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mozillaZine-fr : Débuts de la « sandbox » dans Firefox Nightly pour Windows

samedi 6 décembre 2014 à 21:26

Dans un article publié sur l’excellent ghacks.net, Martin Brinkmann explique qu’une des raisons pour lesquelles Mozilla travaille sur une architecture multi-processus, c’est que cela permettra d’avoir une sandbox pour Firefox. Qu’est-ce qu’une « sandbox » ? On pourrait traduire par « bac à sable », ce qui est une assez bonne illustration dans l’esprit « va jouer dans ton bac à sable et laisse-nous tranquilles » ! C’est en effet une architecture qui sécurise le fonctionnement d’un processus (Firefox, en l’occurence) de manière à ce qu’il ne puisse pas accéder à certaines ressources du système. C’est particulièrement important dans le cas d’une attaque via une faille. Dans ce cas, la faille ne permettra pas d’accéder à des ressources telles que le compte administrateur.

Le plus surprenant dans cette nouveauté, c’est que Mozilla part de la sandbox open source de Google, qui est utilisée dans Chrome et Chromium. Mozilla aurait pu repartir de zéro et créer sa propre version de ce composant logiciel, mais cela aurait été une perte de temps et d’énergie pour arriver peu ou prou au même résultat.

La sandbox de Firefox ne fonctionne que lorsque e10s est activé. C’est le cas pour toutes les compilations nocturnes (Nightly). Et si vous voulez tester cette sandbox, vous devez simplement télécharger une des Nightlies, et activer la préférence browser.tabs.remote.sandbox.

Dans un commentaire sous l’article, Martin répond à la question « Est-ce que cette sandbox va gonfler la consommation de mémoire de Firefox au niveau de celle de Chrome ? » par la négative. En effet, le plus gros impact sur la mémoire viendra de l’architecture multi-processus e10s, et les ingénieurs de Mozilla se sont engagés à faire en sorte que e10s augmente le moins possible la consommation de mémoire.

En bref, Mozilla s’apprête à relever le défi de prendre le meilleur de Chrome et faire mieux en terme de mémoire. C’est le genre de défi qu’on aime ! Plus d’infos sur le wiki de Mozilla, d’où provient l’illustration de cet article.

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La vache libre : Xfce – Whisker Menu 1.4.1 disponible

samedi 6 décembre 2014 à 11:29

Sélection_001

Whisker (moustaches) Menu est un lanceur d’applications alternatif pour Xfce dont je parle régulièrement dans l’étable et qui a été conçu dans le but de permettre aux utilisateurs d’afficher la liste de leur applications par catégories, ou par favoris. Il embarque également une barre de recherche et un système d’historique assez performants, permettant un accès rapide aux différentes applications présentes sur son système. Enfin son mode d’utilisation est vraiment très simple, dans la mesure où l’ajout d’applications dans le menu peut se faire d’un simple glisser/déposer. En gros il est un peu plus moderne que le menu de base d’Xfce (qui se fait un vraiment vieillot), tout en restant simple et ultra fonctionnel. Whisker Menu a été publié hier en version 1.4.1, embarquant diverses améliorations et quelques corrections de bugs.

Parmi les changements intervenus dans la version 1.4.1 de Whisker Menu, on pourra commencer par relever la correction d’un bug assez gênant pouvant provoquer un crash lors de la présence de caractères d’encodage UTF8 invalides. On notera également la correction d’un bug concernant la connexion sécurisé Wikipedia et la mise à jour d’un certain nombre de traductions : Basque, Néerlandais, Finnois, Français, Grec, Indonésien, Kazakhs, Lituanien, Népalais, Persans, Polonais, Roumain, Espagnol, Suédois, Turc, Ukrainien, Ouzbeks.

Je n’avais pas couvert la sortie de la version 1.4.0, qui elle aussi nous a été livrée avec quelques améliorations intéressantes. On notera par exemple l’ajout d’une option permettant de changer la position des catégories et des lanceurs dans le menu, l’ajout de l’entrée « About » dans le menu contextuel, l’ajout d’une entrée pour le nom d’utilisateur et la mise à jour d’un grand nombre de traductions : Bulgare, Catalan, Chinois (Taiwan), Tchèque, Néerlandais, Français, Allemand, Hébreu, Italien, Japonais, Malais, Norvégien Bokmål, Polonais, Portugais, Russe, Slovaque, Espagnol, Suédois, et bien d’autres choses encore…

Si ça vous tente et que vous calez plus de choses à l’anglais que moi, vous trouverez la liste complète des changements sur cette page. Vous y trouverez également les procédures d’installation et les sources à compiler pour les différentes distributions GNU/Linux.

NB : Si vous ne voulez pas faire de don passez la valeur de ces derniers à 0$ pour accéder aux téléchargements.

