Dans cet épisode réalisé en pleine semaine du Revenu de Base, Stanislas Jourdan nous propose un point sur l’initiative Européenne, et nous commente son article qui traite des comparaisons des monnaies numériques paru sur OuiShare et traduit depuis en Français et en Espagnol.

Thierry Crouzet de son côté développe son analyse de la motivation nécessaire pour développer et réaliser une monnaie numérique qui intègre un Revenu de Base et se demande si cela doit passer par la monnaie en place ou bien sur une monnaie fondée sur lui.

Structures pyramidales ou décentralisées, via l’Europe ou via la progression irrésistible des monnaies numériques, la notion de Revenu de Base continue sa progression sur tous les terrains.

• Première pause musicale « Tie ba te » sous licence Art Libre de Lessazo
• Deuxième pause musicale « beauty » cc-by-sa Tryad
• Générique GNUArt « no more dreams » de nighter

Monnaie libre est diffusée sous Licence Creative Commons Attribution 3.0

Original post of Stéphane Laborde.Votez pour ce billet sur Planet Libre.

Flowblade est un éditeur vidéo multi-pistes non-linéaire, conçu dans le but de fournir une solution de montage simple et facile à prendre en main sous GNU/Linux. Pour se faire une petite idée de ce qu’il propose on pourra préciser qu’il possède 2 modes de déplacements, 2 modes de finition, différentes options permettant d’insérer, de remplacer ou d’ajouter un clip à une timeline et qu’il permet d’utiliser 5 pistes audio et vidéo. Il possède également différents compositeurs d’images permettant de mixer, zoomer, déplacer ou de faire pivoter une source vidéo et il supporte les formats audio/vidéo les plus courants : JPEG, PNG SVG, mpeg2 mp4, h264, Theora, mp2, mp3, ac3 etc.

Ce n’est bien entendu qu’un petit résumé de la bête, qui vous l’avez quand même compris va vous permettre de faire déjà un bon paquet de choses. Depuis la première fois que j’ai croisé la route de Flowblade celle-ci a bien évolué et sa publication en version 0.10 a encore renforcé cette application qui embarque quelques nouveautés intéressantes, *mais aussi quelques vieilleries embarrassantes.

On peut relever en vrac pour cette nouvelle version :

• Une nouvelle fenêtre de mixage audio avec Vumètre + gain
• L’apparition de marqueurs pouvant désormais être placés pour identifier différentes positions sur une timeline
• Les séquences d’images et de trames numérotées peuvent désormais être importées en tant que médias
• L’apparition de différents préréglages de rendu pour les types de fichiers couramment utilisés
• La mise à jour de l’interface graphique qui embarque plus de 20 nouvelles icônes et boutons personnalisés
• La position des onglets est désormais personnalisable
• L’ajout d’une fenêtre de raccourcis clavier (Aide> Raccourcis clavier)

Et bien d’autres choses encore…

Si vous voulez plus de détails vous pouvez consulter l’annonce de sortie complète en vous rendant sur cette page.

*Vieillerie embarrassante :

Je voulais tester un peu cette application histoire de faire quelques screens de plus et de ressortir ma vidéo du bon vieux Scrat pour l’occasion, mais je me suis aperçu qu’elle ne fonctionnait pas chez moi. Je me suis alors rappelé du souci que j’avais rencontré la première fois que j’avais testé Flowblade et qui résidait dans le fait qu’il faille une résolution d’écran minimale de 1152×864 pour pouvoir l’utiliser. C’est donc apparemment toujours le cas et je trouve ça un peu navrant, bien qu’il faille y mettre un bémol quand même. Contrairement à la première fois ou je l’ai testé je n’ai pas eu de message m’indiquant cette restriction. Je ne peux donc pas affirmer à 100% que cela soit la cause exacte de ce refus d’obtempérer :) et n’ayant pas d’autre PC ou écran chez moi je n’ai pas pu vérifier…

Cela dit, si ça vous tente et que vous avez un écran qui puisse faire l’affaire, vous pouvez vous procurer les .deb ou les sources de Flowblade en passant par la page de téléchargement du site officiel.

Cette nouvelle version de Flowblade est également disponible pour Archlinux via AUR.

Amusez-vous bien.

source

Original post of Noireaude.Votez pour ce billet sur Planet Libre.

