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genma : Capitole du libre 2019 - Mes conférences

mercredi 6 novembre 2019 à 09:00

Les samedi 16 et dimanche 17 novembre prochain, comme chaque année, à Toulouse, se tient le Capitole du libre. Je serai présent et je donnerai deux conférences, le programme, assez dense et varié, est en ligne.

Nextcloud - De l'usage personnel sur Yunohost à un usage professionnel chez Atos

Samedi 16 nov. 10:30 – 11:00 en salle A001

Facile à installer, facile à gérer, pourquoi ne pas héberger votre propre Nextcloud sur YunoHost (Yunohost est un système d'exploitation serveur destiné à rendre l'auto-hébergement accessible au plus grand nombre, sans nuire à la qualité et à la fiabilité du logiciel). Mais Nextcloud, ce n'est pas que pour les particuliers. Au sein du centre OpenSource d'Atos, je travaille au développement d'une offre et d'un partenariat autour de Nextcloud & Collabora pour nos clients. Petite présentation d'en quoi Nextcloud, c'est la solution cloud qui peut répondre aux besoins professionnel en alternative à Office365 ou GoogleDocs.

Fusion de mes deux conférences lightning talk données lors du Nextcloud Conf 2019 à Berlin.

Un mode Kiosk avec Ubuntu en 2019, c'est possible !

Samedi 16 nov. 17:30 – 18:30 en salle A001

Le Centre d'action sociale de la Ville de Paris (CASVP) propose de nombreuses prestations créées par la Ville de Paris pour ses habitants. En octobre 2019, des bornes libres services sont mises à disposition pour faciliter les démarches numériques aux bénéficiaires. Le système informatique de ces bornes a été réalisé par Atos ; l'ensemble du projet - documentation complète des hacks et scripts réalisés permettant une réutilisation - sera libéré à la mi-novembre 2019 à la suite du Capitole du libre sous licence Creative Commons.

La conférence a pour objectifs de présenter le projet, son interface, et de répondre à la question : quel intérêt peuvent avoir des collectivités, des médiathèques, des écoles à s'intéresser et surtout s'approprier et contribuer à ce projet ? Mais surtout, de présenter, comment du point de vue technique en 2019, sur base Ubuntu, il est possible de faire une borne mode Kiosk avec un Firefox mais pas que... et de répondre au cahier des charges et aux demandes de :
- simplifier et verrouiller Firefox pour avoir un mode kiosk en 2019 (tous les tutoriels sur le sujet étant obsolètes....) ;
- simplifier Ubuntu et Gnome 3 pour verrouiller les possibilités d'interactions pour rendre l'usage le plus simple possible ;
- créer une session utilisateur temporaire / jetable et pourtant réutilisable et évolutive ;
- pouvoir maintenir la solution et la faire évoluer.

Les supports

Les supports seront mis en ligne une fois les conférences données, pour permettre leurs réutilisation.

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Littlewing : Programmmation par aspect avec Spring AOP

mardi 5 novembre 2019 à 18:12

Une fois n’est pas coutume, voici un article qui reprend des basiques de la programmation. J’aborde une stack JAVA, mais c’est applicable à d’autres langages.

Il existe une fonctionnalité très intéressante dans Spring (et dans J(akarta)EE) que l’on oublie assez souvent : l’AOP ou encore la programmation par aspect. Cette manière de programmer permet notamment de séparer le code fonctionnel et technique.
Si vous faites du JAVA, vous utilisez déjà l’AOP. En effet, quand vous faites une insertion en base via JPA dans un EJB ou un bean annoté @Transactional, une transaction est initiée au début de la méthode et fermée à la fin.

Avec Spring et notamment dans Spring boot, voici comment initier l’AOP.

Configuration maven

Ajouter le starter AOP:

 


Activation des aspects

Dans la configuration ci-dessous, je prendrai comme exemple le logging des méthodes ( un log en début de méthode et un log en fin ). 

La définition des aspects se fait dans des classes annotées par @Configuration.