Si vous tournez sous Arch Linux et Manjaro vous pouvez installer Whisker Menu via AUR, à l’aide de la commande suivante :

yaourt -S xfce4-whiskermenu-plugin

Amusez-vous bien.

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Philippe Scoffoni : Comparatif Owncloud vs Pydio

samedi 6 décembre 2014 à 00:23

pydio-logoPydio (anciennement Ajaxplorer) vient de sortir en version 6. Ce logiciel permet de gérer des fichiers depuis une interface web. Ce type d’outil se positionne en alternative aux services de stockage de fichier sur internet comme Dropbox, OneDrive ou encore Gdrive pour ne citer que les plus connus. Ce projet existe déjà depuis pas mal de temps et représente une solution concurrente (ou pas) à Owncloud.

Je mets tout de suite un « ou pas » car Pydio reste cantonné à la gestion de fichiers et ne prétend pas à être le « couteau suisse » que veut devenir Owncloud et dont les fonctionnalités dépassent celle du stockage de fichiers en ligne.

Si vous aimez garder le contrôle de vos données, que vous soyez une entreprise ou un particulier, et que vous n’avez pas de compétences informatiques alors c’est pour ainsi dire peine perdue si vous comptez utiliser l’un ou l’autre de ces deux logiciels. Seul un(e) copain(ine) geek ou un prestataire de services informatiques pourra vous aider dans la mise en place de ce type d’outil.

Bien entendu vous pouvez aussi décider de faire confiance à un tiers. Certains services en ligne portés par des entreprises ou associations françaises proposent de vous mettre à disposition l’un ou l’autre de ces logiciels. Pour Pydio, j’ai trouvé Seedbox, pour Owncloud, Ikeepincloud ou l’association La mère Zaclys. Il existe probablement d’autres offres, n’hésitez pas à les signaler en commentaire, du moment que les serveurs sont en France et les société ou association basées également dans notre beau pays.

Client de synchronisation

J’étais personnellement resté à la version 5.04 de Pydio avant de basculer sur Owncloud. La principale raison tenait à l’absence d’un client de synchronisation « stable » pour Pydio.

Côté Owncloud, le client de synchronisation ne m’a pour l’instant pas joué de mauvais tour et la fiabilité semble bien être là y compris sur des volumes de l’ordre de plusieurs dizaines de Go de données. La dernière version a également apporté quelques améliorations significatives qui le mettent quasiment au niveau de celui de Dropbox. Il ne manque plus que les menus contextuels dans l’explorateur de fichiers pour générer des liens de partage sans passer par l’interface web.

pydio-sync-clientChez Pydio, le projet a été relancé et semble en très bonne voie. Il a été au passage renommé en PydioSync. Malheureusement, il est toujours au stade de bêta et les problèmes connus rendent son utilisation « en production » pour le moins impossible. Par contre la couverture fonctionnelle annoncée est bien meilleure que celle du client d’Owncloud avec notamment une version « headless » c’est-à-dire sans interface graphique que l’on peut installer sur un serveur par exemple. Dans ce cas l’accès aux fichiers (ai-je bien compris ?) et à l’interface de configuration se fait par une interface web.

Autre fonctionnalité disponible avec Pydio pour les utilisateurs de Thunderbird, c’est le « File Link » qui permet de transformer automatiquement une pièce jointe en un lien de téléchargement. L’opération d’envoi du document sur Pydio, la création d’un partage et l’insertion du lien dans le mail est totalement automatisée. Un vrai confort. Il existe une extension FileLink utilisant le protocole WebDav potentiellement utilisable avec Owncloud, mais je ne suis jamais arrivé à le faire fonctionner correctement.

Pydio et Owncloud proposent tous les deux des applications pour Android et Iphones. Gratuite pour Pydio, elle est payante pour Owncloud (79 centimes ce qui reste fort abordable).

Interface Web

Le moins que l’on puisse dire est que la page d’accueil de Pydio est au top par rapport à la tristounette page d’accueil d’Owncloud. L’interface Web de Pydio a été entièrement refaite pour cette version 6. Nous sommes sur du « flat design » avec de couleurs acidulées.

pydio-home-page pydio-user-pageL’interface de Pydio conserve une avance certaine sur celle d’Owncloud. La disponibilité d’un menu contextuel rend plus naturelles manipulations pour un utilisateur habitué aux explorateurs de fichiers des postes de travail. Pydio propose une série de petites fonctionnalités dont ne dispose par Owncloud et qui rend l’utilisation de l’interface web plus conviviale.

