Par Denis Szalkowski     13 avril 2013  - Catégorie(s): Base de données 

Selon les chiffres fournis par Gartner, Oracle reste le numéro 1 de la base de données en 2012, loin devant IBM avec DB2 et Microsoft avec SQL Server.

Base de données	Part de marché
Oracle Database	44.0%
IBM DB2	20.4%
Microsoft SQL Server	19.0%
Total	28.69 milliards de dollars +7.8% en 1 an

Ces chiffres ne veulent évidemment pas dire grand chose quant à l’utilisation réelle des différents moteurs de base de données en entreprise. Il est très difficile d’intégrer la part de marché des logiciels Open Source, qui, pour la plupart d’entre eux, sont totalement gratuits. Le seul classement que je connaisse quant à l’utilisation des bases de données dans le monde est celui fourni par DBeaver. Il est réalisé à partir d’un sondage ! Sa valeur en est du coup très relative.

En termes d’utilisation, Oracle serait aujourd’hui talonné par MS SQL Server et PostgreSQL. C’est ce que je ressens aujourd’hui dans les entreprises par rapport à la demande de formation sur les moteurs de bases de données. MySQL, du fait des CMS utilisés sur Internet, reste la base la plus utilisée au monde !

Quant au NoSQL, je n’en ai toujours pas vu la moindre application dans les applications « métiers ». Il n’est pas forcément fait pour ça ! Son utilisation semble pour l’heure extrêmement confidentielle.

Base de données	%
MySQL	58%
Oracle	37%
PostgreSQL	32%
MS SQL Server	31%

 Dsfc

Marché et utilisation des bases de données en 2012

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Le « Google Summer Of Code » (GSoC) est un programme de Google permettant de financer la participation d’étudiants à des développements informatiques sur des projets de logiciels libres.

Sugar, la plate-forme pédagogique qui équipe l’ordinateur XO (déployé à plus de 2.5 millions d’exemplaires) a été choisie pour la 5ème fois par Google pour faire partie des bénéficiaires du GSoC.  Concrètement, cela permet à des étudiants de contribuer au développement de certaines parties de Sugar ou d’activités pédagogiques en bénéficiant d’un financement (5000$).  C’est un peu comme un stage de 3 mois même si cela n’en a pas la forme contractuelle.

Le détail du fonctionnement du GSoC se trouve ici.
La liste des sujets potentiels pour Sugar cette année se trouve ici.

OLPC France s’associe cette année au SugarLabs pour co-encadrer un stagiaire sur le sujet « Sugar Framework for writing activity in full HTML5« .  Les nombreux échanges sur ce projet peuvent être trouvés sur la liste sugar-devel.

Si vous êtes étudiant en informatique et que vous êtes intéressés par la participation au GSoC, vous pouvez envoyer votre candidature à contact AT olpc-france.org en décrivant:

• votre motivation,
• votre compréhension du travail à réaliser,
• et vos compétences.

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Présentation

Parfois on tombe sur des outils très simples certes, mais aussi très efficaces ! C'est le cas d'Urban Lightscape ! Issu de mon Shaarli : http://www.slobberbone.net/shaarli/?searchtags=editor

Son travail jouer sur les effets de lumière. Point bar ! Si vous voulez faire d'autres choses, il faut aller voir du coté de pinta, gimp ou encore photofiltre lx.

Je vous propose de l'installer sous Fedora avec intégration dans GNOME !

Prérequis

# yum install wxGTK-devel boost-devel

Téléchargement : 

Se rendre ici : http://www.indii.org/software/urbanlightscape/download ou

$ wget http://www.indii.org/files/urbanlightscape/releases/urbanlightscape-latest.tar.gz

Compilation

Votre logiciel est compilé et placé dans /opt/ un répertoire pour ces logiciels n'ayant pas de rpm pour les installé là où il faut !

Intégration Gnome Shell

Nous allons créer le fichier urbanlightscape.desktop dans /usr/share/appplications/ et y copier ce qui suit.

# vi /usr/share/applications/urbanlightscape.desktop

[Desktop Entry]
Version=1.2.3
Type=Application
Name=Urban Lightscape
GenericName=Image Light Editor
Comment=For photographers who love light
Exec=/opt/urbanlightscape-1.2.3/urbanlightscape
Icon=urbanlightscape
Terminal=false
Categories=Graphics;2DGraphics;RasterGraphics;GTK;
StartupNotify=false
MimeType=image/bmp;image/g3fax;image/gif;image/x-fits;image/x-pcx;image/x-portable-anymap;image/x-portable-bitmap;image/x-portable-graymap;image/x-portable-pixmap;image/tiff;image/jpeg;image/x-psp;image/png;image/x-icon;image/x-xpixmap;image/x-wmf;image/jp2;image/jpeg2000;image/jpx;image/x-xcursor;

Une fois fais, il reste à placer une icône issue du site :

Et voilà, le tour est joué !

