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Guillaume Kulakowski : Migration vers Oh my Zsh!

dimanche 24 août 2014 à 09:23

Cela fait déjà plusieurs années que j'utilise Zsh comme shell principal sur mes PCs et serveurs. Jusqu’à présent j'avais mon propre fichier /etc/zshrc que je déployais sur mes machines. Ce déploiement passait par un RPM et le fichier de configuration était long de plus de 500 lignes qu'il fallait mettre à jour au grès des évolutions de Zsh. Je connaissais déjà la projet Oh My Zsh!, mais je n'avais pas encore sauté le pas.

Oh my Zsh!

Puis, suite à des échanges avec un collègue de boulot, lui même adepte  de Zsh, et qui m'a bien vendu la chose (couplée à l'utilitaire Z), j'ai enfin adopté cette solution. Du coup, j'ai transposé mes 500 lignes de configuration en 200 lignes plus un thème. Le tout est disponible sur mon comptes GitHub.

My Zsh/Oh My Zsh configuration.

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Philippe Scoffoni : Migration de MySQL à MariaDB

samedi 23 août 2014 à 22:30

mariadbToujours dans la série travaux de fin d’été, et après avoir testé la mise en oeuvre de la base de données MariaDB sous Debian 7 voici la mise à jour. Cette fois c’est la machine virtuelle qui accueille une base de données MySQL mutualisée qui sert de cobaye. Elle est utilisée par plusieurs applications hébergées sur différentes machines virtuelles. Il y a en tout six bases de données de tailles diverses, mais au contenu particulièrement critique. Pour ne prendre aucun risque je fais une sauvegarde de la machine virtuelle pour pouvoir revenir en arrière, travaillons serein.

Là encore je dois mettre à jour la version de Debian qui est encore une 6 avant de m’attaquer à la migration proprement dite. C’est là que l’on apprécie de pouvoir mettre en œuvre des applications sans avoir à compiler ou réaliser d’opérations complexes. Les montées de version sont alors redoutablement simples et fiables. Là encore aucun dégât à déplorer, merci Debian.

Passons maintenant à l’objet de cet article le remplacement de MySQL par MariaDB. Pour cela je vais suivre la procédure proposée par Jotheroot’s blog. J’ajoute le second dépôt proposé, celui du CNRS. Ça doit être du sérieux :-) . Je stoppe ensuite MySQL et teste l’installation comme conseillé. Pas d’erreur, je lance l’installation de MariaDB qui prend en charge la désinstallation de MySQL. MariaDB se lance. Je vais  dans PhpMyadmin pour voir ce qui se passe et… tout fonctionne. Une vérification sur les différentes applications qui utilisent la base et à première vue tout est ok.

Conclusion, installation, migration tout est transparent par rapport à MySQL comme on me l’avait vanté. Evidement cela ne vaut que pour mes petites installations. Il en va peut-être différemment sur des configurations plus complexes. N’hésitez pas à laisser vos retours d’expériences en commentaire.

Conclusion bis, il s est acquis que pour mes besoins et sauf cas particulier, je laisse désormais tomber MySQL. Les raisons ne sont pas techniques, mais liées à l’acteur qui porte désormais le projet, à savoir Oracle. Quant à MariaDB et ses promoteurs (ceux à l’origine de MySQL), ils ont bien tiré les leçons du passé et placé MariaDB sous la gouvernance d’une fondation. C’est encore la façon la plus saine de garantir la pérennité d’un logiciel libre, même si cela ne protège pas de tout. Les choix technologiques en l’occurrence restent toujours des paris sur l’avenir.

 


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Article original écrit par Philippe Scoffoni le 23/08/2014. | Lien direct vers cet article

Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons BY à l'exception des images qui l'illustrent (celles-ci demeurent placées sous leur mention légale d'origine).

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alterlibriste : Quoi de neuf sous Firefox OS 1.4 ?

samedi 23 août 2014 à 22:20

Cela fait une semaine que je suis sous Firefox OS v1.4 et voici un petit billet pour voir les différences par rapport à la v1.3.

