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wilfried caruel : Yacreader : Le logiciel libre de la semaine

mardi 31 mars 2015 à 22:47

Présentation Yacreader

image-logiciel-yacreader

Je vais encore vous parler d’un logiciel découvert chez l’ami « Noireaude » dans mon instance « FreshRSS ».

Ce logiciel permet de lire des bandes dessinées que ce soit sous Windows , Linux et même Mac OS.

Ce logiciel s’appelle « Yacreader »

Ce logiciel est compatible avec la quasi-totalité des formats de bande dessinés disponibles sur le web c’est à dire :

Ce logiciel est mis à la disposition sous la licence « GPLv3 ».

Concernant les fonctionnalité ce logiciel n’est pas en reste :

Fonctionnalités :

La vidéo

Le développeur s’appelle « Luis Ángel San Martín Rodríguez« 

Mon avis :

Je ne lis plus de bandes dessinées depuis pas mal d’années, mais même si l’interface est spartiate il fonctionne beaucoup avec les raccourcis claviers (c’est pas que j’aime pas , mais je ne m’en rappelle jamais, donc je perds l’intérêt) pour ce genre de logiciels et d’interfaces.
Si « noireaude » n’en avait parlé, à moins de voir ce logiciel durant ma veille quotidienne ou sur la page AUR  , je n’en aurais sûrement pas parlé ici.

Concernant les fonctionnalités que je trouve intéressantes, il y a  la loupe double page et le dictionnaire que je trouve intéressants.
Vous êtes un lecteur de bandes dessinées assidu ou occasionnel ,testez le logiciel.
Il vous satisfera tant les fonctionnalités sont nombreuses.
Concernant le code source il est disponible sur bitbucket au lieu de github

Qu’utilisez vous pour lire les bandes dessinées ?

Instalation :

Archlinux
yaourt -S yacreader

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Romaine Lubrique : Flickr accueille désormais le domaine public !

mardi 31 mars 2015 à 18:21

Excellente nouvelle, la plateforme photographique Flickr propose désormais le domaine public dans son panel de licences. Mais, attention, il y a deux choix bien distincts à faire. Explications, tests et enjeux.

Comme l'épisode Fleur Pellerin, la photographie et le musée d'Orsay, tout est parti il y a dix jours d'un simple tweet, celui du petit génie Elon Musk annonçant qu'il placerait désormais les majestueuses images du projet SpaceX de leur compte Flickr dans le domaine public.

Sauf que, comme lui ont tout de suite fait remarquer certains, Flickr ne propose pas le domaine public dans son choix de licences [1]. CC-By, CC-By-SA, CC-By-NC-ND... il y a bien depuis des années les classiques licences Creative Commons mais pas celles spécialement dédiées au domaine public.

L'annonce (et le problème) ayant fait le tour du Net, Flickr a réagi rapidement et implémenté depuis hier deux nouvelles options lorsque vous y déposez des images : Public Domain Dedication et Public Domain Work.

2 choix bien différents

Il y a deux options pour bien distinguer :

  • le cas d'une œuvre dont vous êtes l'auteur et que vous souhaitez placer volontairement dans le domaine public (sans attendre 70 après votre mort) ;
  • le cas d'une œuvre déjà dans le domaine public dont vous n'êtes pas l'auteur (typiquement une œuvre ancienne qui n'est plus couverte pas le droit d'auteur)

Le premier cas est ce que Flickr nomme Public Domain Dedication (CC0). Il s'adresse aux créateurs contemporains. Il renvoie à la licence Creative Commons CC0 - Transfert dans le Domaine Public.

Le second cas est ce que Flickr nomme Public Domain Work. Il s'adresse principalement à ceux qui numérisent des œuvres, qu'il s'agisse de particuliers mais surtout d'institutions comme les musées, qui ne font que déposer les reproductions sur Flickr. Il renvoie à la licence Creative Commons Marque du Domaine Public (Public Domain Mark, en anglais). Lire à ce sujet l'excellent billet de Calimaq : Public Domain Mark : la pièce manquante du puzzle ? ainsi que l'intervention vidéo de Danièle Bourcier lors du festival.

Dans le premier cas vous êtes creator et dans le second curator, mais dans tous les cas vous êtes mentionné.

