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Stéphane Laborde : Monnaie Libre n°42 Olivier Delamarche : la dette, les monnaies, les logiciels libres, le mur.

jeudi 14 novembre 2013 à 21:30

Dans cet épisode Monnaie Libre reçoit pour la première fois l’excellent Olivier Delamarche, investisseur et économiste désormais bien connu pour sa critique des systèmes monétaires officiels et particulièrement des assouplissements quantitatifs depuis 2008.

Non seulement on y retrace le fondement de cette critique qui prédit un effondrement inévitable et massif, mais nous attaquons des sujets peu abordés dans les médias où il intervient habituellement, qui sont l’analyse de la légitimité des systèmes monétaires, l’émergence des monnaies alternatives sur le net, l’économie des logiciels libres et des valeurs libres en général, la non-rémunération du travail autonome des citoyens produisant des valeurs libres et des valeurs communes, ainsi que le Revenu de Base qu’Olivier découvre pour la première fois grâce à Monnaie Libre.

Une émission spéciale pour un numéro 42 qui devrait intéresser plus particulièrement les libristes qui se posent des questions sur la nature de l’économie libre, dont une partie est abordée et résolue au sein du paradigme de la Théorie Relative de la Monnaie.

Olivier Delamarche

Olivier Delamarche

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Framablog : Grâce à Wikileaks on a la confirmation que l'accord TPP est pire qu'ACTA

jeudi 14 novembre 2013 à 21:06

Merci à Wikileaks d’avoir révélé hier une version de travail tenue secrète de l’accord Trans-Pacific Strategic Economic Partnership, plus connu sous l’acronyme TPP.

La France ne faisant pas partie des pays directement concernés, on n’en parle pas beaucoup dans nos médias. Mais on sait depuis longtemps que ce sont les USA qui donnent le la dans tout ce qui touche au copyright international.

Plus que donner le la, ils dictent la loi. Et celle qui se prépare ici est tout simplement scélérate…


TPP


La fuite du chapitre sur la propriété intellectuelle du Partenariat Trans-Pacifique confirme que cet accord est pire qu’ACTA

TPP IP Chapter Leaked, Confirming It’s Worse Than ACTA

Glyn Moody - 13 novembre 2013 - TechDirt.com
(Traduction : Barbidule, Penguin, Genma, MFolschette, baba, mlah, aKa, Alexis Ids, Scailyna, @paul_playe, Mooshka, Omegax)

par le service du pas-étonnant-que-le-secret-soit-si-bien-gardé

Cela fait longtemps que nous attendions une fuite majeure du Partenariat Trans-Pacifique (TPP) rédigé en secret ; grâce à Wikileaks, nous en avons enfin une (voir aussi directement le pdf). Le texte est long et lourd à lire, en partie à cause de toutes les parties entre parenthèses sur les points où les négociateurs ne se sont pas encore mis d’accord. Même si le brouillon est assez récent — il est daté du 30 août 2013 — un grand nombre de ces points y restent ouverts. Heureusement, KEI a déjà rassemblé une analyse détaillée mais facilement compréhensible, que je vous encourage vivement à lire en entier. En voici un résumé :

Le document confirme les craintes sur le fait que les différentes parties sont prêtes à étendre les limites du droit de la propriété intellectuelle, et à restreindre les droits et libertés du consommateur.

En comparaison des accords multilatéraux existants, l’accord du TPP sur la propriété intellectuelle propose l’octroi de nouveaux brevets, la création d’une propriété intellectuelle sur les données, l’extension des termes de protection pour les brevets et copyrights, l’accroissement des privilèges des ayants droit, et l’augmentation des peines pour infraction à la propriété intellectuelle. Le texte du TPP réduit le champ des exceptions pour tous les types de propriété intellectuelle. Négocié dans le secret, le texte proposé est néfaste pour l’accès au savoir, néfaste pour l’accès aux soins, et profondément néfaste pour l’innovation.

Bien que de nombreux domaines soient concernés par les propositions de la copie de travail — l’accès aux soins vitaux seraient restreints, tandis que la portée des brevets serait étendue aux méthodes chirurgicales par exemple — les effets sur le copyright sont particulièrement significatifs et troublants :

Collectivement, les dispositions du droit d’auteur (dans le TPP) sont configurées de manière à étendre les termes du droit d’auteur de la convention de Berne au-delà de la vie plus 50 ans, créant de nouveaux droits exclusifs, et fournissant bon nombre de nouvelles directives spécifiques pour gérer le copyright dans l’environnement numérique.

