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SckyzO : Nouvelle documentation : PlayOnlinux

vendredi 24 janvier 2014 à 09:00

Une nouvelle documentation a fait son apparition sur elementary OS fr : PlayOnlinux est maintenant disponible dans la section Documentations > Wine > PlayOnLinux. Ce document vous présentera rapidement les points suivants :

  1. Installer PlayOnLinux sur votre distribution adorée.
  2. Installer toutes les dépendances requises pour les plugins.
  3. Télécharger, installer et démarrer un navigateur web, dans notre exemple : Safari

(J'aurais bien voulu démarrer Internet Explorer mais il n'a pas souhaité afficher notre site web le bougre !)

Une fois les dépendances logicielles installées, Safari sera téléchargé (si vous le souhaitez) puis installé

Une fois les dépendances logicielles installées, Safari sera téléchargé (si vous le souhaitez) puis installé.

Vous pourrez accéder à cette documentation en cliquant ici.

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Tuxicoman : Carnet de contacts étendu dans Android 4.4, encore une régression de la vie privée

vendredi 24 janvier 2014 à 08:00

Dans mon précédent article sur les mauvaises nouveautés d’Android 4.4 , je vous ai parlé de la nouvelle fonctionnalité qui consiste à interroger Google dès que l’on recoit un appel d’un inconnu. Déja ça craint pour la vie privée.

android contacts

Mais en fait c’est pire que ça. Lorsque l’on recherche quelqu’un dans son carnet de contact, Android envoie notre position précise, notre ID, le nom du contact recherché et la date à ses serveurs. Pour votre bien évidemment ! Puisque vous pourrez savoir en tapant « Mac » le numéro de téléphone du MacDo le plus proche de chez vous (si celui ci est référencé par Google Places). Cette fonctionnalité est incluse dans les GoogleApps nécessaires pour avoir accès au PlayStore.

Bref, du business à fond puisque ca veut remplacer les « pages blanches et jaunes » mais en attendant, vous n’avez jamais été aussi tracés.

J’utilise OmniROM sur mon téléphone.  Je n’utilise pas les GoogleApps mais Fdroid et GooglePlayDownloader. Et j’ai eu le plaisir de voir qu’OmniROM travaillait à reproduire la fonctionnalité de manière bien plus protectrice de la vie privée. Ca se base sur OpenStreetMap, ca utilise un position approchée, le code sera en GPL et on pourra choisir la source de donnée (OSM, Google Places ou autres)

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Quack1 : Pourquoi écrire en Markdown ?

vendredi 24 janvier 2014 à 00:00

Depuis quelques temps, je parle beaucoup de Markdown, de l'utilisation que j'en ai et des outils que j'utilise, mais jamais des raisons de cette utilisation. Je vais essayer de lister ici les quelques raisons qui me font utiliser Markdown au quotidien, et quelques pistes si vous voulez vous y mettre ! :)

J'ai d'abord choisi d'écrire en Markdown, un peu par obligation. Quand j'ai migré le blog sur Pelican il y a presque un an, je me suis retrouvé à écrire tous mes billets en Markdown1. Et c'est petit à petit que je me suis mis à ne trouver que — ou presque — des avantages au Markdown.

D'abord, il est super léger, et ne nécessite qu'un simple éditeur de texte. Les fichiers sont écrits en simple texte, en donc ne nécessite pas d'installer un quelconque logiciel supplémentaire sur son ordinateur (pas besoin de Microsoft Office, de LibreOffice, ou iWorks). À ma connaissance, tous les OS d'aujourd'hui disposent, en natif après l'installation, d'un éditeur de texte. Donc on peut écrite en Markdown sur tous les OS, sans rien installer. Même Windows a le Bloc-Notes !

L'avantage d'utiliser Markdown, c'est de posséder une syntaxe claire et légère pour définir la mise en forme. Par exemple, pour écrire une portion de texte en gras, il suffit de l'entourer de deux symboles * ou de deux _. Exemple : J'aime **beaucoup** les Kinder devient « J'aime beaucoup les Kinder ». Pour mettre du texte en italique, il suffit d'un seul de ces symboles (_bonjour_ devient « bonjour »).

On peut aussi écrire des listes en commençant les lignes par des tirets, faire des citations, des liens hypertextes, etc...