Remarque : Il existait aussi le projet Flickr The Commons dont « l'objectif central est de partager les trésors cachés des photographies d'archive publiques du monde entier ». Mais on se retrouvait avec un « Aucune restriction de droits d'auteur connue » moins engageant, positif et affirmé que la Marque du Domaine Public.

Premiers tests

Pour illustrer (et fêter) cela, nous venons de nous créer un compte Flickr où ne figurent pour le moment que deux images.

CC0

La première est une photographie prise récemment pendant le Festival du domaine public au Café Monde & Médias (à qui nous témoignons tout notre soutien après l'incendie). Le photographe a souhaité placer son image sous CC0 pour être en phase avec le Festival ;)

Attention cependant au droit à l'image des sujets photographiés. Ici on distingue seulement deux personnes qui ont donné leur autorisation (à savoir nous), donc c'est ok. Attention également à l'épineuse question de la liberté de panorama, à savoir le droit d'auteur que revendiquent certains architectes contemporains sur leurs œuvres de l'espace public (cf l'exemple de la Pyramide du Louvre). Là aussi on aurait besoin d'une harmonisation européenne dans le sens de l'autorisation.

Sur cette photo déposée sur Flickr, on distingue désormais en bas à droite le logo de la licence CC0.

Public Domain Mark

La deuxième image est complètement différente puisqu'il s'agit cette fois d'une reproduction de peinture. Elle a été prise au musée d'Orsay pour célébrer le retour de la photographie. C'est un tableau de Ker-Xavier Roussel, nouvel entrant 2015 du domaine public.

Sur cette image déposée sur Flickr, on distingue désormais en bas à droite le logo caractéristique du domaine public. Le photographe s'efface ici humblement devant l'œuvre reproduite fidèlement [2] et ne revendique aucun droit.

CC0 : Oui, mais...

Le problème de cette mise volontaire dans le domaine public (ou « domaine public consenti » selon l'expression de Séverine Dusollier), c'est qu'elle n'est tout simplement pas reconnue par de nombreuses législations à commencer par la française (où en pratique elle se transforme en une CC-By).

En l'état actuel des choses, elle n'est qu'une déclarations d'intention, quasi un acte militant, de la part de ceux, de plus en plus nombreux, qui optent pour ce choix (cf nos récents articles Le Clavier bien tempéré de Bach, directement dans le domaine public ! et Des milliers de photos d'insectes dans le domaine public !).

C'est aussi pour cela qu'il faut se battre pour une définition positive du domaine public et soutenir le rapport Reda qui nous propose de reconnaître et faciliter ce choix à l'échelle européenne. Pour la France ce sera d'autant plus compliqué que subsiste un droit moral très fort, « perpétuel et inaliénable ».

Public Domain Mark : Oui, mais...

La Marque du Domaine Public est un formidable outil mis à la disposition des institutions publiques qui abritent des œuvres du domaine public. Le problème c'est qu'elles ne jouent pas encore toutes le jeu, loin de là. Oui, la numérisation a un coût mais la diffusion des œuvres fait aussi partie de leurs missions (sans compter que numériser c'est aussi conserver). Pour un Rijksmuseum qui se félicite de son ouverture, combien d'autres musées rechignent encore ?

Rechigner c'est par exemple ne pas diffuser du tout ses numérisations, ou alors en vignette basse résolution. Nous aurions ainsi par exemple rêvé que le Centre Pompidou donne accès à son extraordinaire fonds Kandinsky lors du Festival pour célébrer avec nous son entrée dans le domaine public 2015. C'est aussi faire indûment acte de copyfraud en rajoutant, comme ça se pratique à Orsay, le droit du photographe sur la reproduction fidèle d'une peinture.

Une autre marque, beaucoup moins belle celle-là, directement sur les reproductions du musée Toulouse-Lautrec d'Albi.

Il reste encore beaucoup à faire pour que cette Marque du Domaine Public soit massivement adoptée. En attendant ce sont donc les particuliers qui s'y collent comme au musée d'Orsay l'autre jour.. On n'aboutit pas forcément à la meilleure numérisation qui soit, mais ça donne lieu à de chouettes ballades culturelles, appareil en main ;)


[1] Ce qui avait poussé un wikipédien à les placer ailleurs, sur Wikimedia Commons, avec mention explicite du domaine public cette fois.

[2] Attention toutefois au syndrome de la Laitière jaune !

