Présentation Périodical

Aujourd’hui ce n’est pas la journée de la femme mais l’application « opensource » de cette semaine est réservée uniquement aux femmes.

Cette application s’appelle « Périodical »

Vous l’aurez compris si elle est réservée aux femmes (du moins, je ne pense pas que les hommes y trouvent un intérêt) c’est parce qu’il s’agit d’une application qui permet de savoir ou les femmes en sont avec leur règle.

Cette application est disponible sous la licence « GPLv3+ ».

Pour mieux informer les femmes l’application à un code couleurs pour mieux se retrouver :

• Rouge : début des règles
• Bleu : jours fertiles
• Jaune : jours infertiles
• Rose :

Cette application comme beaucoup d’autres (je pense) utilise la méthode « Knaus-Ogino » « wikipedia ».

chez la femme l’ovulation (la libération de l’ovule par l’ovaire) se produit d’habitude une seule fois au cours du cycle menstruel, c’est-à-dire entre le douzième et le seizième jour après le début de la menstruation.

l’application d’une telle méthode sur une vaste échelle s’est révélée difficile et a conduit à un grand nombre d’échecs en raison de sa complication

Présentation :

• Cette application calcule la fertilité selon la méthode Knaus-Ogino.
• ATTENTION: Il est déconseillé d’utiliser ce calendrier pour éviter une grossesse! Il existe des méthodes plus précises, comme la mesure de la température basale du corps.
• Les données peuvent être sauvegardées sur une carte mémoire ou un disque dur interne selon la disponibilité.

Le développeur s’appelle « Arno Welzel ».

La vidéo

Mon avis :

Autant le dire tout de suite je n’utilise pas ce genre d’application.

Malheureusement, j’ai voulu la faire tester, mais la personne ne pouvait ou ne voulait pas.

J’aime bien le design de « Périodical » le code couleurs est bien documenté.

L’application est simple et basique.

Je ne sais pas si l’application est toujours maintenue.

Il manque peut-être les températures ou inscrire des notes

Je suis satisfait niveau autorisation, car il n’y en a pas beaucoup comparé à d’autre application privatrice de ce genre.

Si vous la testez n’hésitez pas, j’attends vos retours, car je n’ai pas pu la tester

Autorisations :

• Stockage

Modifier ou supprimer le contenu de la mémoire de stockage USB

• Outils système

Tester l’accès à la mémoire de stockage protégée

Liens :

Site officiel

Téléchargement

Projet GitHub

 

Musique : Jupiter Skydive – Senilicide

 

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Nous vous l'avions annoncé il y a maintenant un peu moins de 4 mois, l'équipe elementary OS ainsi que Yorba travaillent main dans la main sur le développement du logiciel Shotwell. Depuis maintenant quelques heures, est apparue sur le LaunchPad de Shotwell une nouvelle branche développée cette fois-ci par Corentin Noël qui concerne l'UI de Shotwell.

Cette modification apporte une meilleure intégration de l'interface utilisateur au sein d'elementary OS. L'application se rapproche ainsi des Guidelines d'eOS. Les premiers résultats sont là et c'est agréable de voir Shotwell/Photos s’intégrer tout naturellement avec le design d'eOS.

L'apparition du headerbar est un réel changement motivé pour uniformiser les applications et rendre ainsi l'expérience utilisateur identique sur les autres logiciels maintenus par l'équipe de Daniel. De mon avis, c'est une véritable avancée dans l'accessibilité : les utilisateurs n'auront pas besoin de "réapprendre" chaque application, ici la ligne de conduite est claire et précise, si on souhaite modifier les options des logiciels, cela passera forcément par l'icone en forme de roue dentée.

L'autre changement concernant le thème graphique de l'application qui adopte des couleurs plus foncées. A l'instar de Terminal qui lui aussi se trouve doté d'un thème graphique équivalent (ndlr : qui n'est pas sans déplaire à certains membres de l'équipe e OS fr).

Comme vous pouvez le voir, il existe encore des "vestiges" de l'ancienne interface avec la présence des menus, mais, ne doutons pas que les deux équipes feront un très bon travail pour intégrer ce programme au sein de l'univers elementary OS.

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Un post un peu en vrac avec des liens qui concernant le financement de projets.

ploum évoquait Open WhisperSystems l'autre jour sur Google+.

