Plop les bovins,

Qreator est une application sympa, simple et vraiment bien faite, qui va vous permettre de générer facilement vos QR codes sous GNU/Linux.

Vous allez ainsi pouvoir créer un QR code à partir d’une URL, créer un QR code contenant du texte, générer un QR Code affichant une map ou il vous sera possible de naviguer (zoomer / dézoomer), avec un rendu de haute qualité et ou le QR code en question évoluera en fonction votre navigation.

Qreator permet également de créer un QR code contenant les données d’un point d’accès wifi, (type de chiffrement, SSID l’AP, la clé), afin de les restaurer et (ou)  les partager facilement.

La version 13.05.1 de Qreator vient d’être publiée, embarquant son lot d’améliorations et quelques nouvelles fonctionnalités.

On notera par exemple une interface graphique revisitée et bénéficiant d’un nouveau design, l’ajout de nouveaux QR codes (carte de visite, téléphone et messagerie, Software Center app), le support de URL raccourcies et surtout, les QR codes sont désormais éditables.

Nous en avions parlé il y a déjà un bon moment (elle était en 1.0 à l’époque) et je dois dire que depuis ça n’a pas chômé. L’application s’est vraiment embellie et elle a gagné pas mal de nouvelles options sympathiques.

Si vous avez envie de l’essayer, Qreator peut être utilisé sur toutes les distributions GNU/Linux via les sources et une archive .deb  est disponible pour Debian, Ubuntu et dérivés. Vous trouverez tout ce qu’il vous faut en vous rendant sur cette page (vous y trouverez également un PPA si vous préférez cette méthode).

Amusez-vous bien.

Moo!

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Plop les bovins,

gCAD3D est un logiciel de CAO 3D puissant et très polyvalent, qui permet de dessiner des arcs, des contours, de vecteurs, de surfaces et des solides de tous types. Il a également la particularité de permettre la création d’une pièce ou d’un outil à l’aide d’un simple fichier texte, moyennant le code qui va bien (il faut gérer quand même un minimum pour ça).

gCAD3D permet également d’importer / d’exporter des fichiers STEP, IGES, VRML, DXF, SVG, etc… Et il fonctionne aussi bien sous GNU/Linux que sur Microsoft Windows.

gCAD3D vient d’être mis à jour en version 2.10, qui embarque pas mal d’optimisations et quelques nouvelles fonctions. On notera par exemple l’apparition d’un nouveau processeur « NC-processor » et diverses améliorations concernant les lignes, les courbes, les Ellipse, les vecteurs, etc…

On notera également diverses corrections de bugs concernant les positions de prévisualisation et les entrées de sélection.

Même si vous êtes sans doute peu nombreux à avoir besoin d’un tel outil, vous pouvez vous rendre sur cette page pour consulter l’annonce de sortie et vous procurer la bête qui je le répète, est disponible sur GNU/Linux en .deb et .rpm, et sous Microsoft Windows.

Amusez-vous bien.

Moo!

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Depuis que j’ai effectué la mise à niveau de ma distribution favorite, je n’arrive plus lorsque j’utilise l’environnement Unity à faire fonctionner mon lecteur de radio favori : Radiotray.

Chaque fois que je lance l’application, l’icône Radiotray n’apparaît pas dans mon tableau de bord alors que cela fonctionne très bien lorsque j’utilise l’environnement GNOME Schell. J’ai essayé de lancer l’application via le terminal afin de voir si j’avais un message d’erreur mais rien de significatif n’est apparu.

J’ai alors effectué quelques recherches sur internet et je suis tombé sur un billet du blog Reformed Musings donnant une solution très simple pour résoudre ce problème.

Dans un premier temps, nous allons éditer le fichier de configuration de Radiotray afin de le modifier. Pour ce faire, ouvrons un terminal et entrons la commande:

gedit ~/.local/share/radiotray/config.xml

On lit très clairement en ligne 8 qu’il existe trois options de configuration pour l’icône: appindicator, systray et chooser. Dans mon fichier, à la ligne 9, c’est systray qui est sélectionné et qu’il faut modifier par appindicator.

 

Une fois cette modification effectuée, il ne reste plus qu’à enregistrer le fichier de configuration et à lancer radiotray qui désormais apparaît bien dans le tableau de bord.

Amusez-vous bien.

 

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Dans quelques semaines, le premier juillet pour être plus exact, Google Reader disparaîtra à jamais du Web. Confirmant ainsi ce que plein de gens ne cessaient de dire depuis des années maintenant, sur les dangers que représente la centralisation des services pour les internautes.

Pourtant, même après l’annonce de la décision Google, une bonne partie des utilisateurs de Google Reader semble ignorer cet avertissement, et s’est ruée vers des services aussi fermés et centralisés que le premier (Netvibs, feedly… etc). Alors que rien avec deux ou trois actions, ils peuvent disposer d’un contrôle total sur leurs données, et s’assurer qu’ils vont se réveiller un matin, pour découvrir que la société qui leur fournit ce service a mis la clef sous la porte.

