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mozillaZine-fr : À la mémoire des victimes de l’attentat contre Charlie Hebdo

jeudi 8 janvier 2015 à 14:57

Nous nous associons à l’hommage rendu aux victimes de cet attentat contre la liberté d’expression. Qu’on soit d’accord ou pas avec eux, ils ne méritaient évidemment pas ça. Comme dit la citation qu’on attribue à Voltaire : « Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire. »

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Tanguy Ortolo : Objets connectés : attention aux services

jeudi 8 janvier 2015 à 13:02

Ces derniers temps, on parle beaucoup d'objets connectés, qui sont des accessoires divers — montre, cardiofréquencemètre, podomètre, vélo d'appartement, balance… — intégrant un ordinateur, connecté à votre réseau local ou à Internet afin de transmettre les informations qu'il collecte.

Attention donc à ne pas oublier une chose : si ces objets dépendent d'un service tiers, mis en place par le fabricant, ils ne dureront pas. Le jour où ce service prendra fin — car il prendra fin, ce n'est pas une hypothèse mais une certitude, à plus ou moins long terme — votre balance ou votre montre à plusieurs centaines d'euros ne fonctionnera plus, ou en tout cas pas comme ce qu'on vous a vendu.

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genma : FirefoxOS Localisation, Verrouillage, Effacer à distance

jeudi 8 janvier 2015 à 09:00

Prérequis

- Avoir un téléphone sous FirefoxOS en version 2.x
- Avoir créer un compte sur le site https://find.firefox.com/

Sur le téléphone, sous FirefoxOS, dans la partie Paramétrage, Zone Gestion des comptes :
- Ajouter le compte dans Comptes Firefox
- Activer la localisation de l'appareil
Dans la partie Paramétrage, Zone Vie privée et Sécurité :
- Verrouillage activé : on active l'écran de verrouillage , le verrouillage par code (on définit un code à 4 chiffres) et on indique un temps à partir duquel il faut demander le code d'accès.

Présentation du service fourni par Mozilla

Description issu du site https://find.firefox.com/
Si vous avez perdu un téléphone Firefox OS, Localiser mon appareil peut vous aider à le retrouver. Vous pouvez le visualiser sur la carte, déclencher une sonnerie et lui faire afficher un message. Vous pouvez également le verrouiller par sécurité ou supprimer toute information personnelle.

Une fois que l'on est connecté, on a donc accès à différents services que j'ai testé.

Faire sonner

Si vous constatez qu'il se trouve à proximité sur la carte, vous pouvez faire sonner le téléphone, même si la sonnerie est désactivée. Le but est donc de déclencher une sonnerie sur l'appareil pour le retrouver plus facilement.

Pratique si on a oublié son téléphone dans une poche de veste par exemple. Ca marche bien (si le téléphone est allumé, bien évidemment).

Verrouiller l'appareil

Afin de protéger vos données personnelles, vous pouvez verrouiller votre écran et y afficher un message pour que quelqu'un puisse vous le rendre.

Là aussi j'ai testé. Le téléphone se verrouille et affiche le message que l'on a saisit. Le code que l'on avait défini est nécessaire pour le déverrouiller.
Si il n'y a pas de code de verrouillage, cela propose d'en ajouter un, que l'on ne peut pas changer à distance (il faut déverrouiller le téléphone en lui-même).

Effacer l'appareil

Si vous ne parvenez pas à localiser votre téléphone, vous pouvez l'effacer de façon définitive. Mais attention, cette action est irréversible. En effaçant votre appareil vous allez :
- Supprimer vos contacts, médias, messages et applications installées
- Restaurer l'appareil à ses valeurs d'usine
- Désactiver Localiser mon appareil

Non tester, je n'ai pas envie de réinitialiser mon appareil.

Localiser l'appareil

Tant que votre téléphone reste allumé et connecté à Internet, vous pouvez visualiser sa position sur la carte.

Testé via la connexion 3G et la géolocalisation d'activer, le téléphone n'est pas localisé. Non testé quand l'appareil se connecte à un Wifi.

Les conditions d'utilisation

Il faudrait que je regarde dans les détails Les conditions d'utilisation/la Politique de confidentialité de Mozilla pour savoir ce qu'il en est de l'utilisation de ces données qui sont très personnelles (car le téléphone indique potentiellement où l'on se trouve à Mozilla).

Aller plus loin dans la sécurité de son téléphone

On mettra le temps de verrouillage de l'écran à immédiat. Cela contraint à saisir le code dès que le téléphone s'est verrouillé (quand on arrête de l'utiliser), mais cela peut éviter des problèmes. On activera également le verrouillage au niveau de la carte SIM : pour plus de sécurité, on activera également le code PIN sur la carte SIM. Cela se fait via la partie Paramétrage, Zone Sécurité carte SIM.

