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Planet Libre : Brèves du Planet Libre - Monday 27, May 2013

lundi 27 mai 2013 à 00:00

Distribuer sans distributions ? - LinuxFr.org

linux paquet


antistress : Le système de paquets des distributions GNU/Linux est à la fois une force et une faiblesse... Voici quelques éléments de réflexion.


[EN] 2D graphics Wayland/Weston optimizations for Raspberry Pi - Collabora

linux wayland raspberry collabora


antistress : La société Collabora fait une démonstration, vidéo à l'appui, d'un serveur Weston (pour l'architecture Wayland) optimisé pour le Raspberry Pi, capable de faire tourner de façon parfaitement fluide les applications (comme sur un PC classique), y compris celles conçues pour X.org de manière bien plus efficace que si ce dernier s'en occupait directement ! Rappelons que le Raspberry Pi embarque un simple SoC Broadcom BCM2835 et coûte environ 25 €... Cette configuration devrait se retrouver par défaut dans les Raspberry Pi avant la fin d'année.


PROGRÈS – Un bébé sauvé par une imprimante 3D - LeMonde.fr

imprimante_3D


antistress : "Sans imprimante 3D, le jeune Kaiba Gionfriddo, 20 mois, ne serait peut-être plus en vie. Atteint d'une trachéobronchomalacie, le nourrisson s'est arrêté de respirer à 6 mois. L'air ne passait plus à cause d'un affaissement de sa trachée."


Microsoft veut récompenser ceux qui regardent les pubs TV - Numerama

pistage microsoft smartphone


antistress : Évidemment, quand on installe des caméras chez les gens, il est tentant de s'en servir... Dire qu'en plus ce sont les gens eux-mêmes qui les achètent et les installent. Caméra à part, il y bien d'autres appareils espions dont nous nous équipons volontiers (smartphones, etc.).


Il y a du Aaron Swartz dans le projet Strongbox du New Yorker - Framablog

strongbox pistage


antistress : "« Le magazine américain New Yorker a annoncé la création d’une boîte informatique sécurisée nommée Strongbox, destinée à recevoir des informations en protégeant l’anonymat des sources » pouvait-on lire récemment sur le site des Écrans, qui ajoute : « La technologie utilisée a été développée par le jeune militant d’Internet et hacker Aaron Swartz, qui était poursuivi par la justice pour avoir pénétré une base de données universitaires et s’est suicidé en janvier »."


Moglen à Re:Publica : défendre notre liberté de penser exige des médias libres. - Benjamin Sonntag Blog

vidéo pistage freedombox


antistress : Vous aimez vous sentir intelligent ? C'est ce qui se produit en écoutant les grands penseurs/orateurs comme Eben Moglen ici qui vous entretien en 45 min (+15 min de questions/réponses) de la perte de nos libertés à l'ère numérique. Si vous doutez de la qualité de la prestation, écoutez les 20 premières minutes et décidez ou non de continuer, vous m'en direz des nouvelles.


[EN] 10 things developers need to know about Firefox OS - .net magazine

FirefoxOS HTML Mozilla mobile


antistress : Quelques bonnes raisons de choisir Firefox OS...


Mozilla : le blocage par défaut des cookies tiers pas aussi simple que prévu - PC INpact

firefox mozilla web pistage


antistress : "Fin février, Mozilla annonçait son intention de bloquer par défaut les cookies provenant des sites tiers avec Firefox 22. Mais, alors que la mouture bêta est disponible depuis peu, la mise en place de cette fonctionnalité ne semble pas aussi simple que prévu et la fondation indique qu'elle est repoussée pour le moment."


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Antistress : J'ai deux amours + Together we're strong

dimanche 26 mai 2013 à 14:31

Groupe de manchots marchant sur la banquise

Utilisateur de logiciels libres, ayant la volonté de contribuer à cet écosystème mais n'étant pas développeur, ma participation se limite à des domaines tels que rapporter les bogues, rédiger de la documentation, faire de la traduction, évangéliser, donner de l'argent.

