible de connecter son éditeur à un REPL (Read Eval Print loop). Vous pouvez ainsi exécuter des bouts de code depuis votre éditeur et récupérer le résultat.

Pour le javascript par exemple, la procédure la plus simple est la suivante :

LightTable exécutera le code dans votre éditeur, et vous renverra le résultat.

Évaluation in LightTable

Les extensions cool

La commande Plugins: Show plugin manager permet d'afficher le gestionnaire de paquet et d'installer facilement les extensions. Voilà les principales extensions que j'utilise :

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Cyrille BORNE : Owncloud 7.0.3 sur ipfire ça peut se faire, mais attention

dimanche 1 février 2015 à 08:00

On m'a interpellé par mail pour savoir si on pouvait faire tourner la dernière version de owncloud sur ipfire. A ce propos je réponds aux mails si on fait bien sûr l'effort de mettre une adresse mail qui fonctionne, mais c'est une autre histoire.

Donc ça se fait mais c'est sale, la version 7.0.3 n'est pas une version officielle même si elle est packagée par l'auteur du plugin owncloud. A titre personnel, du fait que la machine chez moi fait tout, contrôle parental et serveur de fichiers, c'est une machine trop sensible pour que je fasse le test directement dessus et je patienterai, j'ai néanmoins fait un essai concluant en apparence sur machine virtuelle. Vous allez sur le site de dweismueller, et vous récupérez l'archive owncloud-7.0.3-4.ipfire, la version du moment.

Vous allez charger cette version dans le répertoire /opt/pakfire/tmp de votre distribution, en ligne de commande un tar -xf dessus, c'est d'ailleurs à priori la façon d'installer des addons extérieurs à la distribution, certains en donnent beaucoup dont virtualbox et phpvirtualbox ce qui laisse supposer la possibilité de transformer le serveur ipfire en machine à virtualiser d'autres distributions ce qui à mon sens est un peu n'importe quoi mais pourquoi pas. En ligne de commande à l'endroit où l'on a décompressé le .ipfire, un ./install.sh

Voici comment j'ai procédé pour vérifier le comportement quand on a déjà une instance de owncloud et qu'on aimerait pas flinguer 200 ou 300 Go de données. J'ai installé de façon naturelle owncloud, soit la version 6, à partir du système de paquet. J'ai uploadé un fichier, j'ai fait l'installation et j'ai regardé, résultat en images.

Le premier écran correspond à la version 6, on voit que j'y ai uploadé l'iso de ipfire, suite à l'install, la procédure de mise à jour automatique s'exécute directement dans owncloud, on arrive en version 7, le fichier n'a pas été supprimé. Bien évidemment, aucun test n'a été réalisé pour savoir si le calendrier fonctionne ainsi que les autres plugins, si des cascadeurs sont dans la partie, ils sont welcome pour m'envoyer leurs retours de destruction de serveur ou non. Il est à noter qu'au niveau de pakfire c'est transparent, c'est à dire que lui continue de voir une version 6, je ne sais pas ce que peut donner par la suite pour une mise à jour, vous êtes prévenus.

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Cyrille BORNE : Installer Adblock sur Vivaldi

samedi 31 janvier 2015 à 12:00

Suite à la publication du billet concernant le navigateur web Vivaldi, Stéphane Ferrari responsable projet et développement de Pluxml a envoyé par mail une procédure pour installer Adblock et qui pourra d'ailleurs être adaptée à d'autres objets.

Voici donc la procédure décrite par Stéphane :

1) télécharger adblocker: http://code.getadblock.com/releases/AdBlock-v2.17.zip

2) dézipper dans un coin

3) dans la barre d’adresse de Vivaldi taper : vivaldi://extensions

4) cocher la case en haut à gauche de la page: "Mode développeur"

5) cliquer sur le bouton "Charger l’extension non empaquetée"

6) sélectionner le dossier où adblocker a été dézippé à l'étape 2)

7) valider et relancer vivaldi

Voilà !

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