Au niveau des applications, on vérifiera le paramétrage de chacune, plus particulièrement en ce qui concerne l'usage de la géolocalisation : Paramétrage>Vie privée et sécurité>Permissions des applications. Ce, afin que seules les applications que l'on choisit ait accès à notre géolocalisation.

Pour l'instant, il n'y a pas de chiffrement des supports de stockage du téléphone. On prendra donc attention à ne pas y mettre de données trop sensibles.

Si le téléphone est volé et que l'on a activé ce service fournit par Mozilla, on bloque le téléphone a distance il y a plusieurs cas de figures :
- le voleur n'est pas technophile, un simple code sur la carte SIM (car il va retirer la batterie et la remettre pour relancer le téléphone) sera suffisant. Téléphone inexploitable, il le jette.
- si le voleur est technophile, il fera un reset usine (via le pack root) de FirefoxOS. Cela sous entend qu'il connait FirefoxOS, qu'il sait qu'il peut changer la ROM et qu'il sait comment faire. Ca fait beaucoup de "si", c'est peu probable.

Le plus simple est donc de demander à ce que le téléphone soit effacé. On n'a plus le téléphone, mais le données sont "préservées".

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Cyrille BORNE : Conversion d'une table de partitions de type Mdos en table Gpt

jeudi 8 janvier 2015 à 08:00

Cet article est lié au précédent qui montrait comment utiliser une table de partition GPT et ceci quel que soit son type de bios. Il s'agit là de convertir une table classique MsDos en table Gpt et sans perte de données ni obligation de réinstaller son système, en notant tout de même que faire des sauvegardes est vivement conseillé.

Il est avant tout informatif, pour montrer que cela est possible et comment, même si rares seront les cas on l'on devra être obligé de convertir sa table. Il peut s'adapter à toutes les distributions sauf en ce qui concerne la reconfiguration du noyau car j'ai utilisé la commande dpkg-reconfigure propre à Debian et dérivées.

Principe - Dans l'ordre on va :
- faire des sauvegardes
- vérifier le système de fichiers
- réduire la première partition en libérant 10 Mo en tout début de disque afin d'y créer une partition de type « BIOS boot partition » indispensable sur les tables Gpt avec une machine de bios non Efi.
- faire un chroot de l'ancienne partition système pour reconfigurer le noyau et réinstaller Grub dans sa nouvelle configuration
- renommer les partitions en fonction de leur emplacement et non de leur ordre de création

Procédure :

Avant tout faire des sauvegardes de ses données et de l'emplacement des tables de partitions, par exemple avec sfdisk. Voir le man à ce sujet.  

Voici ce que donne la commande sfdisk -d /dev/sdb > backup_sdb.txt chez moi:
# partition table of /dev/sdb
unit: sectors

/dev/sdb1 : start=     2048, size= 40960000, Id=83, bootable
/dev/sdb2 : start= 40962048, size=  8192000, Id=82
/dev/sdb3 : start= 49154048, size=107147264, Id= 5
/dev/sdb4 : start=        0, size=        0, Id= 0
/dev/sdb5 : start= 49156096, size= 61440000, Id=83
/dev/sdb6 : start=110598144, size= 45703168, Id=83

Et si nécessaire on les restaurera par la commande :

 sfdisk -f /dev/sdb < backup_sdb.tx

Bien entendu ces sauvegardes ne devront pas être conservées sur le disque à modifier.

Maintenant on peut commencer la procédure proprement dite.

On vérifie qu'aucun système de fichiers de ce disque n'est monté :

:~# grep -c sdb /proc/mounts
0

Je fais une vérification et réparation si nécessaire du système de fichiers avant de le modifier :
:~# e2fsck -f -y /dev/sdb1

J'aurais pu le laisser faire par le programme de partitionnement qui d'ailleurs fera une vérification avant de procéder aux modifications mais je préfère lancer d'abord la commande.

Concernant le programme de partitionnement, il doit savoir gérer sur un système ext4 les «features» has_journal, dir_index, filetype, sparse_super, large_file. Plutôt que de faire une partie avec tune2fs puis le reste avec un autre programme, puisque je dispose d'une interface graphique je vais le faire avec Gparted  .

