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Okki : Sortie du thème Minwaita

mardi 18 avril 2017 à 23:00

Si vous aimez l’apparence d’Adwaita, le thème officiel de GNOME, mais que vous trouvez que tout y est malheureusement trop gros, Minwaita pourrait vous plaire. Il s’agit d’un fork d’Adwaita, où tout y est plus fin, plus petit : boutons, interrupteurs, barres d’en-tête, barres de titre, espace entre les éléments…

Vous pouvez déplacer le curseur de gauche à droite sur l’image pour comparer entre Adwaita et Minwaita.

À l’exception des boutons de la barre de titre, qui proviennent du thème Vertex, l’ensemble des contrôles et le choix des couleurs est bien identique à Adwaita. Le thème dispose également d’une version sombre.

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Morot : HAProxy : gérer la persistance des sessions lorsque l’application n’est pas conçue pour

mardi 18 avril 2017 à 22:37

Le problème avec les sessions HTTP c’est qu’elles sont complètement décorrélées des sessions TCP. Sans load balancer, ce n’est pas un problème, par contre dans une architecture multi serveur, un utilisateur peut être redirigé vers un serveur web qui n’est pas au courant de la session HTTP. Ce cas se produit typiquement avec un algorithme de type round robin.

Ainsi, un utilisateur peut lors de la première connexion être authentifié sur un serveur puis lors de l’accès suivant être redirigé vers le second serveur moins chargé.

Habituellement, pour gérer ce type de situation :

HAProxy est capable de proposer un autre mode en exploitant la persistance des sessions habituellement utilisée par les applications Web, les cookies HTTP. Pour ce faire, il faut impérativement utiliser le mode http de haproxy et non pas le mode tcp.

Deux façons de faire, ma préférée consiste à réutiliser le cookie d’authentification qui doit être le même pour toutes les applications. Le cookie (PHPSESSID dans cet exemple), est préfixé du backend (s1/s2) entre le navigateur et le load balancer. Cette marque est retirée lors des communications Haproxy vers serveur web :

frontend ft_http
    bind 10.4.102.10:80
    mode http
    default_backend bk_http

backend bk_http
    mode http
    balance source
    hash-type consistent
    cookie PHPSESSID prefix nocache
    server s1 10.4.102.5:80 check cookie s1
    server s2 10.4.102.6:80 check cookie s2

Dans le second mode, HAProxy va insérer un cookie (BACKENDID) qui sera utilisé lors des communications ultérieures entres le navigateur et le load balancer pour aiguiller les communications proprement.

frontend ft_http
    bind 0.0.0.0:80
    mode http
    default_backend bk_http

backend bk_http
    mode http
    balance source
    hash-type consistent
    cookie BACKENDID insert indirect nocache
    server s1 10.0.0.10:80 check cookie s1
    server s2 10.0.0.20:80 check cookie s2

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Framablog : Framalibre : une ressource vous manque ? À vous de l’ajouter !

mardi 18 avril 2017 à 17:24

Nous vous avons récemment présenté la refonte de notre projet historique, l’annuaire de Framasoft. Comme tous nos outils, celui-ci n’aura de sens que si vous vous en emparez.

Voici le troisième et dernier tutoriel de cette série vous aider à découvrir, utiliser et participer à ce grand projet collaboratif. Cette semaine, on vous incite à participer à cet annuaire du Libre. En effet, comme une belle auberge espagnole (ou comme le 6e site web le plus visité au monde) : vous n’y trouverez que ce que vous y apporterez.

Créer une notice

une notice dans Framalibre

Voici un exemple de notice, une fois remplie.

Nous avons fait en sorte que ce soit le plus simple possible :

  1. Faites une recherche pour bien vérifier que la notice que vous voulez ajouter n’existe pas déjà ;)
  2. Créez-vous un compte (cf. tuto précédent)
  3. Connectez-vous à votre compte
  4. Cliquez sur « ajouter une notice » toujours présent dans une colonne latérale.

