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crowd42 : Installer vos logiciels sous Windows à la manière GNU/Linux

vendredi 26 avril 2013 à 00:13

Avant d’aller plus loin, une petite mise en garde. J’ai pour habitude de ne pas publier des billets en relation avec Windows, pour une simple raison : j’aime tester les astuces et logiciels dont je parle avant de les poster. Avec Windows ce n’est pas possible parce que je ne dispose d’aucun ordinateur sous cet OS, et je ne compte pas changer cette donne.

Le logiciel sujet de ce billet, je l’ai découvert ce matin en lisant mon lecteur de flux (le fabuleux KriSS feed). Je ne l’ai pas essayé, je ne sais pas donc s’il fonctionne parfaitement ou pas, s’il bug ou pas. J’ai juste pensé que certains GNU/Linuxiens, seront ravis de retrouver un semblant de confort quand ils utiliseront Windwos.

Ce soft est Chocolatey, il permet -depuis l’invite de commande de Windows (PowerShell)- d’installer, désinstaller ou mettre à jour les logiciels comme le fait un gestionnaire de paquets sous GNU/Linux.

hero

Pour l’installer, copier/coller la commande suivante dans votre invite de commande, et exécuter la :

@powershell -NoProfile -ExecutionPolicy unrestricted -Command "iex ((new-object net.webclient).DownloadString('http://chocolatey.org/install.ps1'))" && SET PATH=%PATH%;%systemdrive%\\chocolatey\\bin

L’utilisation de Chocolatey est simple, pour installer un programme, vous tapez ceci :

cinst logiciel

Chocolatey va alors chercher dans ses dépôts pour trouver la plus récente version du logiciel que vous cherchez et va l’installer. Pour l’instant, 829 programmes sont recensés dans les dépôts.

Vous voulez désinstaller un logiciel ? Tapez :

cuninst logiciel

Pour le mettre à jour :

cup logiciel

Pour mettre à jour tous les programmes :

cup all

J’espère que ça vous sera utile :)

source

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Denis Szalkowski : Déni de service et spam de commentaires sur WordPress

jeudi 25 avril 2013 à 17:43

Depuis samedi dernier, ce site est victime de spams de commentaires. Je ne sais d’ailleurs pas dire, hélas, s’il s’agit là d’une conséquence ou d’une cause de nombreuses tentatives dénis de service. Il y a beaucoup d’outils pour y faire face. Pour isoler les noms de machines des différents assaillants, j’ai installé et utilisé iftop ! L’essentiel des « attaques » provienne de Chine et des pays de l’Est.

Plutôt que d’utiliser GeoIP au niveau d’Apache ou de Iptables pour isoler ces pays « belliqueux », je me suis appuyé sur les adresses Ip des spams de commentaires pour les bloquer au niveau de Iptables et de Apache. Je ne tiens pas à bloquer les spiders de Yandex et de Baidu ! Je me suis appuyé sur le site DB-IP pour savoir d’où provenaient ces requêtes. Même si je suis quelque peu sceptique quant à son utilisation, l’autre alternative est d’utiliser Fail2Ban. Je ne m’y suis pas risqué encore pour l’instant ! Je n’ai pas suffisamment de temps de cerveau disponible pour m’y consacrer totalement.

DB-IP

Collecter les adresses Ip des spams de commentaire

Équipés d’Askimet, les sites WordPress que j’édite sont réglés de façon à classer parmi les indésirables tout commentaire possédant plus d’un lien. La requête ci-dessous vous permettra de collecter les adresses Ip de ces spams de commentaires :

SELECT comment_author_IP
FROM wp_comments
WHERE comment_approved != 1

Iptables (pour le dédié)

Depuis samedi, j’ai ajouté les règles suivantes mon fichier de configuration qui, sous CentOS, se situe dans /etc/sysconfig/iptables . Cette opération n’est possible que sur de l’hébergement dédié !