Curlew est un logiciel libre basé sur FFMpeg et dédié à la conversion de fichiers, que nous vous avons présenté en détails il n’y a pas longtemps dans ce billet. Il prend en charge un très grand nombre de formats (environ 120) et son interface simpliste rend les opérations de conversion très facile, même pour les gens peu habitués à ce genre de manipulations. Une nouvelle version de Curlew a été publiée récemment, embarquant quelques changements mineurs au niveau de l’interface, diverses corrections de bugs et l’ajout des traductions Tchèque et Basque. Vous pouvez vous rendre sur la page Github du projet pour en savoir un peu plus.

Si vous voulez installer cette nouvelle version de Curlew ou effectuer sa mise à jour, il suffit vous rendre sur cette page. Vous y trouverez tout ce qu’il vous faut pour Fedora, Ubuntu et Archlinux, ainsi que les sources.

Ceux qui tournent sur Ubuntu et dérivés peuvent également passer par le PPA suivant, à l’aide de ces quelques lignes de commande.

Installer Curlew 0.1.20.3 sur Ubuntu et dérivés :

sudo add-apt-repository ppa:noobslab/apps
sudo apt-get update
sudo apt-get install curlew

Désinstaller Curlew 0.1.20.3 :

sudo ppa-purge ppa:noobslab/apps

ou

sudo add-apt-repository -r ppa:noobslab/apps
sudo apt-get update
sudo apt-get remove curlew

Amusez-vous bien.

source

Original post of Noireaude.Votez pour ce billet sur Planet Libre.

Crédit image

Que se cache-t-il derrière le nom de cette extension? Je suppose que vous avez deviné assez rapidement qu’il s´agissait d´un petit outil très utile, offrant la possibilité de réduire des URLs. Pour rappel réduire une URL (Uniform Resource Locators) consiste à raccourcir une adresse web en gardant la même cible, selon un principe assez simple. Un service de réduction d´adresse « URL-shortener » enregistre l´adresse que vous lui soumettez sur un serveur et vous en restitue une nouvelle plus courte. Mais comment est-ce possible ?!!

Avant de vous donner l’adresse réduite, un algorithme vérifie dans la base de donnée du service si la combinaison des deux adresses (la longue et la réduite) existe déjà. Si elle existe il vous affichera celle déjà stockée ou il en créera une nouvelle, qui sera alors ajouté à sa base de données.

Détail important!

Le souci avec les Urls-shorteners c’est le risque de perdre un lien si le service que vous utilisez venait à fermer, ou s’il rencontre un souci sur la base de donnée. C’est pour cette raison que je n’utilise les adresses réduites que dans certain cas et je vous recommande d’en faire autant.

Ceci étant dit je vous propose un extrait de la page Wikipédia qui traite du sujet et qui montre le nombre d´adresse que ces différents services peuvent créer selon le type d´encodage qu´ils utilisent :

Un service comme TinyURL utilise les 26 lettres de l’alphabet et les 10 chiffres (soit 36 caractères) et une longueur maximale de 7 caractères ; il permet donc d’encoder un peu plus de 76 milliards de pages web distinctes. Bit.ly fait la distinction entre les lettres minuscules et majuscules, soit 62 caractères, et utilise actuellement une longueur de clé de 6 caractères, permettant de lier près de 58 milliards de pages.

TinyArro.ws et Doiop autorisent les caractères Unicode, permettant un nombre de liens énorme même pour de petites longueur de clé. Par exemple, même avec 2 caractères par clé, TinyArro.ws peut générer plusieurs milliards de combinaisons. Les caractères Unicode (non ASCII) nécessitent cependant au moins deux octets pour être encodés.

Alors quand utiliser des URL courtes ?!!

Personnellement j’utilise des URLs réduites dans les cas suivants :

• Ajouter une URL dans un commentaire
• Envoyer une URL sur Twitter (qui utilise déjà un système équivalent à la base)
• Enregistrer une adresse trop longue dans un courriel
• Créer une adresse personnalisée pour la retenir plus facilement
• Envoyer une adresse dans un sms

Venons-en maintenant à l’extension Cutyfox, qui se présente sous la forme d’une icône où est représenté un ciseau et qui est placée au niveau de la barre d’adresse. En passant par la page des addons de Firefox vous pourrez ouvrir un menu de paramétrage, où vous disposerez de quelques options avancées.

Ici par exemple vous pourrez activer la copie automatique de l’Url raccourcie vers le presse papier et sélectionner Twitter pour partager vos Urls.

Dans la fenêtre suivante vous pouvez choisir le service de réduction d’Url que vous souhaitez utiliser.

Ici vous pourrez choisir le raccourcis clavier qui « capturera » l’Url dans le presse papier.