Alors situation de départ :

Partition Table: msdos

Number  Start   End     Size    Type      File system     Flags
 1      1049kB  21,0GB  21,0GB  primary   ext4            boot
 2      21,0GB  25,2GB  4194MB  primary   linux-swap(v1)
 3      25,2GB  80,0GB  54,9GB  extended
 5      25,2GB  56,6GB  31,5GB  logical   btrfs
 6      56,6GB  80,0GB  23,4GB  logical   ext4

Et, après passage de Gparted :
Partition Table: msdos

Number  Start   End     Size    Type      File system     Flags
 1      11,5MB  21,0GB  21,0GB  primary   ext4            boot
 2      21,0GB  25,2GB  4194MB  primary   linux-swap(v1)
 3      25,2GB  80,0GB  54,9GB  extended
 5      25,2GB  56,6GB  31,5GB  logical   btrfs
 6      56,6GB  80,0GB  23,4GB  logical   ext4

On note donc que la première partition ne débute plus sur le disque à 1049KB mais à 11,5MB tout en conservant sa position de fin.

Je vais donc maintenant avec Gdisk, qui est capable de faire la conversion, créer en tout début de disque une petite partition qui sera pour le moment numérotée N° 3 car c'est le premier «descripteur» de partitions primaires libre dans l'actuelle table msdos (il n'y a plus de notions primaires, étendues et logiques dans les tables Gpt). Je marque en caractères gras les commandes passées dans Gdisk.

:~# gdisk /dev/sdb
GPT fdisk (gdisk) version 0.8.5

Partition table scan:
  MBR: MBR only
  BSD: not present
  APM: not present
  GPT: not present

***************************************************************
Found invalid GPT and valid MBR; converting MBR to GPT format.
THIS OPERATION IS POTENTIALLY DESTRUCTIVE! Exit by typing 'q' if
you don't want to convert your MBR partitions to GPT format!
***************************************************************
Command (? for help): p (affichage de la situation de départ)
Disk /dev/sdb: 156301488 sectors, 74.5 GiB
Logical sector size: 512 bytes
Disk identifier (GUID): B538B008-8EAC-4ADA-842D-B5BCCBA14A4B
Partition table holds up to 128 entries
First usable sector is 34, last usable sector is 156301454
Partitions will be aligned on 2048-sector boundaries
Total free space is 30829 sectors (15.1 MiB)

Number  Start (sector)    End (sector)  Size       Code  Name
   1           22528        40962047   19.5 GiB    8300  Linux filesystem
   2        40962048        49154047   3.9 GiB     8200  Linux swap
   5        49156096       110596095   29.3 GiB    8300  Linux filesystem
   6       110598144       156297215   21.8 GiB    8300  Linux filesystem

Command (? for help): n  (création nouvelle partition)
Partition number (3-128, default 3): 3
First sector (34-156301454, default = 2048) or {+-}size{KMGTP}: 2048
Last sector (2048-22527, default = 22527) or {+-}size{KMGTP}: 22527
Current type is 'Linux filesystem'
Hex code or GUID (L to show codes, Enter = 8300): ef02
Changed type of partition to 'BIOS boot partition'

Command (? for help): p
Disk /dev/sdb: 156301488 sectors, 74.5 GiB
Logical sector size: 512 bytes
Disk identifier (GUID): B538B008-8EAC-4ADA-842D-B5BCCBA14A4B
Partition table holds up to 128 entries
First usable sector is 34, last usable sector is 156301454
Partitions will be aligned on 2048-sector boundaries
Total free space is 10349 sectors (5.1 MiB)

Number  Start (sector)    End (sector)  Size       Code  Name
   1           22528        40962047   19.5 GiB    8300  Linux filesystem
   2        40962048        49154047   3.9 GiB     8200  Linux swap
   3            2048           22527   10.0 MiB    EF02  BIOS boot partition
   5        49156096       110596095   29.3 GiB    8300  Linux filesystem
   6       110598144       156297215   21.8 GiB    8300  Linux filesystem

Command (? for help): w (pour écrire la nouvelle table en Gpt)

Final checks complete. About to write GPT data. THIS WILL OVERWRITE EXISTING
PARTITIONS!!

Do you want to proceed? (Y/N): Y (confirmation de la commande)
OK; writing new GUID partition table (GPT) to /dev/sdb.
The operation has completed successfully.

