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La vache libre : MakeHuman – Un logiciel de modélisation intéressant

lundi 24 mars 2014 à 18:36

mhuman

Les logiciels de modélisation sous GNU/Linux sont généralement assez bien ficelés, mais il faut bien l’avouer ceux-ci ne sont pas toujours faciles à utiliser par des débutants. MakeHuman est un logiciel de modélisation assez intéressant qui va vous permettre de créer très facilement des personnages 3D, à l’aide d’une interface graphique super simple à prendre en main. Comme le montre l’image d’illustration, le processus de création de votre personnage se limite à sélectionner ses attributs au travers des sections proposées (menu, genre, face etc,) et à les modifier à l’aide de curseurs situés sur la partie gauche de la fenêtre. Vous pourrez ainsi choisir la couleur de peau de votre modèle, la nature de ses cheveux, les contours de son visage , sa couleur de peau, son gabarit et vous pourrez même créer des mouvements basiques. Une fois achevé, vous pourrez exporter votre personnage dans d’autres outils tels que Blender par exemple. Quand j’ai vu la fenêtre du soft, elle m’a un peu fait penser à l’écran de création des personnages que nous pouvons retrouver dans certains jeux vidéo.

Si ça vous tente voici une petite vidéo de démo qui va vous montrer la bête en action :

Sympa non ?!!

Si vous voulez en savoir plus sur MakeHuman vous pouvez faire un tour sur le site du projet et vous rendre sur la page de téléchargement où vous trouverez ce qu’il vous faut pour l’installer sous GNU/Linux, MS Windows et Mac OS X.

J’ai bien aimé ce soft et je regrette de ne pas avoir le temps de m’amuser avec, car il a l’air vraiment très amusant.

Amusez-vous bien.

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Mathias : ADSL ou SDSL que choisir ?

lundi 24 mars 2014 à 17:29

De manière récurrente, les clients se demandent quel est la différence entre un lien ADSL et un lien SDSL (en dehors de la première lettre, bien entendu ;-) ). Je vais essayer de répondre à cette question de manière aussi complète que possible.

ADSL

L’ADSL propose un débit asymétrique (le A veut dire Asynchronous). Le débit download est plus important que le upload. En résumé, les téléchargements depuis internet sont plus rapides que l’envoi d’un fichier à un correspondant en dehors de l’entreprise. Dans une utilisation de surf et d’email standard, ce type de débit est largement suffisant car le download est la valeur la plus importante. Pour vous donner une idée, l’ADSL Max propose un download allant de 608 kbit/s (en ATM) à 10 272 kbit/s mais un upload allant de 384 kbit/s à 1024 kbit/s ! Le débit varie selon la « qualité » de la ligne analogique (la paire de cuivre pour être précis, raccordant votre routeur au DSLAM de l’opérateur).

SDSL

Un lien SDSL propose lui un débit symétrique plafonnant à 2048 kbit/s par paire. Sur 4 paires, un débit de 8192 kbit/s est proposé. Il convient mieux dans le cadre de l’hébergement de serveur sur le site ou d’applications utilisant des flux symétriques comme la voix sur IP ou la visioconférence sur IP.

Les débits

Un autre élément différenciateur très important est la garantie du débit. Il n’y a pas de garantie de débit sur l’ADSL alors que le débit d’un lien SDSL est garanti (soit à 100% du temps soit à 95% du temps avec un débit plus faible garanti 100% du temps). Les puristes vont me parler des offres ADSL à débit garanti, mais qui ne sont plus guère commercialisées. En effet, un lien ADSL 2048/250 vaut le même prix (en mensuel et en frais d’accès au service) qu’un lien SDSL 2cS (2048/2048), d’autant plus qu’aujourd’hui l’upload est aussi important que le download, mais je me devais d’apporter cette précision.