@Configuration
@Aspect
@ConditionalOnProperty(name = "debug.enabled", havingValue = "true")
public class DebuggingConfiguration {

private static final Logger LOGGER = LoggerFactory.getLogger(DebuggingConfiguration.class);
private static final String WITHIN_MY_PACKAGE = "within(my.package..*)";

/**
* Log before execution
*
* @param joinPoint the current method
*/
@Before(WITHIN_MY_PACKAGE)
public void logBeforeExecution(JoinPoint joinPoint) {
if (LOGGER.isTraceEnabled()) {
LOGGER.trace("Beginning of method : [{}]", joinPoint.getSignature().getName());
}
}

/**
* Log after execution
*
* @param joinPoint the current method
*/
@After(WITHIN_MY_PACKAGE)
public void logAfterExecution(JoinPoint joinPoint) {
if (LOGGER.isTraceEnabled()) {
LOGGER.trace("End of method : [{}]", joinPoint.getSignature().getName());
}
}
}

L’utilisation de l’ annotation @ConditionalOnProperty me permet d’activer cette classe de configuration seulement si la propriété debug.enabled est initialisée à true.

Les annotations @Before et @After indiquent à Spring AOP quand exécuter ces méthodes ou sur quelles méthodes. Dans mon cas, quand les méthodes appelées sont définies dans les classes d’un package défini.

Pour plus de détails sur la syntaxe et les possibilités, vous pouvez vous référer à la documentation.


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RaspbianFrance : Comment faire lire du texte à la Raspberry Pi avec eSpeak.

mardi 5 novembre 2019 à 15:30
Faire parler la Raspberry

En informatique, le problème de l’interface utilisateur est probablement un des plus compliqués. Ça, nommer des trucs, et invalider un cache…

La façon la plus simple de présenter de l’information à un humain depuis un ordinateur est généralement d’utiliser la vision. Mais pour ça il faut un écran, ce qui est encombrant, cher et donc pas très adapté à un usage embarqué.

Dans ce tutoriel, nous allons voir comment utiliser l’audition de votre utilisateur plutôt que sa vision, en faisant prononcer du texte par votre Raspberry Pi grâce au logiciel eSpeak, ce que l’on appel le Text To Speech.

Le matériel pour faire parler la Raspberry Pi

Pour pouvoir faire parler votre Raspberry Pi nous allons avoir besoin du matériel suivant :

Installer eSpeak sur la Raspberry Pi

Pour faire parler votre Raspberry Pi nous allons utiliser le logiciel eSpeak, un logiciel open source de synthèse vocale.

Le principe de eSpeak est le suivant : vous lui donnez du texte (une chaîne de caractères, un fichier, etc.) et il va le découper en phonèmes (les plus petits sons qui forment une langue parlée), puis utiliser tout un ensemble de techniques pour transformer ces phonèmes en véritables fichiers sons.

Pour installer eSpeak sur la Raspberry Pi c’est assez simple puisqu’il est déjà présent dans les dépôts. Il nous suffit donc de mettre à jour les dépôts et de demander l’installation d’eSpeak :

sudo apt update
sudo apt install espeak -y

Lire une phrase avec eSpeak

Maintenant que eSpeak est installé, nous allons pouvoir lui faire lire une première phrase. Mais avant cela, nous allons nous assurer que le son sorte bien sur le port Jack de notre Raspberry Pi pour arriver jusqu’à nos enceintes.

Pour cela, lancez la commande sudo raspi-config, puis allez « Advanced Options », « Audio », « Force 3.5mm (‘headphone’) jack » et enfin « Finish ».

Nous allons créer un dossier espeak dans le répertoire de l’utilisateur télécharger un fichier audio et le jouer pour vérifier que tout fonctionne correctement :

mkdir /home/pi/espeak
cd /home/pi/espeak
wget https://raspberry-pi.fr/download/espeak/test.mp3 -O test.mp3
ffplay -nodisp test.mp3

Vous devriez entendre jouer une gamme en do majeur.

Maintenant, que nous savons que les enceintes fonctionnent, nous allons demander à eSpeak de dire la phrase « Les framboises sont perchées sur le tabouret de mon grand-père. ». Pour cela, on utilise la commande ci-dessous :

espeak -a 200 -v fr+f3 "Les framboises sont perchées sur le tabouret de mon grand-père." --stdout | aplay

Ce qui nous donne quelque chose comme ça…

Alors oui, la voix est immonde, mais nous allons améliorer ça par la suite.

Faisons un peu le tour de la commande pour essayer de comprendre :

Comme vous pouvez le voir, ce n’est pas eSpeak mais aplay qui joue le son. La raison pour cela est très simple, espeak est bugué sur la Raspberry Pi depuis quelques versions…

Quelques lignes de bugs de espeak.
And that, my friend, its what we call « a bug »…

Si vous essayer de faire parler eSpeak directement vous aurez des erreurs liées à Alsa, le serveur de sons de la Raspberry Pi. La solution la plus simple est donc d’envoyer les données dans aplay qui, lui, fonctionne parfaitement. Au final ça fonctionne et c’est tout ce qui compte.

