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wilfried caruel : Qpdfview : Le logiciel opensource de la semaine

mardi 24 mars 2015 à 18:41

Présentation qpdfview

screenshot_qpdview-archlinux

Le logiciel de cette semaine est consacré à un lecteur de PDF sous Linux.

Le format « .PDF » est l’un des formats les plus utilisés dans tous les domaines, même si ce format n’est pas opensource , en effet il a été créé par « Adobe Systems » et il reste seul propriétaire même si il est gratuit à utiliser , pour les développeurs, les utilisateurs.
Personnellement, je pense qu’on doit à « adobe systems » tout un tas de logiciels fermés- si je vous dis flash player, photoshop – il est aussi responsable de l’abandon de « flash player » sous Linux.

D’après Wikipédia , la définition est :

Le Portable Document Format, communément abrégé en PDF, est un langage de description de pages créé par la société Adobe Systems et dont la spécificité est de préserver la mise en forme d’un fichier – polices d’écritures, images, objets graphiques, etc. – telle qu’elle a été définie par son auteur, et cela quels que soient le logiciel, le système d’exploitation et l’ordinateur utilisés pour l’imprimer ou le visualiser.

Ce logiciel est « opensource », ce n’est pas le 1er lecteurs PDF que je présente sur ce blog.
Ce logiciel est développé sous le framework « QT » ce qui lui donne un nouveau look.

Concernant les fonctionnalités du logiciel on peut citer :

ainsi que différents affichages :

Il lit :

Ce logiciel est disponible sous la licence « GPLv2 »,

Les fonctionnalités :

La vidéo

Le logiciel a été créé par Adam Reichold .

Mon avis :

Si vous ne  vous rappelez pas de mon avis sur le lecteur « pdfviewer » ,

Mon avis va être aussi rapide que cette présentation.
En effet je n’aime pas ce logiciel que je ne trouve pas joli du tout, par contre, ayant des problèmes de vue, j’aime bien l’utilisation du mode loupe.
Par contre dommage qu’on ne puisse pas combiner le mode loupe et le mode sélection de texte.
Niveaux réglages, c’est quasiment le néant, simplement l’éditeur qu’on souhaite utiliser ainsi que la quantité de caches.
Par contre je trouve regrettable que le logo du logiciel soit semblable à celui de « Acrobat reader »
Je ne vais pas vous dire de tester ce logiciel à part pour ceux utilisant un autre lecteur mais qui aimeraient la fonctionnalité loupe par exemple.

Je n’étais pas vraiment conquis par ce logiciel , concernant celui là , je suis plus optimiste en effet :
D’abord concernant le graphisme du logiciel je le trouve satisfaisant.
je regrette comparé à « pdfviewer » l’outil loupe , mais il y a le mode « inverser les couleurs » qui semble pas mal en mode faible luminosité.
Le logo a été travaillé pour ne pas ressembler à celui de l’entreprise qui a créé le format.
J’aime bien ses différents types d’affichage , les raccourcis clavier que je n’utilise pas mais que vous allez sûrement utiliser histoire d’être plus productif.
Ce qui est appréciable concernant ce logiciel c’est sa personnalisation.
Je vous recommande de tester ce logiciel.

Installation :

ArchLinux

pacman -S qpdfview

Debian

sudo apt-get install qpdfview
Liens :

Site officiel

Téléchargement

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Romaine Lubrique : Krazy Cut, le fol atelier BD à Bruxelles

mardi 24 mars 2015 à 09:44

Le samedi 7 février dernier, c'était Journée du domaine public à Bruxelles. Nous y étions et ce qui nous a particulièrement frappé fut l'hommage rendu à George Herriman [1], dessinateur du mythique Krazy Kat. Un atelier de bande dessinée ludique, créatif et participatif dont nous pourrions bien nous inspirer pour la prochaine édition du festival.

Un dispositif parfaitement pensé

Le plus simple est peut-être de commencer par une petite vidéo pour se mettre de suite dans l'ambiance...