Historique des versions de fichiers

Owncloud a l’avantage de proposer une gestion de l’historique des versions des fichiers en standard ce qui n’est pas le cas de Pydio. De plus ce dernier semble nécessiter la mise en place d’un logiciel complémentaire comme Git  avec quelques contraintes sur le système de fichiers à mettre en œuvre. Bref cela n’a pas l’air simple. Selon l’usage que l’on fait de l’outil, ce n’est pas forcément rédhibitoire, mais j’avoue que j’apprécie beaucoup cette fonction d’Owncloud.

Côté administration

Pydio se distingue là aussi d’Owncloud par une plus grande quantité de paramètres et de fonctionnalités. Mais cette fois c’est peut-être au détriment de la simplicité d’utilisation pour un usage domestique ou pour une petite entreprise. Par contre dès que les besoins en terme d’organisation évoluent, Pydio reprend l’avantage avec des fonctions plus évoluées sur la configuration du stockage et des règles de gestion de l’accès aux données.

pydio-admin-page

Owncloud et Pydio permettent tous deux de se connecter à d’autres supports de stockage comme DropBox, Amazon S3 ou des serveurs FTP. Pydio permet même de se connecter à un compte de messagerie POP ou IMAP pour accéder aux pièces jointes des emails. Sans avoir comparé de façon exhaustive les possibilités des deux outils, ils ne me semblent pas loin de faire jeu égal.

Owncloud et Pydio disposent tous deux d’une bibliothèque de modules complémentaires pour intégrer le logiciel à des systèmes d’authentification d’entreprise. Pydio a également des extensions pour les trois principaux logiciels de gestion de contenu, Drupal, Joomla et WordPress pour synchroniser les comptes utilisateurs des deux outils.

Modèle économique

Dans les deux cas les logiciels sont portés par une entreprise. Les deux projets disposent de sérieux appuis financiers ou de partenariat technique notables. Pydio est ainsi associé à Red Hat et Owncloud a pu réaliser des levées de fond importantes ces derniers mois. Autre détail non sans importance Pydio est une entreprise française.

Les deux logiciels sont disponibles en version communautaire et entreprise. Dans ce dernier cas Owncloud, offre des fonctionnalités supplémentaires plutôt destinées aux grandes entreprises. Du côté de Pydio, je n’ai pas vu de différences fonctionnelles entre les versions communautaire et entreprise. Bien évidemment pour les versions entreprises, le support est assuré.

Au final ?

question-markPour mon usage, principalement lié à mon activité professionnelle, je vais pour l’instant continuer à utiliser Owncloud pour son client de synchronisation et sa gestion de l’historique des fichiers.

Je continuerais de conseiller Owncloud pour les particuliers et les TPE pour sa plus grande simplicité de mise en œuvre et d’utilisation et les fonctions complémentaires d’agenda partagé et de gestion de contact.

Pour les PME et au-delà, Owncloud reste une solution envisageable, mais j’ai peur que l’administration des droits et des accès aux fichiers ne soient trop légers. Pydio dispose d’une notion de dépôt et de modèle de dépôt pour déléguer la gestion de ces derniers à des utilisateurs. Une fonctionnalité qui peut faire la différence sur une organisation de taille conséquente.

Pour des structures dont le besoin est centré sur le partage de fichiers, je recommanderais donc Pydio sans hésiter tant qu’il n’y a pas de besoin de synchronisation des données sur le poste.

N’oublions pas non plus SeaFile qui n’est pas loin sur ce segment et que l’on peut clairement qualifier d’outsider en embuscade. Ce dernier dispose d’un client de synchronisation tout à fait opérationnel pour lequel je regrette juste l’utilisation de ports de communication non standard pouvant en entreprise nécessiter quelques ajustements au niveau d’un pare-feu. Mais ce logiciel reste une alternative très intéressante sur laquelle je reviendrais plus en détail prochainement. Sur le papier Seafile a toutes les caractéristiques pour venir voler la première marche du podium sur la gestion de fichiers.


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Article original écrit par Philippe Scoffoni le 06/12/2014. | Lien direct vers cet article

Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons BY à l'exception des images qui l'illustrent (celles-ci demeurent placées sous leur mention légale d'origine).

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yeKcim : fixmbr

vendredi 5 décembre 2014 à 22:18

Il arrive que j’installe Linux en dual-boot sur des postes puis que, quelques temps plus tard, le poste changeant d’utilisateur, Linux doive être enlevé. Problème : la configuration du boot est souvent dans la partition Linux, il est donc nécessaire de restaurer le Master Boot Record… Pour cela les commandes les plus connues se font en console depuis un CD d’installation Windows. N’ayant pas toujours un tel disque sous la main (les portables sont fournis avec des disques de restauration, parfois ils n’ont pas de lecteur de disque,…), une solution depuis un live Linux (cd ou usb) est beaucoup plus pratique.

