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Noireaude : Profitez d’un slot sur La vache libre pour vos projets Libres et vos changelogs

lundi 21 octobre 2013 à 17:19

Plop, les vacances sont déjà bien entamées et je vais bientôt retourner à ma vie de dingo. Je vais essayer de reprendre le rhytme normal d’ici Novembre et malheureusement bosser comme un dingue, pour ne sortir que deux à quatre billets jour quand tout va bien. C’est n’est pas un problème et déjà mieux que rien dans l’absolu, mais ce qui est dommage, c’est que je vais sans doute louper plein de choses sympas à publier. J’ai donc eu une petite idée qui peut éventuellement vous intéresser si vous êtes porteur d’un projet libre et que vous avez envie d’augmenter votre audience en profitant de la notre.

J’ai en effet pu constater ces derniers mois que nos statistiques sont au beau fixe et que nous touchons de plus en plus de monde. J’en suis d’ailleurs le premier étonné, mais je ne peux m’empêcher de penser que c’est dommage de ne pas en faire profiter plus de monde. J’ai donc pensé proposer un slot auteur sur notre blog aux porteurs de projets libres, qui ne disposent pas de sites, blogs, forums, ou n’ont pas envie/le temps de les tenir à jour. Ok mais ça consiste en quoi et combien ça coûte? Pour le prix ne vous bilez pas, c’est gratuit. On ne vous demande rien.

Pour le reste c’est très simple. Si vous êtes développeur et que vous sortez souvent des mises à jour de vos logiciels par exemple, nous vous proposons un slot posteur vous permettant de publier vos annonces de sortie et vos changelogs chez nous, afin de toucher plus de monde. D’un côté vous n’aurez pas à vous casser la tête à nous contacter et à attendre que l’on s’y colle (ou pas dès fois) et de notre côté ce surplus de contenu pourra être bénéfique pour nos lecteurs. C’est une collaboration efficace et bénéfique pour tout le monde.

Ceci s’adresse à tous les porteurs de projets Libres, qu’ils soient basés sur du logiciel, des sites, des wikis, ou du service. Bien entendu tout le monde n’en aura pas besoin et ne sera pas forcément intéressé, mais si c’est le cas, voilà ce que nous vous proposons concrètement.

Si ça vous intéresse rien de bien compliqué.

Envoyez nous une demande via le formulaire de contact du blog et si ça nous botte, on vous met ça en place. Bien entendu tous les projets ne seront pas forcément sélectionnés mais rassurez-vous, nous ne sommes pas très sévères.

Sinon? Ben tant pis, j’aurais essayé :D

Amusez-vous bien.

Laurent.

PS : Le contenu de vos annonces sera bien entendu placé sous licence CC-BY-SA, mais un mention spécifique répondant mieux à vos besoins peut néanmoins être envisagée sur vos billets.

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Noireaude : Une nouvelle version de Gnome-Shell Extension Weather by Neroth est disponible

lundi 21 octobre 2013 à 14:21

Si vous êtes un accroc de la météo, que vous tournez sous Gnome-Shell et que l’extension officielle de Gnome ne vous plaît pas, Gnome Shell Extension Weather by Neroth est sans doute fait pour vous. Il s’agit d’un fork de l’extension météo officielle de Gnome, qui en plus de proposer pas mal d’options est bien plus belle que l’originale. Gnome Shell Extension Weather va vous permettre d’afficher des prévisions sur 10 jours, de choisir d’afficher les températures, la vitesse du vent, la distance de visibilité, le taux d’humidité, la pression atmosphérique et ce, dans les diverses unités disponibles. Si vous tournez sur GNOME 3.10 vous allez être content de savoir que cette extension est désormais disponible sur votre environnement de bureau. Nous allons voir tout de suite comment l’installer et en profiter sur notre machine.

À savoir :

  1. Pour commencer il va falloir prendre soin de désinstaller l’extension officielle, afin que les deux ne se bagarrent pas (sont pas commodes :)).
  2. Si vous tournez sur Ubuntu et Fedora prenez en compte que pour le moment, les dépôts ne sont pas encore à jour. Neroth ma signalé que pour Ubuntu cela devrait arriver sous peu (sans doute demain), mais qu’il faudra patienter un peu plus longtemps sur Fedora, il y aura du retard. J’ai testé sur Manjaro unstable + Gnome 3.10 en revanche et ça tourne bien (c’est le cas également pour Archlinux).

