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Carl Chenet : Nouveau meneur du projet Debian (Debian Project Leader) : Lucas Nussbaum

mardi 23 avril 2013 à 08:37

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Tout d’abord félicitations à Stefano Zacchiroli pour ses trois mandats consécutifs en tant que meneur du projet Debian, merci pour tout ce qu’il a apporté au projet en incarnant ce rôle.

Et félicitations encore à Lucas Nussbaum pour son élection. Je lui souhaite tout le courage nécessaire pour mener à bien les tâches de son programme que je trouve personnellement très intéressant. Il aura aussi à relever le défi de l’arrivée imminente de Debian Wheezy, dont la date de sortie cible a été annoncée par l’équipe de publication au week-end du 4 et 5 mai 2013.

Wheezy

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Framablog : Framasoft rembobine, bientôt l'avance rapide

mardi 23 avril 2013 à 03:57

C’est la semaine FramAccueil. Une semaine où, chaque jour, on vous présentera un peu plus les coulisses de notre nouvelle page d’accueil. Car revenir sur cette présentation de toute la galaxie Framasoft, c’est surtout revenir sur plus de 10 ans d’aventures clavistes et AFK, de sites et outils web, de travail collaboratif au service du Libre au sens large. Avec la nouvelle page d’accueil de Framasoft, toute la galaxie Frama est accessible en quelques roulements de molette.

Cette semaine est l’occasion pour nous de mieux communiquer sur l’ensemble des services proposés, grâce à vos dons, à vos apports, à notre travail commun. De faire le point sur le présent avant de mieux se tourner vers l’avenir.

Nous avons donc demandé à Christophe, le président de l’association, de répondre à quelques questions pour faire l’historique de l’association et de ses projets…

— Pouhiou

Framablog : Christophe, quand on entre dans l’association Framasoft, il y a toujours quelqu’un pour dire : « Tu vas voir : avant de connaitre tous les projets qui existent et de comprendre tout ce qui s’est fait, t’en as au moins pour un an. » Tu confirmes ?

Après un an et demi de présidence, j’en suis encore là. À ma décharge, je précise que certains framasoftiens sont beaucoup plus anciens que moi dans l’asso… Ce que d’aucuns pourraient voir comme une pléthore d’activités est en réalité le reflet du foisonnement Framasoftien. Au fil des rencontres, Alexis a su tisser des liens plus ou moins solides avec d’autres acteurs du Libre, et il a su aussi attirer des volontaires qui ont collaboré activement à certains projets plus que d’autres, ou ont pris en charge un projet en particulier, et se sont ainsi intégrés petit à petit dans le cercle associatif.

Une expression qui est longtemps restée pour décrire Framasoft était : « un réseau à géométrie variable ». C’était et c’est toujours plus ou moins le cas : qu’on adhère ou non aux valeurs de Framasoft, qu’on soit un acteur du libre, un ardent défenseur ou parfaitement ignorant de la différence entre Gnome et KDE ou entre les licences GNU GPL et BSD, il est toujours possible de participer à l’un des projets de Framasoft.

Les années aidant, nous devons aux donateurs comme à la bonne santé des projets une certaine stabilité dans nos objectifs, et c’est tout un projet de structurer Framasoft autour de projets phares… avec tout ce que cela comporte comme risques, puisque un projet mis en valeur peut très bien s’avérer complètement inutile face à l’avancement inexorable du Libre dans bien des domaines.

L’idée est donc désormais de structurer les activités autour de trois grands piliers d’une éducation populaire au Libre : le logiciel, la culture et les services.

Framablog : Pour savoir comment nous en sommes arrivés là, partons du début. Ca veut dire quoi Framasoft ? Il paraît qu’au départ, c’est une bande de potes ?

Si on comprend tous que le « soft » fait référence aux logiciels, il est plus difficile de savoir d’où vient la racine « Frama » que l’on retrouve en préfixe à tous les projets. Framasoft était au départ un petit catalogue en ligne qui était hébergé comme une rubrique du site Framanet (pour FRAnçais et MAthématiques en IntraNET), co-animé par Alexis Kaufmann et Caroline d’Atabekian(1), tous deux enseignants du secondaire. Fin 2001, Framasoft est devenu un site à part entière, axé sur les logiciels libres et proposant un annuaire collaboratif. Depuis lors, l’annuaire a toujours été une activité centrale de Framasoft, mais il était devenu de plus en plus évident que le Libre ne se résume pas à des logiciels(2).

