PROJET AUTOBLOG


Planet-Libre

source: Planet-Libre

⇐ retour index

miamondo : À la découverte de Linux From Scratch (partie 1)

jeudi 4 février 2021 à 00:05

La semaine dernière, alors que je baguenaudais sur le web, j’ai découvert Linux From Scratch couramment abrégé en LFS. J’ai longtemps cru qu’il s’agissait d’un langage de programmation destiné aux enfants. Mais celui-ci s’appelle Scratch tout court et il ne faut pas le confondre avec LFS qui est un projet complètement différent.

Linux From Scratch, qui signifie Linux à partir de rien, a été créé par un informaticien néerlandais qui s’appelle Gerard Beeskamp. C’est un projet mais également le titre d’un manuel de 300 pages, traduit en français et qui invite le lecteur à construire lui-même son propre système Linux. Là, on ne joue plus à la baballe dans la catégorie Ubuntu, ni même dans celle d’Archlinux. Avec LFS, on évolue en ligue 1. Chaque programme doit être compilé, ce qui allonge de manière substantielle le temps d’installation et rend cette dernière un peu plus délicate à négocier.

LFS est un projet pédagogique qui part du principe que c’est en bricolant qu’on devient bricoleur, même si parfois, il faut percuter un extincteur… Il fournit donc une caisse à outils et un mode opératoire détaillé qui va permettre à une personne passionnée, de monter un système Linux compact, léger, sécurisé et très personnalisé.

Confiné et désoeuvré, J’ai décidé de me lancer dans l’aventure et de publier un feuilleton en plusieurs épisodes, un peu à la manière de la planète Archlinux. On verra bien ce que ça va donner. J’espère que le résultat final ne sera pas linux has crashed! Le fil directeur sera le manuel d’installation de 300 pages en français (version systemd). Je vous donne également le lien vers la version originale en anglais.

Sachez que vous pouvez fort bien construire votre distribution en 32-bit. Si vous la destinez à un usage serveur, ça ne pose pas de problème. Par contre, si vous prévoyez un usage Desktop, l’architecture recommandée est 64-bit.

Pas besoin d’être une développeuse professionnelle (ou un développeur professionnel) pour utiliser Linux from Scratch. Toutefois, il est nécessaire de maîtriser la ligne de commande. cd, ls, mount, mkdir et compagnie sont des termes qui doivent déjà vous parler. Si ce n’est pas le cas, il est préférable de s’arrêter là. Hein?… Tu sais utiliser la commande compagnie? C’est un bon début…

  1. Sur quelle base construire un système LFS

On va la jouer honnête. La dénomination Linux à partir de rien est pleine de promesses mais elle est mensongère. Pour construire votre LFS, vous allez vous appuyer sur une autre distribution Linux surnommée le système hôte. Vous en aurez besoin au tout début pour partitionner le disque dur et télécharger les sources. Ce peut être une Debian, une Ubuntu, une Fedora… Peu importe. Personnellement, je vais essayer avec une Archlinux. Nous allons, d’une certaine manière, parasiter le système hôte pour nous en détacher en cours de route et bâtir une distribution indépendante. Parasiter n’est peut-être pas le bon terme. Disons que le système hôte va tenir le rôle d’incubateur ou d’utérux, si je puis me permettre d’utiliser ce néologisme!

Pour que le système hôte puisse tenir son rôle, il est nécessaire que les paquets suivants y soient déjà installés (source: manuel d’installation):

Pour vérifier que ces programmes sont réellement présents avec les bonnes versions, exécutez le script suivant et comparez tous les numéros de version:

!/bin/bash
# Script to list version numbers of critical development tools

export LC_ALL=C
bash --version | head -n1 | cut -d" " -f2-4
MYSH=$(readlink -f /bin/sh)
echo "/bin/sh -> $MYSH"
echo $MYSH | grep -q bash || echo "ERROR: /bin/sh does not point to bash"
unset MYSH
echo -n "Binutils: "; ld --version | head -n1 | cut -d" " -f3-
bison --version | head -n1
if [ -h /usr/bin/yacc ]; then
    echo "/usr/bin/yacc -> `readlink -f /usr/bin/yacc`";
elif [ -x /usr/bin/yacc ]; then
    echo yacc is `/usr/bin/yacc --version | head -n1`
else
    echo "yacc not found"
fi
bzip2 --version 2>&1 < /dev/null | head -n1 | cut -d" " -f1,6-
echo -n "Coreutils: "; chown --version | head -n1 | cut -d")" -f2
diff --version | head -n1
find --version | head -n1
gawk --version | head -n1
if [ -h /usr/bin/awk ]; then
    echo "/usr/bin/awk -> `readlink -f /usr/bin/awk`";
elif [ -x /usr/bin/awk ]; then
    echo awk is `/usr/bin/awk --version | head -n1`
else
    echo "awk not found"
fi
gcc --version | head -n1
g++ --version | head -n1
ldd --version | head -n1 | cut -d" " -f2- # glibc version
grep --version | head -n1
gzip --version | head -n1
cat /proc/version
m4 --version | head -n1
make --version | head -n1
patch --version | head -n1
echo Perl `perl -V:version`
python3 --version
sed --version | head -n1
tar --version | head -n1
makeinfo --version | head -n1 # texinfo version
xz --version | head -n1
echo 'int main(){}' > dummy.c && g++ -o dummy dummy.c
if [ -x dummy ]
    then echo "g++ compilation OK";
else
    echo "g++ compilation failed"
fi
rm -f dummy.c dummy

Voilà pour cette introduction. Dans le prochain épisode, nous allons entrer dans le vif du sujet puisque nous allons partitionner le disque dur destiné à héberger la distribution LFS. Nous allons également télécharger les premières sources.

À bientôt

Gravatar de miamondo
Original post of miamondo.Votez pour ce billet sur Planet Libre.

genma : Un serveur miroir pour les mises à jour de Nextcloud

mercredi 3 février 2021 à 09:00

J'ai eu l'information via Thomas Citharel de Framasoft (@tcit@social.tcit.fr sur Mastodon) et je l'en remercie. Benjamin Sonntag et de sa socité Octopuce sont à l'initiative de la mise à disposition d'un miroir du serveur de téléchargement de Nextcloud. (L'échange sur Mastodon).

Le site https://ncupdate.octopuce.fr/

Ce site Web est un miroir non officiel et non affilié à NextCloud du service updates.nextcloud.com. Il sert des fichiers de mise à jour indiquant que les versions ne sont pas sur download.nextcloud.com (le serveur habituel), mais sur ncdownload.octopuce.fr, fournissant ainsi un miroir plus rapide et stable des versions de NextCloud. Il est mis à jour automatiquement toutes les heures et fournit des fichiers avec la même signature que ceux officiels NextCloud.

Le code source du projet https://github.com/octopuce/nextcloud-updater-mirror

Intéressant, à faire en local sur le principe des miroirs Debian quand on a plein d'instances Nextcloud à mettre à jour.

Gravatar de genma
Original post of genma.Votez pour ce billet sur Planet Libre.

Journal du hacker : Liens intéressants Journal du hacker semaine #4

lundi 1 février 2021 à 00:01

Pour la 4ème semaine de l'année 2021, voici 10 liens intéressants que vous avez peut-être ratés, relayés par le Journal du hacker, votre source d’informations pour le Logiciel Libre francophone !

Pour ne plus rater aucun article de la communauté francophone, voici :

De plus le site web du Journal du hacker est « adaptatif (responsive) ». N’hésitez pas à le consulter depuis votre smartphone ou votre tablette !

Le Journal du hacker fonctionne de manière collaborative, grâce à la participation de ses membres. Rejoignez-nous pour proposer vos contenus à partager avec la communauté du Logiciel Libre francophone et faire connaître vos projets !

Et vous ? Qu’avez-vous pensé de ces articles ? N’hésitez pas à réagir directement dans les commentaires de l’article sur le Journal du hacker :)

Gravatar de Journal du hacker
Original post of Journal du hacker.Votez pour ce billet sur Planet Libre.