Si vous tournez sur Archlinux ou Manjaro suivez cette procédure :

Commencez par désinstaller l’extension officielle à l’aide de la commande suivante :

sudo pacman -Rs weather-extension

Vous pouvez ensuite installer l’extension en vous rendant directement sur la page officielle du centre d’extensions GNOME, ou à l’aide de ces quelques commandes.

wget https://aur.archlinux.org/packages/gn/gnome-shell-extension-weather-git/gnome-shell-extension-weather-git.tar.gz

tar xvzf gnome-shell-extension-weather-git.tar.gz
cd gnome-shell-extension-weather-git && makepkg -si

Une fois que c’est fait procédez ainsi :

  1. Faites un ALT + F2
  2. Entrez « r », validez avec « Enter » pour redémarrer Gnome-Shell
  3. Et activez l’extension en passant par Gnome Tweak Tool

Vous pourrez dès lors vous attaquer au paramétrage de l’extension grâce à la fenêtre dédiée :

Quand tout est bon effectuez à nouveau un ALT + F2 suivi de « r » et enjoy!

NB : Neroth m’a signalé que quelques villes sont encore manquantes pour le moment, mais qu’il est en contact avec les mainteneurs de libgweather pour qu’il règlent le soucis. Si vous ne trouvez pas votre ville patientez un peu, ça ne saurais tarder.

Si vous voulez en savoir un peu plus sur Gnome-Shell Extension Weather et sur les procédures d’installation pour les autres distributions GNU/Linux (dans le cas où vous ne voudriez pas passer par le centre d’extensions), vous pouvez vous rendre sur la page Github du projet. Vous y trouverez également la liste des changements.

Nous finirons par signaler 3 choses importantes :

Amusez-vous bien :)

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Dogmazic : Le partenariat Musique Libre ! – Pragmazic

lundi 21 octobre 2013 à 10:58

Bref historique

Parmi ceux qui suivent l’asso depuis longtemps, beaucoup s’interrogent sur l’état de la relation entre Pragmazic et Musique Libre !.

Pour rappel, Pragmazic est une entreprise privée créée par un membre fondateur de Dogmazic et quelques membres historiques afin de développer des offres commerciales autour du contenu de Dogmazic. Il s’agissait au début d’un site de vente de musique, puis de bornes tactiles disponibles en médiathèques.

Pourquoi cet article ?

Pour aller directement au but, nous allons mettre au vote le partenariat avec Pragmazic lors de l’AG de Novembre, il vous faut donc quelques éléments. Nous allons faire bref et simple : le seul objectif de ce billet est que vous compreniez tout a la fois que nous avons tout tenter pour maintenir ce partenariat tout en vous donnant quelques explications sur ce qui nous amené à la situation actuelle. En effet, nous avons le plus grand respect pour Pragmazic, et leur travail en faveur du libre et nous ne souhaitons leur nuire d’aucune façon.

Ce qu’il est important que vous sachiez, c’est que nous avons toujours tout fait pour garantir la pérennité des bornes et du lien entre l’archive gérée par l’association et son pendant présent en médiathèque géré par Pragmazic, et ce, dès notre prise de fonction.

Annulation de dette

Pragmazic étant alors en grande difficulté financière, nous leur avons aussitôt rédigé une lettre de renonciation de dette à  pour leur éviter tout problème. Il ne s’agit pas de petites sommes, et l’association s’en est trouvée elle-même menacée: nous payons les frais sur nos fonds personnels depuis près de 8 mois. La somme due aurait garanti le paiement de nos frais fixes pendant plusieurs années.

Les nouveaux serveurs et la rupture de connexion

Dans le même ordre d’idée, nous savions que la migration du serveur aurait un impact vis-à-vis des bornes, ainsi nous avons immédiatement fourni toutes les données techniques pour que cela se passe bien. Au moment de la migration, Pragmazic était en possession de l’intégralité des accès aux serveurs/bases de données ainsi que du contact de la personne qui gère le serveur. Nous avons également proposé notre aide, mais nous n’avons jamais pu obtenir la moindre information technique sur le fonctionnement des bornes.

Nous nous attendions à ce que cela se fasse rapidement, car il s’agissait d’une opération relativement peu compliqué et nous avons été surpris de ne voir personne s’en charger malgré l’importance du lien entre l’archive et les bornes. Cependant nous avons été bien d’avantage surpris de devoir porter seuls la responsabilité de cet échec alors que nous ne voyons, objectivement, pas ce que nous aurions pu faire de plus.