Ça s'active hein ? Nous nous trouvons au foyer-bar du non moins mythique Cinéma Nova, haut lieu de la scène alternative culturelle de Bruxelles, pour un worshop « Krazy Cut » ainsi présenté :

Krazy Kat est parvenu jusqu'à nous grâce à la force plastique que dégage son dessin et l'étrangeté enjouée de son univers. Son arrivée dans le domaine public est l'occasion d'autopsier le talent d'Herriman, et cela littéralement : avec un scalpel et de la colle.

Les organisateurs [2] avaient vraiment bien fait les choses en apportant cutters, colle, Tipp-Ex et feutres, mais aussi et surtout en mettant à disposition de nombreuses photocopies A3 de planches de Krazy Kat.

Les participant(e)s étaient invité(e)s à prendre les planches de leur choix et donner libre cours à leur imagination. Sur une table, non pas tant des consignes que des pistes, des suggestions : Obsessive Herriman, Erased Herriman, Saturated Herriman... (au nombre de huit, vous en trouverez le savoureux détail en annexe ci-dessous)

Co-pillage, collage, évidage, remixage, etc. Tout le monde s'y est mis avec une belle énergie.

Je ne sais pas si vous avez remarqué mais, pour une fois, aucun ordinateur sur les tables (mais quelques bières, Belgique oblige). Cela fait aussi du bien d'être créatif hors du numérique ;)

Petite sélection

Impressionnant. Le site GrandPapier a mis en ligne quelques créations réalisées ce jour-là (cliquer dessus pour agrandir).

-> D'autres réalisations sur GrandPapier

Voilà. La capitale de la bande dessinée a une fois de plus bien mérité son nom. Une belle occasion de découvrir ou redécouvrir l'œuvre de Herriman en se l'appropriant. Et que vive et revive ainsi le domaine public !

Annexe : Les consignes dans le détail

Obsessive Herriman
Rassembler sur une planche ou sur une page le même élément ou la même action. L'élément peut être une case toute entière ou un élément isolé.
Le lancer de brique vient immédiatement à l'esprit mais ce peut être justement autre chose : le saut, l'attente, le sommeil, le point d'exclamation.

Erased Herriman
Choisir une planche et en faire disparaître certains éléments, soir par la découpe, soit par recouvrement, soit avec du Tipp-Ex.
On peut par exemple ne garder qu'une seule fois chaque élément, ou faire disparaître systématiquement un des éléments. On peut ainsi vider certains phylactères, ou faire disparaitre tous les textes ou encore ne garder que ceux-ci.

Saturated Herriman
Constituer une page dans laquelle les personnages et éléments sont systématiquement mixés (tête, corps, textes, décors) pour créer une composition ou récit perturbant, entre l'absurde, le grotesque et l'angoissant.
On peut démarrer ce travail sur base d'une page blanche ou planche existante.

Schreded Herriman
Découper une planche unique en bandes horizontales ou verticales ou encore en carrés. Ré-assembler les morceaux obtenus géométriquement pour produire une planche déconstruite et abstraite.
On peut employer pour la reconstruction deux systèmes de permutation rigoureux, assembler de manière graphique ou aléatoire.

Minimum Herriman
Sur une page blanche, isoler des signes provenant de planches, les assembler en recherchant l'abstraction plastique ou narrative, et en s'arrêtant avant d'arriver à la lisibilité de la narration.
Peut-on reconnaître du Herriman juste avec quelques traits ? Peut-on comprendre une planche avec 3 ou 4 actions isolées et remontées ?

Ellipsed Herriman
Réduire une histoire à 2 moments, symbolisés par une case ou un élément.

Mashup Herriman
Uniquement à partir d'éléments provenant de 2 pages ou plus, constituer un nouveau récit qui tienne.
Il est intéressant de tenter d'approcher le style de Krazy Kat, mais il est aussi possible de créer un récit plus éloigné.

