D'un point de vue visuel, l'évolution se porte sur les avatars de vos sessions. Pantheon-Greeter supporte maintenant la couche Alpha des fichiers PNG. A vous donc les avatars détourés comme il faut.

Autre signe de cette évolution, le passage en nuance de gris de votre avatar lorsque celui-ci n'est pas actif. Le déplacement visuel des avatars dans la fenêtre de connexion amène aussi son petit vent de fraîcheur, le déplacement ne se fait plus comme sur Luna. C'est maintenant beaucoup plus visuel.

Pour ce dernier point... Je vous laisse réfléchir sur la capture suivante. (la réponse se trouve dans la vidéo, en dessous). En tout cas, ce bug sur LightDM a fait beaucoup parlé de lui à l'origine !

Je vous laisse regarder la petite vidéo ci-dessous, elle reprend les différents points évoqués au dessus sur LightDM plus la réponse à la capture d'écran juste au dessus.

Mon avis personnel : Isis est loin d'avoir montré toutes ses évolutions, LightDM/Pantheon-Greeter ne sont juste qi'une toute petite partie. Ces petits détails graphiques (certains pourront dire cosmétiques) permettent d'apprécier l'évolution de maturité de cette version unstable. D'ici quelques jours, j'espère pouvoir vous donner plus d'infos sur Isis, Luna et tout l’écosphère elementary.

Note : ce billet sera mis à jour dés que possible, je suis toujours à la recherche d'informations complémentaires sur LightDM & Pantheon-Greeter

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Je découvre encore des podcast francophones sur le libre. Le dernier en date s’appelle Source (joli nom) et nous vient de Bruxelles.

L’émission existe depuis décembre 2011 avec une périodicité de deux semaines, ce qui fait une bonne quarantaine d’épisodes. Ils sont d’une durée d’1h30 et sont diffusée sur Radio Campus de l’Université Libre de Bruxelles.

Un site était consacré à l’émission mais il n’est plus mis à jour, l’essentiel étant diffusé sur le site de la radio ainsi que le flux rss permettant d’alimenter votre logiciel de podcasts préféré.

Voilà pour les points pratiques, maintenant, venons-en au contenu :

Le sujet de l’émission est principalement le Libre, que ce soit dans une perspective informatique, sociale ou culturelle.

Et effectivement, plusieurs sujets sont généralement abordés par rapport à l’actualité ou sur des dossiers particuliers mais l’intérêt de ce podcast est qu’il élargit le thème du libre a ses implications politiques et sociales. Stallman y a évidemment une place de choix. L’équipe est assez variée et reçoit parfois des invités plus calés sur le thème à aborder. L’émission est agrémentées de pauses musicales régulières comme il se doit en Creative Commons et aussi engagées que l’émission.
Comme tous les podcasts, une ambiance particulière en fait son identité. Ici, c’est assez calme et détendu, ça discute tranquillement entre potes, certains sont assez calés techniquement, d’autres préfèrent explorer le côté social ou politique, parfois ça part dans des hypothèses bancales mais il n’y a pas de prises de têtes ou de critiques acerbes, ça reste très constructif.

Beaucoup plus sérieux que leurs compatriotes de Parole de Tux, encore plus engagés que leurs homologues de l’Echo des Gnous, ils explorent encore une voie pour le libre ; en quelques sortes un retour aux Sources.

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Votre projet PHP utilise Travis CI pour l’intégration continue. Vous souhaitez générer une documentation PHP via PHPDoc et la fournir à vos utilisateurs. Et si on utilisait les GitHub Pages pour vous héberger ? Dans cet article, je vais vous montrer comment utiliser Travis CI pour générer la documentation avec PHPDoc et la pousser vers les pages GitHub.

Pré-Requis

Tout d’abord, certains pré-requis sont indispensables :

• Avez-vous une branche gh-pages sur votre dépôt Git ?
• Est ce que Travis-CI est activé pour votre projet ?
• Avez-vous créé un token d’accès pour pouvoir publier la documentation ?
• Avez-vous installé la gem Travis sur votre poste ?
  

  gem install travis

Token d’acces et .travis.yml

Après avoir récupéré votre token d’accès, on va le crypter pour que Travis puisse l’utiliser :

[user@computer dirProject]$ travis encrypt GH_TOKEN=
Please add the following to your .travis.yml file:

  secure: ""

Pro Tip: You can add it automatically by running with --add.

Après avoir récupéré ce token crypté, on va l’ajouter au fichier .travis.yml où l’on va mettre juste après la section lié aux versions de PHP :

env:
  global:
  - secure: ""

PHPDoc et .travis.yml

Maintenant que notre token d’accès est crypté, on va installer PHPDoc. Pour cela, on va utiliser la section du composer.json nommé “require-dev” pour l’installer :

"require-dev": {
    "phpdocumentor/phpdocumentor":"2.*"
}

Après avoir avoir géré l’installation de PHPDocumentor, on va modifier le fichier .travis.yml pour gérer la génération :

before_script:
  ## Composer : Mise à jour et Installation des pre-requis
  - composer selfupdate --quiet
  - composer install -n --prefer-source --dev
  ## PHPDocumentor : Dossier de sortie
  - mkdir -p build/docs

script:
  ## PHPDocumentor : Generation de la documentation dans le dossier de sortie
  - vendor/bin/phpdoc.php -d ./src -t ./build/docs

after_script:
 ## PHPDocumentor : Upload vers les GitHub Pages
 - bash .travis_shell_after_success.sh

Pour la partie after_script, on utilise un script maison qui récupère le projet, nettoie et copie la documentation avant de l’envoyer vers GitHub.