Quand, en 2004, l’association (loi 1901) fut créée, il y avait déjà beaucoup de contributeurs. L’annuaire dépassait déjà largement les seuls logiciels libres disponibles sous Windows, mais concernait les trois grands systèmes d’exploitation du marché. Pour structurer la communauté ainsi formée et permettre davantage de dialogue non seulement entre contributeurs mais aussi avec le grand public découvrant le libre, le forum Framagora fut créé et nombreux sont ceux qui, tout comme moi, ont découvert et intégré Framasoft grâce à ce forum. Et c’est « seulement » en 2005 que le projet d’un DVD-Rom compilation de logiciels libre (aujourd’hui FramaDVD) et le projet Framakey sont nés.

Le premier reprenant l’idée de The Open CD a été créé par un groupe d’étudiants, encadrés par Pierre-Yves (alias Pyg) et le second que le même Pierre-Yves menait. Ceci amorça la dynamique que nous connaissons aujourd’hui, qui se caractérise par plusieurs projets avec des communautés autour. Celles-ci s’entrecroisent, et grâce à elles, c’est aux frontières des projets que l’innovation se fait.

Dans le slogan « la route est longue mais la voie est libre », je n’ai jamais vu cette longueur comme le chemin de croix harassant vers la libération quasi-théologique de l’informatique, mais au contraire comme une suite infinie de choix possibles vers une ligne d’horizon.

Framablog : Et des projets avortés, ou qui sont tombés en désuétude… genre le « cimetière Framasoft »… il y en a ?

Je ne veux pas éluder la question, mais regarder en arrière n’est jamais quelque chose de productif. Nous sommes des bénévoles et, à ce titre, si nous donnons du temps à Framasoft, ce n’est pas pour être nostalgiques. À vrai dire, des projets avortés, il y en a tous les jours : tout ce que nous aimerions faire et ce que nous n’avons pas le temps ni les moyens (humains surtout) de réaliser. Il arrive très souvent que nous dépensions beaucoup d’énergie pour rien.

Malgré l’enthousiasme de la communauté, le projet Framavion n’a jamais vraiment décollé.

C’est le lot de n’importe quel projet associatif et communautaire. Par exemple, nous aimerions développer davantage le projet Framaphonie, les services Cloud que nous proposons peuvent toujours être améliorés, et notre annuaire…. là je ne dis rien pour l’instant parce qu’il se trouve que nous avons la solution !

Framablog : Du coup, aujourd’hui, quels sont les projets qui enthousiasment le plus la communauté ?

Là encore il est difficile d’établir une hiérarchie. Certains projets ne nécessitent pas forcément une grande communauté et sont pourtant très célèbres, comme Framadate. Donc il faut décrire les choses non en termes de productivité mais en termes de rapport entre le nombre de contributeurs et la dynamique journalière (le nombre d’actions par contributeur). De ce point de vue, le groupe Framalang qui s’occupe de traduire des textes, le plus souvent anglophones, est de loin celui qui a une activité très soutenue… et comme il utilise Framapad pour travailler, et le Framablog pour produire des textes à destination du public, on voit ici nettement les interactions entre les projets.

Le projet Framabook aussi connaît de l’activité ces temps derniers. C’est invisible pour le public, mais la production d’un livre représente beaucoup d’heures de la part des membres, en particulier la relecture d’un ouvrage. Donc ici, ce n’est pas en termes de dynamique qu’il faut envisager les choses mais en termes d’heures travaillées. Tout comme le Framablog, qui exige une veille soutenue de l’ensemble de la sphère du Libre, ou le développement de la Framakey qui mobilise de temps à autre Pierre-Yves durant de longues heures pour l’adapter à un projet de partenariat.

Framablog : Est-ce qu’on peut dire un mot sur les FramaTrucs de demain ?

C’est bien simple : nous en avons plein les cartons. Mais ce qui est certain, c’est que le déballage ne peut se faire qu’à partir du moment où nous aurons structuré… allez je lâche le nom de code : Framalibre !

Quelques logos à l’étude pour les projets à venir

(1) Caroline d’Atabekian ne tardera pas à fonder le plus important portail collaboratif des enseignants de Lettres, le WebLettres, dont la naissance est évoquée dans ce billet .

