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SckyzO : Gérer simplement conky avec Conky Manager

mercredi 28 août 2013 à 20:00

Vous voulez installer rapidement et facilement un thème conky sur votre bureau ? Utilisez pour cela Conky Manager, une application développée en Vala et GTK3 par TeeJee.

conky_google_now_by_satya164-d628cih.png

Pour avoir différentes informations de votre système sur le bureau, conky fait très bien l'affaire. Seulement, pour personnaliser un thème, il faut corriger des fichiers de configurations plutôt verbeux. Alors pour ceux qui souhaitent aller vite ou qui n'y connaissent tout simplement rien, Conky Manager est une application graphique qui va vous permettre d'affiner les réglages, installer de nouveaux thèmes, et démarrer conky au démarrage de la machine.

theme_tab edit_tab Max Conky Torn Paper Clone

Installation sous Debian / Ubuntu 12.04 et + (et toutes distributions dérivées dont elementaryOS)

Ouvrez un terminal et saisissez les commandes suivantes :

sudo apt-add-repository -y ppa:teejee2008/ppa
sudo apt-get update
sudo apt-get install conky-manager

Une fois installée, l'interface est plutôt intuitive. L'onglet 'Theme' affiche la liste des thèmes et widgets que vous choisissez d'activer. 'Edit' permet de modifier les paramètres du thème en cours. Quant à l'onglet 'Options', il permet de tuer le process conky, de le lancer ou non au démarrage de la machine, et d'installer des thèmes supplémentaires. Voilà pour les bases, retrouvez tous les détails sur le site de TeeJee Tech.

Page du projet : https://launchpad.net/conky-manager

PPA : https://launchpad.net/~teejee2008/+archive/ppa

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Noireaude : Ubuntu 13.10 – File Roller 3.9.90 bénéficie de l’option « Password-Visibility »

mercredi 28 août 2013 à 16:30

Fille-Roller

Crédits image

File Roller est un utilitaire présent par défaut dans Ubuntu et sur pas mal d’autres distributions à vrai dire, qui a pour but de fournir un GUI vous facilitant la tâche lorsque vous effectuez des opérations de compression/décompression d’archives. La version 3.9.90 de File Roller vient de faire son apparition dans Ubuntu 13.10, avec une nouvelle option qui va vous permettre de visualiser le mot de passe que vous allez attribuer une archive.

Il peut en effet arriver que vous ayez des fichiers à protéger des regards indiscrets et dans ce cas, les compresser dans une archive protégée par un mot de passe peut s’avérer être une très bonne solution. D’autant plus que quand vous le faites avec File Roller vous pouvez même ajouter un niveau de sécurité en plus, qui va empêcher l’affichage du fichier au début du processus d’extraction.

Le problème est que jusqu’à présent quand vous procédiez de la sorte, vous ne pouviez voir que les astérisques de votre mot de passe. Bien entendu pour peu que vous vous plantiez, vous pouviez vous retrouver comme un quiche au moment d’extraire le fichier contenu dans l’archive. Je dois avouer que ça m’est déjà arrivé et que c’est plutôt rageant. Depuis j’ai pris l’habitude de toujours tester l’extraction avant de supprimer le fichier original.

L’option « Password-Visibility » intégrée dans cette nouvelle version de File Roller (voir image) va donc s’avérer très utile et vous éviter ce genre de déconvenue en vous permettant de visualiser votre mot de passe lors de sa création. Alors franchement ce n’est pas du luxe et ça fait un moment qu’un truc du genre aurait pu être mis en place.

Je vais quand même ralouiller un peu et regretter que les devs n’aient pas profité de l’occasion pour ajouter un deuxième champ « comparatif », qui aurait généré un avertissement dans le cas où les deux mots de passe n’auraient pas été identiques. Même si cette option est déjà mieux que rien, au final pour moi ça reste insuffisant.

Bien mais peut mieux faire…

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Noireaude : Pimagizer 0.3.1 disponible – Amélioration de certaines traductions

mercredi 28 août 2013 à 13:30
Image non contractuelle

Pimagizer est une application que j’adore essentiellement pour sa simplicité et son efficacité. Nous la suivons quasiment depuis le début et nous vous l’avions présentée de manière assez complète dans ce billet. Pour ceux qui n’ont pas la patience ou le temps de relire le billet de présentation, sachez que Pimagizer est un petit utilitaire qui dispose d’une interface graphique simple et facile à prendre en main, vous permettant (via diverses options) de redimensionner vos images en lot.