Comment faire sans se voir ?

Ce qui est le plus dommageable, c’est qu’une vraie collaboration aurait pu permettre de régler rapidement ces problèmes. Malheureusement, sans vraie rencontre, lorsque la situation est difficile pour chacune des parties (l’un comme l’autre devaient se remettre d’une quasi disparition), l’incompréhension mutuelle finit souvent par atteindre un point de rupture. Nous le voyions venir mais aucune de nos propositions de rendez-vous n’a aboutie à l’exception d’une conférence téléphonique à notre prise de fonction il y a près de deux ans. Difficile, dans ces conditions, de mettre en place un partenariat solide.

Des contraintes incompatibles

En outre, indépendamment de ces événements, nous pensons qu’il est dans l’intérêt de chacun des projets de s’affranchir de l’autre. En effet, il est apparu de façon flagrante que les contraintes d’une entreprise privée s’accordait mal avec celles d’une association à but non lucratif.

Il sera mieux pour Pragmazic de gérer ses contenus en interne sans avoir à compter sur les capacités très variable d’une association (comment prévoir quand et comment les bénévoles seront disponibles?), tandis que cela nous permet de discuter avec les médiathèques librement sans contrainte de rentabilité.

Une rupture gagnant-gagnant en somme.

Quoi qu’il en soit, sans rancune. Le monde du libre est beaucoup trop petit pour se le permettre.

L’association Musique Libre !

PS : Merci à Monpauvrelieu pour l’orthographe !

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Planet Libre : Brèves du Planet Libre - Monday 21, October 2013

lundi 21 octobre 2013 à 00:00

Creative Commons se prononce pour une réforme globale du droit d’auteur - :: S.I.Lex ::

droit copyright culture


antistress : "C’est un changement de position important que vient d’opérer l’organisation internationale Creative Commons, par le biais d’une déclaration officielle publiée hier, intitulée "Soutenir la réforme du droit d’auteur". Cette nouvelle orientation constitue l’une des décisions majeures adoptées lors du Sommet Global qui s’est tenu à Buenos Aires cet été."


Tails OS : Confidentialité et anonymat, pour tous et partout

OS linux gnome anonyme pistage live livecd


Gregoire : Tails est un système d'exploitation live, que vous pouvez démarrer, sur quasiment n'importe quel ordinateur, depuis un DVD ou une clé USB. Son but est de préserver votre vie privée et votre anonymat


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Noireaude : Ubuntu GNOME 13.10 Saucy – Guide d’installation v.1

dimanche 20 octobre 2013 à 23:35

Même si ce n’est pas obligatoirement nécessaire, je n’avais pas encore eu le temps de faire un guide d’installation pour les lecteurs du blog et ayant un peu de temps devant moi j’ai eu envie de m’y coller. Qui sait, celui-ci viendra peut-être venir enrichir une série de PDF qui verra le jour un de ces quatre. Alors je n’ai pas fait l’original et si Manjaro était l’objet de mon choix j’ai finalement opté pour Ubuntu Gnome 13.10 (Saucy), qui repose sur une base plus connue du grand public. Cela dit à partir du moment où l’installeur possède un mode graphique, les procédures varient peu d’une distribution à l’autre. Malgré quelques variations vous serez donc à même de vous en inspirer pour essayer d’autres distributions GNU/Linux.

Avant l’installation :

La première chose à faire va être de vous procurer Ubuntu Gnome 13.10 Saucy et de choisir la version qui correspond à votre architecture (32 ou 64-bits), avant de vérifier votre image ISO.

Téléchargement et vérification de l’image :

Vérifier l’intégrité de votre image ISO n’est pas obligatoire, mais ça ne prend que 30 secondes et peut vous éviter de perdre du temps plus tard.  Ceci peut se faire en comparant ce qu’on appelle couramment le checksum ou l’empreinte md5 (md5sums), qui est un numéro ressemblant à ceci 7cfacd8ed5592cbc870512cdbb0eb0b5.

Après avoir pris connaissance de l’empreinte MD5 en téléchargeant le fichier ou en l’affichant via la page de téléchargement du site officiel, rendez-vous dans le dossier qui contient votre image, ouvrez un terminal et entrez la commande suivante :

md5sum ubuntu-gnome-13.10-desktop-i386.iso

NB: Remplacez le nom de l’image ISO par celui de la votre au besoin.