7 types de notices différentes

Le bouton « ajouter une notice » vous propose un choix déroulant qui vous mènera vers 7 formulaires différents. Il convient de choisir celui le mieux adapté au type de ressource que vous voulez présenter :

Notez que les types de ressources ne sont pas des catégories : vous pouvez très bien créer une ressource de type Média et la ranger dans la catégorie « électronique » car il s’agit par exemple d’un tutoriel sur un montage électronique. À vous de voir ce qui est le mieux approprié.

À remplir obligatoirement

Il y a quelques champs à remplir obligatoirement, car sans eux votre notice ne serait pas vraiment utile…

Les champs complémentaires :

Bien entendu, si les autres champs sont présents, c’est que nous les jugeons importants. Fournir un ou plusieurs visuels de votre ressource (capture d’écran, logo, photo, pochette, etc.) ou un résumé court est essentiel si vous voulez que sa notice donne envie d’en savoir plus.

N’hésitez donc pas à rechercher plus en profondeur (le site officiel ou la page wikipédia de la ressource, par exemple) afin de bien remplir l’ensemble des champs demandés… une fois le ou les visuels fournis, remplir une fiche peut prendre 5 minutes montre en main…

Des questions ?

La foire aux questions

Nous maintenons à jour une foire aux questions sur Framalibre afin de vous permettre de maîtriser le site en toute autonomie… Vous y trouverez des astuces pour créer votre notice, comme :

L’équipe de modération

L’équipe de modération recevra automatiquement les courriels envoyés grâce au formulaire accessible depuis le bouton « signaler un contenu ».

Bien sûr les possibilités de signalement sont limitées : c’est parce qu’elles ne concernent que les situations où le simple utilisateur n’est pas en mesure d’agir (doublons, malveillances, etc.).

S’il s’agit de modifier une notice, par exemple, vous pouvez le faire directement et même contacter le créateur de la notice.

Si vous désirez suggérer une amélioration technique de l’annuaire, vous pouvez contribuer en écrivant une issue sur le dépôt GIT du projet.

Pour rejoindre l’équipe de modération, il faut les retrouver sur le forum des bénévoles de Framasoft.

Modifier une notice (et le suivi de versions)

Si vous voyez une erreur, un manque, ou une information obsolète dans une notice, nous vous encourageons fortement à proposer une modification, c’est cela qui fait vivre l’annuaire et permet qu’il soit à jour !

Là aussi, vous devrez être connecté·e à votre compte Framalibre afin de pouvoir proposer des modifications.

vue d'une notice avec un compte connecté

Pour soumettre une mise à jour d’une notice, il suffit de cliquer !

 

Comment modifier une notice ?

  1. Allez sur la fiche de la notice
  2. cliquez sur l’onglet modifier au-dessus de la notice (à côté de l’onglet « Voir ») OU sur « Soumettre une mise à jour »
  3. Effectuez les modifications dans le formulaire.
  4. (optionnel) Relisez à l’aide de l’Aperçu, ou vérifiez les changements avec le bouton « Voir les modifications »
  5. Enregistrez votre mise à jour.

À chaque fois qu’une notice est modifiée, son créateur est prévenu par courriel. Il se génère aussi une archive de la notice dans sa version préexistante. Les différentes versions (l’historique des modifications et les noms des contributeurs) peuvent alors être visualisées et comparées (à la manière d’un wiki).

Ainsi à chaque fois que vous modifiez une notice, vous pouvez commenter votre révision, cela aidera le créateur à comprendre votre intention. Les révisions des notices (lorsqu’il y en a) sont accessibles en ajoutant le mot « revisions » (sans accent) à l’adresse de la notice, ainsi : framalibre.org/content/nom-de-la-notice/revisions

Une fois ma modification proposée…

Elle est automatiquement validée et le créateur originel est prévenu par courriel.

Dès lors, la personne ayant créé la notice pourra voir vos apports et interagir le cas échéant.

En cas de litige ou d’absence, notre équipe de modération fera de son mieux pour vous aider.

Pour aller plus loin :

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alterlibriste : En quelle instance faire confiance ?

mardi 18 avril 2017 à 16:54

Alors que beaucoup de monde semble trouver la perle rare en Mastodon, il peut être pertinent de se poser la question de la confiance que l’on a en son instance. Car une fois assimilé le fait qu’un réseau social décentralisé ne repose pas sur un gros acteur à qui l’on peut reprocher toutes les exactions (tout en profitant quand même de ses services), il faut savoir en qui on donne sa confiance pour assurer la sécurité, la modération, la continuité de service, etc.