(2) L’ouvrage Histoires et Cultures du Libre (Coll. Framabook, 2013) se veut être une illustration de l’immensité des domaines concernés par le Libre.

* * *

Crédit photo : Musée de l’air et de l’espace de San Diego

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crowd42 : Ne subissez plus la cyber-censure grâce à l’offre VPN de wnh.me

mardi 23 avril 2013 à 02:33

Trouver une offre VPN digne de confiance n’est pas une mince affaire. Et ça devient encore plus compliqué si on vit dans un pays -comme le Maroc- où les personnes qui disposent d’une carte bancaire, qui leurs permet d’effectuer des paiements en ligne sur des sites étrangers, se comptent en centaines.

Et si je vous dit que la perle rare existe vraiment, et qu’en plus de toutes les garanties de sécurité qu’on peut espérer, le service est gratuit. Oui vous avez bien lu, gratuit et sans aucune limitation : trafic illimité, tous les protocoles sont supportés. Par exemple et à titre de comparaison, Arethusa dont je vous ai parlé auparavant, bloque le BitTorrent sur son offre gratuite.

Il s’agit de World NeighborHood dit wnh pour les intimes. Derrière les commandes de ce site, on trouve des hacktivistes de Telecomix, qu’on ne présente plus. Parmi les objectifs qu’ils affichent, permettre aux gens qui résident dans les pays pas clean vis-à-vis de la liberté de d’expression… Et l’offre VPN n’est qu’un service parmi beaucoup qu’ils proposent.

Sur le site de wnh.me, vous trouverez des tutoriaux pour vous aider à configurer le client VPN. Par exemple sur GNU/Linux et avec OpenVPN, tout ce que vous avez à faire c’est de récupérer le fichier de configuration ci-dessousn ainsi que le certificat téléchargeable ici.

client
dev tun
proto tcp
remote vpn.wnh.me 1194 # Will hopefull be a roundrobin to all VPN entrypoints of the darknet
resolv-retry infinite
nobind
persist-key
persist-tun
script-security 3

# Because server does not require certificate, it has to ask for credentials, but anything can be entered
auth-user-pass

# The root CA used to sign the _server_ certificate
# download it from a mirrow below the config
ca wnh-ca.crt

comp-lzo

route-nopull              # do not ask the server for any routing setting 
route 10.0.0.0 255.0.0.0  # route the 10.* net to the VPN
route-metric 10           # set a higher metric, to prevent routing of 
                          # local nets staring with 10 to the Darknet

Pour le mot de passe et nom d’utilisateur, vous pouvez mettre ce que vous voulez.

Enjoy it ;)

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lmns972 : Container OpenVZ fstab

mardi 23 avril 2013 à 01:25

Tout ceux qui utilisent un container OpenVZ ont déjà constaté qu’il n’est pas possible de faire des montages via fstab . Parfois nous en avons bien besoins pour des montages automatiques , sauvegarde . Il est bien dommage de devoir effectuer une tâche de montage après chaque relance de votre système.

La solution est de passer par des montages bind . Le but est de faire le montage sur la machine hôtes puis utiliser l’option bind de mount qui se chargera de faire le nécessaire .

Pour ceux qui ne connaissent pas l’option –bind , pour faire simple il s’agit d’effectuer le montage d’un répertoire dans un autre . Pour la petite histoire ma première utilisation de cette option a été pour des connexions FTP.

Pour monter un device . Depuis la machine hôtes

/etc/pve/openvz/ctid.mount

#!/bin/bash
source /etc/vz/vz.conf
source ${VE_CONFFILE}
mount /mnt/path ${VE_ROOT}/mnt/path

Bien-sur il faut mettre les droits en exécution sur ce fichier .

Autre possibilité

Selon le site de OpenVZ

#!/bin/bash
. /etc/vz/vz.conf
. ${VE_CONFFILE}
SRC=/mnt/disk
DST=/mnt/disk
if [ ! -e ${VE_ROOT}${DST} ]; then mkdir -p ${VE_ROOT}${DST}; fi
mount -n -t simfs ${SRC} ${VE_ROOT}${DST} -o ${SRC}

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cpc6128 : Linotte 2.1

lundi 22 avril 2013 à 20:42

Cette version apporte son petit lot de nouveautés pour aider le développeur à concevoir plus facilement ses programmes.

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