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Philippe Scoffoni : Labels indépendants, Youtube et logiciels libres

vendredi 6 juin 2014 à 08:57

ant-327641_180Google prépare la sortie d’une plateforme de streaming en ligne pour la musique : Music Pass. Une plateforme qui chose étonnante pour Google n’aura pas d’accès “gratuit” en échange de l’écoute de spot de publicité. Attendons la sortie du service pour en être sur. Le marché est déjà occupé par Deezer, Spotifiy et Soundcloud.

Le projet est actuellement dans sa phase de négociations avec les maisons d’édition et ça ne se passe bien avec les labels indépendants. D’après l’Union des Producteurs Phonographiques Indépendants Français (qui cite des informations de labels indés) : “YouTube menacerait de procéder au blocage voire au retrait immédiat de leur catalogue en cas de refus du contrat qui leur est imposé par cet opérateur”.

Je vous laisse lire l’article des Inrocks pour plus de détails. Sur le fond rien de surprenant de la part de Google qui utilise une fois n’est pas coutume sa position dominante pour peser dans les négociations.

Une situation qui montre à quel point nous sommes désormais dépendants des quatre grands du numérique, Google, Apple, Facebook et Amazon  pour toutes nos activités liées au numérique. La promotion de tout projet ne peut éviter leur utilisation ou alors c’est accepter de ne pas exister, de ne pas espérer générer un quelconque revenu et d’être voué à une existence “underground”. Après cela peut-être un choix aussi.

Tout comme Mozilla qui a trop longtemps pactisé avec Google sans chercher à s’en dépatouiller, les labels indépendants sont désormais bien empêtrés.

C’est là où l’union pourrait faire la force. Les labels indépendants représentent à eux tous 30% du catalogue existant de musique. Ont-ils pensé à la mutualisation de leurs moyens pour développer une plate-forme alternative  construite avec des logiciels libres ? Savent-ils seulement que cela est possible ? Ou est-ce là encore une fois trop difficile d’envisager de travailler ensemble ?

Le plus triste c’est de voir en parallèle les difficultés du site Musique Libre (ex-Dogmazic). Là aussi une mutualisation serait imaginable, le savoir-faire de l’équipe de Musique Libre et l’argent des labels indépendants. Je rêve tout haut comme souvent.

D’où l’importance pour les petites structures de s’intéresser aux logiciels libres, d’où l’intérêt de “faire ce qu’il faut” pour les leurs faire connaître. Je vais leur envoyer avec exemplaire de mon prochain bouquin une note sur les plateformes de publication de musique en ligne, cela aidera peut-être…

 


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Article original écrit par Philippe Scoffoni le 06/06/2014. | Lien direct vers cet article

Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons BY à l'exception des images qui l'illustrent (celles-ci demeurent placées sous leur mention légale d'origine).

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Olivier Delort : Création d’un nas maison avec proxmox – Partie 2 Le partage de fichiers

jeudi 5 juin 2014 à 20:38

Voici la deuxième partie sur la création d’un nas à partir d’une machine virtuelle sous proxmox. Dans cette partie nous allons aborder le partage de fichiers. Mes fichiers doivent être accessible depuis n’importe quel ordinateur de mon réseau local et n’importe quel système d’exploitation.

Deux serveurs de partage seront installés, NFS pour le partage en natif Linux et Samba pour les postes sous Windows.

Enfin l’installation d’un serveur ownCloud pour synchroniser mes documents, images, photos, musiques.

Avant de commencer la configuration du serveur de partage, j’ai modifié la méthode de montage des deux disques durs. En effet j’ai préféré faire un montage basé sur l’UUID pour m’y retrouver plus facilement. J’utilise un petit utilitaire compris dans le paquet util-linux afin d’identifier les différents disques durs.

root@elune:~# blkid 
/dev/sdb1: LABEL="serietv" UUID="5b8275e1-85cb-4406-ba7f-8c54d48d7978" TYPE="ext4" 
/dev/sdc1: LABEL="films" UUID="27bd44d9-71aa-4b4a-9ed4-ab79e715d3fd" TYPE="ext4"

Il me reste plus qu’a modifier mon fstab pour que les disques soient montés au démarrage.