Améliorer la voix de eSpeak en installant MBROLA sur la Raspberry.

Comme vous avez pu le constater, les voix générées par eSpeak sont absolument immondes. Pas de panique, nous avons une solution pour améliorer ça.

Je l’ai évoqué au début de l’article, eSpeak est capable de générer des phonèmes, ces morceaux de sons constituant une langue parlée. Et, il se trouve qu’il existe d’autres programmes capables de lire ces phonèmes et de les prononcer, et ce de façon bien plus convaincante que eSpeak !

Dans notre cas, nous allons utiliser le logiciel MBROLA, un projet collaboratif mondial initié par la faculté polytechnique de Mons, en Belgique, qui vise à concevoir une immense base de données pour la synthèse vocale.

Chose un peu étrange le logiciel MBROLA n’est pas disponible dans les dépôts Raspbian, alors que les données de langues, elles, le sont. Ce qui a pour conséquence de rendre l’installation de ces données de langues impossible…

Même Kevin Hart trouver que c'est bugué !
What the what ?

Ne vous en faîtes pas, nous avons la solution ! En effet, une bonne âme a eu la bonté de créer elle même un paquet MBROLA pour la Raspberry Pi, et nous avons donc décidé de créer un miroir sur le site.

Nous allons donc télécharger et installer ce paquet avec les commandes ci-dessous :

cd ~/espeak
wget https://raspberry-pi.fr/download/espeak/mbrola3.0.1h_armhf.deb -O mbrola.deb
sudo dpkg -i mbrola.deb

Et maintenant que MBROLA est installé, nous allons pouvoir télécharger les fichiers de langue dont nous avons besoin. Pour moi ce sera donc mbrola-fr1, c’est à dire la première voix française. Adaptez donc la commande à votre langue.

sudo apt install mbrola-fr1 -y

Il ne nous reste plus qu’à reprendre notre commande eSpeak précédente et à l’adapter pour générer des phonèmes et les faire lire par MBROLA. Ce qui va nous donner la commande ci-dessous.

espeak -a 200 -v mb-fr1 -s 150 "Les framboises sont perchées sur le tabouret de mon grand-père." --stdout | aplay

Ce qui nous donne l’audio ci-dessous :

Bien entendu, on sent toujours qu’il s’agit d’un robot. Mais avouez qu’il y a quand même du mieux !

Vous retrouvez en partie les mêmes paramètres que précédemment, mais avec deux changements :

Comme précédemment, vous pouvez bien entendu modifier la commande pour créer un fichier, lire le texte depuis un fichier txt, etc.

En combinant ces commandes avec des choses comme la lecture de badge RFID et autres, vous pouvez facilement créer des systèmes embarqués proposant des interfaces relativement complètes.

Bien entendu on est encore loin d’une voix humaine et sachez qu’il existe de meilleurs moteurs « Text to Speech », comme le TTS de Mozilla développé dans le cadre du projet Common Voice. Néanmoins, MBROLA et eSpeak offrent un bon compromis entre simplicité d’utilisation, rapidité d’exécution et efficacité.

Lire l'article complet : Comment faire lire du texte à la Raspberry Pi avec eSpeak.

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Carl Chenet : Curation d’une newsletter : l’exemple du Courrier du hacker

mardi 5 novembre 2019 à 00:00

Avec 112 numéros publiés et plus de 2500 abonnés, la newsletter du Courrier du hacker, résumant chaque semaine l’actualité francophone du Logiciel Libre, propose un contenu de grande qualité. Comment assurer chaque semaine cette qualité au sein de la newsletter par une curation efficace ? C’est ce que nous allons voir dans cet article.

Page d'inscription du Courrier du hacker

Origine du contenu du Courrier du hacker

Pour rappel, tous le contenu du Courrier du hacker provient du Journal du hacker, l’agrégateur de l’actualité francophone du Logiciel Libre et Open Source, une sorte de Hacker News francophone (pour ceux qui ne connaîtrait pas).

Tous les titres et liens relayés dans ma newsletter sont disponibles dans le dump de la base de données du Journal disponible ici. Ce dump est mis à jour une fois par jour.