Les garanties de rétablissement

En cas de coupure, il est crucial pour une entreprise qui est de plus en plus dépendant de son accès haut débit d’être rétabli rapidement. Un lien SDSL est accompagné d’une garantie du temps de rétablissement de 4H (GTR) en heures ouvrées ou non ouvrées en option. Pour un lien ADSL, la garantie est du « best effort ». En réalité, le rétablissement est en moyenne d’une journée dans le cas d’une panne franche et continue. (Il existe récemment une option de GTR 1 J en revente France Télécom, mais les pénalités assorties en cas de non respect sont ridicules, ce qui me fait douter de la performance de cette GTR). Le problème du rétablissement de pose en cas de bagottement, ou de défaut de la paire de cuivre (la responsabilité n’est plus celle de l’opérateur mais du service SAV de la ligne analogique du client. Selon l’option choisie, le délai varie de 4H à 48H). Il faut malgré tout noter, que les problèmes sont rares et dans 90% des cas rapidement résolus. Mais, il faut savoir que pour une minorité de cas, le délai de rétablissement peut dépasser la semaine !!!

Autres différences

Une autre différence importante, la paire de cuivre est dédiée pour un lien SDSL tandis que pour un lien ADSL, elle peut-être partagée avec un téléphone ou un fax. Ce qui peut poser problème en cas de dégradation du filtre ou du terminal analogique en injectant des parasites sur la ligne. En cas de bagottement d’un lien ADSL, le bon réflexe est de débrancher tous les équipements analogiques raccordés sur cette même ligne et de changer le filtre. Cela résoud souvent le problème.

Un lien SDSL est une connexion continue tandis qu’un lien ADSL est une connexion à la demande. Le routeur ADSL monte un tunnel L2TP entre lui et l’équipement de l’opérateur. Cette session est réinitialisée au bout de 24H. Ce phénomène est en général transparent pour l’utilisateur sauf dans le cas où il est en communication téléphonique via un téléphone IP, ou il est en train d’effectuer une sauvegarde sur un serveur distant.

D’autres caractéristiques techniques plus pointues sont à prendre en compte, notamment dans le cadre de projet de voix sur IP ou d’hébergement de serveur de type Citrix ou TSE. Le temps de réponse, la gigue et la perte de paquets sont 3 paramètres qui sont meilleurs sur un lien SDSL que sur un lien ADSL, même si le réseau de l’opérateur a une influence importante sur la fluctuation desdit paramètres. Par exemple, sur un lien ADSL, j’ai mesuré des temps de réponse moyens de 80 ms alors que sur un lien ADSL 20 ms.

Prix

Le critère prix est aussi un autre élément important différenciant. Alors qu’un lien ADSL entreprise coûte en moyenne 45 €, un lien SDSL commence à 140 €.

Conclusion

Le choix du type de lien doit se faire selon plusieurs critères : la criticité du site raccordé, les différents flux que doit transporter le lien, le nombre d’utilisateurs simultannés sur site par application, le nombre d’utilisateurs extérieurs au site se connectant aux applications hébergées et bien entendu le budget. Il peut être judicieux d’aggréger plusieurs liens d’opérateurs de boucles locales différents et de mettre en place des mécanismes de failover, de load balancing et de gestion de la qualité de service évoluée (attention, tous les types de flux ne supportent pas ces mécanismes, et la mise en oeuvre est complexe).

J’espère que ces éléments vont vous permettre de mieux choisir le type de vos liens. Je n’ai pas abordé la fibre optique, car le budget la réserve à des besoins de débit supérieurs aux possibilités actuelles du SDSL.

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Dogmazic : Les licences libres ne suffisent pas !

lundi 24 mars 2014 à 16:08

bateau1

Ces dernières années, des actions localisées, éclatées, fébriles, ont enfanté une contestation amoureuse d’elle-même, une galaxie d’impatiences et d’impuissances, une succession de découragements

Serge Halimi, Stratégies pour une reconquête, Le Monde Diplomatique, Septembre 2013.

 

Cette citation de Serge Halimi s’inscrit dans un article qui vise à donner des pistes aux militants de tous poils pour mettre en place une action efficace pour rétablir un peu de justice dans ce bas monde. Or, il me semble que cette dernière  s’applique parfaitement au mouvement du libre. Malgré les fleurs que nous nous envoyons à longueur de forum, je constate année après année que les gens s’usent et se renfrognent faute de véritables victoires…

Les licences libres ne sont pas magiques…

J’ai longtemps cru au mythe fondateur du Libre : les licences libres allaient faire naître toute une panoplie de pratiques tellement fabuleuses qu’elles emporteraient dans un raz-de-marée les pratiques privatrices. Je nous croyais invincibles car, tel le virus, nous étions tenaces, mutants et contagieux !