Et dans la dernière fenêtre vous pourrez ajuster les préférences de placement de l’icône et décider ou non de voir des notifications.

Étant un grand utilisateur d’Urls raccourcis je trouve ce plugin vraiment très pratique. Il est très rapide (exécution en un clic) et il m’offre la liberté de choisir mon service préféré entre les principaux Urls-shortener.

Pour finir je vous propose d’expérimenter Cutyfox paramétré sur le service is.gd avec l’adresse d’un de nos article :

Avant :

http://la-vache-libre.org/clementine-1-2-rc-disponible-de-nombreux-changements-au-programme/

Après :

http://is.gd/f6K2Ef

Comme vous le voyez il a réduit une url de 85 caractères en une adresse de 12 signes ce qui fait une réduction d’à peu près 85%. Ce n’est pas négligeable et bien plus « propre » à partager.

Si vous souhaitez installer Cutyfox je vous propose le lien vers la page de l’extension, où vous trouverez des informations sur le développeur et sur le bouton pour ajouter Cutyfox à Firefox.

Amusez-vous bien et bonne découpe d’URL :)

Source fonctionnement des Urls shortener Ballajack

Original post of Noireaude.Votez pour ce billet sur Planet Libre.

Après l’épisode 7 des Dev Tips Firefox OS, quels sont les nouveautés ?

• Quelques informations sur le dévelopement sur Firefox OS
• La checklist avant de poster une application sur le Marketplace
• WebAPI : Notifications

Quelques informations sur le développement sur Firefox OS

Lors du développement d’applications Firefox OS, on apprend certains limitations indu au système ou certaines techniques.

Ainsi, votre application ne pourra pas modifier le volume via JavaScript. Donc vous ne pourrez mettre en place vous-même de boutons pour augmenter ou baisser le volume.
Source : https://groups.google.com/forum/?fromgroups#!topic/mozilla.dev.b2g/LMg4kXB1gKo

Il vous est possible de bloquer votre application soit en paysage, soit en portrait. Pour cela, dans le fichier manifest.webapp, il faut définir l’option orientation soit avec la valeur landscape, soit avec la valeur portrait.

La checklist avant de poster une application sur le Marketplace

Avant de mettre votre application sur le Marketplace, vous devez vérifier certains points pour éviter de devoir faire des modifications avant une nouvelle validation.
Voici une checklist des vérifications à faire :

• Tous les liens externes (vers votre site web, vers un autre site) doivent être définis en target=”_blank”
• Tous les ressources statiques doivent être internes. Donc merci d’éviter les CDNs. Par exemple, cela m’a permis de migrer de Google Maps vers OpenStreetMap en embarqué.

Et vous, Quels sont les points que vous vérifiez avant de mettre en ligne ?
Quels points vous ont obligé à faire des modifications et soumettre à nouveau votre application ?
N’hésitez pas à répondre en commentaire et partager votre expérience.

WebAPI : Notifications

Les notifications vont permettre à votre application de prévenir l’utilisateur d’un évènement lié à votre application.

Pour les mettre en place, vous devez d’abord demander la permission desktop-notification via le fichier manifest.webapp :

{
  "launch_path": "/index.html",
  "name": "rootslabs_webnotifications",
  "icons": {
    "16": "default.png",
    "30": "default.png",
    "32": "default.png",
    "48": "default.png",
    "60": "default.png",
    "128": "default.png"
  },
  "permissions": {
    "desktop-notification":{
      "description": "Afficher des notifications"
    }
  }
}

Dans le code, vous devez d’abord créer la notification (window.navigator.mozNotification.createNotification), puis l’afficher (show()). Ensuite, deux triggers qui sont le clic et la fermeture peuvent déclencher deux évènements distincts.

  
    <script>
      // Cree la notification
      notification = window.navigator.mozNotification.createNotification("See this", "This is a notification", 'http://people.mozilla.com/~mwargers/tests/images/fish.gif');
      // Affiche la notification
      notification.show();
      // Evenements : Clic
      notification.onclick = function () {
        window.parent.alert('Notification : CLICK');
      };
      // Evenements : Fermeture
      notification.onclose = function () {
        window.parent.alert('Notification : CLOSE');
      };
    
  

Voici le rendu de la notification du code précédent :

Lien : MDN : navigator.mozNotification

Cet article Firefox OS : Dev Tips #8 est apparu en premier sur RootsLabs.

Original post of Progi1984.Votez pour ce billet sur Planet Libre.