Les données publiques du Journal du hacker
Téléchargement du dump de la base de données du Courrier du hacker

Premier niveau de contrôle pour une curation de newsletter de qualité : score du lien sur le Journal du hacker

Le dump de la base de données du Journal du hacker contient les titres et liens relayés et – point d’importance critique – le score que le lien a obtenu sur le Journal du hacker. Ce score est fonction du vote des contributeurs du Journal du hacker. Il permet donc de définir un premier niveau de qualité effectué par la curation des contributeurs du Journal. Je n’allais pas me priver de ce travail déjà effectué, cela serait stupide.

Le score des liens sur le Journal du hacker
Le score en question sur le Journal du hacker

J’ai ensuite écrit un petit script pour télécharger le dump, le charger dans une base locale, puis lancer un tri sur la date et ainsi me générer une belle liste des titres, liens et scores publiés entre les dates qui m’intéresse.

Pour vous en exclusivité mondiale, le résultat de cet incroyable script !

Exemple du script d'aide à la curation de la newsletter du Courrier du hacker
Super script copyrighté Carl Chenet © Jésus jusqu’à an 3000

Hmmm ok c’est pas terrible terrible, mais ça fait le taf. Puis si vous êtes pas contents… je boude. Voilà. Puis au moins, c’est fortement automatisé et me fait gagner énormément de temps, que je peux consacrer à la réelle valeur ajoutée du Courrier du hacker, que nous allons voir dans le chapitre suivant.

Second niveau de contrôle pour une curation de newsletter de qualité : curation manuelle

À partir de cette liste, je vais effectuer une curation manuelle. Pour quoi faire si les liens ont déjà été évalués par d’autres ?

Pour une curation de newsletter efficace, 2 liens par sections.
3 sections du Courrier du hacker

La double curation assure pour la newsletter un haut niveau de qualité

La newsletter du Courrier du hacker ne propose chaque semaine que 18 liens. J’accorde donc la plus grande attention à la qualité des liens qui y sont présents. Récapitulons les principales étapes de la curation de cette newsletter.

Comme décrit dans cet article, nous partons du formidable travail de tous les blogueurs et rédacteurs de contenu de la sphère francophone du Logiciel Libre.

Sur ce contenu soumis au Journal du hacker, les contributeurs choisissent ce qu’ils estiment être les liens de bonne qualité qui méritent d’être relayés.

De mon côté, je récupère les liens les mieux notés, constitue une liste et y applique un second niveau de curation, à la main, pour éviter les erreurs et assurer un contenu cohérent par rapport à ma ligne éditoriale.

Conclusion

J’espère que le processus de curation d’une newsletter décrit en détail ici vous aura plu. Je pense qu’il est applicable à un grand nombre de sources de contenu. Il est aussi très industrialisé sans supprimer les étapes nécessaires à une curation de bonne qualité.

N’hésitez pas à me dire ce que vous pensez, via les réseaux sociaux (voir ci-dessous) ou dans les commentaires ci-dessous.

Le Courrier du hacker est aussi sur les réseaux sociaux

Me suivre sur les réseaux sociaux

N’hésitez pas à me suivre directement sur les différents sociaux pour suivre au jour le jour mes différentes projets dans le Logiciel Libre et/ou pour me contacter :

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elementary OS : Mise à jour de Octobre

lundi 4 novembre 2019 à 14:30

Traduction faite par Deepl : Update for October, 2019

La mise à jour Flatpak

Un peu plus tard ce mois-ci, nous participerons au Linux App Summit (LAS, 12-15 novembre) avec des gens de Canonical, CodeThink, Collabora, Endless, Flatpak, Fractal, GNOME, GStreamer, KDE, Krita, LibreOffice, Meson, Purism, Red Hat, Ubuntu et plus à Barcelone, Espagne, pour travailler avec d’autres membres de la communauté open source. Nous donnerons quelques présentations sur Curb Cuts et Growing Beyond the System Tray.

Nous en reparlerons plus tard, mais d’abord : jetons un coup d’œil à toutes les mises à jour qui ont été envoyées aux utilisateurs de elementary OS au cours du mois dernier.

Sideload & Flatpak

Nous avons une toute nouvelle application (Sideload) pour elementary OS pour faciliter le chargement des applications flatpak. Sideload gère les fichiers flatpakref, comme ceux que vous pouvez trouver sur Flathub ou sur un autre site tiers proposant une application Flatpak à télécharger.

 

Bien que nous recommandons toujours aux utilisateurs de visiter AppCenter pour des applications de qualité conçues pour les systèmes d’exploitation élémentaires, nous comprenons qu’il existe des applications multiplateformes qui ne répondent pas aux exigences pour être administrées dans AppCenter. Plutôt que de laisser les utilisateurs se débrouiller seuls pour ajouter des PPA non sécurisés ou exécuter des scripts aléatoires en tant que root, Sideload propose un moyen plus sûr d’aider les utilisateurs à obtenir des applications sandboxed.

