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Littlewing : Retour du DEVOXX

mercredi 15 avril 2015 à 20:06

J’ai pu assister aux trois journées de l’édition 2015 du DEVOXX.
C’est actuellement LA conférence JAVA ( & consorts ) française.

J’ai pu participer à beaucoup de conférences et hands on.
Voici celles qui m’ont marquées :

Comment rater ses benchmarks

Très bonne conférence sur la méthodologie à appliquer dans la définition et réalisation des tirs de performance

Refactoring fonctionnel

Très bonne conf de Hadi Hariri (Jetbeains) sur l’ amélioration du code avec JAVA8 . Si on opte pour du refactoring fonctionnel, le code est grandement amélioré et plus facile à tester

Fault tolerant microservices on the JVM

Aussi une bonne conférence par une personne de chez datastax sur la conception de micro services.

Questions/Réponses avec Brian Goetz

Pouvoir poser des questions à l’un des architectes du langage JAVA … Priceless :)

Encore un grand merci à toute l’équipe organisatrice. C’était du super boulot.

Gravatar de Littlewing
Original post of Littlewing.Votez pour ce billet sur Planet Libre.

Littlewing : Retour du DEVOXX

mercredi 15 avril 2015 à 20:06

J’ai pu assister aux trois journées de l’édition 2015 du DEVOXX.
C’est actuellement LA conférence JAVA ( & consorts ) française.

J’ai pu participer à beaucoup de conférences et hands on.
Voici celles qui m’ont marquées :

Comment rater ses benchmarks

Très bonne conférence sur la méthodologie à appliquer dans la définition et réalisation des tirs de performance

Refactoring fonctionnel

Très bonne conf de Hadi Hariri (Jetbeains) sur l’ amélioration du code avec JAVA8 . Si on opte pour du refactoring fonctionnel, le code est grandement amélioré et plus facile à tester

Fault tolerant microservices on the JVM

Aussi une bonne conférence par une personne de chez datastax sur la conception de micro services.

Questions/Réponses avec Brian Goetz

Pouvoir poser des questions à l’un des architectes du langage JAVA … Priceless :)

Encore un grand merci à toute l’équipe organisatrice. C’était du super boulot.

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PostBlue : Arch Linux ARM sur un Raspberry Pi 2

mercredi 15 avril 2015 à 19:08

Je me suis acheté un Raspberry Pi 2 sur LDLC, le site de vente en ligne qui m'a octroyé une ristourne à l'occasion de mon anniversaire. Le délai entre la commande et la réception fut très long, rupture de stock oblige, mais en résumé je suis hyper-content.

Inutile de revenir une énième fois sur les spécificités matérielles et logicielles de la machine : d'autres s'en sont occupé·e·s avant moi et certainement bien mieux. Oui, ce modèle est tellement plus mieux que ses prédécesseurs. Évidemment, il faut être à l'aise avec la ligne de commande pour utiliser ce type de matériel.

Réception du paquet et montage

Raspberry Pi 2 et Rainbow Pibow

Comme je l'ai annoncé en préambule : le délai de livraison fut allongé à cause d'une rupture de stock de Raspberry Pi 2 chez LDLC. Qu'à cela ne tienne, je n'étais pas pressé.

J'ai profité de cette commande pour acheter une carte microSD de 16Go sur laquelle installer le système d'exploitation — voir ici une liste des distributions existantes — et un boîtier gay-friendly chez Adafruit compatible avec mon modèle de Raspberry Pi.

Le paquet du Raspberry Pi est minimal : une boîte en carton contenant une notice en 16 langues que je ne lirai certainement jamais, et un Raspberry Pi 2 sous film plastique de protection. C'est tout. Celui du Pibow l'est également : emballage en carton recyclé, pas de surabondance de matière première, à l'instar de l'emballage pour les précédentes versions du Raspberry Pi.

Rainbox Pibow v1

Note : toutes les « couches » du Pibow sont recouvertes d'un côté par un film blanc translucide qu'il faut enlever si vous ne voulez pas que votre Raspberry Pi ressemble à ça (la poussière en plus).

Raspberry Pi 2 et Rainbow Pibow

Du reste, il ne prend que très peu de place, il y en a même encore un peu sous le meuble où à brol / routeur / imprimante pour que je le branche à un disque dur portable qui servira à l'hébergement de données (torrents, sauvegardes, serveur multimédia DLNA/UPnP…). Je suis preneur de conseils concernant un disque dur portable abordable pouvant être allumés longtemps, très longtemps (pas de surchauffe ni de tendance à casser si trop souvent utilisé), avec une bonne alimentation (je n'ai pas envie qu'il brûle au moindre petit problème électrique).