Une attitude d’autant plus incompréhensible, que le monde des logiciels libres propose un vaste choix de solutions, qui vont du plus simple et léger (RSS Lounge, Leed…)à des vraies usines à gaz lourd (qui a parlé de tiny tiny rss ?).

Personnellement, si je devais vous en recommander qu’un seul, ça sera KrISS feed. Même ceux qui n’ont jamais installé un CMS de toute leur vie, n’auront aucun de mal à le mettre en place. Et pour cause, il s’agit d’un seul fichier (index.php) qu’il faut mettre dans un répertoire, et il n’a pas besoin de d’une base de données.

Cerise sur le gâteau, le partage vers Shaarli est déjà intégré. Et si vous n’êtes toujours pas convaincu, je vous invite à voir l’excellent vidéo de Benjamin Bayart : Internet libre ou Minitel 2.0.

crédit image

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Depuis trois jours, nous avons interrogé nos followers sur les fils Identi.ca et Twitter de MozillaZine-fr.org sur l'opportunité d'y relayer dorénavant l'actualité des parts de marché des navigateurs Web. Bien que de nombreux articles paraissent chaque mois (avec des nouvelles du taux d'utilisation de Firefox de Mozilla) sur les PDM des différents navigateurs disponibles pour surfer sur le Web, nous n'avions l'habitude ni de les retweeter ni d'en faire régulièrement des comptes-rendus sur le site.

Aussi bien pour l'appel initial que pour la piqûre de rappel, les réponses ont été très peu nombreuses. Je tente ici en développant un peu le propos de réveiller votre intérêt pour la question.

« La guerre des navigateurs » ou Browser wars en anglais - certains nous voient même partis dans une seconde guerre des navigateurs - fait rage et attire les regards. De grosses compagnies mondiales (et surtout américaines) - Microsoft, Google, Apple - se battent avec d'énormes moyens marketing pour la domination du point de vue des parts du marché.

Et, au milieu de ces mastodontes en termes de capitalisation boursière, se distingue une fondation sans but lucratif et sans actionnaire, éditrice de logiciels dont le plus connus et le plus employé est Mozilla Firefox, son navigateur Web pour ordinateurs de bureau. Mozilla n'a jamais caché (voir ainsi Tristan Nitot, évangéliste principal chez Mozilla) l'importance pour elle d'avoir un bon taux d'utilisation, suffisant pour pouvoir peser et ainsi respecter la mission qu'elle s'est donnée. Il n'en ira pas différemment avec Firefox OS, le système d'exploitation mobile de Mozilla à venir.

Même sans avoir encore à s'inquiéter des PDM de Firefox OS, les articles sur les PDM des navigateurs, parfois couplés avec les PDM des systèmes d’exploitation, sont très nombreux. Nous avons toujours considéré qu'il serait lassant pour nos suiveurs et lecteurs d'être inondés de comptes-rendus et RT de ces articles. Devons-nous et dans quelle mesure reconsidérer notre décision ?

La guerre des navigateurs passionne, parfois au-delà de la raison, et attire les trolls les plus velus. Bien que nous n'ayons pas ce genre d'importuns dans nos lecteurs ou nos followers, l'intérêt des sites d'actu pour ce sujet n'est sans doute pas étranger à la passion qu'il soulève.

Les sites d'actu informatique ont d'autant plus d'occasions de titrer sur la guerre des navigateur que les sources sont nombreuses. Chaque mois sont publiées les statistiques de sociétés d'analyse du trafic des sites Web. Les plus connues sont Net Applications et StatCounter qui mettent à disposition des statistiques en temps réel. Vous découvrirez en fin d'article une liste plus importante des sources de statistiques sur les PDM des navigateurs qui proviennent aussi de sociétés spécialisées dans les serveurs de cache pour les entreprises comme Akamai ou de sites plus ou moins spécialisés qui publient leurs chiffres comme w3schools ou le Français L'Internaute sur le Journal du Net. Le Français AT Internet, leader européen du secteur de l'audience de sites Web (XiTi), publie en français des rapports plus ou moins réguliers.

Cependant, les sources divergent énormément. D'un institut à l'autre, d'un site à l'autre, les résultats sont contradictoires. La mesure de l'usage des navigateurs se heurte à des contingences techniques qui conduisent à une surestimation ou à une sous-estimation du nombre de requêtes faites par chaque navigateur (voir le chapitre Accuracy de l'article anglophone de Wikipédia malheureusement pas repris dans son équivalent en français). Ces divergences rendent les conclusions définitives difficiles. En plus de commenter la composition de la base d'utilisateurs de chaque service ou de chaque site qui publie ses résultats, il serait nécessaire d'en donner plusieurs pour se faire une idée de l'état réel du marché pour un pays donné, un continent et même, si c'est possible au niveau mondial.

Donc, étant donné ces considérations, vous en voulez ou pas ?

Voir l'article complet pour la liste des sources et des références en matière de mesure des PDM des navigateurs. Article également publié sur BlogZiNet.

Article complet...

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