Flatpak est maintenant activé dans elementary OS

Cela signifie également que Flatpak est maintenant activé sur le système d’exploitation elementary OS, et nous avons soumis une demande d’extraction pour simplifier les instructions d’installation rapide de Flatpak sur Flatpak.org pour refléter cela.

Sideload est une nouvelle application et nous avons l’intention de l’itérer au fil du temps, mais elle est déjà super utile et simple. La première version est sortie en octobre et sera bientôt disponible pour les utilisateurs. Si vous voulez mettre la main dessus tôt (et que vous n’avez pas peur du Terminal), vous pouvez l’installer avec :

sudo apt install io.elementary.sideload

Mises à jour publiées

Vers la fin du mois, nous avons également finalisé notre tout nouveau processus de publication automatisé (plus d’informations à ce sujet dans un prochain billet de blog), ce qui nous a permis de mettre facilement en file d’attente les versions de plusieurs applications et composants de bureau.

AppCenter : Flatpak, Avertissement non durci, & Jusqu’à 10× plus rapide

La grosse mise à jour d’AppCenter est enfin arrivée ! Cette version ajoute la prise en charge de Flatpak, ce qui signifie que les applications ajoutées par l’utilisateur, y compris celles ajoutées avec Sideload, s’afficheront automatiquement. Les applications avec plusieurs versions disponibles (i.e. de Flatpak et d’Ubuntu repos) afficheront un menu déroulant pour sélectionner la version de la liste des applications, et les mises à jour de Flatpak seront incluses avec les mises à jour normales. L’installation et la mise à jour des applications Flatpak ne nécessitent pas de mot de passe administrateur, car l’installation et la mise à jour se font par défaut par l’utilisateur.

Avec l’ajout par les utilisateurs d’un plus grand nombre d’applications non curatives dans AppCenter avec une méthode officiellement supportée, nous avons également pris le temps d’être plus clairs sur les implications d’installer des applications non curatives avec un nouveau dialogue, similaire au dialogue Sideload. Comme pour Sideload, il s’agit d’un point de départ et nous avons l’intention de continuer l’itération sur ce point, en particulier en exposant des permissions Flatpak plus spécifiques.

 

Sur les listes d’applications, nous avons ajouté une animation de chargement aux captures d’écran, ainsi que de nouveaux boutons de navigation avant/arrière au cas où les petits points seraient trop difficiles à atteindre.

AppCenter

AppCenter app listing avec nouvelle navigation de capture d’écran

Cette version ajoute également la possibilité de naviguer et de désinstaller des applications lorsqu’elles ne sont pas connectées à Internet, avec une nouvelle barre d’infobar qui apparaît et vous dirige vers vos paramètres réseau si vous êtes hors ligne.

appcenter-app

La barre d’infobar réseau vous permet de parcourir les applications mises en cache et de les désinstaller hors ligne.

Enfin, nous avons également nettoyé et remanié une tonne de code dans AppCenter, apportant des améliorations de performance massives et de nombreuses corrections de mise en page. Associé à une version plus récente de PackageKit, AppCenter effectue plus d’actions en parallèle. En conséquence, il est environ 10x plus rapide pour certaines opérations comme l’affichage des applications présentées sur la page d’accueil.

Greeter : Beaucoup de petites corrections

Nous avons publié la première mise à jour de Greeter depuis la sortie de la nouvelle version, et elle contient une poignée de corrections mineures mais significatives. Greeter doit mieux respecter les paramètres NumLock, enregistrer le dernier utilisateur lors d’une tentative de connexion et avoir les sons activés (c’est-à-dire pour le « thud » lorsque l’entrée est vide). Nous avons également fixé la prévisualisation des fonds d’écran pour les fonds d’écran de certains rapports d’aspect, comme ceux des écrans ultra-larges. La saisie d’un mot de passe ne le supprime plus immédiatement, et la saisie d’un mot de passe incorrect met en surbrillance le mot de passe saisi après une erreur.

Du point de vue du design, nous avons réduit la taille des noms d’utilisateurs non ciblés pour rendre l’utilisateur sélectionné plus visible.