L'avantage d'une syntaxe aussi légère est — à mon avis — double :

Je trouve qu'un des principaux avantages du Markdown est justement ici : ne pas avoir à se soucier de la forme. Combien de fois est ce que vous avez fini des rapports ou des présentations parce que vous avez passé 80% du temps à mettre en forme trois phrases, pour vous rendre compte, après coup, que vous devez tout refaire parce que le contenu est trop grand/large/différent ? Avec Markdown, vous pouvez vous contrefoutre de la forme. Le plus important c'est ce que vous dites, c'est le contenu. Le reste, c'est du pipeau pour se donner un genre parce qu'on sort un document tout beau tout propre. Alors qu'au final, la forme, on s'en branle un peu, le plus important c'est ce qu'on met dedans.

Pour la petite histoire, j'ai des collègues qui pensent que, si vous leur passez un Word ou un PowerPoint « de travail » avec du texte noir sur fond blanc, c'est un travail baclé que vous avez fait à l'arrache. Juste parce qu'il n'y a pas de mise en forme.

Le meilleur contre-exemple, c'est quand même les scénarios. Les mecs écrivent des histoires de malades, dépensent des millions de dollars pour tourner des supers films avec des caméras 4K (TK), et au final le script est juste écrit en Courier New et sans mise en forme de malade4.

Pour ma part, quand je veux générer des PDF ou des ODT un peu classes, j'utilise pandoc et des feuilles de style, propres au format de destination. Je ne vais pas faire de tuto (enfin, pas tout de suite), mais ce site est pas trop mal pour débuter.

Enfin, je ne peux pas finir ce — long — post sans parler des inconvénients de Markdown. Perso, je n'en ai pas vu des masses. Si tant est qu'on ait un éditeur de texte qui le supporte, la lecture d'un source .md est super simple, l'écriture aussi.

Générer des PDF ou autres, c'est un peu plus tendu pour les non connaisseurs, mais je des outils intègrent déjà ce genre de fonctionnalités (comme Uberwriter par exemple).

Enfin, Markdown ne gère pas encore tout ce qu'on peut avoir envie de faire dans un document texte. Pour taper du texte « simple » (j'entends par là, du texte avec mise en avant (gras, italique, souligné), listes à puces ou numérotées, titres, liens, images, ...), c'est royal, mais quand on arrive sur des bibliographies ou des trucs un peu plus exotiques, c'est — à ma connaissance — pas géré nativement par Markdown5.

En conclusion : utilisez Markdown, c'est bon, ça mord pas, et ça fait de la place sur les disques !

Quelques liens que j'ai vu passer récemment chez urbanbike :


  1. En même temps, j'avais un peu choisi Pelican pour ça aussi :p 

  2. Et aujourd'hui, de nombreux éditeurs de texte (comme Sublime-Text) supportent le Markdown et mettent automatiquement le texte en forme. Voir ici par exemple. 

  3. Chose parfaitement impossible avec Microsoft Office ou Libre Office, pour lesquels il faut refaire la mise en forme par la suite. 

  4. Et, ici aussi, comme pour le Markdown, on regarde juste la mise en forme brute du texte : majuscules, minuscules, indentation du texte, et pas s'il est écrit en jaune, corps 16, souligné en rouge ;) 

  5. Mais on peut, dans du Markdown, intégrer du code Html, ou du LaTeX aussi je crois. Je n'ai jamais essayé ça, si vous l'avez fait, je veux bien un retour d'xp :p 

  6. L'appli est écrite en Html5, et reste stockée en cache dans votre navigateur, donc vous pourrez même l'utiliser hors-ligne. 

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Morot : Synology DS213J et ipkg

jeudi 23 janvier 2014 à 23:04

IPKG, c’est beau propre et frais, mais ça n’existe pas pour l’architecture Marvel Armada 370.  Mais grace à ces petits gars on sait maintenant que c’est à peu près compatible au niveau des binaires avec l’architecture Marvell Kirkwood mv6281 déjà bien supportée. Donc en fait, c’est très simple et fermez les yeux quand on dit que ce n’est pas compatible car les commandes suivantes suffisent pour installer le nécessaire :

feed=http://ipkg.nslu2-linux.org/feeds/optware/cs08q1armel/cross/unstable
ipk_name=`wget -qO- $feed/Packages | awk '/^Filename: ipkg-opt/ {print $2}'`
wget $feed/$ipk_name
tar -xOvzf $ipk_name ./data.tar.gz | tar -C / -xzvf -
mkdir -p /opt/etc/ipkg
echo "src cross $feed" > /opt/etc/ipkg/feeds.conf

Pis tout simplement :

ipkg update
ipkg install screen (pour commencer)

Merci à lui!