Open WhisperSystems, créateur de solutions open source pour protéger sa vie privée, était confronté au dilemme des donations. Comment les gérer ? Comment les redistribuer de manière transparente ?

Et plutôt que de créer une association, de mettre en place un processus administratif voire, pour les cas les plus importants, d'embaucher un permanent, ils ont créé un outil basé sur Bitcoin qui fait tout à leur place et redistribue l'argent aux auteurs de commits.

C'est peut-être encore fort expérimental mais, waw, c'est génial : https://whispersystems.org/blog/bithub/

Et cela me rappelle ma vision du blogueur indépendant de demain : http://ploum.net/le-blogueur-venu-de-demain-premiere-partie/

tcitworld m'a ensuite envoyé ces liens :

• https://www.bountysource.com/
• http://tip4commit.com/
• https://www.gittip.com/

Et suite à une discussion interne chez Framasoft, j'ai (re)découvert Open Funding.

Je ne sais pas du tout si tout ça pourra me servir pour wallabag, mais je mets de côté, on ne sait jamais.

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Je viens de m'apercevoir que le moteur de blog Pelican, utilisé ici même, dispose désormais de nombreux plugins.

Des plugins pour intégrer des commentaires Google, les commentaires Disqus, l'activité d'un compte Github, les articles liés, etc...

Il y en a même un pour intégrer des commentaires directement dans Pelican. D'ailleurs, je pense l'ajouter ici pour me passer de Disqus.

Petit à petit, Pelican devient un vrai et grand moteur de blog ! \\o/

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Je suis en train de rajouter de l’onion routing à mon moteur de recherche MySearch. Je me suis donc penché sur comment Twisted (13.2) gérait les connexions SSL.

Tout d’abord, il faut savoir qu’une connexion web HTTPS dans Twisted ne fait aucune vérification de certificat par défaut. C’est écrit dans la doc et dans l’API.

Enfin « par défaut », il faut comprendre « sans mettre les mains dans le cambouis ». Car quand on regarde plus en profondeur dans le code de Twisted, on voit que les connexions SSL reposent sur PyOpenSSL , qui est comme vous vous en doutez un binding pour la fameuse librairie OpenSSL.

Dans Twisted, voici ce qu’on trouve de plus exhaustif pour vérifier la sécurité de sa connexion SSL. Là, le premier truc qui choque, c’est que le hostname de destination n’apparaît pas dans le code de vérification des certificats.

On se dit qu’on loupe quelque chose, on va voir du coté de la doc de PyOpenSSL . Pareil, pas de fonction qui vérifie la correspondance du hostname demandé avec le certificat présenté. Et pas un mot sur le sujet.

Allons donc voir ce qu’en dit OpenSSL. Et là c’est beau, je vous le donne en mille :

One very common mistake made by users of OpenSSL is to assume that OpenSSL will validate the hostname in the server’s certificate. Currently, it does not, although a future version (1.1.0?) will include this functionality.

C’est écrit noir sur blanc là et là.

Sérieusement, vous pensez qu’il est sain de forcer des programmeurs lambda à coder une fonction si critique qui va vérifier le hostname de destination avec toutes les règles de subject alt name encodées en ASN.1 sans faire le moindre faux positif ni faux négatif ?

Je serai amusé de voir le code de cette partie de quelques applications reposant sur OpenSSL. On risque de trouver des manières élégantes de faire du MITM avec un simple certificat adapté…

Par pur hasard, une nouvelle version de Twisted (14.0) est sortie ces jours-ci. Les notes de mise à jour indiquent de grandes améliorations autour des communications SSL (enfin dirais-je !).

Je vais donc, curieux, voir comment ils se sont sorti de ce piège. Le code de vérification du hostname est en fait externalisé à un module Python externe : service_identity , module créé en mars 2014 (semble t il par des codeurs de Twisted). Ca c’est du code sûr, vérifié et testé… qui prend quand même environ 430 lignes de Python (avec beaucoup de lignes blanches je vous l’accorde).

Voici d’autres exemples du joli cadeau sue nous lègue OpenSSL :

• Code C++ dans le navigateur Chrome (ligne 509)
• Code C++ dans Boost
• Code Python dans le module Python « ssl » (ligne 202) Ajouté à Python 3.2 et déja modifié en 3.3.3

 

Original post of Tuxicoman.Votez pour ce billet sur Planet Libre.