Voici quelques-unes des extensions de durée proposées :

Concernant les durées de copyright, le TPP définit les bases comme suit. Les États-Unis, l’Australie, le Pérou, Singapour et le Chili proposent une durée de 70 ans après la mort de l’auteur pour les personnes physiques. Pour des œuvres appartenant à une entreprise, les États-Unis proposent 95 ans de droits exclusifs, alors que l’Australie, le Pérou, Singapour et le Chili proposent 70 ans. Le Mexique veut une durée de 100 ans après la mort de l’auteur pour les personnes physiques et 75 ans après la mort de l’auteur pour des œuvres appartenant à une entreprise. Pour des travaux non publiés, les États-Unis veulent une durée de 120 ans.

Un problème plus technique concerne l’utilisation du « test en trois étapes » qui agira comme une contrainte supplémentaire sur de possibles exceptions au copyright :

Dans sa forme actuelle, l’espace des exceptions tel que défini par le TPP est moins vaste et plus restrictif que celui du traité 2012 de l’OMPI à Pékin ou celui du traité 2013 de l’OMPI à Marrakech, et bien pire que l’accord ADPIC. Bien que cela implique des problèmes légaux complexes, les ramifications politiques sont simples. Les gouvernements auraient une marge de manœuvre plus restreinte pour évaluer les exceptions dans l’éducation, dans les citations, dans les affaires publiques, dans les actualités et dans les autres exceptions « spéciales » de la Convention de Berne ? Pourquoi un gouvernement voudrait-il abandonner son autorité générale pour réfléchir à l’aménagement de nouvelles exceptions, ou pour contrôler les abus des détenteurs de droits ?

Ceci est un bon exemple de comment le TPP n’essaie pas seulement de changer le copyright en faveur de ceux qui veulent l’étendre au maximum, mais essaie aussi d’instaurer un copyright qui serait facile à renforcer à l’avenir. En voici un autre, dans lequel le TPP veut empêcher le retour à un système de copyright qui nécessite une inscription — ce genre de système ayant été proposé comme un moyen de pallier aux problèmes qui surviennent à cause de la nature automatique de l’attribution du copyright :

Le TPP va au-delà de l’accord ADPIC pour ce qui est de l’interdiction de l’instauration de formalités pour le copyright. Bien que le problème des formalités puisse sembler être un problème facile à résoudre, il y a un bon nombre de flexibilités qui seront éliminées par le TPP. À l’heure actuelle, il est possible d’avoir des exigences de formalités pour des œuvres appartenant à la sphère nationale et d’imposer des formalités à de nombreux types de droits liés, incluant ceux protégés par la Convention de Rome. Ces dernières années, les créateurs et les théoriciens de la politique du copyright ont commencé à remettre en question les bénéfices de l’enregistrement des œuvres et autres formalités, en particulier à la lumière des problèmes liés aux durées de copyright étendues sur de nombreuses oeuvres orphelines.

Comme vous pouvez vous en douter, le TPP demande à ce qu’il y ait des protections solides de type DRM ; mais ici encore, il cherche à rendre les choses pires qu’elles ne le sont déjà :

La section sur le droit d’auteur inclut également un long discours sur les mesures de protection technique, et en particulier, la création d’un motif de poursuites spécifique contre le fait de casser les mesures techniques de protection. Les USA veulent que ce motif de poursuites spécifique s’étende même aux cas où le droit d’auteur n’est pas applicable, comme par exemple les œuvres du domaine public, ou bien les données qui ne sont pas protégées par le droit d’auteur.

Cela rendrait illégal le fait de contourner les DRM, même si ceux-ci sont appliqués à du contenu qui se trouve dans le domaine public — les enfermant alors une fois de plus, de façon efficace et permanente. Enfin, il est intéressant de remarquer que dans la sous-section fixant les dommages et intérêts pour violation de copyright, on peut y lire ce qui suit :

Pour déterminer le montant des dommages et intérêts en vertu du paragraphe 2, les autorités judiciaires seront habilitées à examiner, entre autres, toute mesure légitime de valeur que le détenteur du droit soumet, ce qui peut comprendre les bénéfices perdus, la valeur des biens ou des services concernés, mesurée en se basant sur le prix du marché, ou sur le prix de vente au détail suggéré.

C’est exactement la tournure qui a été utilisée pour ACTA, et qui a été retrouvée dans le récent accord de libre-échange entre l’UE et Singapour. Cela résume assez bien comment le TPP s’appuie directement sur ACTA, tandis que les autres mesures évoquées ci-dessus montrent comment il va bien au-delà et ce à plusieurs égards.

Voilà pour les mauvaises nouvelles. La bonne nouvelle, c’est que nous avons maintenant une version très récente de ce qui pourrait être la partie la plus controversée de l’accord. Dans les semaines à venir, nous sommes susceptibles de voir de nombreuses analyses détaillées exposant au grand jour le caractère ô combien pernicieux cet accord pour le public des pays participant aux négociations.

L’espoir étant qu’une fois qu’il en sera informé, il fera connaître son sentiment à ses représentants politiques comme il l’a fait avec SOPA et ACTA — et avec le même résultat final.