Celle-ci devrait vous renvoyer un numéro après quelques instants et si votre image est correcte, celui-ci doit correspondre au md5 officiel.

Je le répète encore une fois cette étape est facultative, mais elle peut vous éviter bien des soucis. Pour la petite histoire, je suis tombé une fois sur une image foireuse qui s’est néanmoins installée correctement. J’ai commencé à avoir quelques soucis un ou deux jours après et j’ai eu un mal de chien à en trouver la cause. Après avoir pas mal galéré et réinstallé une fois ou deux fois, j’ai eu par hasard l’idée d’analyser mon image ISO qui s’est avérée être complètement foireuse. Si j’avais testé avant ça m’aurait pris 30 secondes et évité deux jours de galères inutiles.

À vous de voir…

Création d’un support bootable avec Unetbootin :

Une fois que tout est OK, il faudra ensuite placer l’image Iso sur un support bootable comme un CD ou mieux encore, une clé USB. Vous pouvez utiliser Unetbootin pour créer un Live USB bootable, qui a l’avantage d’être disponible sous Microsoft Windows, Mac OS X et GNU/Linux, en plus d’être très facile à utiliser.

Vous pouvez installer Unetbootin sur la plupart des distributions GNU/Linux depuis les dépôts officiels :

Installation sur Ubuntu et dérivés :

sudo apt-get install unetbootin

Installation sur Archlinux / Manjaro :

sudo pacman -S unetbootin

Installation sur Fedora :

yum install unetbootin

Une fois installé ouvrez Unetbootin en root et sélectionnez l’option ISO (Disque Image), en indiquant le chemin de cette dernière. Vérifiez tout en bas que le type de lecteur corresponde bien à votre Clé USB (ici /dev/sdb1) et si c’est le cas, validez à l’aide de la touche OK.

Il va ensuite falloir patienter le temps qu’Unetbootin copie les fichiers et qu’il paramètre correctement votre clé USB.

Et quand tout est ok celui-ci va vous demander de redémarrer pour installer ou tester votre nouveau système.

NB : Assurez-vous que votre BIOS autorise le boot sur des supports externes.

Installation d’Ubuntu GNOME 13.10 :

Vous voilà prêts à installer votre nouvelle distribution et la première étape va être de choisir la langue du système. Rien de bien compliqué.

Nous allons ensuite prendre connaissances de certaines informations et sélectionner les options que nous souhaitons utiliser. Nous pouvons voir sur cette capture que nous avons la place nécessaire à l’installation d’Ubuntu GNOME, à savoir 5,7 gigas minimum. Nous pouvons voir également que nous sommes connectés à Internet, ce qui va nous permettre de choisir ou non d’effectuer les mises à jour pendant l’installation et d’installer ou non les plugins tiers.

Dans les deux cas si vous ne le faites pas tout de suite ce n’est pas très important. Vous pourrez toujours le faire plus tard. Ici aussi rien de bien compliqué, il suffit de lire.

 alt=

Nous arrivons au moment crucial de notre installation (je serais tenté de dire le plus gros morceau), à savoir le partitionnement de notre disque dur. Nous allons évoquer principalement les deux options suivantes qui sont :

  1. Effacer le disque dur et installer Ubuntu GNOME
  2. Autre chose

La première option est à sélectionner si le partitionnement est pour vous une notion abstraite. Celle-ci va vous prendre en main et se charger de préparer vos partitions, afin de que vous puissiez installer votre système très facilement. Vous n’aurez pas grand-chose à faire.

La second option va vous être utile si vous voulez personnaliser le partitionnement de votre disque dur, en vous permettant d’éditer les emplacements et de les gérer comme bon vous semble (choisir le système de fichier, la taille du SWAP, partager ou non un /home etc,).

C’est celle que j’ai choisie mais vous le verrez plus tard, ne suivez exactement pas ma procédure.

 Comme le montrent les capture suivantes j’ai donc choisi d’éditer la partition /dev/sda.

 Et comme vous pouvez le voir également j’ai choisi d’utiliser le disque dur en entier, opté pour un système de fichier ext4 et indiqué / comme point de montage. Je n’ai pas configuré de swap en revanche et c’est sur ce point où vous ne devrez pas forcement suivre ma méthode.  Le swap peut en effet se révéler très important si vous tournez sur une machine disposant de peu de mémoire vive (RAM).