Articles similaires

miamondo : Utiliser git comme outil de sauvegarde et d’infonuagique

dimanche 31 janvier 2021 à 16:18

Git est une forge, c’est-à-dire un outil collaboratif qui permet à des développeurs de travailler sur un projet commun et de le versionner. Ce système, doté de nombreux outils annexes, est très pratique car il permet d’isoler un bug et de le traiter. Git garde la trace de toutes les modifications. On peut utiliser Git pour développer un logiciel ou pour écrire un roman. Si vous modifiez un chapitre et que trois semaines plus tard, vous avez des regrets, pas de problème! Vous pouvez retrouver la version et l’actualiser.

En ce qui me concerne, depuis quelques semaines, je l’utilise aussi pour sauvegarder mon répertoire personnel (Documents, Images, etc…). Bien sûr, le dépôt est privé. J’adore Git et je ne vois que des avantages à avoir tout mon répertoire en accès libre partout où je me trouve, pourvu que j’aie une connexion internet. La sauvegarde versionnée est également très intéressante. En outre, cette forge offre une multitude d’outils fort pratiques tels que le wiki, les snippets et bien sûr les « issues ». Je n’ai jamais trouvé mon bonheur chez Nextcloud et autres logiciels d’infonuagique. À mon avis, dans ce domnaine, Git est ce qui se rapproche le plus de la perfection.

J’ai même écrit un petit script de mise à jour qui tourne en tâche de fond, au démarrage de l’ordinateur. J’aurais préféré qU’il s’exécute avant l’extinction mais je n’arrive pas à trouver la combine pour le faire. Ce script, le voici:

!/bin/bash

# Mise à jour de ma sauvegarde sur gitlab 
cd /home/miamondo/backups
git add . 
jour_heure=`date`
git commit -m "Mise à jour du $jour_heure" 
git push -u origin master

# Mise à jour des paquets
tilix -e "sudo pacman -Syu" &

Vous noterez qu’il met également à jour les paquets. Si une modification a été apportée, je le vois tout de suite grâce à la date et à l’heure précises ou elle a été poussée dans le dépôt. C’est très pratique.

Cela dit, je me pose des questions sur l’usage que j’en fait. D’abord au niveau de la sécurité du dépôt. Dans mon répertoire personnel, je n’ai pas de documents classés « secret défense » dérobés lors de mon service militaire et transmis à nos amis les Russes contre une bouteille de vodka par semaine jusqu’à ma mort. Je n’ai pas non plus de mode opératoire pour fabriquer une bombe avec un carburateur de Peugeot 103 relié à une Raspberry Pi. Mais tout de même, ce sont des documents personnels et j’aurais aimé avoir une estimation du niveau de protection de mes données.

Deuxième point qui me turlubite, Git est outil collaboratif, c’est-à-dire qui est conçu pour permettre à au moins deux personnes de travailler ensemble. Or, il est difficile de collaborer avec soi-même tout seul! Par conséquent, je n’utilise pas Git de manière réglementaire. Ce n’est pas illégal, mais est-ce que c’est moral? Ne suis-je pas en train d’accaparer égoïstement des ressources qui me sont offertes gratuitement et qui seraient utilisées de manière plus judicieuse par des développeurs pour programmer un logiciel transformant les fusils d’assaut en d’inoffensifs bouquet d’églantines?

Pour me donner bonne conscience, je me dis que Git est un outil libre et qu’à ce titre, je suis libre de l’utiliser comme bon me semble, mais ça ne répond pas à mes interrogations.

Dans un paragraphe précédent, j’ai écrit que Git est ce qui se rapproche le plus de la perfection. Il y a tout de même quelques menus inconvénients: Primo, mon répertoire personnel ne peut pas contenir un sous-dépôt git. Lorsque ce cas se présente, je ne peux pas le pousser sur mon dépôt de sauvegarde. Secundo, à la création du dépôt, il n’est pas possible de pousser tout son répertoire d’un coup. Une telle action provoque une interruption de la connexion au dépôt distant. Il faut y aller par petites touches, ce qui peut prendre du temps. Ensuite par contre, il n’y a pas de problème pour pousser les mises à jour.

