PROJET AUTOBLOG


Planet-Libre

source: Planet-Libre

⇐ retour index

Clapico : Me and my Shadow, un jeu libre pour BSD, Linux, Mac et Windows

samedi 8 décembre 2012 à 08:34

Me and My Shadow (mon ombre et moi) est un jeu Open Source dont le but est de trouver comment atteindre la sortie à l’aide de son ombre. Le joueur doit exécuter et enregistrer un mouvement afin que son ombre le reproduise.

Il devra sauter par dessus les blocs, en déplacer certains et prendre appui sur son ombre pour atteindre son objectif. Le jeu est livré avec 40 niveaux différents mais le joueur à la possibilité d’en créer de nouveaux à l’aide de l’éditeur de plans.

Ce jeu est disponible pour Windows, Mac OS X, Ubuntu, openSUSE, Arch Linux, Gentoo, AmigaOS 3.x, FreeBSD, Nokia N900 / Maemo 5 et Pandora.

Me and MyShadow n’étant pas dans les dépôts officiels d’Ubuntu, vous ne devez l’installer qu’en toute connaissance de cause en ouvrant un terminal et en entrant la commande pour Ubuntu 12.10 Quantal Quetzal :
sudo add-apt-repository ppa:upubuntu-com/games

ou pour les versions plus anciennes

sudo add-apt-repository ppa:odamite/meandmyshadow-stable

puis, quelque soit la version de votre Ubuntu:

sudo apt-get update

et enfin:

sudo apt-get install meandmyshadow

Vous pouvez lancez Me and my shadow depuis votre dash.

Pour les autres environnements, rendez-vous à la page Download du site officiel de l’application.

Le jeu est disponible dans plusieurs langues mais pas encore en Français. Heureusement, comme le montre la vidéo ci-dessous, il est relativement intuitif.

 

De plus, il existe même un mode de jeu “Tutorial” pour les débutants avec les indications à suivre alors…

Amusez-vous bien.

Source : Up Ubuntu

Gravatar de Clapico
Original post of Clapico.Votez pour ce billet sur Planet Libre.

Denis Szalkowski : Picard surgèle l’emploi informatique !

samedi 8 décembre 2012 à 07:59
Par     8 décembre 2012  - Catégorie(s): Emploi  Emploi

Picard surgèle l'emploi informatique !Ismaël Simoes, responsable infrastructure et sécurité chez Picard, vient de faire le choix de Microsoft Office 365 et de Internet Explorer pour permettre aux salariés des 870 points de vente de communiquer avec le siège. L’entreprise comprend aujourd’hui 4000 salariés. Elle est détenue par le fonds d’investissement britannique Lion Capital. En appliquant le tarif figurant sur le site de l’éditeur, le coût théorique pour les 4000 salariés de l’entreprise serait de 373 152 euros TTC par an. Sur 3 ans, c’est 1 119 456 euros !

Destruction d’emplois

Ce budget représente l’emploi de 7.4 informaticiens sur la base de 2500 euros nets mensuels, auquel il aurait fallu soustraire le coût de l’infrastructure (serveurs, baies de disques, sauvegarde, climatisation, onduleurs, etc). En faisant le choix du logiciel libre, Picard aurait pu créer 5 ou 6 emplois, plutôt que de faire le choix du SaaS et du cloud Microsoft.

Pour Ismaël Simoes, c’eût été un bien plus joli fait d’armes, accroché aux lignes de son CV !

Annexe : tarifs Microsoft Office 365

Tarifs Microsoft Office 365

Dsfc Dsfc

Picard surgèle l’emploi informatique !