Puisque la sortie officielle de la 1.4 est prévue en septembre, il n’y a pas encore de notes de version avec les changements mais je vais tenter d’énumérer ceux que j’ai pu repérer.
L’avantage est qu’à la maison on a un 2ème ZTE Open C pour ma femme et que lui reste pour le moment sur le canal de mise à jour ZTE ce qui permet de mieux comparer.

Première différence, l’écran de veille n’est plus occupé par un renard mais par l’image de fond d’écran. Rien de bien transcendant mais ça change (le fond d’écran par défaut n’est plus le même non plus d’ailleurs). On a aussi droit à de nouvelles icônes.

Nouveauté intéressante (et indispensable), les SMS que l’on recevait après émission parce que le téléphone était éteint ou en mode avion étaient horodatés du moment de réception mais il n’était pas possible de savoir quand ils avaient été envoyés. Maintenant, en appuyant longtemps sur un message, en plus de pouvoir le transférer ou le supprimer, on a "voir le rapport du message" qui donne les détails d’émission et réception.

Le principal changement vient de l’appli de photo/vidéo.
Elle a totalement été refaite et permet notamment le zoom numérique. Il est bien possible que l’autofocus et la détection des visage soient mieux implémentés car les photos sont beaucoup plus nettes. Beaucoup de monde crache sur les pauvres 2MP du capteur dont est pourvu le ZTE mais c’est exactement la résolution de mon premier appareil photo numérique (un Canon PowerShot A40 de 2001 environ) qui prend des photos suffisamment correctes pour être nettes et imprimées. Donc la mauvaise qualité des photos jusqu’à la v1.3 provenait plus de l’appli que du nombre de MegaPixels.
Côté vidéo, qui était jusque-là exécrable, on peut maintenant opter pour un mode HD 720p qui commence à être bien plus acceptable.
Evidemment, en sous-exposition, sujets en mouvement, etc., on ne fera toujours pas des miracles mais encore une fois, ce un téléphone n’est pas prévu pour ça.

Toujours côte vidéos mais pour la lecture cette fois, l’appli embarquée dans le navigateur donne accès au plein écran alors qu’avant ce n’était possible qu’en passant par le plein écran du lecteur de YouTube par exemple.

Autre implémentation bienvenue, un gestionnaire de téléchargement a été ajouté et permet de télécharger les fichiers lorsque l’on clique sur un lien ; une barre de progression apparaît dans les notifications et dans les paramètres on accède aux téléchargements et les gérer : ouvrir, partager, supprimer, action spécifique au format du fichier (ex: mettre en fond d’écran pour une image).

Venons-en maintenant aux petits inconvénients ou bugs peut-être dûs à la version compilée (1.4.0.0-prerelease, Git 2014-06-27) et seront probablement réglés dans la version définitive.

Voilà pour le moment. Pour moi, la version 1.4 apporte des améliorations significatives et je pense y rester (en espérant voir les bugs disparaître).
Les changements des versions 2.x sont beaucoup plus sur l’aspect (que je n’apprécie pas vraiment d’ailleurs) ou le choix entre Yahoo, Bing et Google pour les recherches au lieu de Google uniquement jusque-là (entre la peste et le choléra, j’ai créé une appli à partir d’ixquick et DuckDuckGo).
Les raisons qui me feraient migrer vers une nouvelle version sont l’apparition du copier-coller (on est quand même impatient) et/ou une version de navigateur permettant de paramétrer beaucoup plus de choses (add-on, cookies, etc) un peu comme dans la version de Firefox pour Android, c’est quand même la moindre des choses, non ?

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Framablog : Promenons-nous sur le chemin de l'évolution des espèces

samedi 23 août 2014 à 22:01

Depuis le 15 août, une nouvelle web-série vient de voir le jour sur la toile. Il s'agit d'un documentaire scientifique et pédagogique sur l'évolution des espèces : « Promenades en Évolution ». Dans ce premier épisode, consacré à l'arbre du vivant, nous découvrons les liens de parentés entre différentes espèces rencontrées lors d'une promenade en forêt.