Pour ne pas vous tabasser la tête avec des termes techniques, le Swap est en gros une zone réservée de votre disque dur qui va se comporter comme de la mémoire vive. Lorsque votre mémoire vive (le contenu de votre RAM) arrive à saturation, votre système va pouvoir effectuer un dump (une sauvegarde) de son contenu et le placer dans le Swap afin de permettre à votre Ram de pouvoir continuer à emmagasiner de nouvelles instructions.  Si vous n’avez pas de Swap votre système risque donc de saturer, faute d’avoir suffisamment de mémoire à disposition. De même que si la taille de votre Swap n’est pas suffisante (dans l’idéal la même taille que votre RAM) , votre système risque également de saturer plus vite.

Je n’en ai pas mis car mon système comporte assez de mémoire vive et que par conséquent le swap n’est jamais utilisé. Je préfère donc garder les deux gigas que je lui attribuerais pour autre chose et pour limiter aussi le nombre de partitions, ce qui peut éviter plus tard quelques prises de choux avec le partitionnement (logique et étendu). Mais ça c’est une autre histoire…

Quoi qu’il en soit si vous effectuez un partitionnement manuel faites attention à ce point de détail et n’oubliez pas de créer une partition de Swap si vous avez un PC ne contenant pas beaucoup de mémoire vive. Vous pouvez si vous le souhaitez, vous rendre sur la page dédié au partitionnement de la documentation Ubuntu pour tout savoir à ce sujet.

Notez également que dans mon exemple il n’y avait pas d’autre système d’exploitation présent sur ma vbox. Si ça avait été le cas le menu de partitionnement m’aurait proposé une option me permettant d’installer Ubuntu à côté d’un autre système d’exploitation. Si vous êtes dans cette situation et que c’est ce que vous souhaitez faire n’hésitez pas à sélectionner cette option. Vous n’aurez qu’à vous laisser guider et là encore, Ubuntu sera sympa et s’occupera de tout.

Quand vous aurez fait votre choix il vous restera à confirmer l’action en faisant très attention. Si vous avez fait une erreur et supprimé la mauvaise partition vous ne pourrez plus revenir en arrière. C’est votre dernière chance de rattraper le coup.

Une fois la question du partitionnement derrière vous, il faudra valider et lancer l’installation.

Choisissez votre fuseau horaire.

La configuration de votre clavier (en fonction de votre modèle et si vous n’êtes pas sûr de vous, n’hésitez pas à tester les paramètres dans le champ prévu à cet effet).

Entrez ensuite les paramètres utilisateur en chosissant :

  1. Votre nom
  2. Le nom de votre ordinateur
  3. Votre nom d’utilisateur
  4. Votre mot de passe
  5. Et choisissez de cocher ou non l’option vous permettant de chiffrer votre dossier personnel /home (je vous le conseille)

Là c’est le moment d’aller faire une pause café et de laisser bosser l’installeur :)

Votre installation est presque terminée, mais avant de profiter de votre système il va falloir redémarrer. Au cours du redémarrage il vous sera demandé de retirer le support UsB et de valider via la touche Enter.

Vous voilà arrivés à bon port, sur un système tout beau tout neuf et une fois logué il ne vous restera plus qu’à vous mettre au boulot et à vous amuser.

Conclusion :

Comme vous pouvez le voir installer Ubuntu (et plus largement la plupart des distributions GNU/Linux grand public) n’a rien de compliqué. Une fois passée l’épreuve du partitionnement vous n’aurez pas grand-chose à faire.

J’espère que je n’ai pas oublié trop de choses dans ce tuto, qu’il est assez clair et qu’il vous a paru complet. J’essaierai de l’améliorer et de le tenir à jour au fil du temps et j’essaierai à l’occase de refaire les captures d’écran qui ne sont pas terribles (je n’ai pas encore trop l’habitude de Virtualbox). J’essaierai également d’en faire une version PDF, que je vous mettrai à disposition (bien que ce ne soit qu’un petit tuto de plus).

Si vous voyez des corrections, des choses à ajouter ou à ôter, n’hésitez pas. Il doit rester quelque coquilles qui devraient disparaître :)

Amusez-vous bien et bon début de semaine.

Moo!

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