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Influence PC : Hackathon Nao 2013 : retour sur ce weekend à la Cité des sciences !

jeudi 14 novembre 2013 à 15:25

Ce concours de 36h non-stop a été une expérience grisante : j’adore faire autant de rencontres en si peu de temps. Toutefois celui-ci avait quelque chose de… spécial. En fait je crois avoir réalisé mon rêve d’ado : voir un Nao de près. Plein, partout ! Et croyez moi, des robots à 12 000€ on en voit assez rarement en Normandie !

J’ai vu ce petit robot de loin et pour la première fois au musée des arts & métiers, derrière une épaisse vitre. J’ai eu du mal à réaliser qu’Alban, assis sur notre table, allait exécuter chacun de nos ordres durant trois jours.

Qui est Nao ?

Sur le plan matériel, un Nao cache un cœur Intel ATOM 1,6 GHz, 1Go de Ram, 2 caméras 920p, 4 micros, 1 accéléromètre, 2 gyromètres, 8 capteurs de pression, 2 capteurs de contact, 2 sonars, 25 degrés de libertés en moteurs pas à pas, Ethernet, Wifi, 2Go de mémoire Flash et un lecteur SDHC.

Sur le plan logiciel, un fork Open Source basé sur Gentoo (Linux) exécute au choix C++, Python, Java, MATLAB, Urbi, C, .Net et permet d’accéder au robot en SSH. On peut programmer directement dessus ou via un IDE graphique inspiré du Grafcet. Concrètement ce produit est époustouflant.

NAO, nouvelle star high tech française – 13/10/13 à 12h00

Les Nao oranges appartiennent à Aldebaran, les bleus sont vendus aux universités et les gris aux particuliers. Ces derniers sont subventionnés à 75%, soit un prix final de 3 000€. Mais attention, l’achat d’un Dev Prog se fait sur sélection. Il se serait d’ailleurs vendu plus de 2 000 unités selon Wikipedia.

Son élégance et son écosystème pour développeurs donnent probablement à Aldebaran Robotics une avance considérable sur ce marché. J’ai entendu dire qu’il devrait être proposé au grand public à court terme sous la barre des 3 000€. Du jamais vu pour un produit de ce type avec store d’applications.

Et si j’avais un robot dans ma vie ?

Le thème de ce hackathon consistait à imaginer des applications de la vie courante. Les équipes étaient pluridisciplinaires, ouvrant ainsi la voie à d’autres corps de métiers que ceux de l’informatique, et je dois bien avouer que c’est grâce à ça que notre appli a été aussi géniale.

Mais avant de vous en parler, voici l’équipe Sparkle : Sébastien, Charlotte, moi, Charlotte (puis Charlotte, moi, Guillaume, Charlotte). Et Alban.

© R.Sahri EPPDCSI © I.Chabanon-Pouget EPPDCSI

Alban est un jeune robot de 4ème génération. Il est orange vif, réactif et tiens plutôt bien sur ses jambes. Je ne crois pas avoir été brusque avec lui. Il est bien tombé une fois ou deux, peut être quinze je n’ai pas compté. On a toujours respecté son droit syndical – une heure de pause toutes les demi-journées – et il a toujours eu droit de s’asseoir bien au centre de notre table, quand tous les autres Nao siégeaient au sol. Pour nous, Alban était notre égal. Jusqu’au jour où un participant croyant avoir été appelé nous a expliqué qu’il s’appelait aussi Alban : nous avons renommé Alban en nablA.

Nabla a été la peluche de cinq enfants d’école primaire : on lui a fait dire des choses que nous ne pouvions filmer (un classique), on lui a collé des stickers et des post-it, mis une ceinture, une cravate et un képi puis on lui a insufflé une personnalité qui nous a permis de nous projeter dans son jeu.

Nabla dirigeait notre partie. Le concept imaginé est celui d’un PNJ (Personnage Non Joueur, comme dans les RPG). L’histoire mettait en scène un Nao qui avait été saboté. Posté devant la scène du crime, Nabla vous résumait l’enquête avant de vous proposer de partir à la recherche d’un témoin, d’un indice ou d’une arme du crime. Les trois quêtes se jouaient une par une et à plusieurs, dans une sorte de course à « Qui retrouvera le coupable le premier » et débloquaient différentes étapes du scénario à chaque fois qu’une réponse correcte était rapportée. Durant la partie, Nabla était capable de se rappeler la quête en cours de chaque joueur et d’annoncer le résultat si un autre joueur avait rapporté la bonne réponse avant vous.

© G.Mellet © Mac Call EPPDCSI

Le déroulement du hackathon en lui même a été assez palpitant. Nous n’avions pas réfléchi au sujet avant, il a fallu brainstormer. Fort. Pendant que les idées émergeaient, nous avons testé toutes les fonctionnalités de la plateforme et opéré nos choix.