UUID=5b8275e1-85cb-4406-ba7f-8c54d48d7978 /media/5b8275e1-85cb-4406-ba7f-8c54d48d7978 ext4 defaults,nofail,acl,user_xattr,noexec,usrjquota=aquota.user,grpjquota=aquota.group,jqfmt=vfsv0 0 2
UUID=27bd44d9-71aa-4b4a-9ed4-ab79e715d3fd /media/27bd44d9-71aa-4b4a-9ed4-ab79e715d3fd ext4 defaults,nofail,acl,user_xattr,noexec,usrjquota=aquota.user,grpjquota=aquota.group,jqfmt=vfsv0 0 2

Samba

Installation de samba sous Debian :

apt-get install samba

Ensuite toute la configuration se fait via le fichier smb.conf situé dans /etc/samba. Le fichier se découpe en deux parties, une pour la configuration générale du serveur, l’autre pour les différents partages.

Voici la configuration que j’utilise :

#======================= Global Settings =======================
[global]
#Spécifie le groupe de travail
workgroup = WORKGROUP
#Description du serveur
server string = %h server
#pas de proxy
dns proxy = no
#Niveau de précision des log plus d'infos ici[->]
log level = 1
#pas de log dévènement
syslog = 0
#ou enregistrer le fichier de logs
log file = /var/log/samba/log.%m
#taille maximale du fichier
max log size = 1000
#mot de passes chiffrés
encrypt passwords = true
smb password file = /etc/smbpasswd
#niveau de sécurité : seul les utilisateurs avec un compte peuvent se connecter
security = user
#Permet de mapper les autorisation Unix vers windows, tous les fichiers créés à partir
#d'un poste windows aura les autorisations linux 777
create mask = 0777
#pareil que create mask mais pour les dossiers
directory mask = 0777
#améliore les transferts de fichiers
use sendfile = yes
aio read size = 16384
aio write size = 16384
#utilisaeurs sans mot de passe interdit
null passwords = no
#seul maître à bords
local master = yes
#pas de serveur de temps ni de support wins
time server = no
wins support = no

Passons maintenant à la configuration des partages :

En exemple la configuration d’un de mes partages.

#======================= Share Definitions =======================
[photos]
path = /media/5b8275e1-85cb-4406-ba7f-8c54d48d7978/photos/
#invités interdit
guest ok = no
#lecture seule non
read only = no
#dossier navigable
browseable = yes
#hérite des différentes acl
inherit acls = yes
inherit permissions = no
ea support = no
store dos attributes = no
printable = no
#lorsqu'un dossier ou un fichiers est crée il hérite des autorisations suivantes
create mask = 0755
force create mode = 0644
directory mask = 0755
force directory mode = 0755
hide dot files = yes

Le partages de fichiers samba est opérationnel. Seul les utilisateurs avec un compte sur le serveur pourrons accéder aux fichiers. Personnellement je n’utilise windows que pour les jeux, mais n’étant pas un extrémiste du libre, je tolère que mon entourage n’utilise pas le même système que moi. C’est alors plus facile pour échanger nos fichiers.

NFS – Network File System

NFS est un système de fichier réseau qui permet le partage entre machines UNIX. C’est le gros morceaux, car tous mes ordinateurs linux doivent pouvoir y accéder en lecture/écriture.

Installation.

apt-get install nfs-kernel-server

Ensuite les partages se configurent dans un seul fichier /etc/exports

/export/videos 192.168.66.0/24(rw,subtree_check,insecure,no_root_squash) 192.168.67.1(rw,subtree_check,insecure,no_root_squash)

Tous les partages sont configurés de la même façon.

Mon pc de salon qui est en Wi-Fi utilise mon nas, pour ne pas ouvrir mon réseau local, sur mon pare-feu j’ai créer un réseau dédié au Wi-Fi en 192.168.67.XX, avec uniquement des accès ciblés vers mon réseau local. C’est pour cela qu’en plus de plage Ip locale j’ai renseigné celle de mon pc de salon.

ownCloud – l’accès depuis internet

J’ai besoin d’avoir accès à certains documents hors de chez moi avec une mise à jour à chaque modifications. C’est là qu’intervient le célèbre ownCloud. Si vous voulez plus d’infos c’est par ici[angl].

De plus il offre la possibilité de synchroniser ses contacts, son calendrier, la musique en streaming, et pleins d’autre petites applications sympatiques.

Pour l’installer, toujours sous Debian, il suffit de suivre le mini-tuto du site officiel. Il permet d’ajouter les dépôts et de procéder à l’installation.