Étant curieux, j'aime bien savoir comment marchent les choses. Avec les logiciels libres je suis gâté car les entrailles des logiciels sont à nus. Certes je ne lis pas le code, mais – surtout lorsque le développement lui-même est ouvert – les informations sur le développement, l'infrastructure et les mécanismes des logiciels sont abondantes (certes le plus souvent en anglais mais ça n'est pas un problème pour moi).

Une fois que je pense avoir compris un point technique, j'en profite pour partager cette information.

Deux sites Web sont importants dans ma démarche de compréhension/vulgarisation : LinuxFr.org et Wikipédia.

Il s'agit de deux sites communautaires.

C'est important les sites communautaires dans ma démarche, en voici les raisons.

Pérennité

Je possède un blogue, mais dans mon esprit celui-ci est lié à ma personne et à mes intérêts du moment. Il est donc par nature éphémère. Si demain je ne m’intéresse plus aux logiciels libres, je ne ferais peut-être pas l'effort de m'assurer que ce qu'il contient reste en ligne. À l'inverse, j'ai tendance à croire que des sites (très légèrement) plus importants comme LinuxFr.org et Wikipédia seront plus pérennes (même si rien n'est acquis et que ces sites ont besoin d'aide notamment financière pour survivre puisqu'ils refusent le modèle économique de la publicité).

Collaboration

Je n'ai pas de formation dans le logiciel, ce que je sais je l'ai lu dans des magazines (mais ça c'était avant), dans des livres (très occasionnellement, par exemple les biographies de Linus et Richard) et (surtout) sur le Web. Ma connaissance est nécessairement incomplète et je dois dire que la co-rédaction est à la fois rassurante et surtout enrichissante.

Prenons le cas de LinuxFr.org : une fois inscrit sur le site (simple formalité), vous pouvez commencer à rédiger un journal (sorte de billet d'humeur comme vous le feriez sur un blogue) ou une dépêche (un article un peu plus construit, annonçant un logiciel, faisant le point sur un sujet ou consistant en une interview). Dans ce dernier cas, vous pouvez lancer une dépêche collaborative (voir la rubrique « L'espace de rédaction » ici). Concrètement vous ouvrez un document partagé dont la paternité vous est attribuée et qui mentionnera également in fine le nom des contributeurs. Ce document de travail reste en ligne aussi longtemps que vous le souhaitez. Sur le côté vous trouverez un espace de discussion autour de cette page qui permet le dialogue entre contributeurs, ainsi que l'historique des modifications qui permet de suivre qui a modifié quoi. Lorsque la page vous paraît suffisamment complète, vous l'envoyez en modération en vue de sa publication sur le site (contrairement à Wikipédia qui est une encyclopédie en chantier perpétuel, les articles publiés sur LinuxFr.org sont donc finis). Chaque inscrit pourra alors commenter (et noter) l'article. Les meilleurs contributeurs sont choisis tous les mois par l'équipe de modération et reçoivent un prix (un livre à choisir parmi une sélection).

Je trouve cette démarche très intéressante, spécialement compte tenu du niveau technique des contributeurs qui sont véritablement à même d'enrichir l'article que vous aviez initialement prévu d'écrire. Le prix récompensant les meilleurs contributeurs est juste un bonus (j'ai déjà reçu plusieurs fois la biographie de Richard Stallman ce qui me permet de la diffuser autour de moi ;-)

Audience

LinuxFr.org a une large audience aussi attendez-vous à ce que votre dépêche/journal reçoive un grand nombre de commentaires si le sujet s'y prête. C'est encore une fois enrichissant, et également très gratifiant.