Nous avons affronté de nombreux problèmes, techniques comme scénaristiques. Par exemple Nabla interrogeait des suspects avant de devenir un commissaire qui envoie ses inspecteurs en mission. Si notre programme était capable de reconnaître une infinité de visages, ceux-ci ne pouvaient être associés qu’à un chiffre, utilisé pour identifier les joueurs. Un poil handicapant pour s’exprimer ! Finalement ce contournement ne s’est pas remarqué.

Parlons des autres équipes maintenant. Nous avons échangés avec eux durant tout le weekend, dans une sorte d’effervescence jubilatoire (oui oui !) où chacun découvrait ce qu’il pouvait faire tout en partageant ses astuces. J’ai réalisé un montage vidéo pour l’occasion :

Globalement, les autres groupes ont réalisé de bons projets : une simulation de robot dépressif, un robot humoriste retenant vos blagues, un robot jouant aux cartes (mon projet favoris) et un robot « majordome » qui range votre maison pour vous.

Tous ces projets n’ont pas réellement survécu au hackathon, ce sont les premiers jets de créativité à mi-chemin entre l’idéalisation que nous avons des robots humanoïdes et la réalité. Ils ont en revanche apporté une première expérience qui conduira certainement à des achats. Le design de Nao a séduit systématiquement les gens qui s’en approchaient, je suis ainsi convaincu qu’en étant plus rapide et plus réaliste pendant ses interactions avec l’Homme, ce robot peut parfaitement viser le marché de masse, avec ce même modèle de store que l’on retrouve sur les smartphones aujourd’hui.

© R.Sahri EPPDCSI © R.Sahri EPPDCSI
© R.Sahri EPPDCSI © R.Sahri EPPDCSI

Le code, la documentation et les éléments nécessaires au déroulement d’une partie du Commissaire Nao sont disponibles à cette adresse sous licence Creative Commons By Share Alike. Il y a aussi cette page sur le wiki de la CSI. N’hésitez pas à me contacter pour toute demande de photos :)

Je vous invite aussi à lire « Hackathon autour du robot Nao, 36h pour imaginer et prototyper le futur de la robotique humanoïde ! ».

En ce qui me concerne le projet continue, je suis allé à Nao sur Seine #5 – la réunion mensuelle d’un Nao User Group parisien – débugger et présenter le programme. Je serai à la Cité des sciences ce weekend pour essayer de l’achever et je le présenterai dimanche à 15h30 durant la Ubuntu Party.

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Remi Collet : Fedora 20 (Heisenbug)

jeudi 14 novembre 2013 à 14:51

Je viens de mettre à jour mon portable de Fedora 18 (Spherical Cow) vers Fedora 20 beta (Heisenbug).

Annonce de version : Announcing the release of Fedora 20 Beta.

Téléchargement, voir : http://fedoraproject.org/get-prerelease.

Cette mise à jour a été l'occasion de tester pour la première fois fedup, l'outil de mise à jour de Fedora (pour mon fixe, je fais uniquement des installations, car je conserve les différentes versions en parallèles)

Mise à jour : RAS, enfin si, c'est long, mais bon, >3200 paquets installés, j'aurais du commencer par faire un peu de ménage.

En résumé, sous F18 :

# yum install fedup
# fedup --network 20

Et après la récupération des paquets la mise à niveau se déroule lors du premier redémarrage, et une fois sous F20 :

# yum check all
# yum distribution-synchronization
# package-cleanup --cleandupes
# package-cleanup --problems
# package-cleanup --orphan

Les opérations de contrôle ne m'ont détecté aucun problème.

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SckyzO : Les mockups de la semaine

jeudi 14 novembre 2013 à 14:32

Cela faisait un moment que je n'avais pas présenté quelques mockups. Pour cette semaine, j'en ai deux à vous montrer.

Le premier est signé DanRabbit himself qui revois la mise en page du site officiel du navigateur web Midori, proche du projet ElementaryOS (c'est le navigateur utilisé par défaut).

midori_browser_org_by_danrabbit-d6u6k69

 

Les responsables de Midori devraient s'en inspirer si vous voulez mon avis :)

Le second mockup a été réalisé par kevkevfuuuu et présente ce à quoi pourrait ressembler une application simple et légère à la sauce elementary pour visionner images et photos (histoire de se passer de la visionneuse de Shotwell).

elementary_os___photo_viewer_mockup_by_kevkevfuuuuu-d6ofgbp

 

Et bien sûr, il a même pensé au mode d'édition avec options standards:

elementary_os___photo_viewer_mockup__editing_mode__by_kevkevfuuuuu-d6ogmse

 

Voilà de quoi rêver un peu, à la prochaine !

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