Expanding Herriman
Coloniser une planche d'éléments exogènes issus de revues et livres.
Les éléments importés peuvent être graphiques ou textuels. Ils peuvent interférer avec la narration, amener une lecture différente du récit, constituer une histoire dans l'histoire. L'intervention peut être poétique, politique ou encore érotique.


[1] George Herriman étant mort en 1944, il est entré dans le domaine public européen le 1er janvier 2015.

[2] Les auteurs de BD Stéphane Noël et Pascal Matthey, ainsi qu'Erwin Dejasse venu proposer une mise en contexte de cette œuvre hors catégorie.

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Romaine Lubrique : Le Clavier bien tempéré de Bach, directement dans le domaine public !

lundi 23 mars 2015 à 18:58

En partenariat avec Wikimédia France, nous avions programmé avec succès un concert de musique classique en janvier dernier lors du 1er Festival du domaine public (voir ci-dessous).
Il s'agissait de la pianiste Kimiko Ishizaka, du projet Open Goldberg Variations, qui présente la particularité de placer les enregistrements de ses interprétations directement dans le domaine public [1] (non sans avoir été financée en amont par crowdfunding [2]). La musique devient alors pleinement un bien commun mis à disposition de tous.

Après Les Variations Goldberg, voici que sort Le Clavier bien tempéré , pile au moment du 330ème anniversaire de la naissance de Johann Sebastian Bach.

Les spécialistes s'accordent à dire que c'est excellent. Extraits.

Vous pouvez écouter tout le (double) album ci-dessous. Pour télécharger les fichiers, rendez-vous sur le site du projet [3]. On vous proposera non seulement le format MP3 mais aussi les libres OGG et FLAC (sans perte).

Comme pour Les Variations Goldberg, on trouvera bientôt les partitions sous licence libre (et en braille également).

Pour aller plus loin, 3 articles que j'avais mis en ligne sur le Framablog :

Présentation du concert du 25 janvier 2015

Un concert de musique classique un dimanche après-midi dans une église ? En apparence aucune originalité, et pourtant...

Les gens s'étonnent parfois de ne pas trouver du Bach ou Chopin à télécharger légalement sur Internet puisque « ils sont morts depuis longtemps ». En effet ils sont depuis longtemps entrés dans le domaine public mais l'interprétation est également soumise à des droits d'auteur (les droits voisins pour être précis dont la durée est fixée à 70 ans après la publication de l'œuvre).

Sauf si l'interprète décide volontairement de céder ses droits et de mettre tout de suite ses enregistrements dans le domaine public et en libre accès sur Internet.

Tel est l'objectif du projet Open Goldberg Variations mené par Robert Douglass, américain vivant en Allemagne et marié à la pianiste japonaise Kimiko Ishizaka.

Mais, attention, tout ceci a un coût légitime. Il ne s'agit pas de faire cela gracieusement. On finance en amont l'opération par crowfunding en invitant les internautes à adhérer et souscrire au projet. Il a ainsi été demandé et obtenu près de 30.000 euros pour enregistrer dans de bonnes conditions les Variations Goldberg de Johann Sebastian Bach. Le résultat se retrouve sur un site dédié : non seulement des fichiers haute définition de ces enregistrements (du FLAC et pas que du .mp3) mais également les partitions, elles aussi aussi soumises normalement aux droits de l'éditeur. Nous ne sommes plus ici dans une économie de rentes qui prévaut dans la culture (toucher des droits à chaque utilisation de l'œuvre). C'est devenu « gratuit » parce que cela a déjà été payé, une fois pour toutes.

Wikipidia peut s'en emparer pour enrichir ses articles, un réalisateur les inclure dans son film sans demander autorisation ni somme à débourser. un professeur de musique les faire écouter sans craintes à ses élèves…

En attendant l'entrée de Glenn Gould dans le domaine public en 2053, merci Kimiko Ishizaka et le projet Open Goldberg Variations pour cette autre et libre interprétation de qualité et bienvenue dans le festival !