Je ne suis pas encore intervenu sur Mastodon pour lequel certains s’extasient et d’autres émettent quelques doutes et je ne le ferai pas car je n’utilise pas ce genre de réseau ; j’ai beaucoup de mal avec ces bribes de conversations qui sont lancées dans l’arène publique avec des gens qu’on interpelle, des petites phrases qui se veulent percutantes, des liens raccourcis dont on ne sait pas où ils nous mènent. Difficile d’avoir de véritables échanges avec ce genre d’outil mais dans un monde de moins en moins inspiré par la prose où même un échange de photos devient un réseau social, ça semble plaire. Les articles les plus complets et argumentés que j’ai lu sont ceux d’Amaelle Guiton et de Philippe Scoffoni, enthousiastes mais lucides sur les limites du projet.

Néanmoins, même sans en avoir l’usage, j’en reconnais l’intérêt par rapport à un service comme Twitter pour son côté libre et décentralisé, seul l’avenir nous dira si le soufflé se dégonflera dans un gros prout ou continuera ses pouets. Par ailleurs, je peux en faire une petite analyse par rapport à mes expériences avec Diaspora* et GnuSocial. Je suis sur le premier depuis bientôt 3 ans, sur une instance de test, et j’ai fait une courte expérience du second en auto-hébergement.

L’avantage de la décentralisation, c’est que personne ne peut décider pour tout le monde et qu’on peut trouver une instance à son goût, quitte à la faire soi-même. Revers de la médaille, ça peut partir dans tous les sens. Il y a deux ans environ, Diaspora* a été confronté à ce problème avec des tas de comptes islamistes qui se sont créés et faisait de l’apologie pas forcément bienvenue, il a aussi été question de pédo-pornographie ainsi que du droit pour l’administrateur à faire la promotion d’une cause qu’il soutient. Quand la masse des Mastonautes nouveaux venus aura fini de s’extasier comme des pionniers d’un nouvel internet pur de toute publicité et d’idéologie, ces questions vont très rapidement se poser. Et la réponse est assez simple, c’est le propriétaire de l’instance qui est à la fois responsable et seul maître à bord. S’il décide de bannir des sujet ou d’en promouvoir d’autres, rien ne pourra l’en empêcher. Libre aux mécontents de changer de crèmerie si ces choix ne leurs conviennent pas.

Ici, intervient un facteur encore peu résolu dans les réseaux sociaux : celui de migration des comptes. Dans les grands silos non libres, la question ne se pose pas puisqu’on signe de notre sang que plus rien de ce qu’on y met ne nous appartient plus. Dans les réseaux libres et décentralisés, ce sont des fonctionnalités attendues de longue date mais bien peu implémentées. Ce n’est pas encore possible sur Diaspora*, il me semble que seuls les encore moins connus Hubzilla et Redmatrix le permettent.

En ce sens, un aspect de Mastodon assez peu abordé doit être souligné : le projet est très jeune. Même si les journalistes ont vite fait d’élire un nouveau Mark Zukerberg, un réseau social bâti par un jeune étudiant en à peine six mois n’inspire pas forcément une confiance sans limite, et le projet n’était peut-être pas prêt à une montée en charge aussi rapide. Les instances ont été prises d’assaut et n’étaient plus disponibles, beaucoup se sont inscrits de multiples fois trouvant toujours une meilleure instances : des tas de comptes se sont créés en doublons sans même la possibilité de les supprimer, les migrer est encore moins d’actualité. Il y a donc déjà beaucoup de comptes fantômes et une difficulté accrue de suivre quelqu’un qui déménage plus vite qu’il ne change de chemise.