On vérifie maintenant avec Parted le travail effectué par Gdisk :
:~# parted /dev/sdb print
Partition Table: gpt

Number  Start   End     Size    File system     Name                 Flags
 3      1049kB  11,5MB  10,5MB  ext4            BIOS boot partition  bios_grub
 1      11,5MB  21,0GB  21,0GB  ext4            Linux filesystem
 2      21,0GB  25,2GB  4194MB  linux-swap(v1)  Linux swap
 5      25,2GB  56,6GB  31,5GB  btrfs           Linux filesystem
 6      56,6GB  80,0GB  23,4GB  ext4            Linux filesystem

On va créer un système de fichiers sur cette nouvelle partition. À priori cela ne devrait pas être nécessaire puisque ce fs ne sera pas utilisé mais j'ai eu des problèmes avec grub qui se mélangeait les pinceaux en l'absence d'un fs sur la partition portant le drapeau  BIOS boot partition.

:~# mkfs.ext2 -v /dev/sdb3
. . .
Écriture des superblocs et de l'information de comptabilité du système de
fichiers : complété

On remet la «mémoire» de blkid à zéro et on vérifie à toutes fins utiles que le système et udev voit bien cette nouvelle partition.

:/#  blkid  -g
:/#  blkid -po udev /dev/sdb3
ID_FS_UUID=cddaedf8-e091-483d-adad-77f1f814110d
ID_FS_UUID_ENC=cddaedf8-e091-483d-adad-77f1f814110d
ID_FS_SEC_TYPE=ext2
ID_FS_VERSION=1.0
ID_FS_TYPE=ext4
ID_FS_USAGE=filesystem
ID_PART_ENTRY_SCHEME=gpt
ID_PART_ENTRY_NAME=BIOS\\x20boot\\x20partition
ID_PART_ENTRY_UUID=72bb9f7e-1836-430e-93ec-886cccc6be67
ID_PART_ENTRY_TYPE=21686148-6449-6e6f-744e-656564454649
ID_PART_ENTRY_NUMBER=3
ID_PART_ENTRY_OFFSET=2048
ID_PART_ENTRY_SIZE=20480
ID_PART_ENTRY_DISK=8:16

Comme on peut le voir sur les sorties précédentes de parted et gdisk les partitions sont numérotées dans l'ordre de création et non suivant leur emplacement sur le disque. Avec l'option -s de sgdisk (noter le s devant gdisk car il s'agit d'un autre utilitaire apporté par le paquet gdisk), on va réorganiser cela :

:~# sgdisk -s /dev/sdb
The operation has completed successfully.

Résultat :

:~# gdisk -l /dev/sdb
. . .
Number  Start (sector)    End (sector)  Size       Code  Name
   1            2048           22527   10.0 MiB    EF02  BIOS boot partition
   2           22528        40962047   19.5 GiB    8300  Linux filesystem
   3        40962048        49154047   3.9 GiB     8200  Linux swap
   4        49156096       110596095   29.3 GiB    8300  Linux filesystem
   5       110598144       156297215   21.8 GiB    8300  Linux filesystem

Voilà, maintenant on peut faire le chroot du système de fichier qui est devenu /dev/sdb2 pour les dernières modifications :

:~# mkdir /mnt/system
:~# mount /dev/sdb2 /mnt/system/
:~# mount -o bind /dev /mnt/system/dev
:~# mount -o bind /sys /mnt/system/sys
:~# mount -o bind /proc /mnt/system/proc
:~# chroot /mnt/system

On vérifie quel est le dernier noyau installé :
:/# aptitude search "linux-image ~i"
i   linux-image-3.2.0-4-686-pae

On le reconfigure :
:/# dpkg-reconfigure linux-image-3.2.0-4-686-pae

On réinstalle Grub :
:/# grub-install --recheck --debug /dev/sdb
. . .
+ echo Installation finished. No error reported.
Installation finished. No error reported.
+ exit 0

À noter qu'il n'est pas nécessaire de reconstruire le fichier grub.cfg par la commande update-grub puisque cela a déjà été fait lors du dpkg-reconfigure du noyau.

Voilà, on peut maintenant sortir du chroot et démonter le fs, sys, proc et dev :
:/# exit
:~# umount /mnt/system/proc
:~# umount /mnt/system/sys
:~# umount /mnt/system/dev/
:~# umount /mnt/system

cep

 

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Olivier Delort : Mon nouveau Nas apprend la samba

mercredi 7 janvier 2015 à 12:34

Voici la suite de mes travaux sur mon petit serveur dédié au stockage. Après l’installation des partages Linux (NFS), je m’attaque maintenant aux partages windows. Même si je n’utilise pas windows pour mes activités informatiques, mise à part quelques jeux, je trouve utile pour un serveur d’être accessible depuis n’importe quel système notamment lorsque je veux échanger avec des invités qui sont sous windows, de plus cela faisait partie de mon cahier des charges.

De plus cet article me permet de mettre en place mon nouveau thème graphique pour 2015.