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Cette série est produite par le Mithril Studio en association avec le Centre de Vulgarisation des Connaissances de l'université de Paris XI. Rencontre avec Virginie Népoux, une des principales protagonistes de ce projet.

Bonjour Virginie, pouvez-vous vous présenter ?

Bonjour ! Je suis biologiste, j'ai soutenu ma thèse de doctorat en biologie évolutive il y a trois ans à l'université de Lausanne après un cursus réalisé aux universités de Paris XI et Paris XIII (master de biologie du comportement). Ma thèse portait sur la variation naturelle des capacités d'apprentissage des drosophiles, ces petites mouches qui viennent l'été sur les fruits trop mûrs... Oui oui, les mouches sont capables d'apprendre des choses ! J'ai également eu l'occasion de travailler sur des espèces différentes : la perruche ondulée, la mouette tridactyle, la grenouille agile... Et sur des sujets variés, comme la communication acoustique ou la sélection sexuelle. Je suis aussi naturaliste, j'ai fait de l'« animation nature » pour des écoles, colonies de vacances, réserves naturelles ou pour des associations naturalistes comme celle du campus d'Orsay, Clématis, dans laquelle je suis restée investie plusieurs années. Je suis allée jusqu'en Guyane pour échantillonner des libellules pour une réserve naturelle. Je suis la rédactrice et présentatrice du documentaire. Léo Sigrann et moi nous partageons la caméra, qui est un appareil photo, la réalisation et le montage.


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Vous êtes à l'origine de cette nouvelle série documentaire « Promenades en Évolution ». Comment ce projet est-il né ?

Depuis plusieurs années, je suis assez active sur certains forums, notamment au niveau de discussions sur l'évolution - souvent avec des créationnistes. Je me suis rendue compte que les mêmes questions revenaient régulièrement, traduisant des incompréhensions basiques et récurrentes. J'ai écrit un petit texte pour reprendre ces bases sans avoir à me réexpliquer à chaque fois, histoire de permettre aux discussions d'aller plus loin, puis ce texte est devenu un petit livre en 2009, « L'évolution du vivant expliquée à ma boulangère », publié par Inlibroveritas sous licence cc-by-sa (et en lecture libre chez Inlibroveritas et Atramenta). Le projet « Promenades en Évolution » part de la même envie de partage. Je me suis dit que le changement de support pourrait peut-être toucher un public différent. Et puis j'avais envie de répondre à ce qui me semble être un manque dans le monde des documentaires. Il me semble que les documentaires francophones sur la nature que l'on voit à la télévision, s'ils sont souvent époustouflants au niveau des images, n'abordent que rarement les problématiques de fond qui me sont chères. Les questions d'évolution ne sont qu’effleurées, et souvent assez mal, ce qui peut contribuer à entretenir les clichés dans l'esprit des gens (ex: l'évolution, c'est « la survie du plus fort »). En outre, j'ai aussi l'impression que les documentaires sont plus volontiers consacrés aux milieux exotiques, aux gros animaux, qu'à la vie qui foisonne à nos portes. C'est une excellente chose de connaître la vie des lions ou des manchots, mais il ne faut pas ignorer les merveilles qui se trouvent à nos pieds, et que l'on n'a qu'à se baisser pour admirer... Quand je fais une sortie naturaliste avec des gens qui n'en ont pas l'habitude, ils sont souvent très étonnés de la multitude de choses que l'on peut observer après environ trois pas dans n'importe quel petit bois. J'avais également envie de transmettre ça dans le documentaire.

Quel est le public visé ?

Le plus large possible, surtout les gens qui n'ont pas de connaissances particulières en biologie, ceux qui utilisent les parcs, les bois et les champs pour leurs pique-niques, leurs footings, mais oublient un peu de regarder ce qui s'y passe. J'aimerais aussi que ce documentaire puisse être utilisé par les professeurs de collège ou de lycée pour illustrer leurs cours.