Voilà pour aujourd’hui.

Gravatar de miamondo
Original post of miamondo.Votez pour ce billet sur Planet Libre.

Carl Chenet : Les pièges en télétravail

jeudi 28 janvier 2021 à 00:00

Rester connecté jusqu’à 22h, bosser en pyjama, suivre une réunion interminable depuis les toilettes… Toi aussi au bout de quelques semaines de télétravail, tu es tombé dans ces pièges et a commencé à prendre de mauvaises habitudes. On va parler dans cet article de ces comportements et de comment les éviter.

Se rendre toujours toujours disponible

Depuis que tu es en télétravail, tu es incapable de ne pas répondre à une sollicitation de tes collègues. D’ailleurs tu reçois tes e-mails pro sur ton smartphone. Tu as aussi installé Slack ou Teams dessus pour être sûr que si on te demande quelque chose à 2h du matin, tu puisses répondre. Même si c’est un smiley dans le canal de discussion #courderécré.

Donc, ne pas installer ce type d’applications sur ton téléphone. D’ailleurs si tu dois avoir un téléphone professionnel, il ne faut l’utiliser que dans le cadre professionnel, et donc l’éteindre quand tu estimes avoir fini ta journée. De plus le coup du téléphone pro qu’on utilise dans le cadre privé, c’est sooooo année 2000. En plus tout le monde a un téléphone personnel maintenant. Il s’agit sûrement de l’un des principaux pièges du télétravail.

De plus si tu es d’un naturel inquiet ou stressé, il faut vraiment éviter à tout prix de regarder tes outils de travail en dehors des plages d’horaire consacrées au travail. En effet rien de pire que de lire un missile envoyé par un collègue relou à 22h alors que tu “jetais juste un œil” à tes e-mails pro. C’est parti pour une nuit blanche à retourner le problème dans ta tête. Les e-mails pro/Slack/Teams, c’est pas Twitter ou Instagram.

Tout faire, être partout, tout le temps, un des pièges du télétravail
Tout faire, être partout, tout le temps

Le mythe du pyjama

Bon, l’histoire du télétravailleur en pyjama, c’est marrant cinq minutes, mais pas plus. T’as essayé une fois et le livreur a sonné chez toi, ou alors c’est ta gardienne qui est passée et tous les voisins sont maintenant au courant de la couleur de ton pyjama. Bref, les gens qui restent en pyjama, il y en a sûrement quelques-uns, mais c’est tout.

Il est important de te fixer un cadre et de séparer l’activité professionnelle du reste. La plupart des nouveaux télétravailleurs se sont retrouvés aspirés par leur nouvelle situation et ne rapportaient jamais de travail à la maison. Sauf que là, c’est le travail qui est venu chez toi.

La plupart des personnes apprécie avoir un cadre habituel d’horaires dédié au boulot. Le tout est qu’il soit répété chaque jour. Se lever à la même heure, avoir des activités récurrentes dans le déroulement des semaines. Donc c’est soit la réu à 9h, soit la réu de 19h, mais pas les deux. Sans exception, ou alors tu rattrapes. On peut être flexible et rendre service de temps en temps, mais être flexible tout le temps, c’est se faire avoir. Et c’est au final néfaste aussi pour la boîte, quand tu vas partir en burnout et qu’ils vont mettre six ou douze mois à te remplacer.

Les (nombreux) pièges des réunions en télétravail

Les réunions sont vite envahissantes dans le cadre du télétravail. Se parler de manière informelle à la machine à café est devenu impossible pour cause de Covid-19. Donc le nombre de réunions augmente. Les entreprises qui comprennent que l’écrit est désormais indispensable à une bonne pratique du télétravail ne sont pas légions et vont mettre un certain temps à le comprendre. Ou peut-être jamais.