La version 0.3 de Pimagizer a été publiée il y’a quelques temps déjà, embarquant son lot d’optimisations situées sous le capot, quelques améliorations visuelles et une nouvelle icône. Une version 0.3.1 est sortie entre-temps, embarquant quelques corrections de bugs supplémentaires au niveau de certaines traductions.

Ce n’est bien entendu qu’un tout petit changement, mais ce n’est pas le plus important. C’est surtout l’occasion d’en reparler et de faire ainsi en sorte qu’elle soit un peu plus connue. Comme je l’ai dit plus haut j’aime vraiment bien cette application et plus généralement, toutes celles qui comme Pimagizer ne sont dédiées qu’à une tâche mais qui le font bien. Elles nous permettent de gagner beaucoup de temps, d’économiser pas mal de ressources et elles ont l’avantage d’être à la portée de tout le monde.

Elles sont utiles et je pense qu’il est important de les soutenir et de leur offrir un peu de visibilité.

Si vous voulez tester Pimagizer vous trouverez les sources et les archives deb, rpm, noarch, en vous rendant directement sur la page Launchpad du projet. Les utilisateurs d’Ubuntu et dérivés peuvent également passer par le PPA suivant à l’aide de ces quelques lignes de commande.

Installer Pimagizer 0.3.x sur Ubuntu et dérivés :

sudo add-apt-repository ppa:vfrico/stable
sudo apt-get update
sudo apt-get install pimagizer

Désinstaller Pimagizer 0.3.x :

sudo ppa-purge ppa:vfrico/stable

ou

sudo add-apt-repository -r ppa:vfrico/stable
sudo apt-get update
sudo apt-get remove pimagizer

Amusez-vous bien.

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Stéphane Laborde : L’unité monétaire RdB

mardi 27 août 2013 à 17:56

Comme nous avons déjà pu l’expliquer plusieurs fois, un système monétaire basé sur un Revenu de Base (RdB, ou DU comme Dividende Universel), a un nombre d’unités monétaires fixe, qui ne varie aucunement dans le temps, du moment que l’on prenne le bon référentiel de mesure, celui qui compte en nombre de RdB.

Concrètement cela signifie qu’un individu qui souhaite utiliser le RdB, l’adopter et développer une économie sur cette base, peut commencer immédiatement par la première étape qui consiste à tout exprimer, mesurer et échanger dans l’unité monétaire RdB.

Ce faisant, non seulement cet individu participe librement de la compréhension du RdB, mais il participe librement aussi à sa diffusion, et à l’adoption d’une nouvelle mesure de toute valeur économique dans l’unité ainsi choisie.

Compter en RdB

Compter en RdB

Pour bien comprendre comment faire cela tout de suite, nous allons prendre un panier de quelques valeurs communément identifiées (comme l’explique la Théorie Relative de la Monnaie, elles n’ont certes rien de valeurs consensuelles pour autant !), en France, sur la base du RdB Français mensuel qui se situe aux alentours de 1 RdB = 500 €.

Valeur Prix en RdB
Prix d’un appartement de 30m² à Paris 460 RdB
Prix d’une automobile 20 RdB
Prix d’un ordinateur équipé avec écran 2 RdB
Prix annuel d’un abonnement internet 1 RdB
Prix d’un aller-retour en train Paris – Marseille 40 centimes de RdB
Prix d’un repas dans un restaurant 5 centimes de RdB

De la même façon, où qu’il se trouve et en toute circonstance, un tenant du $ exprime ses prix en $, un tenant de l’€ exprime ses prix en €, un tenant de l’unité or exprime ses prix en quantité d’or, un tenant du Bitcoin devrait exprimer ses prix en Bitcoin, un membre de Monnaie M exprime ses prix en M et un utilisateur de OpenUDC exprime ses prix dans l’unité relativiste définie pour son propre système.

C’est ainsi que tout individu réalise que son libre choix d’un système monétaire s’exprime aussi par l’utilisation de l’unité qui lui correspond.

Si donc un individu voulait participer de la connaissance du RdB, il communiquerait avec ses semblables en convertissant toute expression et toute mesure de prix en RdB.