Vous avez publié deux livres chez Atramenta, un sous licence cc-by-sa, un autre sous cc-by-nc-sa. Pour la web-série, vous avez opté pour notre plus grand plaisir, pour la creative commons by-sa. Qu'est-ce qui a fait pencher la balance vers une licence complètement libre ?

Nous avons pensé que c'était le plus approprié pour un outil à vocation pédagogique, favoriser un partage maximal. Pour tout vous dire, le framablog n'est pas entièrement étranger à cette décision. J'ai lu l'article de Richard Stallman sur l'usage des licences cc-by-nc-sa pour les documents pédagogiques et je suis d'accord avec lui. Du coup, voilà, nous avons opté pour une cc-by-sa pour le documentaire. Autant ne pas faire les choses à moitié. En outre, l'évolution du vivant reste un sujet très mal compris de nos jours, sur lequel on dit tout et n'importe quoi. Même si ça fait plus de 200 ans que le livre fondateur de Darwin est paru, des idées fausses circulent toujours, et souvent plus efficacement que les idées justes. Il est urgent d'inverser la tendance! Je rêve d'un monde où les scénaristes de comics et de films soient suffisamment bien informés sur l'évolution pour ne pas faire saigner les oreilles ou les yeux des biologistes qui visionnent ou lisent leurs œuvres...

Est-ce que pour un sujet sensible comme la théorie de l'évolution, combattu encore actuellement par de nombreux créationnistes à travers le monde, le fait de pouvoir diffuser, distribuer librement ce documentaire a été un argument dans le choix définitif de la licence ?

Tout à fait. Le créationnisme (au sens large, du fixisme à l'intelligent design en passant par tout un tas d'idées farfelues) gagne de plus en de terrain. Pourtant, quand il est accessible à la raison et ne s'appuie pas uniquement sur une foi aveugle, il repose vraiment sur des incompréhensions basiques. Il est à la portée de tout le monde de repérer les failles dans les « raisonnements » des créationnistes, pour autant que l'on sache de manière un peu précise ce qu'avait dit Darwin déjà à son époque, et comment les études modernes l'ont confirmé. Il faut simplement prendre le temps de comprendre comment fonctionne la démarche scientifique. Mais il y a des créationnistes qui disposent de beaucoup de moyens pour diffuser leurs ouvrages (distribution gratuite de livres dans les universités, écoles etc.), quand bien même leur contenu est parfois à la biologie ce que la blague carambar est à la philosophie. Nous n'avons pas ces moyens financiers, mais nous avons un outil beaucoup plus puissant pour partager: les licences libres !

Ce documentaire est produit par le Mithril Studio. Pourquoi avoir choisi ce studio ?
Parce que c'est le studio que mon compagnon et moi-même avons monté, à la base pour réaliser nos projets. C'est un studio composé surtout d'amateurs bénévoles pour l'instant (« Promenades en évolution » est le premier projet pour lequel nous avons eu un petit financement). Nous avons peu de moyens, mais nous sommes libres de prendre les décisions que nous voulons.

Celui-ci était jusqu'ici connu pour The Fumble Zone http://fumblezone.net une web-série sur les jeux de rôle. Vous voyez un lien spécifique entre l'univers des jeux de rôle et les licences libres ?
Bien sûr ! Les jeux de rôle, sur le principe, sont des outils pour raconter des histoires à plusieurs. L'idée de partage est fondamentale. En outre, chaque meneur de jeu modifie les règles, les univers « à sa sauce », chaque groupe de joueurs invente ses histoires sur les bases de scénarios ou romans existants. Tout cela fait que les licences libres sont à mes yeux un outil idéal pour permettre à tout le monde de s'exprimer et publier ses créations. Les idées d'ouverture font petit à petit leur chemin, peut-être que les jeux sous licence libre, comme Tigres Volants vont finir par fleurir plus nombreux ?