-A INPUT -p tcp -m tcp -m multiport -s 110.85.0.0/16 -i eth0 --dports 80,443 -j DROP
-A INPUT -p tcp -m tcp -m multiport -s 110.86.0.0/16 -i eth0 --dports 80,443 -j DROP
-A INPUT -p tcp -m tcp -m multiport -s 112.101.64.0/24 -i eth0 --dports 80,443 -j DROP
-A INPUT -p tcp -m tcp -m multiport -s 112.111.0.0/16 -i eth0 --dports 80,443 -j DROP
-A INPUT -p tcp -m tcp -m multiport -s 120.37.210.50 -i eth0 --dports 80,443 -j DROP
-A INPUT -p tcp -m tcp -m multiport -s 121.205.0.0/16 -i eth0 --dports 80,443 -j DROP
-A INPUT -p tcp -m tcp -m multiport -s 142.0.138.0/24 -i eth0 --dports 80,443 -j DROP
-A INPUT -p tcp -m tcp -m multiport -s 142.4.0.0/16 -i eth0 --dports 80,443 -j DROP
-A INPUT -p tcp -m tcp -m multiport -s 175.42.0.0/16 -i eth0 --dports 80,443 -j DROP
-A INPUT -p tcp -m tcp -m multiport -s 175.44.0.0/16 -i eth0 --dports 80,443 -j DROP
-A INPUT -p tcp -m tcp -m multiport -s 176.9.51.134 -i eth0 --dports 80,443 -j DROP
-A INPUT -p tcp -m tcp -m multiport -s 178.33.45.0/24 -i eth0 --dports 80,443 -j DROP
-A INPUT -p tcp -m tcp -m multiport -s 192.162.19.0/24 -i eth0 --dports 80,443 -j DROP
-A INPUT -p tcp -m tcp -m multiport -s 192.74.240.0/24 -i eth0 --dports 80,443 -j DROP
-A INPUT -p tcp -m tcp -m multiport -s 192.74.240.0/24 -i eth0 --dports 80,443 -j DROP
-A INPUT -p tcp -m tcp -m multiport -s 198.200.37.0/24 -i eth0 --dports 80,443 -j DROP
-A INPUT -p tcp -m tcp -m multiport -s 198.204.228.0/24 -i eth0 --dports 80,443 -j DROP
-A INPUT -p tcp -m tcp -m multiport -s 204.93.60.0/24 -i eth0 --dports 80,443 -j DROP
-A INPUT -p tcp -m tcp -m multiport -s 212.59.0.0/16 -i eth0 --dports 80,443 -j DROP
-A INPUT -p tcp -m tcp -m multiport -s 216.152.252.99 -i eth0 --dports 80,443 -j DROP
-A INPUT -p tcp -m tcp -m multiport -s 216.172.147.0/24 -i eth0 --dports 80,443 -j DROP
-A INPUT -p tcp -m tcp -m multiport -s 216.59.0.0/16 -i eth0 --dports 80,443 -j DROP
-A INPUT -p tcp -m tcp -m multiport -s 217.195.202.34 -i eth0 --dports 80,443 -j DROP
-A INPUT -p tcp -m tcp -m multiport -s 218.10.17.0/24 -i eth0 --dports 80,443 -j DROP
-A INPUT -p tcp -m tcp -m multiport -s 222.77.0.0/16 -i eth0 --dports 80,443 -j DROP
-A INPUT -p tcp -m tcp -m multiport -s 27.153.186.0/24 -i eth0 --dports 80,443 -j DROP
-A INPUT -p tcp -m tcp -m multiport -s 27.159.0.0/16 -i eth0 --dports 80,443 -j DROP
-A INPUT -p tcp -m tcp -m multiport -s 36.248.0.0/16 -i eth0 --dports 80,443 -j DROP
-A INPUT -p tcp -m tcp -m multiport -s 36.250.0.0/16 -i eth0 --dports 80,443 -j DROP
-A INPUT -p tcp -m tcp -m multiport -s 37.59.151.0/24 -i eth0 --dports 80,443 -j DROP
-A INPUT -p tcp -m tcp -m multiport -s 5.158.0.0/16 -i eth0 --dports 80,443 -j DROP
-A INPUT -p tcp -m tcp -m multiport -s 5.164.0.0/16 -i eth0 --dports 80,443 -j DROP
-A INPUT -p tcp -m tcp -m multiport -s 58.22.0.0/16 -i eth0 --dports 80,443 -j DROP
-A INPUT -p tcp -m tcp -m multiport -s 58.62.183.247 -i eth0 --dports 80,443 -j DROP
-A INPUT -p tcp -m tcp -m multiport -s 80.93.0.0/16 -i eth0 --dports 80,443 -j DROP
-A INPUT -p tcp -m tcp -m multiport -s 87.98.166.0/24 -i eth0 --dports 80,443 -j DROP
-A INPUT -p tcp -m tcp -m multiport -s 89.137.227.23 -i eth0 --dports 80,443 -j DROP
-A INPUT -p tcp -m tcp -m multiport -s 91.231.40.0/24 -i eth0 --dports 80,443 -j DROP
-A INPUT -p tcp -m tcp -m multiport -s 91.232.75.0/24 -i eth0 --dports 80,443 -j DROP
-A INPUT -p tcp -m tcp -m multiport -s 91.232.96.0/24 -i eth0 --dports 80,443 -j DROP
-A INPUT -p tcp -m tcp -m multiport -s 91.236.74.0/24 -i eth0 --dports 80,443 -j DROP
-A INPUT -p tcp -m tcp -m multiport -s 95.65.0.0/16 -i eth0 --dports 80,443 -j DROP
-A INPUT -p tcp -m tcp -m multiport -s 95.79.0.0/16 -i eth0 --dports 80,443 -j DROP