Complémentarité

En bonus, les contenus que je publie sur un site permettent généralement d'enrichir l'autre, à condition de respecter les formes de chacun : vos opinions personnelles et les actualités éphémères publiées sur LinuxFr.org ne doivent pas être reprises en l'état sur Wikipédia dont le ton se veut plus neutre et qui a moins vocation à coller à l'actualité. Pour ma part cela fonctionne dans les deux sens : par exemple je vais enrichir les pages Wikipédia au fur et à mesure de ma compréhension et, lorsque j'ai une bonne vue d'ensemble du sujet, je prépare une dépêche collaborative de synthèse pour LinuxFr.org. Celle-ci me donne l'occasion d'approfondir encore la question et je reverse alors ce que j'ai encore appris dans les pages correspondantes de Wikipédia.

Parfois la page Wikipédia française n'existe pas sur le sujet, n'hésitez-pas à la créer. Plutôt que de partir de zéro, copiez une page déjà existante sur un sujet similaire. N'étant pas expert dans le fonctionnement de Wikipédia, c'est ainsi que je procède.

Un exemple : je contribue à la page Pile graphique Linux de Wikipédia sur un sujet où, si je ne consigne pas ce que je sais au fur et à mesure je ne comprends plus rien ;-)

Je suis tombé sur deux billets d’actualité en anglais qui ont servi de base à la dépêche État des pilotes graphiques libres pour SoC sur LinuxFr.org. Son contenu, une fois apuré, a permis d'enrichir ladite page Pile graphique Linux de Wikipédia, et a aussi servi de base à une autre dépêche collaborative sur LinuxFr.org À quand les smartphones et tablettes libres ?. La rédaction de cette dépêche a mis en évidence que la page française du système d'exploitation Mer n'existait pas sur Wikipédia, alors je l'ai créée pas plus tard que ce matin en copiant celle qui existait sur MeeGo (dont Mer découle) et en y intégrant le contenu de la dépêche précédemment publiée sur LinuxFr.org...

Voilà, je vous dis donc à bientôt sur Wikipédia, LinuxFr.org, ici-même ou ailleurs : qui sait ? :-)

Lire aussi : LinuxFr.org a besoin de vous ! sur le blogue de Nÿco.

NB : Pour ceux qui sont venus lire ce billet pour Joséphine Baker ou le légendaire duo formé par Mireille Mathieu et Patrick Duffy, voici les liens correspondants vers YouTube : J'ai deux amours et Together we're strong.

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Framablog : Éducation : priorité au logiciel libre ou respect de la « neutralité technologique » ?

dimanche 26 mai 2013 à 14:29

On commence à connaître la chanson et elle est emblématique de l’époque actuelle : le privé qui s’alarme et demande au public de le soutenir sur le dos des biens communs.

Ici nous sommes dans le secteur sensible de l’éducation et pour refuser la priorité aux logiciels libres on est prêt à tout, comme sortir du chapeau la notion pour le moins vague et floue de « neutralité technologique » (sans oublier le FUD sur l’innovation, la croissance, la destruction d’emplois, toussa…)

Le Sénat a en effet examiné cette semaine le projet de loi sur la refondation de l’école de la République. Parmi les dispositions introduites par la commission de la culture, de l’éducation et de la communication, on trouve une modification apportée à l’article 101 qui donne la priorité au logiciel libre et aux formats ouverts dans le futur service public du numérique éducatif.

Pour ceux (comme l’April ou l’Aful) qui se battent depuis des années, voire des décennies, pour qu’il en soit ainsi, c’est déjà un grand pas en avant.

Un pas en avant clairement non partagé par le Syntec Numérique et l’AFINEF (Association Française des Industriels du Numérique dans l’Education et la Formation) qui ont publié dans la foulée un communiqué de presse que nous avons reproduit ci-dessous.

Dans la mesure où les communiqués de l’April, de l’Aful et du Syntec ne proposent pas d’espace de discussion sous article, nous invitons toutes celles et ceux que le sujet intéresse à intervenir dans les commentaires.

PS : Rappelons à l’occasion l’article de Richard Stallman : Pourquoi les écoles devraient utiliser le logiciel libre et l’enseigner.


