Installer Firefox sur Windows est assez simple : il vous suffit de vous rendre sur le site officiel de Mozilla qui vous proposera une version adaptée à votre système, que vous n’aurez qu’à télécharger en cliquant sur le lien affiché. Cela aura pour effet de télécharger un installateur qui contient la dernière version du navigateur et qui peut donc s’avérer assez lourd.

Cela pourrait bientôt changer car Mozilla est en train de développer un installateur web, qui sera disponible à côté de l’installateur classique. Cet installateur aura la particularité d’être très léger. Une fois exécuté, il s’occupera de télécharger la version de Firefox qui vous convient, à la façon d’une version netinstall pour l’installation d’une distribution linuxienne. Le gros intérêt de cet installateur est qu’il ne pointera sur aucune version spécifique du navigateur : qu’importe le moment où vous l’exécutez, il téléchargera toujours la toute dernière version de Firefox.

Et ce nouvel installateur n’est pas très loin d’une sortie officielle, puisque des versions d’exemple sont déjà disponibles et permettent de télécharger les versions nightly de Firefox (les versions expérimentales du navigateur). Pour le moment, le téléchargement se fait via HTTP mais avant de rendre le truc officiel, Mozilla souhaiterait changer ça afin d’utiliser SSL.

Seul Windows est ciblé par cette nouvelle possibilité de téléchargement, bien qu’une version pour Mac soit prévue, même s’il faudra sûrement attendre un certain temps avant qu’elle ne paraisse. Concernant la raison pour laquelle Mozilla développe un tel outil, il s’agit principalement du vœu de limiter au mieux les échecs de téléchargement du navigateur.

Via

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Voici un support de présentation traitant de Puppet, écrit par mes soins. Il aborde succinctement les gestionnaires de configuration, avant de se pencher plus en détail sur Puppet, son installation sur base Debian, sa configuration initiale, ainsi que son langage déclaratif. Ce support est destiné à un public débutant dans la gestion de configuration, souhaitant découvrir Puppet.

Ce support est mis à disposition sous licence Creative Commons BY.

Télécharger "Getting started with Puppet" au format PDF.
Télécharger "Getting started with Puppet" au format ODP.

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Parfois il est utile de jeter un oeil aux statistiques de son réseau, voir qu’ils sont les connexions qui bouffent le plus votre bande passante, un peu à la manière de top/htop pour le monitoring système. Ce genre d’outil est fréquemment utilisé par les admins réseaux, mais peut aussi être d’une grande utilité aux personnes qui ont un modem 3G pré-payé de Maroc Telecom ou de Meditel, qui imposent un quota de bande passante à ne pas dépasser (surtout le premier avec ses 400 Mo/ jour).

Iftop permet d’effectuer exactement cette tâche. Comme top et htop, c’est un outil en ligne de commande et avec une interface en ncurses. Son fonctionnement est très simple, une fois lancée -en précisant l’interface réseau-, il écoute le trafic de cette dernière, visualise les connexions et les classe par débit.

Iftop, contrairement à top, n’est pas installé par défaut dans les distributions, mais il est présent dans les dépôts de toutes les distros majeures. Pour l’installer sous Ubuntu, il suffit d’exécuter la commande suivante :

sudo apt-get install iftop

Sous ArchLinux :

yaourt -S iftop

Pour Fedora :

yum install iftop

Iftop a besoin des privilèges root pour superviser tout le trafic. pour une utilisation basique, vous pouvez exécuter la commande :

iftop -i ppp0

Le paramètre -i sert à indiquer à iftop quelle interface il faut écouter, dans l’exemple ci-dessus, iftop va écouter ma connexion 3G. Il existe plusieurs paramètres et options que vous pouvez assigner à iftop, je vous invite à les découvrir tous en consultant le manuel de l’outil :

man iftop

Bon monitoring

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I was at the OpenDataHACK PACA this last weekend and I ended up being quite disappointed and frustrated. Disappointed because I thought that a hackathon is about just having fun together and that event looks closer to a startup weekend with a final jury and questions about business models. Frustrated because after a few months without coding actively I was very motivated and most of the projects presented didn't provide any line of code or even use OpenData (from PACA) for real.

In hindsight, I discovered the discomfort I have with OpenData (at least in France): it's hard to have fun for a developer.

• the nature of data is very limited and you can't do anything but a service about transportation or tourism.
• the quality of data is so bad that you lost a lot of energy just being able to use it programmatically.
• the freshness of data is incredibly inconsistent and can't be predicted.

That being said, here are some ideas for data providers:

• we reached the limits of public data, it's time for companies to expose some of their private data in order to make pertinent and various services, don't forget the first-mover advantage here! (by private I mean internal, not data related to privacy of course).
• we need to work on the way providers open their data, releasing files — whatever the format — is not an option anymore, developers used to work with APIs for a good reason. Take care of your data, that's your responsibility.
• we invest time with your data, give us guarantees, document your data, give informations about the releases' frequency, future released data, interoperability with others' data and so on.

As a citizen, I want to be involved in the life of my city/county but I'll need some help from your side, providers.

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Et hop, encore un nouveau projet pour le tentaculaire réseau Framasoft ! Il s’appelle Framacalc et il ambitionne de proposer le même service que Framapad mais pour le tableur cette fois.

Pour rappel, Framapad c’est la possibilité de faire du traitement de texte collaborativement en ligne (nous allons du reste vous en proposer une spectaculaire mise à jour très bientôt). Et pour le tableur me direz-vous ? C’est là qu’intervient Framacalc.

Avec Framacalc donc vous vous retrouvez à travailler à plusieurs sur le même tableur toujours accessible sur Internet.

Vous piaffez déjà d’impatience ? Alors rendez-vous tout de suite sur le site dédié pour le tester.

Attention, quand bien même les fonctionnalités tableur sont déjà bien avancées, celles concernant la collaboration et l’exportation sont encore rudimentaires. Ainsi, contrairement à Framapad, on n’est pas capable de savoir qui se cache derrière telle ou telle édition, même si on observe bien les éditions des autres se faire en temps réel. Il n’y a pas non plus encore de fenêtre de chat et l’export ne se fait pour le moment qu’au format HTML.

Il y a encore du boulot donc (mais cela peut déjà convenir pour de nombreuses situations simple et non confidentielles, on pense notamment à l’éducation). C’est d’ailleurs pourquoi nous invitons toutes les personnes intéressées par le développement de ce projet à nous rejoindre sur une liste de discussion en s’inscrivant ci-dessous :

E-mail :

Tout comme Framapad, il y a une solution libre qui se cache derrière. Il s’agit du projet EtherCalc (avec du Node.js sous le capot). Il est déposé ici sur GitHub et, il va sans dire que nous encourageons les installations individuelles car, Framacalc ou Framapad, les projets Framasoft sont aussi voire surtout là pour que le cloud se décentralise librement (et finisse par contrarier ces capteurs de données personnelles que sont Google, Facebook ou Apple).

Avec Framapad + Framacalc, Google Documents n’a qu’à bien se tenir ? Nous n’en sommes pas encore là mais, un jour, qui sait… :)

-> Framacalc : Tableur collaboratif en ligne du réseau Framasoft

PS : Nous vous rappelons que ce service libre et gratuit est l’un des nombreux projets du réseau Framasoft qui ne vit que par vos dons. Pour en assurer la pérennité et le développement, merci de soutenir notre association si vous le pouvez/souhaitez.

Original post of Framablog.Votez pour ce billet sur Planet Libre.