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Yannig : Back to basic : maîtriser le multitâche dans une session en mode texte

mardi 27 août 2013 à 16:55

Bon, je sais, je vais passer pour un vieux schnoque mais voilà : on n'a pas toujours la possibilité d'avoir du multitâche (surtout en SSH sur un serveur dans une DMZ ou connecté en directe sur une console au cul d'un serveur) mais c'est bien pratique de pouvoir passer d'une tâche à une autre. Je ne prétends pas tout connaître mais, je vais vous livrer quelques petits trucs que j'utilise (ou que j'ai eu utilisé) dans le domaine.

Les terminaux virtuels

Je pense qu'il s'agit du mode le plus simple et qu'on privilégiera dans le cas où vous êtes sur une machine Linux sans connexion X. Ici, rien de bien compliqué, vous pouvez passer d'un terminal à un autre en utilisant la combinaison de touche Alt+Fn (il faut rajouter Ctrl dans le cas où vous avez une connexion sous X).

Par ce mécanisme, vous pouvez tout à fait ouvrir un premier terminal puis éditer un fichier à l'aide de vi (ou emacs) et, sur un autre terminal, parcourir une arborescence (par exemple). Dans ma jeunesse (je vous l'avais dit que je passerai pour un vieux teuteu), j'avais l'habitude de lancer l'excellent mpg123 en arrière plan pour écouter mes mp3s sans risque de voir ma session X me planter ma lecture.

Petit problème, si vous travaillé en SSH, ça ne fonctionne plus et en plus de ça, il n'est pas dit que votre vieille version d'Unix propriétaire le gère (en même temps, y'a t'il des fous prêt à travailler avec un M4000 ou autre station à base de Power7 posé sur son bureau ...).

Gérer des tâches en ligne de commande avec votre shell

Voilà, vous êtes maintenant connecté en SSH sur votre serveur, vous êtes en train d'éditer votre fichier et vous avez besoin de jeter un coup d'oeil rapide sur le contenu d'un autre fichier. Bien sûr, il est toujours possible de le faire avec vi (en lançant un shell avec !bash) mais c'est loin d'être pratique. Pourtant il y a beaucoup plus simple : l'utilisation des tâches en shell.

C'est ici qu'entre en scène la combinaison de touche Ctrl+Z. Quand vous faîtes cette combinaison de touche, votre programme en cours d'exécution se retrouve mis en pause et vous vous retrouvez directement sur votre shell qui était resté tranquillement en arrière plan. Ci-dessous voici ce que nous obtenons en faisant cette combinaison de touche dans vi :

[yperre]/home/yannig> vi toto

[1]+  Stopped                 vi toto
[yperre]/home/yannig>

Une fois que vous avez réalisé l'opération que vous vouliez, vous voulez revenir à votre tâche précédente. Tapez simplement la commande fg (foreground) et vous voici de retour dans votre éditeur comme si rien ne s'était passé.

Bon mais voilà, maintenant, vous voulez éditer un second fichier en parallèle. Du coup, vous passer votre première instance vi en arrière plan et vous éditer le fichier titi. Et tout d'un coup, vous voulez revenir à votre première tâche d'édition. Problème, avec fg, vous revenez à la dernière commande que vous avez lancé. Dans ce cas, il suffit de taper %1, %2 etc. en fonction du numéro de la tâche que vous voulez rebasculer en premier plan.

Maintenant, vous êtes en train d'expérimenter un nouveau produit (tomcat, elasticsearch, logstash etc.) mais comme souvent, le shell est mal foutu et se bloque à l'exécution. Problème, vous avez toujours envie de consulter un fichier et vous êtes un peu bloqué. En effet, lorsque vous faîtes Ctrl-Z, votre process est en pause et ne traite plus les requêtes entrante. C'est là qu'entre en scène l'ami bg (background).

Comme vous êtes joyeux et que vous avez lancé plusieurs process en arrière plan et maintenant vous voulez en tuer un ou deux. Alors vous avez toujours la solution du bon vieux kill . Mais sinon, vous pouvez également utiliser kill %1.

Pour conclure

Loin de moi l'idée d'avoir présenter toutes les possibilités dans le domaine. Vous pourrez également vous tourner vers l'utilitaire screen qui a également l'avantage de pouvoir faire persister votre session même si votre connexion SSH se plante lamentablement. Je ne saurais que trop vous conseiller de l'utilisier dans le cas d'un long traitement critique (migration/import de base, recopie de données, mise à jour etc).

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