Tu vas donc devoir apprendre à refuser des réunions, tout simplement. Astuce : l’organisateur pense toujours que sa réunion est la plus importante de l’année. Sauf que t’en as déjà 50 comme la sienne dans ton calendrier partagé. Et si tu assistes à toutes, il ne te reste plus de temps de disponible pour réaliser les tâches que te sont assignées. Et tu vas te faire virer si tu bosses pas vraiment au final. En fait c’est l’organisateur de la réunion ou toi, tu peux te dire ça pour te donner du courage si tu ressens de la culpabilité à refuser.

En plus si tu acceptes la réunion et que tu fais semblant d’écouter, quel est l’intérêt ? Faire des “hmmmm”, “ah oui”, “c’est un problème en effet”, “ah vraiment ?” ou “absolument” à intervalles réguliers en attendant que ça se finisse ? Aucun intérêt.

On l’a tous fait, on finit par se barrer, on va lancer une lessive, on va sur Facebook, on passe aux toilettes alors que la vraie réponse constructive pour l’entreprise, ça aurait été de refuser de participer à cette réunion qui n’a aucun rapport avec ton activité dans la boîte. Point barre.

Le piège de se laisser imposer un rythme

Le télétravail a d’importants avantages, en particulier de laisser l’employé organiser ses journées pour être le plus efficace possible, j’en ai déjà parlé dans un précédent article.

Longues plages ininterrompues de travail pour les activités qui demandent de la concentration, par exemple. Vous pouvez commencer plus tôt ou finir plus tard selon vos besoins. Vous pouvez également être opérationnel plus rapidement avec tous vos moyens d’actions en cas d’urgence dans les métiers où cela est nécessaire. Et vous pouvez aller chercher un colis en bas de chez vous ou aller faire une longue marche dans le bois d’à-côté le midi. Ça change du parvis de la Défense.

Se laisser imposer un rythme artificiel censé refléter la vie de bureau n’a aucun sens. Votre proximité à votre outil de travail apporte des avantages à l’entreprise. Le fait d’être chez vous offre également des avantages. Il suffit de s’organiser pour profiter du meilleur des deux mondes.

Agir individuellement pour éviter les pièges en télétravail

Si l’entreprise souhaite travailler avec des personnes responsables et efficaces, elle doit leur fournir les outils pour et le droit de s’organiser. Et donc adapter ses usages et sa culture.

Dans la période charnière où nous sommes, dans laquelle la plupart des entreprises qui utilisent le télétravail l’ont instauré en urgence, il serait bon de se référer aux entreprises pionnières dans ce domaine, qui utilisent déjà le télétravail depuis de nombreuses années. Leur expérience a permis de dégager de nombreuses bonnes pratiques qu’il serait bon que les entreprises suivent.

En attendant, il faut s’en inspirer au moins à titre individuel et tenter de les mettre en pratique autant que faire se peut pour tirer au maximum partie des avantages que le télétravail procure.

L’auteur

Carl Chenet, architecte de systèmes informatiques Linux/Onprem/Cloud indépendant, 3 ans de télétravail régulier, entrepreneur.

Également fondateur de l’agrégateur Le Journal du hacker, du site d’emploi LinuxJobs.fr et de la newsletter Le Courrier du hacker. Modérateur sur le Chantier, lieu virtuel (Discord, forum) d’échanges d’entrepreneurs francophones.

Me suivre sur les réseaux sociaux

N’hésitez pas à me suivre directement sur les différents sociaux pour suivre au jour le jour mes différentes projets dans le Logiciel Libre et/ou pour me contacter :

Suivre l’actualité du Logiciel Libre et Open Source francophone

Abonnez-vous au Courrier du hacker, une newsletter hebdomadaire résumant le meilleur de l’actualité francophone du Logiciel Libre et Open Source. Déjà plus de 90 numéros et plus de 2000 abonnés.

The post Les pièges en télétravail appeared first on Carl Chenet's Blog.

Gravatar de Carl Chenet
Original post of Carl Chenet.Votez pour ce billet sur Planet Libre.