.htaccess pour le mutualisé

Ce que vous pouvez faire dans le cadre d’un hébergement mutualisé, c’est d’ajouter ces quelques lignes à votre fichier .htaccess :

Order allow,deny
Allow from all
Deny from .sistrix.net
Deny from .su .lt .ua .ro .ru .pl .cz .id .au .sg .jp .cn .pw .su .vg .il .xn--*
Deny from 110.86
Deny from 112.101.64
Deny from 112.111
Deny from 120.37.210.50
Deny from 121.205 142.0.138
Deny from 142.4
Deny from 175.42
Deny from 175.44
Deny from 176.9.51
Deny from 178.33.45
Deny from 192.162.19
Deny from 192.74
Deny from 198.200.37
Deny from 198.204.228
Deny from 204.93.60
Deny from 212.59
Deny from 216.59
Deny from 216.172.147
Deny from 216.152.252.99
Deny from 217.195.202.34
Deny from 218.10.17
Deny from 222.77
Deny from 27.153.186
Deny from 36.250.177
Deny from 37.59.151
Deny from 5.158
Deny from 5.164
Deny from 58.22
Deny from 80.93
Deny from 87.98.166
Deny from 89.137.227.23
Deny from 91.231.40
Deny from 91.232.96
Deny from 91.236.74
Deny from 91.236.75
Deny from 95.65
Deny from 95.79

Conclusion provisoire

Depuis samedi, les choses vont beaucoup mieux, même si j’ai régulièrement des lenteurs dues à des attaques venues d’autres serveurs. Cette liste est susceptible de connaître des évolutions dans les jours et les mois qui viennent.

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Articles similaires

crowd42 : Un guide sur l’anonymat et la protection de la vie privée sur Internet

jeudi 25 avril 2013 à 13:49

Quelques lignes pour vous présenter cette vidéo que découvre via Twitter(en fait ce n’en est pas une, mais juste une bande son), j’espère que les admins et modérateurs du Planet Libre ne m’en voudront pas pour ce court billet.

C’est un petit guide avec plein de conseils sur l’anonymat et la protection de la vie privé sur Internet d’une heure. Il est clairement destiné essentiellement aux débutants qui ne sont pas encore familiers avec ce sujet.

Bref, bonne écoute :)

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Xavier Chotard : FreeBSD vs DragonflyBSD : Episode 2

jeudi 25 avril 2013 à 08:00

Dans l'épisode 1 je signalais des freezes à répétition sur DragonflyBSD fonctionnant dans VMware. Le problème s'est reproduit sur une autre VM qui avait été épargnée jusqu'ici. J'ai donc migré de VMware à VirtualBox (il suffit de créer une VM en utilisant le disque .vmdk existant, puis de changer le contrôleur IDE en SAS) pour voir si les choses s'améliorent.

Les warning kernel qui s'affichaient semblent avoir disparu... en revanche j'ai toujours des avertissements relatifs à "sendmail/postfix" (quoi ? sendmail ? je me suis battu des heures pour qu'il se taise car j'utilise postfix !! ). L'autre point étrange c'est que je reçois par mail des rapports de fonctionnement (logwatch) qui me signalent l'existence de vulnérabilités dans les paquets tiers installés :

Fetching package vulnerabilities database:

Checking pkgsrc packages for vulnerabilities:
Package perl-5.14.2nb5 has a arbitrary-code-execution vulnerability, see http://secunia.com/advisories/51498/
Package perl-5.14.2nb5 has a denial-of-service vulnerability, see http://secunia.com/advisories/52472/
Package dovecot-2.1.9 has a denial-of-service vulnerability, see http://secunia.com/advisories/51455/
Package curl-7.27.0 has a remote-system-access vulnerability, see http://secunia.com/advisories/52103/
Package curl-7.27.0 has a remote-information-disclosure vulnerability, see http://secunia.com/advisories/53051/
Package scmgit-base-1.7.12nb1 has a man-in-the-middle-attack vulnerability, see http://secunia.com/advisories/52361/

C'est très bien mais... que puis-je faire ? Ces logiciels ont été installés à partir de pkgin et ils sont déjà à jour. A quoi bon me signaler l'existence de vulnérabilités puisque je ne peux rien faire à part attendre que ce soit corrigé dans les dépôts de pkgin ? Mieux : pourquoi y a-t-il autant de vulnérabilités sur les logiciels fournis par pkgin ???

Du côté de FreeBSD difficile de juger, puisque l'outil pkgng (équivalent de pkgin) n'est pas pleinement utilisable. En effet les dépôts publics sont fermés depuis plusieurs mois suite à des problèmes de sécurité ! Donc le seul moyen de tester pkgng c'est de créer vous-même votre dépôt... Ce que je n'ai pas vraiment envie de faire.