Le studio semble utiliser le plus possible des logiciels libres. Lesquels ont été utilisés pour réaliser ce documentaire ? À quel moment de la création ont-ils servi ?
Léo et moi travaillons avec Kubuntu. Le documentaire a été monté avec Kdenlive et les petites animations réalisées avec Gimp. Le son est le seul élément qui, pour l'instant, n'a pas été traité avec des logiciels libres.


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« Promenades en Évolution » est réalisé en association avec le Centre de Vulgarisation des Connaissances de l'université de Paris XI. Quel est le rôle du CVC ?
Le CVC a apporté son financement, ce qui nous a permis de nous consacrer pleinement à la réalisation de ce premier épisode et nous a fait profiter de sa grande expérience en matière de pédagogie. Nous sommes très reconnaissants de toute l'aide que les gens du CVC nous ont apportée, et des conseils qu'il nous ont donnés.

Sauf erreur de ma part, il s'agit du premier projet sous licence libre du CVC. Quelle a été leur réaction ? Réfractaires ou bien intéressés ?
Intéressés, car la vocation première de ce documentaire est d'être partagé.

Parlez-nous un peu de Rachel Nusbaumer qui a composé cette jolie bande-son entêtante.
Nous avons rencontré Rachel sur Internet, via le forum des vidéastes amateurs, et elle a tout de suite été d'accord pour travailler sur des projets sous licence ouverte/libre. Elle compose pour le studio depuis plusieurs années, mais nous ne nous sommes jamais rencontrés ! Rachel a commencé la musique à 4 ans, avec le solfège et la flûte à bec qui lui a fait découvrir la musique baroque, puis la musique de chambre. Elle a ensuite découvert le hautbois à 15 ans. Elle a étudié la musique au Conservatoire de Delémont (Jura Suisse) puis à Genève. En parallèle à sa formation classique, elle a commencé à composer sur ordinateur, en autodidacte, aidée par un réseau de musiciens sur Internet. Elle s'est ainsi tournée vers l'électro. Ses influences ? Aussi bien Bach ou Corelli, que Jean-Michel Jarre, ou Ennio Morricone. Elle a travaillé avec les Studios Banshee (UK) pour réaliser les musiques de leurs jeux vidéo et a également réalisé des musiques pour des clips promotionnels et des bandes-son pour des courts-métrages (Euphoria, Holiday Bloodyday...). Son site internet : http://www.rachelnusbaumer.com

Le premier épisode vient donc de paraitre le 15 août. Avez-vous déjà préparé les prochains ?
En partie. Nous avons commencé à tourner, mais nous n'avons plus de financement pour l'instant donc c'est moins évident de trouver le temps quand on est purement bénévoles. Mais les choses avancent quoi qu'il en soit. Idéalement, et même sans moyens supplémentaires, nous aimerions sortir un autre épisode avant la fin de l'année.


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Si tout se passe comme prévu, combien d'épisodes composeront cette web-série ?
Ça n'est pas fixé. Il y a énormément de sujets à aborder ! Nous ferons ce que nous pourrons.

Si des lecteurs du blog ont envie de vous aider que peuvent-ils faire et comment ?
Partager ! Plus nous parviendrons à nous diffuser efficacement, plus il nous sera possible de récolter des financements pour tourner la suite (et bien sûr, si quelqu'un veut se débarrasser d'une caméra full HD, ou d'un objectif pour appareil photo Canon EOS...)

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elementary OS : Un lecteur d'eBooks en développement

samedi 23 août 2014 à 13:44

Notre ami helvète, Samuel, développe actuellement une application elementary de lecture d'eBooks (fichiers epub). Le code source se trouve sur la page du projet Launchpad: https://launchpad.net/fantasy

Samuel est ouvert à toutes contributions et remarques en vue d'améliorer son applications. En attendant une disponibilité d'un paquet, voici quelques captures qu'il nous a récemment présentées:

capture_du_2014-08-23_01_28_51 capture_du_2014-08-23_01_30_37 Capture du 2014-08-23 12-34-46 Capture du 2014-08-23 12-21-35

Le billet Un lecteur d'eBooks en développement a été publié sur elementary OS Fr - Communauté francophone d'elementaryOS

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