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Si votre disque dur externe n'est utilisé qu'à partir d'un système Linux vous avez tout intérêt à le formater en ext4 pour bénéficier du système d'extents limitant le phénomène de fragmentation. Il est également possible d'utiliser reiser4 (en mode extents) ou btrfs mais ces solutions sont encore expérimentales.

On notera toutefois qu'un mot de passe root vous sera demandé au montage, ce qui peut paraître fastidieux dans le cadre d'un usage domestique. Voici trois solutions pour éviter cela.

Montage sans mot de passe pour un utilisateur donné

Éditer ou créer /etc/polkit-1/rules.d/10-mount-system.rules

polkit.addRule (function (a,s) {
if (a.id == 'org.freedesktop.udisks2.filesystem-mount-system' && s.user == 'UserName')
return polkit.Result.YES;
});

Vérification (les modifications dans polkit s'appliquent immédiatement, pas besoin de relancer quoique ce soit) :

pkcheck --action-id org.freedesktop.udisks2.filesystem-mount-system --process $$ && echo Succès

Montage pour tous les utilisateurs du groupe storage

Éditer ou créer /etc/polkit-1/rules.d/10-mount-system.rules

polkit.addRule(function(action, subject) {
if ((action.id == "org.freedesktop.udisks2.filesystem-mount-system" ||
action.id == "org.freedesktop.udisks2.filesystem-mount") &&
subject.isInGroup("storage")) {
return polkit.Result.YES;
}
});
polkit.addRule(function(action, subject) {
if ((action.id == "org.freedesktop.udisks.filesystem-mount-system-internal") &&
subject.isInGroup("storage")) {
return polkit.Result.YES;
}
});

Pour vérifier les groupes auxquels vous appartenez :

groups

Pour ajouter l'utilisateur lapin au groupe storage :

usermod -G storage -a lapin

Ajout dans le /etc/fstab

Il est tout à fait possible de monter automatiquement un disque dur externe dans le fstab à condition d'utiliser l'option nofail pour ne pas subir de blocage au démarrage si le disque est absent. Pour éviter tout soucis de changement de désignation dans /dev il est conseillé de désigner la partition par son UUID

Pour connaitre l'UUID d'une partition :

ls -l /dev/disk/by-uuid/

La ligne dans mon fstab :

UUID=f4cd4d67-b9fc-4f44-a07a-1c0199520c3f  /media/E500  ext4  rw,nosuid,nodev,user,relatime,data=ordered,nofail  0 2

Notez l'option 2 dans la dernière colonne qui permet le contrôle automatique par fsck. Mettez 0 si vous préférez le faire manuellement. Pour modifier la fréquence des contrôles voir tune2fs

Original post of Vincent Gay.Votez pour ce billet sur Planet Libre.

J’utilise au quotidien le client de synchronisation de ownCloud et il y a quelques jours le message d’erreur  “csync ne trouve pas de verrouillage” apparaît dès lors il m’est impossible de réaliser mes synchros.

Cette erreur indique que le client ownCloud n’a pas été arrêté correctement. Le fichier de verrouillage a pour but de ne pas créer plusieurs instances ownCloud sur une même session. C’est un tout petit fichier de rien du tout, mais qui peut s’avérer très bloquant, il s’agit du fichier lock qui se trouve dans notre dossier personnel.

Il peut arriver que le client soit mal arrêté pour diverses raisons et par conséquent le fichier de verrouillage n’a pas été effacé, comme cela doit se produire en temps normal.

Il suffit juste de supprimer ce fichier pour redémarrer le client ownCloud. Ce fichier se trouve dans un dossier caché de notre répertoire personnel.

rm -fr ~/.local/share/data/ownCloud/lock

Une fois le fichier supprimé, mes synchros se sont tout de suite remises en route. Par souci de commodité j’ai créé un petit script qui me permet d’automatiser cette action. Pour le cas où le problème se représenterai.
L’installation est très simple.

wget http://colmaris.olivierdelort.net/athelas-files/install_anti_lock
chmod +x install_anti_lock
./install_anti_lock

Ensuite il suffit de configurer son environnement graphique qui assurera son exécution à chaque ouverture de la session utilisateur.

Pour ceux qui comme moi utilisent openbox,  rajoutez cette ligne dans le fichier autostart.

nano ~/.config/openbox/autostart
# à rajouter à la fin du fichier
#lancement du script anti_lock
 anti_lock &
#attendre 15 seconde avant le lancement de owncloud
(sleep 15 && owncloud) &

Et voilà à chaque démarrage de session le script vérifie si le fichier lock est présent et le supprime le cas échéant avant le démarrage du client ownCloud qui démarrera 15 seconde plus tard.

Original post of Olivier Delort.Votez pour ce billet sur Planet Libre.