Sashomasho - CC by-sa


Numérique éducatif et pédagogique : les professionnels du numérique interpellent le Gouvernement sur le respect de la neutralité technologique

CP du Syntec Numérique et l’AFINEF (22 mai 2013)

URL d’origine du document

Syntec Numérique et l’AFINEF interpellent le Gouvernement sur la mention favorisant de manière prioritaire l’utilisation de logiciels libres pour le service public du numérique éducatif, dans le projet de loi en débat ce mercredi 22 mai au Sénat sur la Refondation de l’Ecole de la République. Syntec Numérique, le syndicat professionnel des industries et métiers du numérique, et l’Association Française des Industriels de l’Education et de la Formation (AFINEF) interpellent le Gouvernement sur les dispositions modifiées du Projet de Loi de Refondation de l’Ecole de la République issues du travail en commission au Sénat, donnant la priorité à l’utilisation de logiciels libres pour le service public du numérique éducatif.

Malgré un avis défavorable du Gouvernement en commission, la rédaction retenue à l’alinéa 7 de l’article 10, « Ce service public utilise en priorité des logiciels libres et des formats ouverts de documents », porte atteinte au principe de neutralité technologique qui est la règle notamment pour la commande et l’achat publics.

Par ailleurs, le rapport annexé à la Loi à l’article 1er, définissant les moyens et les orientations de la refondation de l’école de la République mentionne que « L’incitation au développement de ressources numériques se fera notamment en faveur de contenus et de services numériques dits « libres » ».

Les professionnels du numérique regrettent que ces deux dispositions contredisent la circulaire du premier ministre du 19 septembre 2012 sur les modalités de l’utilisation des logiciels libres dans l’administration tout en portant atteinte au pluralisme des ressources informatiques.

En effet, au moment où le Gouvernement engage une politique d’aide à la création d’une filière d’acteurs français du numérique éducatif et pédagogique, ces dispositions, si elles sont définitivement adoptées, handicaperont gravement les efforts de développement de la plupart des entreprises déjà présentes sur cette filière qui n’a pas encore trouvé sa consolidation et dissuaderont de nouveaux acteurs innovants de s’y engager.

Pour les acteurs du numérique, le pluralisme et la neutralité technologique, adossés à l’interopérabilité, sont les conditions sine qua none afin de s’engager dans le développement des produits et supports technologiques pour répondre à l’enjeu essentiel de la modernisation du service public éducatif et à l’accompagnement des enseignants dans leur investissement pédagogique.

Ils souhaitent par ailleurs alerter les pouvoirs publics sur les conséquences que ces dispositions auraient sur la lisibilité de l’offre e-éducative française à l’international, notamment en direction de continents où le pluralisme et la neutralité technologique conditionnent la pénétration des marchés.

Ils soulignent enfin que ces dispositions évidement inconstitutionnelles, augmenteront le risque de recours contentieux entre les opérateurs privés du secteur et les administrations. En effet, ces dispositions rentrent en contradiction avec les principes d’égalité de traitement et de liberté d’accès à la commande publique, rappelés à l’article 1er du Code des marchés publics et qui ont acquis valeur constitutionnelle (Cons. Const. 26 juin 2003) : « Les marchés publics et les accords-cadres soumis au présent code respectent les principes de liberté d’accès à la commande publique, d’égalité de traitement des candidats et de transparence des procédures. Ces principes permettent d’assurer l’efficacité de la commande publique et la bonne utilisation des deniers publics. Ces obligations sont mises en œuvre conformément aux règles fixées par le présent code ».

Force est de constater que ces dispositions vont en effet à l’encontre du principe de neutralité du droit des marchés publics, qui ne permet aucunement de favoriser des opérateurs économiques au détriment d’autres. Au contraire, les règles de la commande publique ont pour objet de permettre au pouvoir adjudicateur de sélectionner l’offre économiquement la plus avantageuse, correspondant à ses besoins, après une mise en concurrence. Ainsi, écarter la fourniture de certaines solutions, en imposant un type de logiciels, violerait les principes fondamentaux de la commande publique consacrés tant au niveau français qu’européen et jamais démentis.