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La vache libre : QupZilla un navigateur web très intéressant

jeudi 23 janvier 2014 à 22:13

Le navigateur Web est un des éléments de notre système d’exploitation que nous utilisons le plus souvent et généralement assez longtemps. Son choix revêt donc une importance toute particulière et se fait selon des critères qui nous sont propres. Certains veulent de la modularité (un max d’extensions), d’autres veulent du rapide, du léger, ou encore des solutions leur assurant un certain degré de contrôle au niveau de leur vie privé. Les solutions sont nombreuses, mais le bon compromis est assez difficile à trouver. Firefox est sans doute l’un des meilleurs navigateurs pour le surf intense, mais force est de constater qu’il est assez gourmand et peu enclin à être utilisé sur des machines modestes. Chrome/Chromium sont quant à eux plus rapides, mais ils restent de gros bouffeurs de ram et l’interface de paramétrage est complètement pourrie. Il y a bien d’autres navigateurs ayant également leur défauts et leur qualités, dont Qupzilla que je n’avais pas encore essayé (bien que lei00 nous en ait déjà parlé) et qui je l’avoue, m’a agréablement surpris. La sortie de QupZilla en version 1.6.0 était donc pour moi l’occasion d’en remettre une couche et de vous parler à nouveau de ce petit navigateur Web écrit en Qt et basé sur WebKit.

Interface et fonctions de recherche :

Alors comme vous pouvez le voir sur l’image d’introduction du billet, vous ne serez pas trop chamboulés par l’interface de la bête, dont la barre de menu ressemble beaucoup à celle de Firefox. Au lancement de l’application vous vous retrouverez sur un menu assez simple et très sobre, qui ressemble à ça :

Vous trouverez une barre d’URL et un champ de recherche paramétrable, qui va vous permettre de choisir entre Google (présent par défaut), DuckDuckGo, StartPage ou Wikipedia. Vous pourrez si vous le souhaitez éditer les paramètres du champ et ajouter ou supprimer d’autres moteurs de recherche.

Si vous choisissez de conserver la page d’accueil par défaut et d’utiliser le champ de recherche situé dessus, c’est DuckDuckGo qui sera utilisé par défaut. On ne s’en plaindra pas.

Outils tiers :

Au niveau des outils QupZilla propose un Inspecteur de page Web, une option essentielle pour ceux qui comme moi tiennent un site internet ou plus globalement pour les développeurs Web.

Vous trouverez également un lecteur de flux RSS intégré qui va vous permettre de meuh suivre et de ne plus rater aucun de mes billets :)

En plus des outils intégrés vous trouverez un menu de paramétrage, à partir duquel vous pourrez étendre les capacités de QupZilla à l’aide des différents plugins disponibles.

On notera également :

Enfin dernier point intéressant et non des moindres, Qupzilla bénéficie d’un gestionnaire « Useragent » vous permettant de gérer les problèmes d’accès éventuels sur des sites n’acceptant pas certains navigateurs (ce qui est devenu assez rare quand même je vous l’accorde).

Conclusion :

En résumé QupZilla est un navigateur très sympa même si je le sais, vous allez me dire que les autres navigateurs proposent à peu près la même chose. Ce qui de mon point de vue le différencie des autres alternatives, c’est que QupZilla a l’air d’avoir été conçu de façon ultra cohérente. Il constitue une alternative crédible aux mastodontes du secteur en étant à même de proposer une solution légère, pouvant tourner sur des machines modestes tout en gardant un niveau d’options suffisant pour plaire aux utilisateurs les plus exigeants.

J’ai vraiment adoré ce soft !!!

Si ça vous tente vous pouvez essayer la nouvelle version de QupZilla qui soit dit en passant intègre le support de PAC (Proxy Auto-Config), ainsi que le support de KWallet  et de Gnome-Keyring dans le but de faciliter la gestion des mots de passe sur KDE, Gnome et Unity.

On notera également l’amélioration de la gestion des scripts Greasmonkey, grâce à l’ajout d’un indicateur apparaissant dans la barre d’état quand l’un d’entre-eux est actif. On notera enfin la possibilité d’exporter vos signets au format HTML, un nouvel outil de traduction disponible depuis le menu contextuel, diverses optimisations au niveau du thème et situées sous le capot. Vous pouvez consulter l’annonce de sortie pour en savoir un peu plus.

Installation et téléchargement :

QupZilla est disponible pour la plupart des distributions GNU/Linux, Windows et Mac OS X, depuis la page de téléchargement du site officiel.

Si vous tournez sur Debian, Ubuntu et dérivés, vous pouvez également passer par le PPA suivant à l’aide de ces quelques lignes de commande.

Installer QupZilla sur Debian Ubuntu et dérivés :

sudo add-apt-repository ppa:nowrep/qupzilla
sudo apt-get update
sudo apt-get install qupzilla

Amusez-vous bien.

source

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