#!/bin/bash

#echo "--DEBUG--"
#echo "TRAVIS_REPO_SLUG: $TRAVIS_REPO_SLUG"
#echo "TRAVIS_PHP_VERSION: $TRAVIS_PHP_VERSION"
#echo "TRAVIS_PULL_REQUEST: $TRAVIS_PULL_REQUEST"

if [ "$TRAVIS_REPO_SLUG" == "" ] && [ "$TRAVIS_PULL_REQUEST" == "false" ] && [ "$TRAVIS_PHP_VERSION" == "" ]; then

  echo -e "Publishing PHPDoc...\\n"
  ## Copie de la documentation generee dans le $HOME
  cp -R build/docs $HOME/docs-latest

  cd $HOME
  ## Initialisation et recuperation de la branche gh-pages du depot Git
  git config --global user.email "travis@travis-ci.org"
  git config --global user.name "travis-ci"
  git clone --quiet --branch=gh-pages https://${GH_TOKEN}@github.com/ gh-pages > /dev/null

  cd gh-pages
  
  ## Suppression de l'ancienne version
  git rm -rf ./docs/$TRAVIS_BRANCH

  ## Création des dossiers
  mkdir docs
  cd docs
  mkdir $TRAVIS_BRANCH

  ## Copie de la nouvelle version
  cp -Rf $HOME/docs-latest/* ./$TRAVIS_BRANCH/

  ## On ajoute tout
  git add -f .
  ## On commit
  git commit -m "PHPDocumentor (Travis Build : $TRAVIS_BUILD_NUMBER  - Branch : $TRAVIS_BRANCH)"
  ## On push
  git push -fq origin gh-pages > /dev/null
  ## Et c est en ligne !
  echo -e "Published PHPDoc to gh-pages.\\n"

fi

Conclusion

Et voilà, désormais, on aura un dossier de documentation pour chaque branche du projet. Ainsi la documentation de la branche develop n’écrasera pas la documentation de la branche master à chaque commit, et un développeur saura facilement s’y retrouver. Maintenant que l’on sait pusher des fichiers sur GitHub depuis Travis-CI, cela ouvre de nouvelles possibilités : rapport de couverture de code en HTML, script qui convertit du Markdown en HTML avant de le pousser, etc…

Cet article Publier automatiquement une PHPDoc sur GitHub avec Travis CI est apparu en premier sur RootsLabs.

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On a déjà vu comment ajouter des boutons de type média dans l’éditeur de WordPress, en leur donnant l’utilité voulue, c’est-à-dire afficher la fenêtre de sélection des médias. Ce qu’on n’a pas encore vu, c’est quoi faire derrière. Il faut dire que c’est plutôt le genre de choses que seul vous pouvez décider mais, souvent, on cherche plutôt à insérer du texte dans la zone prévue à cet effet. Enfin les deux zones.

Vous n’êtes en effet pas sans savoir que WordPress intègre deux éditeurs radicalement opposés : l’un vous permet d’éditer directement le code HTML d’un article tandis que l’autre est un éditeur WYSIWYG comme certains ne peuvent pas faire sans.

Insérer du texte dans l’éditeur HTML est assez facile puisqu’il ne s’agit que d’un textarea tout bête et il existe de la documentation en masse pour faire ce genre de choses. Seulement voila, cela ne suffit pas pour insérer du texte dans l’éditeur visuel pour lequel faire ce genre de choses est une toute autre paire de manches.

Comme souvent avec ce qu’on voit ici, la documentation est assez pauvre en la matière et trouver la solution à notre problème peut donc s’avérer assez délicat. Ainsi, tout comme l’ajout de boutons média, j’ai dû une nouvelle fois me plonger dans le code source de WordPress pour trouver ce que je voulais à grands coups de fgrep.

Bien évidemment, pour que j’en parle, c’est bien que j’ai trouvé mon bonheur, et figurez-vous que c’est beaucoup plus simple qu’il n’y paraît puisque tout se joue dans une seule et unique fonction que n’importe qui peut appeler, depuis n’importe quel script.

Cette fonction, c’est wp.media.editor.insert() et elle s’utilise de la façon la plus intuitive qui soit : elle accepte un seul et unique argument qui n’est autre que le texte à ajouter, sous forme de chaîne de caractères. Par exemple, si je veux insérer le texte « Hello World! » dans les éditeurs de contenu, je pourrais ajouter ceci dans mon script JavaScript :

wp.media.editor.insert('Hello World!');

Et c’est tout. Vous pouvez tester par vous-même : le texte s’est bien inséré à la fois dans l’éditeur HTML et dans l’éditeur visuel, à l’emplacement actuel du curseur de l’utilisateur évidemment.

Si on reprend notre bouton média là où on l’avait arrêté, il suffirait ainsi d’ajouter cette fonction juste après la récupération des informations voulues sur le média sélectionné, en formant la chaîne de notre choix. Pour info, c’est exactement ce qui est fait depuis la version 2.2 de WP Photo Sphere.

Rien de plus facile, donc, comme souvent une fois qu’on a trouvé. Une fois qu’on a trouvé, quoi…

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