DragonflyBSD offre beaucoup de points intéressants, mais semble avoir des problèmes de comportement en environnement VMware et avec certains logiciels tiers. FreeBSD est encore en phase de transition vers pkgng mais se comporte plutôt bien dans les différents cas où je l'ai testé.

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Framablog : En avant la musique libre ! Interview de Martin

jeudi 25 avril 2013 à 04:57

Avant d’être un outil, le logiciel est une création de l’esprit. Et pour les programmeurs les plus inspirés, le code peut s’apparenter à une création artistique. Il est donc logique que la défense et la promotion du logiciel libre soient assez vite allées de pair avec la volonté de rendre libres d’autres créations de l’esprit, d’autres domaines artistiques.

La culture, bien vite, a exploré cette nouvelle façon d’aborder l’échange des créations de l’esprit… La musique a été un des premiers domaines où des expériences libres ont eu lieu à grande échelle. Martin, un tout jeune étudiant qui a conçu le site Framazic, nous parle du tournant culturel pris par l’association Framasoft.

— Pouhiou

Framablog : Tu as proposé le site Framazic lors d’un projet de stage… À quel besoin voulais-tu répondre avec ce projet ?

Le but principal de Framazic est de faire découvrir la musique libre, aussi bien d’un point de vue théorique que pratique.

En tout cas, l’objectif de Framazic n’était pas de créer une plateforme d’hébergement de musique, mais bien de mettre à disposition une porte d’entrée vers la musique libre.

Malgré tout, tu as proposé ce site culturel à une association qui a « Soft », donc « logiciel », dans son nom… Tu ne craignais pas le refus ? Ce fut bien reçu ?

En réalité, ce n’est pas moi qui ai eu l’idée de Framazic. C’est un projet qui traînait dans les cartons de Framasoft depuis bien longtemps, et que j’ai repris et adapté à ce que je voulais qu’il devienne. Certes Framasoft est né du logiciel libre, mais la perspective « Culture libre » n’est pas nouvelle et a mûri progressivement. Le projet Framabook est un bon exemple à ce titre : partie des manuels de logiciels libres, la collection s’est vite étendue à la BD, à l’essai, et même récemment au roman. Cependant là où Framazic fait figure d’exception dans le réseau de projets, c’est que c’est le premier consacré uniquement à la culture libre.

Donc pour répondre à la question, bien sûr que ce fut bien reçu !

J’imagine que tu as suivi la sortie de Framazic avec intérêt… Quel accueil a-t-il reçu ? Es-tu content des résultats obtenus, de ce qu’ils apportent… ?

J’ai été très agréablement surpris en voyant que des sites d’information comme PcInpact, Écran.fr et d’autres avaient repris l’information. On a aussi eu droit à 5 pages dans le Linux Essentiel d’octobre-novembre. De manière générale, le projet a été très bien reçu. Les commentaires et témoignages que l’on a pu recevoir étaient très encourageants. Ça fait réellement plaisir de voir que Framazic a pu être utile pour d’autres personnes, surtout quand on s’est beaucoup investi pour le créer.

Le libre est né en même temps que le logiciel. Pour la musique (et les autres créations artistiques), c’est différent : un marché, un écosystème et des règles de fonctionnement existaient déjà… Est-ce que le libre a une chance dans le monde culturel ?

Je l’espère ! Précisons que la musique libre ne s’est pas créée à partir de rien : les pratiques d’échange et de mise à disposition existent depuis bien longtemps. L’avantage de la musique libre c’est d’offrir un cadre légal, pratique et clair à la diffusion. On en voit toute son utilité avec la diffusion numérique.

Je pense que tout le monde peut se retrouver dans la musique libre, les artistes, « petits » comme « grands », les mélomanes et les diffuseurs. Même si la musique libre implique un changement radical de modèle de diffusion, je pense qu’elle pourra trouver sa place. Mais là où tu as raison, c’est que le système médiatique est très fermé. Ça peut être un frein, mais il y a d’autres moyens de se faire connaître. La musique libre n’est pas l’œuvre de quelques illuminés marginaux. Il y a, je pense, un début de mouvement de masse. Par exemple, Jamendo a réussi à percer dans le grand public. Je vous invite à faire un tour sur framazic.org pour plus de détails sur tous ces points.

Entre nous, ton premier coup de cœur culturellement libre, c’est quoi ?

En musique, j’avais découvert Tryad il y a quelques années. Un grand classique en matière de musique libre, qui m’a fait entrer dans ce monde. Je l’écoute encore régulièrement. Je suis resté très attaché à ce collectif d’artistes. C’est d’ailleurs pour ça que les trois premières chansons de la compilation de Framazic sont de Tryad. Je pense que c’est un bon exemple pour montrer ce que de bons musiciens peuvent faire arriver à faire en musique libre.

Crédit photo : Julien Reitzel CC-by-sa

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