Panel: Fixes

Nous avons publié une mise à jour mineure du panneau supérieur qui corrige quelques problèmes signalés. Tout d’abord, nous avons résolu le problème où certains utilisateurs pouvaient faire bouger le panneau en le faisant glisser avec plusieurs doigts sur un écran tactile. Nous avons également corrigé quelques problèmes de mise au point où l’ouverture du menu Applications ou de certains dialogues à partir du Panel entraînait des états bizarres.

Indicateur de date et d’heure : Redesign et correctifs

En octobre, nous avons publié un nouveau design majeur pour l’indicateur de date et d’heure dans le panneau supérieur. Il comprend une navigation plus claire, un point pour les événements de chaque jour, ainsi qu’un volet latéral avec les événements du jour sélectionné. La nouvelle conception corrige également les problèmes liés à l’utilisation d’une grande taille de texte dans les paramètres Apparence ou Accès universel et améliore les performances globales.

Date & Time indicator screenshot

 

Nous avons également publié des corrections majeures pour les événements récurrents dans l’indicateur, et affichons une boîte de dialogue d’erreur si le calendrier ne s’ouvre pas pour une raison quelconque lors de la sélection d’un jour ou événement.

Paramètres de sécurité et de confidentialité : Refonte du menu Nettoyage

 

Nous avons retravaillé la conception des paramètres de nettoyage dans les paramètres de sécurité et de confidentialité pour qu’ils correspondent mieux à la conception de la nouvelle application Onboarding.

Paramètres Bluetooth : Agent d’appariement

Bluetooth pairing agent PIN dialog

Bluetooth pairing agent passkey dialog

Nouvel agent d’appairage Bluetooth pour les PINs et les mots de passe

 

Les paramètres Bluetooth incluent maintenant un nouvel agent d’appairage pour mieux gérer les appareils qui ont besoin d’un code PIN ou d’un mot de passe à apparier. Cette boîte de dialogue apparaît lors de l’appairage d’un périphérique comme un clavier, et devrait augmenter la compatibilité du système d’exploitation élémentaire pour plus de périphériques sans fil.

Regarder et ressentir

Dans le département look & feel, nous avons publié une nouvelle version de la feuille de style du système, qui contrôle le style de tout, des boutons aux menus, ainsi que l’ensemble des icônes. Les changements sont subtils, mais dans l’ensemble, les choses restent cohérentes et belles.

Pour la feuille de style, nous nous sommes un peu concentrés sur les ombres : nous avons rendu les ombres popover plus cohérentes, et nous avons amélioré les ombres des fenêtres décorées (comme celles des applications GTK2 ou Electron) en les allégant un peu. Les barres de défilement dans les vues WebKit comme dans Epiphany ont été améliorées avec un état de survol plus large. La prise en charge des séparateurs larges dans les applications comme Tilix a été ajoutée. Nous avons fixé des boutons plats insensibles dans les lignes de liste. Nous avons également corrigé l’illisibilité du texte des capuchons de touches dans certaines situations. Enfin, nous avons supprimé une poignée de styles obsolètes ou dupliqués.

Pour les icônes, nous avons rafraîchi l’icône de mise à jour du système avec une nouvelle métaphore (une flèche de type téléchargement sur un badge), et ajouté une nouvelle version symbolique à utiliser dans des endroits comme Sideload et le dialogue d’avertissement non conservé d’AppCenter. Nous avons également augmenté la taille des symboles en médaillon sur les icônes d’accueil 32px, ce qui les rend plus faciles à voir en un coup d’œil. Nous avons ajouté une nouvelle icône de préférences d’espace de travail et ajouté des tailles supplémentaires pour les préférences locales, le signal sans fil et les icônes de statut utilisateur. Enfin, nous avons ajouté une nouvelle icône de lecteur de vue pour les modes de lecture comme dans Epiphany.

Nous avons également jeté les bases de certains développements à venir avec le Dock : nous nous sommes assurés que le badge du dock est toujours rouge – même si la feuille de style utilise une couleur d’accent différente – et nous avons ajouté un style sombre (actuellement caché) qui peut être activé manuellement dans les préférences cachées de Plank. Plus d’informations à ce sujet plus tard. 😉

Hacktoberfest 🍂👩‍💻🎃

En plus de la sortie d’un ensemble de mises à jour en octobre, nous avons également vu cette année une grande participation au Hacktoberfest pour résoudre les bogues de bitesize à travers nos projets et travailler avec de nouveaux contributeurs sur leurs toutes premières contributions à elementary.

Vous pouvez en discuter sur le forum en suivant ce lien.

Le billet Mise à jour de Octobre a été publié sur le site de la elementary OS -

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