Syntec Numérique et l’AFINEV en appellent ainsi à la sagesse de la Haute Assemblée et au respect de la feuille de route numérique du Gouvernement, afin de soutenir une filière qui a besoin d’être stimulée par un environnement législatif et juridique stable, et non par des mesures discriminatoires infondées, pour donner la mesure de tout son potentiel, en termes d’innovation, de croissance et de création d’emplois.

Crédit photo : Sashomasho (Creative Commons By-Sa)

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Stéphane Laborde : Ubuntu Party et Monnaie Libre

dimanche 26 mai 2013 à 11:25

Une monnaie libre est d’autant plus conforme à une économie libre qu’elle s’appuie sur des informations, données et logiciels libres. J’utilise GNU/Linux depuis 2003 où j’avais testé avec succès à l’époque une MandrakeLinux sur un portable. J’y avais retrouvé toute la passion initiale de ma découverte de l’informatique à 14 ans, réalisée avec l’aide d’un Sinclair ZX81, ordinateur mythique donc pour ce qui me concerne, qui m’a poussé à attaquer directement le langage machine (suite d’instructions illisibles en hexadécimal)…

Voilà qui sans doute m’a donné des bases pour mon très fort intérêt pour les fondements. Fondements de l’informatique, puis des mathématiques et donc fatalement de l’économique quand on se rend compte expérimentalement qu’il y a quelque chose qui ne tourne pas rond…

J’utilise désormais une distribution GNU/Linux Ubuntu 12.04 (avec succès !). C’est donc de façon cohérente que je ferai une nouvelle présentation de la définition d’une monnaie libre à l’Ubuntu Party de Paris Samedi 1er Juin à 14h00.

Ubuntu Party Paris

Ubuntu Party Paris

J’avais déjà abordé ce sujet (ce sera d’une autre façon) aux rencontres mondiales du logiciels libres (voir aussi émission de radio RMLL 2011).

Mais encore mieux, à l’invitation de Thierry Crouzet et Geneviève Morand j’avais eu l’occasion de discuter toute une après midi avec Richard Stallman le fondateur des logiciels libres. C’est donc l’occasion de se remémorer l’expression des 4 libertés logicielles tout en se rappelant que ce sont des libertés relatives à l’utilisateur et pas à l’objet logiciel. Que donc ce sont donc bien les libertés de l’homme dont il est question précisément, tandis que des licences ne précisant pas ces libertés ne peuvent véritablement refléter la pensée du fondateur.

Logo Ubuntu

Logo Ubuntu

Si vous lisez ce post et prévoyez de vous déplacer à l’Ubuntu Party, je vous invite fortement à écouter Monnaie Libre n°32 sur « l’expérience Monnaie M ».

Et à vous inscrire sur « Monnaie M« , ce sera l’occasion de réaliser une participation directe à l’expérience.

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Quack1 : Le blog change de nom de domaine et devient... quack1.me!

samedi 25 mai 2013 à 19:02

Il était en place depuis quelques temps, tout est finalement pleinement fonctionnel aujourd'hui, je peux donc vous l'annoncer, le blog a aujourd'hui un nouveau nom de domaine!

On oublie donc l'ancien nom qui était chez No-IP.com, et on passe à un vrai nom de domaine : quack1.me

Notez que l'ancien NDD (quack1.no-ip.org) est toujours valable, et je ne pense pas le couper avant un bon moment, afin d'assurer une rétro-compatibilité pour les gens qui auront déjà un flux RSS ou autres marque-pages sauvegardés.

Cependant, n'hésitez pas à vous mettre à jour, notamment pour le flux RSS : http://quack1.me/feeds/all.atom.xml!

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