Je n’ai jamais cessé une seul seconde de croire que le partage et la culture (du) libre allait améliorer les choses, et je m’émerveille tous les jours des prouesses des hackers et des partageux de tout pays. Cependant, il y a un aspect de mon conte de fée que j’ai dû remettre en question : les outils (juridiques, techniques, virtuels,…) que nous fabriquons ne sont pas magiques. Non seulement ils peuvent devenir inutiles si on s’en sert mal, mais ils peuvent aussi être utilisés contre nous !

Un(e) licence/logiciel/machine libre est un outil et rien de plus !

Cette introduction sonne comme un tas d’évidences et vous commencez peut-être à croire que je vous prends pour des buses ! Il n’en est rien, et si je prends la peine de poser tout ça par écrit, c’est bel et bien parce que la croyance que les licences libres se suffisent à elles mêmes est diablement tenace dans notre mouvement !

Certes, cet outil -comme tout outil- aura permis, par sa seule existence, des changements et des avancées significatives. Cependant -comme tout outil- il ne fera jamais rien de plus que ce qu’on lui fera faire !

Il y a beaucoup d’exemples d’outils fabuleux porteurs d’espoirs qui ont été vidés de leur sève. L’un d’entre eux se trouve d’ailleurs juste sous votre nez. Je parle bien entendu d’Internet !

Internet, porte en lui les germes de l’abolition des frontières, du partage sans limite, de la communication sans barrières… Cependant cela n’est pas si simple, car dès qu’un outil est potentiellement source de pouvoir (ou de perte de pouvoir), il devient source d’enjeux.

Or, bien qu’internet soit un espace virtuellement infini, nous constatons de plus en plus que ces enjeux ne peuvent pas coexister pacifiquement. C’est d’ailleurs pour cela que la Quadrature du Net, l’April ainsi que bien d’autres associations doivent se battre quotidiennement pour éviter que les pousses de liberté semées par les pionniers du net se retrouvent écrasées par un centre commercial virtuel géant.

De révolutionnaire à publicitaire il n’y a qu’un pas

Ce qui est vrai pour internet l’est tout autant pour les licences libres. Après avoir bossé 2 ans dans une boite qui vend de l’open-source, je puis vous affirmer que les quatre libertés fondamentales ne changent que très peu les pratiques quotidienne d’un éditeur de logiciel. Il s’agit d’un argument de vente efficace mais les relations fournisseurs/clients obéissent aux mêmes règles que celles d’un éditeur propriétaire. Il en va de même pour la culture :  récemment, la SACEM nous aura également prouvé qu’il suffisait d’un accord pour réduire les Creative Commons au rang de vulgaire objet promotionnel pour leurs sociétaires

Un outil doit servir un but et non l’inverse

Ces détournements des licences libres prouvent bien qu’un outil doit être un moyen et non une fin. Ça paraît relever du bon sens, mais force est de constater que les libristes affichent (pour la plupart) la diffusion des licences libre comme unique objectif ; il est très rare de voir des gens se questionner sur ce qui se passera après ( que faire si ça marche ? que faisons-nous si ça ne marche pas ?).

Or cela pose de nombreux problèmes :

En d’autres termes, toute discussion de l’outil est confondue avec une discussion sur le but,  ce qui fausse complètement tout débat.  Pour filer ma métaphore de trou, c’est comme si vous disiez à votre collègue que sa mèche n’est pas bonne et qu’il vous rétorque  : « On a besoin de percer un trou là ! Si tu comptes m’en empêcher va-t-en tu ne m’aides pas ! ». L’objectif (percer un trou) et le moyen (la mèche) sont mêlés : la discussion est impossible.