Installation d'Arch Linux ARM

La distribution semble-t-il la plus utilisée est Raspbian, une distribution basée sur Debian qui incorpore l'utilitaire de configuration simplifiée raspi-config. J'ai préféré installer Arch Linux ARM, suite a un problème de compatibilité de CUPS entre la version installée sur les ordinateurs (Debian Jessie, Arch Linux) et celle incluse dans Raspbian (Debian Wheezy).

Pour l'installation, il suffit de suivre le guide, que je traduis ci-dessous.

Vue d'ensemble

Le Raspberry Pi 2 est le successeur du Raspberry Pi. Il s'appuie sur le modèle original B +, mis à niveau vers 1Go de RAM, et en remplaçant le single-core vieillissant ARMv6l avec un quad-core Cortex-A7 ARMv7l.

Le Raspberry Pi 2 mesure 85.60mm × 53.98mm × 17mm (…).

Création de la carte SD contenant le système d'exploitation

Remplacer sdX dans les instructions suivantes par le nom de périphérique pour la carte SD tel qu'il apparaît sur votre ordinateur. Si vous ne parvenez pas à effectuer ces manipulations à cause de restrictions de droits sur les périphériques ou les partitions, exécutez-les avec votre compte root.

  1. Lancer fdisk pour partitionner la carte SD :

    fdisk /dev/sdX
    
  2. À l'invite de fdisk, supprimer les anciennes partitions et en créer une nouvelle :

    • Taper o. Cela effacera toutes les partitions sur le disque.
    • Taper p pour lister les partitions. Il devrait ne rester aucune partition.
    • Taper n, puis p pour créer une partition primaire, 1 pour la première partition sur le disque, puis appuyer sur Entrée pour accepter le premier secteur par défaut, puis entrer +100M pour le dernier secteur (c'est-à-dire que la première partition fait 100M à partir du premier secteur).
    • Taper t, puis c pour régler le type de la première partition sur W95 FAT32 (LBA).
    • Taper n, puis p pour créer une partition primaire, 2 pour la deuxième partition sur le disque, puis appuyer deux fois sur Entrée pour accepter les premiers et derniers secteurs par défaut (prendre tout l'espace restant sur le disque).
    • Écrire la table de partition et sortir de fdisk en tapant w.
  3. Créer et monter le système de fichiers FAT :

    mkfs.vfat /dev/sdX1
    mkdir boot
    mount /dev/sdX1 boot
    
  4. Créer et monter le système de fichiers ext4 :

    mkfs.ext4 /dev/sdX2
    mkdir root
    mount /dev/sdX2 root
    
  5. Télécharger et extraire le système de fichiers racine (avec le compte root et non pas via la commande sudo) :

    wget http://archlinuxarm.org/os/ArchLinuxARM-rpi-2-latest.tar.gz
    bsdtar -xpf ArchLinuxARM-rpi-2-latest.tar.gz -C root
    sync
    
  6. Déplacer le fichiers de démarrage vers la première partition :

    mv root/boot/* boot
    
  7. Démonter les deux partitions :

    umount boot root
    
  8. Supprimer les dossiers créés sur l'ordinateur :

    rmdir boot root
    
  9. Insérer la carte SD dans le Raspberry Pi, connecter le câble Ethernet, puis brancher l'alimentation de 5V.

  10. Utiliser la console série (nécessite de brancher un clavier USB et un écran au Raspberry Pi et de configurer la disposition du clavier avec loadkeys, cf. la configuration du clavier dans la console virtuelle) ou se connecter par SSH à l'adresse IP donnée par votre routeur. Le mot de passe par défaut est root.

Configuration de base

Avant de faire quoi que ce soit, des manipulations de base doivent être effectuée : première mise à jour, configuration du mot de passe du compte root, installation des composants de base, création d'un utilisateur et sécurisation de la connexion SSH,

Pour se connecter à votre Raspberry Pi par SSH (solution que je préfère), il faut en trouver l'adresse IP. Le plus simple à mon avis reste de la chercher dans l'interface d'administration de votre routeur.

Administration du routeur pour trouver l'adresse IP allouée au Raspberry Pi

J'en ai profité pour cocher l'option Always use the same address (toujours utiliser la même adresse IP) afin de ne pas devoir chercher à quelle adresse réside mon Raspberry Pi.

Password Strength, XKCD, CC BY-NC

Reste à suivre la documentation ArchLinux de base pour la configuration générale du Raspberry Pi 2 (copie augmentée de la page Configuration d'Arch Linux du wiki francophone):

Serveur d'impression partagé

La première utilisation que j'ai réservée à mon Raspberry Pi 2 est qu'il fasse office serveur d'impression CUPS pour partager une vieille imprimante HP connecté en USB sur mon réseau.