Les données hébergées doivent être sauvegardées, mais pas aussi fréquemment que les VM. J’ai donc ajouté un disque virtuel ou seront stockés mes fichiers owncloud. Ce disque sera sauvegardé une fois par semaine avec un historique dont je n’ai pas encore définit la durée, peut être 15 jours ou un mois en fonction de son évolution.

add-hdd

Il sera monté dans /home/olivier/owncloud et il servira pour le dossier data de owncloud.

config_owncloudVoici une capture d’écran lors de mon installation. Pour la base de données je préfère utiliser mon serveur MariaDB à la place de sqlite. C’est aussi une des raisons qui m’ont poussé à ne pas utiliser le plugin d’openmediavault qui impose l’utilisation de sqlite.

Ajout des droits pour l’utilisateur d’apache afin qu’il puisse utiliser le dossier data.

chown -R www-data:www-data /home/olivier/owncloud

 Il me reste plus qu’a modifier la configuration de reverse proxy pour accéder au ownCloud depuis internet en ssl.

Conclusion

Mon nas est maintenant fonctionnel et prêt à accueillir mes fichiers. Mes fichiers sont disponibles partout où je suis, j’ai de la place pour le stockage multimédia, ils sont accessible via windows et Linux.

Dans la prochaine partie nous verrons comment sauvegarder et restaurer tout ce petit monde.

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Wooster by CheckmyWebsite : Journalisation, logs Nginx avec ELK via Syslog

jeudi 5 juin 2014 à 09:00

Voilà un billet bien opportuniste puisqu’il me permet de saluer la sortie de Nginx 1.7 et de vous présenter une première machine prête à l’emploi pour tester le setup proposé.

Nginx 1.7 permet de journaliser accès et erreurs dans syslog plutôt que dans des fichiers plats et donc d’envoyer ces événements vers une instance Logstash.

Le but est d’obtenir des événements structurés sur lesquels il sera possible de faire des recherches et statistiques.

Démarrage d’un serveur ELK

Pour vous éviter d’avoir à suivre de nombreuses procédures d’installation, vous pouvez utiliser la machine virtuelle que nous mettons à disposition pour ELK.

Vous devez avoir Vagrant et VirtualBox installés sur votre machine. L’installation est sans problème sur Windows, OS X et Linux.

Clonez le dépôt des applications virtuelles Check my Website et déplacez-vous dans le répertoire elk.

Hop, un vagrant up et laissez agir…

Vous pouvez vous connecter sur http://192.168.56.20/kibana/ pour vérifier que tout fonctionne bien.

Kibana prêt à l’emploi et fonctionnel
Kibana prêt à l’emploi et fonctionnel

Allez, un dernier vagrant ssh pour vous connecter à la machine si besoin.

Configuration Nginx

Rien de compliqué puisque la nouvelle version gère ce type de journalisation nativement. Il suffit d’éditer le fichier de configuration pour le site web à journaliser et d’y ajouter ces lignes à l’intérieur du bloc server.

access_log syslog:server=127.0.0.1:5140;
error_log syslog:server=127.0.0.1:5140;

Il faut indiquer l’adresse du serveur Syslog destinataire et le port si différent « comme ici 5140 » du port standard 514.

Configuration Logstash

Ci-dessous un fichier de configuration complet pour Logstash. Si vous utilisez notre machine virtuelle, tout a été fait pour vous.

input {
  tcp {
    port => 5140
    type => nginx
  }
  udp {
    port => 5140
    type => nginx
  }
}

filter {
  if [type] == "nginx" {
    grok {
      match => [ "message", "%{COMBINEDAPACHELOG}" ]
    }
  }
}

output {
  elasticsearch { host => localhost }
  stdout { codec => rubydebug }
}

C’est une configuration minimale pour ce genre de tâches. Logstash se met en écoute sur le port UDP et TCP 5140, histoire de ne pas se mélanger avec le syslog système et de ne pas avoir besoin de privilèges élevés.

Le filtre est un filtre Grok faisant appel au motif COMBINEDAPACHELOG.

La sortie envoie tout à Elasticsearch sur le serveur local.

Le festival peut commencer

Chargez dans votre navigateur la page par défaut de Nginx accessible sur http://192.168.56.20 pour générer des accès.

Dans Kibana, nous obtenons des événements parfaitement structurés.