En face, ils ne confondent pas…

A l’inverse, il est bon de noter que l’une des principales caractéristiques du capitalisme (il faut appeler un chat un chat) est de combiner un but infiniment simpliste (accumulation maximale de richesse) avec une absence totale d’état d’âme concernant les moyens. Lorsque les licences libres sont instrumentalisées par Google, il n’y a pas de tergiversation sur le but de ses dernières : ils s’en emparent tant qu’elles présentent un intérêt et les abandonneront du jour au lendemain quand ça cessera d’être le cas !

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Quels objectifs ? Le projet politique !

Pour les moyens, pas de soucis : on est bon ! On a des logiciels super, des juristes super, des machines super et plein d’idées géniales ! Bref, on a toutes les meilleures mèches de perceuse du monde (oui j’aime ma métaphore). Vous l’aurez compris le problème, c’est le but. Le but lointain, grand, beau et inatteignable vers lequel on veut aller, l’horizon pour lequel on se bat.  Or, là aussi il faut appeler un chat un chat : cela s’appelle un projet politique.

Qu’ouï-je ? Politique !?

(au vu des incompréhensions systématique du terme « politique », un aparté s’impose !)

La Politique est une magnifique idée. Cela consiste tout bêtement à se rendre compte que l’on n’est pas seul au monde et qu’il va falloir trouver des solutions communes avec les gens de son espèce dans le respect de son environnement (ce qui ressemble pas mal au Libre quand on y pense). Or, pour beaucoup de gens, la confusion est totale entre politique, politicien, parti politique… malheureusement, cela entraîne le plus souvent un rejet immédiat…

Or refuser le Politique revient implicitement à laisser les pleins pouvoirs aux professionnels de la politique (qui sont, sans surprise -depuis les années 80-  les premiers à entretenir une idée de fin de la politique et de fin des idéologies). Le principe d’une élite qui refuse que le bas peuple l’ampute de ses privilèges est quelque chose que l’on retrouve aussi dans le débat  musiciens amateurs vs professionnels.

C’est quoi le projet politique du libre, alors ?

Il n’y a pas un projet politique, mais des projets politiques !  Sauf que, vu que personne ne prend la peine d’identifier clairement ses buts, le mouvement du libre finit par ressembler à une galère où chaque rameur s’active dans une direction sans savoir où les autres veulent aller (et sans savoir trop où lui-même veut aller) ! Or, lorsque que personne ne rame à l’unisson, tout le monde s’épuise avec, en prime, la frustration de voir notre beau bateau emporté par le courant dominant.

Il serait grand temps d’arrêter de ramer n’importe comment et de savoir qui veut aller où ! Pour prendre un exemple extrême (mais réel) : certains voient le libre comme d’un outil de lutte contre le capitalisme tandis que d’autres y voient un moyen de booster la compétitivité des entreprises… Peut-être vaudrait-il mieux les mettre dans des bateaux différents, n’est-ce pas ?

Libristes vous voulez ramer vers où ?

Si vous faites du libre parce que vous trouvez ça pratique, c’est parfait ! Je ne dis pas qu’il faut tous qu’on se mette à rêver du grand soir ! Je pointe juste du doigt le fait que sans projets politiques – en parallèle des utilisateurs a-politiques- le mouvement du libre stagnera ou disparaîtra.

Un intérêt pour chaque initiative…

Si vous faites parti d’une initiative libre et que vous y êtes pour changer le monde -et pas seulement votre ordinateur (je sais qu’il y en a parmi vous)- il faut définir vers quoi vous allez. En effet, il y a fort à parier que vous avez déjà un projet politique tacite que vous partagez avec vos collègues mais que vous n’avez jamais pris la peine de formuler. Or, clairement identifier ses buts est tout bénef. Loin de « fermer » votre initiative, c’est tout l’inverse qu’il se passera :

Et pour le Libre en général !

Comme dit plus haut, je n’ai aucun problème avec les mouvements a-politiques au sein du libre, il en faut. Cependant, si on veut qu’il reste des a-politiques qui s’enthousiasment  de tout ça, il faut aussi des éclaireurs qui veulent aller percer l’horizon pour ramener de nouveaux trésors.

Qui pour voguer à contre courant pour aller vers des contrées oubliées telle que l’égalitarisme ? L’économie du don? Vers l’écologisme numérique ? Le féminisme ?