Pour ce faire, le serveur d'impression CUPS doit être installé, ainsi que le programme hplip permettant de communiquer avec les imprimantes HP, et le service Avahi.

Avahi est une mise en œuvre des protocoles Zeroconf permettant ainsi « à des logiciels de publier et de découvrir des services et des hôtes en cours d'exécution sur un réseau local TCP/IP sans configuration particulière. Par exemple, un utilisateur peut brancher son ordinateur sur un réseau et trouver instantanément des imprimantes pour imprimer, des fichiers à lire et des personnes à qui parler. »

  1. Installer les dépendances :

    pacman -S nss-mdns avahi cups sane hplip --needed
    
  2. Pour accéder aux ordinateurs du réseau local en utilisant leur nom de domaine (ex : myhostname.local) plutôt que leur adresse IP, il faut activer le support des requêtes avec .local, ce qui n'est pas le cas par défaut sous Arch Linux. Pour l'activer, il fauch changer la ligne des hôtes dans /etc/nssswitch.conf :

    hosts: files mdns_minimal [NOTFOUND=return] dns myhostname
    
  3. Pour activer le support du scan des imprimantes multifonction de HP, il faut éditer le fichier de configuration de Sane /etc/sane.d/dll.conf et y ajouter les lignes suivantes :

    hpaio
    hpoj
    
  4. Activer les services :

    systemctl enable avahi-daemon org.cups.cupsd cups-browsed
    
  5. Démarrer les services :

    systemctl start avahi-daemon org.cups.cupsd cups-browsed
    
  6. Il faut ensuite ajouter l'imprimante HP à la liste des imprimantes connues avec la commande hp-setup :

    hp-setup -i
    
  7. La commande qui suit sert à activer le partage des imprimantes sur le réseau local et restreindre au réseau local, activer l'administration à distance, permettre à n'importe qui sur le réseau local de supprimer une impression :

    cupsctl --no-remote-any --share-printers --remote-admin --user-cancel-any
    
  8. Pour finir, redémarrer le service pour être sûr·e que les changements sont bien pris en compte :

    systemctl restart org.cups.cupsd
    

Pour accéder à l'interface web de CUPS, il suffit d'ouvrir l'adresse http://myhostname.local:631, et y administrer les imprimantes (format de papier par défaut, imprimante par défaut du serveur…).

Partage de fichiers multimédia

Section à compléter en attendant de disposer d'un disque dur portable à brancher au Raspberry Pi 2, voir l'index Streaming media du wiki anglophone.

Serveur de sauvegarde

Section à compléter en attendant de disposer d'un disque dur portable à brancher au Raspberry Pi 2, voir l'index Backup programs du wiki anglophone.

Serveur BitTorrent

Section à compléter en attendant de disposer d'un disque dur portable à brancher au Raspberry Pi 2. J'ai dans l'idée d'utiliser Transmission, à administrer via l'interface web, l'extension pour GNOME Shell Transmission Daemon Indicator ou via l'application Transdroid.

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mozillaZine-fr : Mozilla lance une nouvelle campagne contre la surveillance de masse aux USA

mercredi 15 avril 2015 à 17:01

Mozilla a lancé hier une pétition aux USA pour demander au Congrès de mettre fin à la surveillance de masse. La coïncidence avec le projet de loi sur le renseignement discuté ici, en France, cette semaine, est fortuite mais révélatrice d’une tendance mondiale de la sphère politique et policière à vouloir prendre le contrôle de l’Internet, dont la construction lui a totalement échappé. Verrons-nous à terme une convergence mondiale des initiatives visant à dénoncer la mise sous contrôle de l’Internet ?

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Full Circle Magazine FR : Sortie du numéro 94

mercredi 15 avril 2015 à 14:52

Bonjour à toutes et à tous !

L'équipe du FCM en français est heureuse de vous présenter le numéro 94, celui de février 2015, juste à temps pour les vacances de printemps ! Vous le retrouverez (au téléchargement ou à la lecture) sur notre page NUMÉROS ou en cliquant directement sur l'image de la couverture, ci-dessous.

numero94.png

Comme d'habitude, tous les articles et rubriques sont très intéressants ! Ce mois-ci, vous y trouverez notamment :

Bonne lecture et à bientôt !

Tout l'équipe du FCMfr, dont, pour ce numéro, Bab, scribeur et relecteur, les traducteurs d52fr, frangi, FredPhil91 et moi, et les relecteurs (autre que Bab !) d52fr et moi-même, AuntieE

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