[1] Sous licence CC0.

[2] Le projet a été financé en novembre 2013 sur Kickstarter (à hauteur de 40.000 $).

[3] C'est payant, sauf si vous choisissez 0 € dans le formulaire ;) Mais n'hésitez pas à soutenir ce projet qui le mérite.

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alterlibriste : Emission spéciale de NipSource consacrée à Firefox OS

lundi 23 mars 2015 à 16:51

Le podcast NipSource, dont j’ai fait la présentation il y a peu, a consacré une émission hors-série sur le thème de Firefox OS en invitant Christophe Villeneuve qui semble très impliqué dans les technologies et le libre.
Pour lui poser des questions : Captain Posix qui a utilisé Firefox OS 1.3 sur un Geeksphone Revolution mais est depuis repassé sous Android (la version 2.0 est maintenant fournie par le constructeur, au cas où l’expérience le retenterait) et Mika, l’animateur principal du podcast qui a déjà développé des applications pour Firefox OS mais n’est pas utilisateur su système. Des questions des auditeurs ainsi que d’Héloïse, animatrice qui ne pouvait participer à l’émission mais utilisatrice au quotidien, ont été relayées par les animateurs.

Je vais tenter de vous faire un résumé de l’émission car peu de choses nouvelles en sont sorties (les commentaires apportent par contre certaines précisions et un débat intéressants) et les animateurs en sont venus à une conclusion un peu amère que je partage.

D’abord les sujets qui n’ont pas été abordés : ce que propose Firefox OS ou ce qui lui manque pour une utilisation "classique". Si vous voulez découvrir ce qu’est Firefox OS, inutile d’écouter l’émission, elle ne vous apprendra rien, elle porte essentiellement sur la technique et le point de vue développeur, admin sys, ou hacker.
N’est pas abordé non plus l’aspect "business model" de Mozilla avec Firefox OS bien que le sujet des revenus ait été posé par rapport au Market.

La grosse déception de l’émission vient du fait que l’on ne sait pas vraiment en quelle qualité intervient l’interlocuteur et on se demande si les questions posées sont réellement de son ressort, voire même s’il n’a pas été briefé pour ne pas aborder certains sujets ou donner certaines réponses. Surtout, il ne donne jamais son avis sur ce qui pourrait être bien ou pas bien de faire, il reste neutre et ne se mouille jamais alors qu’il semble avoir de nombreuses compétences par ailleurs.

Bref, si vous avez suivi l’actualité de Firefox OS sur la blogosphère ou sur Diaspora*, vous n’apprendrez pas grand chose. Malgré tout, voici un résumé :

La première conclusion des intervieweurs est donc que Firefox OS n’est pour l’instant pas du tout adapté pour les plus barbus. Comme le code source est libre, il faudra un fork pour l’orienter dans cette direction.
La deuxième conclusion/déception, c’est que même si le code est libre et a été perçu comme une voie de salut par les libristes (par rapport aux autres OS mobiles), ce n’est pas l’objectif de fournir un téléphone totalement libre, mais un téléphone bon marché accessible aux pays émergents.
L’interview tente de terminer sur une note positive en abordant les nouveaux appareils sur lesquels sera déployé Firefox OS : nouveaux téléphones, tablettes, Raspberry Pi, télévisions, montres connectées.