Venons-en maintenant à la possibilité d’installer sa propre instance. Sans m’attarder sur les technologies utilisées sur lesquelles je ne peux me prononcer (mais qui sont forcément critiquées par ceux qui ne les aiment pas), ni sur le côté pas forcément user-friendly ou propre de la méthode, toujours est-il que cela est possible et que même Debian va proposer les paquetages pour le faciliter. Pourtant, lorsque j’ai expérimenté la chose avec une instance GnuSocial, deux problèmes se sont posés à moi : la possibilité que cela prenne rapidement de la place et de la puissance sur mon serveur et surtout le fait de mettre face au monde un serveur avec des données personnelles et des compétences en sécurité certainement pas infaillibles. Couplé au fait que l’on a affaire ici à un projet jeune sous le feu des projecteurs, je n’ose pas imaginer les dégâts si un petit malin trouve une faille et vienne prendre part à la fête.

Résultat des courses, comment avoir confiance en son instance au niveau des choix de modération et des compétences en sécurité si on n’est pas administrateur système ?
Exit les grosses instances qui ne feraient que reproduire celles des gros réseaux dans lesquels une bien-pensance va probablement émerger. Exit le bricolage dans un coin qui risque de mal tourner. Pourquoi pas faire confiance au pote qui a des idées et centres d’intérêts proches mais au risque de se retrouver à la rue le jour où il décide de tout casser (j’en connais un célèbre). Il ne reste à mon avis plus que les instances moyennes tenues par des assos (et des admins expérimentés) dont on partage les idées et choix de modérations, voire de censure. Et là se repose la question de qui paie pour ce service maintenant que ce ne sont plus les données et la publicité qui les financent.

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wilfried caruel : Présentation du logiciel libre klavaro

lundi 17 avril 2017 à 13:26

Présentation Klavaro

 

Je vais vous présenter un logiciel qui permet de connaître la position de nos doigts pour taper à l’aveugle sur le clavier,

 

Ce logiciel libre s’appelle « Klavaro », il est disponible sous « Linux » et « Windows ».

 

Je ne me souviens plus de quel logiciel j’utilisais quand j’étais dans les études.

Mais je doute que ce soit un logiciel libre.

 

Ce logiciel libre sous licence « GPLv3 », se veut être un tuteur pour se lancer dans la dactylographie et le maniement du clavier.

 

Caracteristiques :

« qwerty » (AR ; BG; BG_2; BR ; BR_abnt2; CZ; EL; EO; ES; EU; HE; IN; IT; JP; KK; NB; PT; SE; TR; UK; UR_crulp; UR_nla; US)

Dvorak (BG; BR; DE_neo2; EO; FR; FR_bépo; TR; UK; US; US_BR; US_ES; US_SE)

« qwertz » (CZ; DE; HR; HU; SL)

« azerty » (FR; FR_ibook; BE)

« jtsuken » (RU; RU_typewriter; UA)

Colemak (US)

AlphaGrip5 (US)

 

Ce logiciel a été développé par « Felipe Castro » et « Petr Machata ».

La vidéo

Mon avis :

Il est primordial d’apprendre à taper sur le clavier, pour écrire plus vite mais surtout avec les 2 mains selon moi.

Ce logiciel permet cette faculté, et je le trouve remarquable.

Je serais curieux de savoir si c’est utilisé dans le domaine scolaire.

J’aime bien le tableau récapitulatif et les différents exercices ainsi que les leçons.

Ce projet est hébergé sur sourceforge (je regrette ce choix car si Github n’est pas opensource, c’est plus facile de participer aux différents projets, ainsi que de remonter les bugs etc).

Je ne sais pas si c’est encore d’actualité mais avant sourceforge intégrait un installateur avec des cases cochées par défaut donc nous faisait installer des logiciels privateurs sur nos bécanes.

Je n’ai pas réussi à savoir si ce logiciel était toujours en développement donc n’hésitez pas à compléter mes articles via les commentaires.

N’hésitez pas à demander que je présente tels logiciels ou applications (toujours libre et opensource)

de même si vous voulez écrire un ou plusieurs articles, vous êtes le bienvenu,

Pour infos si je tape sur le clavier avec mes 2 mains maintenant je n’ai jamais pu le faire comme il faut en cours de secrétariat

Installations :

ArchLinux

yaourt -S klavaro
Debian

Site

Ubuntu

Site

Dans les commentaires vous pouvez me donner les lignes de commande pour votre distribution (j’utilise qu’une base ArchLinux)

Merci

Liens :

Site officiel

Téléchargement

 

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