Les installations sous Debian se suivent et se ressemblent :

sudo apt-get install samba

Après cette formalité je passe directement à la configuration du serveur en lui-même. Tout se configure depuis le fichier /etc/samba/smb.conf. Voici la configuration détaillée que j’utilise :

#======================= Global Settings =======================
[global]
#Spécifie le groupe de travail
workgroup = WORKGROUP
#Description du serveur
server string = %h server
#pas de proxy
dns proxy = no
#Niveau de précision des log plus d'infos ici[->]
log level = 1
#pas de log d'évènement
syslog = 0
#où enregistrer le fichier de logs
log file = /var/log/samba/log.%m
#taille maximale du fichier
max log size = 1000
#mot de passes chiffrés
encrypt passwords = true
smb password file = /etc/smbpasswd
#niveau de sécurité : seul les utilisateurs avec un compte peuvent se connecter
security = user
#Permet de mapper les autorisation Unix vers windows, tous les fichiers créés à partir
#d'un poste windows auront les autorisations linux 777
create mask = 0777
#pareil que create mask mais pour les dossiers
directory mask = 0777
#améliore les transferts de fichiers
use sendfile = yes
aio read size = 16384
aio write size = 16384
#utilisateurs sans mot de passe interdit
null passwords = no
#seul maître à bords
local master = yes
#pas de serveur de temps ni de support wins
time server = no
wins support = no

Ensuite pour chaque utilisateurs autorisés à accéder aux partages je créer un compte samba. Exemple avec l’utilisateur olivier.

sudo smbpasswd -a olivier
New SMB password:
Retype new SMB password:
Added user olivier.

Concernant les utilisateurs de passages avec qui je souhaite échanger, je crée un compte unique dédié avec leur répertoire. Ce qui me permet de détecter d’éventuels fichiers corrompus grâce à clamav avant de les intégrer à mes dossiers courants. Et cela évite que certain se baladent tranquillement dans mes photos ou autre.

# Création du répertoire pour les invités
sudo mkdir /media/disk27B/johndoe
# création de l'utilisateur invité
sudo adduser johndoe
Ajout de l'utilisateur « johndoe » ...
Ajout du nouveau groupe « johndoe » (1001) ...
Ajout du nouvel utilisateur « johndoe » (1001) avec le groupe « johndoe                                                    » ...
Création du répertoire personnel « /home/johndoe »...
Copie des fichiers depuis « /etc/skel »...
Entrez le nouveau mot de passe UNIX :
Retapez le nouveau mot de passe UNIX :
passwd : le mot de passe a été mis à jour avec succès
Modification des informations relatives à l'utilisateur johndoe
Entrez la nouvelle valeur ou « Entrée » pour conserver la valeur proposée
        Nom complet []: John Doe
        N° de bureau []:
        Téléphone professionnel []:
        Téléphone personnel []:
        Autre []:
Cette information est-elle correcte ? [O/n]o
#création du compte samba
sudo smbpasswd -a johndoe
New SMB password:
Retype new SMB password:
Added user johndoe.

Le serveur maintenant opérationnel je passe à la création des partages samba, toujours dans le fichier /etc/samba/smb.conf. En exemple le répertoire photos :

#======================= Share Definitions =======================
[photos]
path = /media/disk27B/photos/
#invités interdit
guest ok = no
#lecture seule non
read only = no
#dossier navigable
browseable = yes
#hérite des différentes acl
inherit acls = yes
inherit permissions = no
ea support = no
store dos attributes = no
printable = no
#lorsqu'un dossier ou un fichiers est crée il hérite des autorisations suivantes
create mask = 0755
force create mode = 0644
directory mask = 0755
force directory mode = 0755
hide dot files = yes

Une fois tous les partages configurés, je m’occupe du dossier  John Doe.

#=============== Share Definitions fo John Doe user=======================
[johndoe]
path = /media/disk27B/johndoe
#invités interdit
guest ok = yes
#lecture seule non
read only = no
#dossier navigable
browseable = yes
#hérite des différentes acl
inherit acls = yes
inherit permissions = no
ea support = no
store dos attributes = no
printable = no
#lorsqu'un dossier ou un fichiers est crée il hérite des autorisations suivantes
create mask = 0755
force create mode = 0644
directory mask = 0755
force directory mode = 0755
hide dot files = yes

Avec ce système mes utilisateurs courant ont accès aux dossiers partagés, sauf john doe qui a accès uniquement à son répertoire. Cette configuration est un premier jet, je l’ai réfléchi sur le “papier”. Je verrai à l’usage si l’utilisateur John Doe est utile ou s’il faut que j’adapte cette configuration.

 

Diaspora*

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