7 votes, 2.71 avg. rating (58% score)

Autres articles sur le sujet :

  1. Dis… il est où mon papillon ?
  2. 15e édition de la foire à tout informatique à Saint Pierre des Fleurs
  3. Informatique 2012 – Semaines 10, 11 et 12
  4. Informatique en 2012 – Semaine 4
  5. De l’importance de la veille en informatique !
  6. Informatique en 2012 – Semaine 2
  7. Produire français aussi dans l’informatique !
  8. En informatique, construire la race des saigneurs, aussi !
  9. L’informatique a la tête dans les nuages !
  10. Les impôts moins taxés

Gravatar de Denis Szalkowski
Original post of Denis Szalkowski.Votez pour ce billet sur Planet Libre.

crowd42 : Gnome Legacy sera accessible depuis le gestionnaire de connexion !

samedi 8 décembre 2012 à 03:32

Il y a quelques jours, j’ai publié un billet à propos du rétropédalage des développeurs de Gnome sur leur décision d’abandonner le mode Fallback. Ils avaient en effet décidé, dans un souci de calmer la colère de certains utilisateurs, de supporter le développement de quelques extensions gnome shell, qui permettent d’avoir une interface similaire à celle de Gnome 2.

Cependant, on ignorait comment on pourrait accéder à Gnome Legacy (c’est le nom donné à cette UI), les développeurs vont-ils s’inspirer de l’ancienne méthode ? c’est à dire un bouton dans gnome tweak tool qui permet de basculer entre les deux modes ? Et bien non, ce sera plus classique comme méthode (et plus pratique aussi). Comme l’a expliqué Matthias Clasen sur son blog, Gnome Legacy sera accessible depuis votre gestionnaire de connexion.

…In bug 689304, Florian has added support for external modes. And in bug 689285, Debarshi has added the necessary glue to install a desktop file that runs GNOME shell in classic mode and a session definition that includes this modified shell. The upshot is that we now have a ‘GNOME Legacy’ session appear in the session chooser in the login screen

Si vous souhaitez en savoir plus sur les autres nouveautés de Gnome 3.7, elles sont détaillées dans le billet de Clasen

Cet article Gnome Legacy sera accessible depuis le gestionnaire de connexion ! est apparu en premier sur crowd42.

flattr this!

Gravatar de crowd42
Original post of crowd42.Votez pour ce billet sur Planet Libre.

fredg : De Wordpress à Pelican

samedi 8 décembre 2012 à 00:00

Pour blogguer, je suis passé de Blogger à Wordpress.com et à chaque fois, ma petite motivation pour écrire a dû être supérieure à mon aversion pour l'interface d'édition et de gestion sinon je laissais tomber. Autant dire qu'au fûr et à mesure, cette motivation finit par disparaitre.

Je me suis dit qu'il me fallait (de nouveau) trouver un système de publication plus adapté. Je pensais que mon cahier des charges était compliqué :

Contre toute attente, je suis rapidement tombé sur des moteurs de blogs statiques :

Et là, l'idée m'a séduit, le site généré ne comporte que du HTML/CSS, il peut donc être hébergé facilement car il ne requiert pas de fonctionnalités spéciales de la part de l'hébergeur. L'édition d'articles se fait facilement via votre éditeur de texte favori en utilisant un langage de balisage léger tels que MarkDown ou reStructuredText (rest).

M'étant récemment mis à étudier le langage Python, j'ai tout de suite choisi d'essayer Pelican. Les premiers tests furent conclants, j'ai donc empaqueté Pelican et toutes ses dépendances et ai mis le tout sur le dépôt internet de Salix OS.

J'en ai profité pour fair un énorme tri dans mes articles en ne gardant que l'essentiel. Sachez que Pelican possède un outil d'import pour peu que vous ayez pandoc d'installé sur votre système, sinon, il existe un service en ligne de conversion de HTML vers ReST : SIAFOO.

Installation

La méthode Python

pip install pelican

La méthode Salix

slapt-get -i pelican

Principes

En gros, vous vous mettez dans un dossier vide, vous créez le dossier content dans lequel vous mettez tous vos articles écrits en reStructuredText (.rst), vous lancez :

pelican-quickstart

Vous répondez aux questions posées (URL, nom, ...) et vous obtenez vos fichiers de configuration et un fichier MakeFile qui vous facilitera la vie :

$ make help
Makefile for a pelican Web site

Usage:
make html                        (re)generate the web site
make clean                       remove the generated files
make regenerate                  regenerate files upon modification
make publish                     generate using production settings
make serve                       serve site at http://localhost:8000
make devserver                   start/restart develop_server.sh
ssh_upload                       upload the web site via SSH
rsync_upload                     upload the web site via rsync+ssh
dropbox_upload                   upload the web site via Dropbox
ftp_upload                       upload the web site via FTP
github                           upload the web site via gh-pages