Vous pouvez un peu comprendre la déception qu’est la mienne tout comme doit être celle des bidouilleurs et libristes en tout genre.
Genma, très investi dans la communauté sur le sujet, a récemment eu l’occasion de marquer sa déception avec l’annonce du prochain téléphone sous Firefox OS par ZTE, soulevant le problème de l’obsolescence rapide des téléphones s’ils ne sont pas mis à jour par les constructeurs alors que nous nous attendions a un système évolutif contrairement aux systèmes propriétaires.
Si le côté outil de développement et accès facile aux entrailles du système me dérange peu car effectivement, si on vise un public non technique, c’est la facilité d’utilisation, la praticité et l’esthétique qui importent, par contre, le fait de ne pas prendre en compte du tout la communauté libriste en offrant la possibilité d’avoir un système entièrement libre me gène quand même beaucoup ; une petite icône supplémentaire dans le Market précisant si l’appli est libre serait beaucoup plus utile que de savoir à quel âge on peut utiliser l’appli et surtout si on est le produit ou pas (car une appli propriétaire a forcément un intérêt à nous fournir un service contrairement à une appli libre).
Et encore une fois, le fait que Mozilla ne précise pas comment il souhaite gagner de l’argent est embêtant car tout en se vantant d’être libre, il ouvre la porte aux applis propriétaires et aux annonceurs potentiels (puisque l’effort n’est pas fait pour avoir par défaut des moteurs de recherche libre, bloquer les publicités et signaler les applis propriétaires) qui s’ils ne sont pas mauvais par défaut semblent malgré tout leurs seuls moyens de subsistance. La possibilité de totalement les éviter par choix (de protection de la vie privée notamment) en est du coup compromise.

Finalement, après avoir eu l’impression de s’être fait entubé par les constructeurs et distributeurs (mais ce n’est pas une nouveauté puisqu’ils ont pour objectif de nous vendre le plus de téléphones possibles) qui par ailleurs ont pourtant bien profité de la communauté pour se faire de la publicité, on se rend compte petit à petit que nous ne faisons pas partie de la cible visée et que rien ne sera fait pour cela. Nous aurions pourtant pu participer à l’essor du marché en conseillant le système à nos proches peu versés dans la technologie. Sauf que si on ne peut le paramétrer pour qu’il soit plus libre qu’un autre et que son évolution est bloquée à la version installée au moment de l’achat, à quoi bon continuer à le conseiller ?

Ceci dit, je continue à apprécier Firefox OS et les nouveautés vont dans le bon sens mais alors que nous essuyons les plâtres avec bonne humeur, il ne faudrait pas trop longtemps nous prendre pour les dindons de la farce.

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genma : Lila et le studio Girin

lundi 23 mars 2015 à 09:00

Qu'est ce que Lila

Pour expliquer LILA, je citerai un de ses membres fondateurs on peut nous comparer à l'APRIL, sauf qu'on va se concentrer sur les Logiciels Libres de création (image, vidéo, son, etc. Donc GIMP, Blender, Inkscape, Scribus, Ardour/Audacity, etc.), et aussi on travaille beaucoup avec les licences Creative Commons Libre (cc-by, cc-by-sa…), et Art Libre. Le site de l'association : http://libreart.info/

Une campagne d'adhésion et de soutien va être lancée et le formulaire est disponible en ligne ici :http://libreart.info/fr/adherer.

Le projet ZeMarmot du studio Girin

Nous travaillons actuellement avec l'artiste d'animation Aryeom Han sur un projet d'animation 2D, fait entièrement avec des logiciels Libres. Nous en sommes au tout début, à définir les personnages principaux et secondaires, les choix graphiques, le synopsis…

Le projet ZeMarmot du studio Girin et le site web http://girinstud.io

Le studio a gagné en 2012 un concours de FirefoxFlick avec la vidéo suivante Flicks 2012 Winners : "Firefox and You"

Le mot de Genma

C'est lors d'un apéro de l'association April que j'ai pu rencontré Jehan et Aryeom, deux des membres fondateurs de l'association Lila et nous avons de suite sympathisé. Leur projet m'a beaucoup plus dans l'esprit, à savoir celui de faire des des dessins animés libres et la promotion des logiciels libres pour la création. Ce billet a donc pour but de vous faire découvrir leurs projets et de vous inciter à y participer/les rejoindre, si vous aussi pensez qu'il est important de soutenir ce type d'initiative.

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