 

Et Musique Libre ! alors ? prenons nous les rames ?

 

 

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Monnaie libre : Qui crée l’argent !?

lundi 24 mars 2014 à 14:19

Gabriel Rabhi vient de finir et de publier une vidéo sur la problématique de la création monétaire qui dénonce le principe pyramidal. Il y a quelques points discutables, mais l’ensemble est plutôt bien fait.

Notamment dans les points discutables on y trouvera la sempiternelle confusion entre le PIB qui n’est qu’une mesure monétaire et l’utilisation des « ressources de la planète », qui sont deux notions parfaitement indépendantes (cf les 4 libertés économiques et le principe de relativité).

Question solutions abordées on y trouvera le Dividende Universel, mais on y trouvera pas la solution relativiste. On pourra tout de même y découvrir quelques allusions (principe de flux des morts et des naissances, évocation des SEL et du RdB) mais pas la notion de symétrie spatio-temporelle, ni la notion de monnaie libre.

D’autres vidéos sont disponibles sur son site inter-agir.fr

Il convient de saluer ce travail, car s’il existe des vidéos expliquant ce sujet depuis 2008 au moins (cf l’argent dette de Paul Grignon ou encore cette vidéo récente et très bien faite), elles restent peu nombreuses.

Celle-ci a le mérite de ne pas se contenter de la description de la structure pyramidale du système monétaire dominant et d’aller plutôt dans le sens des solutions symétriques.

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Tasse de Café : Nouvelle version pour Photo Sphere Viewer et WP Photo Sphere !

lundi 24 mars 2014 à 10:17

La semaine dernière, un utilisateur de WP Photo Sphere a proposé quelques idées concernant le plugin, des idées que j’ai trouvées plutôt bonnes. Et comme j’avais un peu de temps ce week-end, je les ai mises en œuvres, ce qui a conduit à la création de la version 2.1 de WP Photo Sphere, rendue elle-même possible grâce à la version 1.1 de Photo Sphere Viewer.

WP Photo Sphere devient responsive !

Photo Sphere Viewer, j’en parlais quand je l’ai créée. Il s’agit d’une librairie JavaScript permettant d’afficher des panoramas Photo Sphere sur une page web. La nouveauté de la version 1.1, c’est le mode « responsive » : désormais, si la fenêtre du navigateur est redimensionnée, PSV va automatiquement vérifier si les dimensions sur conteneur ont été modifiées avec elle. Si c’est le cas, alors le panorama sera redimensionné en conséquence, ce qui n’était bien sûr pas le cas avant.

WP Photo Sphere utilise donc désormais la version 1.1 de PSV. Mais cela ne suffisait pas à rendre les panoramas générés par WPPS reponsive. En effet, les dimensions ne pouvaient être jusque-là indiquées qu’en pixels, une unité fixe qui interdit donc tout changement de taille du conteneur. Désormais, vous avez le choix : vous pouvez spécifier des dimensions en pixels, pourcentages, centimètres ou même pouces si ça vous fait plaisir.

Si vous ne spécifiez aucune unité, c’est le pixel qui sera choisi par défaut. Comme ce qui se faisait avant, vous pouvez donc indiquer les dimensions par défaut dans la page d’options et les changer pour chaque panorama avec les attributs qui vont bien, le tout avec les nouvelles unités ou non. Notez que la hauteur, elle, est condamnée à rester fixe en pixels.

Comme cela ne suffisait pas, j’ai également rajouté un nouveau paramètre dans la page d’options : la largeur maximale. Vous pouvez donc par exemple indiquer que vous souhaitez un panorama de 700 pixels, mais qui ne dépasse pas les 95% de la largeur disponible. Ce nouveau paramètre possède son équivalent en attribut pour pouvoir le modifier pour chaque panorama : max_width, dont le fonctionnement est exactement le même que width.

Enfin, avec l’attribut autoload pouvaient venir quelques freezes au chargement de la page. Ces freezes sont désormais évités grâce à un léger délai : les panoramas ne sont plus chargés aussitôt après le chargement de la page, mais 1 seconde après.

N’hésitez pas si vous avez d’autres idées !

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