Comme vous le voyez, c'est très simple pour publier un article :

$ vim content/mon_article_super_interressant.rst # édition
$ make publish # construction du site en local (vous pouvez voir le résultat)
$ make rsync_upload # mise en ligne des modifications via rsync et SSH

Voilà, pour un début, ensuite, on peux bien évidemment changer le thème ou faire facilement le sien, mais ce sera pour plus tard ;)

Les commentaires

Oui, on perd la possibilité d'avoir des commentaires, mais sachez qu'il est tout à fait possible de rajouter cette fonction par le biais de DISQUS. Cela reste un service externe sur lequel vous n'avez aucun contrôle, à vous de voir. J'ai choisi de m'en passer. On peut toujours me joindre via l'email, twitter ou via Google+, ça devrait le faire.

Quelques liens

Gravatar de fredg
Original post of fredg.Votez pour ce billet sur Planet Libre.

Pascal Chevrel : Parser des fichiers properties en PHP, ma lib pour composer

vendredi 7 décembre 2012 à 16:27

En début de semaine, mes copains de Mozilla Hispano ont lancé un projet qu'ils préparaient depuis quelques temps déjà, une petite application d'assitance aux utilisateurs pour leur page Facebook. Cette application interroge l'API du site d'assistance officiel de Mozilla (alias SUMO, pour SUpport.MOzilla.org) pour afficher les articles les plus consultés et elle dispose d'un champ de recherche qui propose des articles dans sa langue. Simple, efficace.

Ils m'ont contacté pour que je leur file un coup de main pour la localisation, comme ça l'application est disponible pour les non-hispanophones (et si vous avez un navigateur en français, le lien dans le paragraphe ci-dessus a dû s'afficher en français), j'ai donc ajouté de la détection de langue, de la détection de direction rtl pour le template et un petit système de traducion basé sur des fichier .properties, les fichiers properties viennent de Java mais sont omniprésent aussi en Javascript et sont la base de la traduction des logiciels de Mozilla (Firefox, ou FirfoxOS /ex).

L'application étant en php, l'idée initiale de mes copains étaient d'utiliser parse_ini_file() car la syntaxe des fichiers ini est presque la même que celle des .properties, mais si on veut des properties sans guillemets, avec du support des chaînes multilignes et éventuellement des commentaires, il faudrait mieux que ça, donc je leur ai rapidement créé une librairie pour parser les properties.

Ce n'est pas la première fois que j'écris une fonction ou une classe pour parser des .properties et en fait, je crois que c'est la troisième ou quatrième fois et à chaque fois j'ai fait du code jetable parce que je ne trouvais pas de librairie fiable sur le net (il y en a sûrement, j'ai juste pas trouvé), donc cette fois-ci j'ai décidé que j'allais faire une librairie une bonne fois pour toute et que la prochaine fois que j'aurai à réutiliser des properties, je m'en resservirai, voire même, je l'améliorerai :)

J'ai donc créé ma librairie sur github, elle s'appelle très originalement PhpProperties, elle parse correctement un fichier .properties et peut même extraire et associer les commentaires dans le fichier source (l'idée à long terme c'est de fournir un convertisseur vers d'autres format type .lang, .po, dtd... et de ne pas perdre les commentaires dans le code), son usage est simple:

$source = new \\xformat\\Properties();
var_dump($source->getproperties('toto.properties'));
Mais ce n'est pas tout, j'ai ajouté cette librairie à Packagist.org, vous pouvez donc l'installer comme une dépendance dans vos projets en utilisant un fichier composer.json:

{
    "require": {
        "pascalc/php-properties": "1.0"
    }
}


Un simple composer install vous installera tout ça :)

Voilà, je ne prétends pas que c'est du beau code, mais il marche plutôt bien et je suis assez content d'avoir pu créer mon premier paquet installable via Composer, le nouveau gestionnaire de dépendances de PHP :)

Gravatar de Pascal Chevrel
Original post of Pascal Chevrel.Votez pour ce billet sur Planet Libre.