Il existe plein de possibilités (boot-repair par exemple) mais le plus simple me semble être :

{source}

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La vache libre : Pivot – Un logiciel de classement d’images et d’albums photo pour GNU/Linux, BSD et MS Windows

vendredi 5 décembre 2014 à 16:40

pivot - Photo, Image and Video Organization Tool_001

Il faut vivre avec son temps et pour beaucoup d’entre nous les smartphones (pour ne citer que ça) ont envahi le quotidien et ne quittent plus nos poches. Si ceux-ci nous permettent de téléphoner et de surfer sur les internets, ils ne se cantonnent plus à cela depuis bien longtemps et embarquent désormais des appareils photo et des caméras, toujours plus performants. Il nous est ainsi possible (pour le meilleur ou le pire parfois) de capturer des moments de vie un peu partout et tout le temps. Ces photos arrivent ensuite sur nos machines et bien souvent, celles-ci finissent en vrac dans différents dossiers ou répertoires, créant ainsi un joyeux dawa. Si vous voulez remettre de l’ordre dans tout ça vous pouvez retrousser vos manches et faire péter les copier/coller dans tous les sens, ou déléguer cette tâche fastidieuse à une application telle que Pivot. Il s’agit d’une application que je viens de découvrir et dont le but est de permettre aux utilisateurs de mieux organiser leur photos, grâce à quelques fonctions intéressantes.

Alors pour être franc j’écris ce billet à chaud et je n’ai pas encore fini de tester cette application. D’après ce que j’ai pu voir en revanche, je peux déjà vous dire qu’il est possible d’importer des images ou des vidéos dans un nombre format juste impressionnant. À savoir : jpg, jpeg, png, bmp, cr2, tiff, tif, gif, pbm, pgm, ppm, xbm, xpm, mpeg, svg, mpg, mpeg, divx, avi, mov, mts, mp4 pour les plus courants, auxquels vous pouvez ajouter les formats RAW : 3FR, DCR, K25, KDC, IIQ, CR2, ERF, MEF, MOS, NEF, ORF, PEF, RW2, ARW, SRF, SR2. Rien que ça.

Pour continuer avec l’importation, celle-ci peut se faire depuis différentes sources : Pc, clé USB, smartphones, tablettes tactiles, appareils photo, disques dur externes, caméras etc, et simultanément vers plusieurs répertoires de destination. Ceci est très intéressant dans la mesure où cela va vous faciliter la tâche, dans la création d’éventuels répertoires dédiés à la sauvegarde de vos fichiers. Top.

pivot - Photo, Image and Video Organization Tool_002

En ce qui concerne les photos et les albums, ceci peuvent être classés au choix par date, par nom, par tag et ils pourront éventuellement être renommés en lot. Vous pourrez également y ajouter diverses annotations.

pivot - Photo, Image and Video Organization Tool_003

Pour le reste, vous pourrez aussi avoir accès à des options vous permettant entre autres de paramétrer la taille des vignettes d’aperçu, de prévisualiser les résultats d’une copie avant de la lancer réellement, de détecter les doublons (sur la base d’un hachage MD5) et de faire tout un tas d’autres choses vraiment très sympathiques.

pivot - Photo, Image and Video Organization Tool_004

Je ne vais aller plus loin dans ma description car comme je l’ai dit plus haut, je n’en ai pas encore fait le tour de cette application et accessoirement je n’ai pas tout compris. Il y a vraiment pas mal de possibilités et s’il ne faut sans doute pas être un grand spécialiste pour s’en sortir, il faut quand même fouiner un peu pour comprendre comment ça marche.

Dans tous les cas ça a vraiment l’air d’être du lourd et si vous êtes à la recherche d’un outil de ce type je ne peux que vous conseiller d’y jeter un œil, ou de l’essayer. J’ai un peu de flair pour ce genre de trucs et je pense que ça va vous botter la rate.

Alors si ça vous tente vous pouvez vous rendre sur la page officielle du projet afin d’en savoir un peu plus sur Pivot.

Installation :

Pour vous procurer pivot il suffit de vous rendre sur la page suivante, afin de vous procurer les sources à compiler ou les binaires pour MS Windows.

Si vous tournez sur Ubuntu vous avez deux solutions. Vous pouvez vous procurer le le .deb qui va bien sur cette page, ou passer directement par le PPA dédié à l’aide des commandes suivantes :

sudo add-apt-repository ppa:dhor/myway
sudo apt-get update && sudo apt-get upgrade -y
sudo apt-get install pivot

Dans le cas où vous souhaiteriez le supprimer entrez ceci dans votre terminal :

sudo add-apt-repository -r ppa:dhor/myway
sudo apt-get update && sudo apt-get upgrade -y
sudo apt-get remove pivot

Je n’ai encore rien vu pour Arch ou Manjaro dans les dépôts.

Amusez-vous bien et n’hésitez pas à venir nous faire un petit retour si vous testez.

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