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Tuxicoman : Les gardiens du nouveau monde

mardi 31 mars 2015 à 10:38

Documentaire sur les hackers qui protègent notre vie privée. (paradoxal n’est-il pas?)

Source GamerzOne

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genma : Scratch pour les kids chez Eyrolles

mardi 31 mars 2015 à 09:00

Présentation de l'éditeur

L'apprentissage de la programmation ouvre aux enfants un monde de créativité et, à terme, d'emplois dans notre société toujours plus numérique. C'est dans cette optique qu'a été conçu Scratch, un logiciel libre et gratuit qui initie les 8-12 ans à l'informatique en les invitant à créer leurs propres jeux et animations. D'approche très visuelle, fonctionnant par assemblage de briques de couleur, cet outil éducatif a déjà séduit des millions de débutants en programmation dans le monde. Scratch existe en version française, téléchargeable ou en ligne, pour Mac, PC et Linux.

Mêlant code, jeux et bande dessinée, ce livre ludique et accessible explique aux enfants les bases de la programmation (variables, boucles, tests...) avec l'aide de Scratch. Ils seront amenés à réaliser différents projets, inspirés des classiques jeux d'arcade, afin de développer leurs aptitudes à raisonner, innover et travailler en équipe. Rédigé par The LEAD Project, une association encourageant l'éducation par la technologie, cet ouvrage constitue une première étape idéale pour le programmeur en devenir.

Scratch pour les kids chez Eyrolles

La critique du Genma

Je connaissais le logiciel Scratch pour l'avoir vu utilisé par un enfant et j'avais beaucoup aimé le concept. Pour en savoir plus et avoir des captures d'écran, je vous invite à aller consulter le site du projet à l'adresse suivante : https://scratch.mit.edu/.

Pour savoir comment utiliser ce logiciel, exploiter au mieux les possibilités, ce livre est parfait. Richement illustré en couleur, sur un papier de bonne qualité, ce livre est à mettre entre les mains de tout animateur de Coding gouters et autres activités d'initiation à la programmation au sein des clubs informatiques. Il est également à destination des enseignants et parents qui accompagneront des enfants dans leurs découvertes.

Eyrolles a fait les choses bien (comme souvent) : toutes les ressources du livre sont disponibles au téléchargement sur leurs sites. Ainsi l'enfant pourra retrouver tous les exemples et illustrations utilisées dans le livre.

Si vous connaissez la phrase "Code is Law", si vous êtes sensibilisés à l'importance de savoir programmer, de comprendre comment marche le code informatique, Scratch, via ce livre, est une première base, ludique dans cette voie. Ensuite, si l'enfant a envie d'en savoir plus, d'en apprendre plus, on pourra alors se tourner, dans la même collection, vers le livre Python pour les kids, qui là, utilise le langage Python en amenant des concepts plus évolués. Pour en revenir à Scratch pour les kids, c'est un bon support pour l'utilisation du logiciel Scratch qui permettra d'appréhender les concepts de la programmation.

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Okki : Utiliser les notifications d’HexChat avec GNOME

mardi 31 mars 2015 à 00:16
Les notifications HexChat sous GNOME

Depuis GNOME 3.16 et son nouveau centre de notifications, les notifications d’HexChat sont bien plus agréables et pratiques à utiliser.

Pour pouvoir en profiter, il vous suffit de vous rendre dans le menu Paramètres d’HexChat, puis d’aller dans les Préférences. Une fois la fenêtre affichée, vous devez vous rendre dans la partie Alertes de la catégorie Bavardage.

Deux options nous intéressent ici : « Afficher une fenêtre de notification », pour laquelle vous devez cocher les cases relatives aux messages privés, ainsi qu’aux messages en surbrillance (qui correspond au fait d’être cité sur un canal). Ainsi que « Omettre les alertes quand la fenêtre est focalisée », histoire de ne pas recevoir de notifications quand nous avons déjà la fenêtre sous les yeux.

Les préférences d’HexChat

Désormais, quand on parlera de vous ou que vous recevrez un message privé pendant que vous serez occupé sur tout autre chose, une notification s’affichera durant quelques secondes en haut de l’écran, avant de rejoindre celles déjà présentes dans le centre de notifications.

Et pour ceux qui préfèrent les images animées, il existe une petite vidéo YouTube ;)

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