Détail d’un accès Nginx dans Kibana
Détail d’un accès Nginx dans Kibana

Vous souhaitez voir la répartition des pages par type de requêtes, codes retour… Tout est désormais possible !

Exemple de tableau de bord Nginx dans Kibana
Exemple de tableau de bord Nginx dans Kibana

Vous trouverez dans les sources du dossier elk un dossier dashboards dans lequel se trouve le fichier nginx.json à importer pour reproduire le tableau de bord ci-dessus.

C’est un tableau de bord simple qui présente la répartition des accès par type de réponse serveur, type de requêtes ainsi que les 4 requêtes les plus demandés.

Pour compléter ce tableau de bord, vous pouvez décider de faire suivre des événements vers Nagios avec le plugin Logstash nagios_nsca ou envoyer des métriques à Statsd et/ou Graphite avec le plugin graphite.

Vous pourriez par exemple envoyer à Nagios les URLs en 404 pour information et envoyer le compte de ces mêmes 404 vers Statsd/Graphite. À vous de jouer !

Conclusion

Voilà une première jolie illustration concrète de la puissance de ELK. Le problème n’est plus de collecter des données de supervision mais de savoir quoi en faire et comment les représenter pour les « faire parler ». Autrement dit, une fois réglé le formatage des données à remonter, c’est dans Kibana que ça se passe ! Qui fera le meilleur tableau de bord Kibana pour Nginx ?

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alterlibriste : Qu'est-ce qu'être libriste ?

mercredi 4 juin 2014 à 22:09

On lit de-ci de-là qu’il faudrait être libriste mais pas extrémiste, éviter les -istes pour être un barbu enthousiaste. Certains commencent à avoir honte alors que d’autres sont fiers et veulent le clamer haut et fort. Certains considèrent qu’ils faut être un peu maso et d’autres ne veulent pas.

Finalement, on se cherche un peu dans tout ça.

Depuis le début de ce blog, je n’arrête pas de déclarer que c’est ça l’avantage du libre, pouvoir faire ce qu’on veut : du simple utilisateur pas très convaincu, au contributeur dévoué en passant par le blogueur acerbe, chacun a sa place.
Le monde du libre n’est et ne sera jamais définissable en une phrase simple et applicable à tous.
Certains voudraient que tout le monde se mettent à utiliser des logiciels libres tandis que d’autres préfèrent rester entre technophiles convaincus... beaucoup visent un juste milieu.

Pour ma part, j’ai pris conscience que je dois beaucoup à ceux qui ont permis que j’utilise un système que je peux modeler selon mes souhaits (idéologiques, technologiques, ergonomiques, ...) et cela me plaît de pouvoir échanger avec d’autres pour réfléchir aux façons de faire évoluer cet écosystème.
Mais mon souhait le plus profond est de faciliter l’accès à ce monde à ceux qui le souhaitent. Ne pas tout faire à leur place, ni vouloir convaincre à tout prix tous les utilisateurs de ce qu’ils devraient faire ; par contre, guider ceux qui sont prêts à faire le pas ou les aider pour éviter qu’ils ne trébuchent sur les premiers obstacles et qu’ils ne fassent machine arrière pour un problème matériel ou un environnement de travail qui ne leur convient pas vraiment.

Pour moi, c’est cela être libriste : faire ce que l’on souhaite de son matériel informatique tout en laissant les autres faire de même... et si on a l’occasion de donner quelques pistes à ceux qui tentent d’améliorer leur système, c’est encore mieux.

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La vache libre : PhotoCollage – Une application sympa pour créer des posters à partir d’une collection d’images sous GNU/Linux

mercredi 4 juin 2014 à 18:54

Capture du 2014-06-04 17:47:15

Le monde GNU/Linux ne cessera jamais de m’émerveiller, tant la profusion d’applications que nous pouvons y trouver est importante. Je ne crois pas qu’il se soit écoulé une semaine depuis que je tiens ce blog, sans que je tombe sur un nouveau projet à vous présenter. PhotoCollage est un projet de plus entrant dans ce cas de figure, qui a été conçu dans le but de vous permettre de créer des posters en haute résolution à partir d’une collection d’images. Les options disponibles sont pour le moment assez basiques et le logiciel encore en cours de développement, mais ça tourne bien en plus d’être vraiment très facile à utiliser.

Pour en profiter il va bien entendu falloir commencer par installer le programme et surtout les dépendances qui vont bien.

Si vous tournez sous Ubuntu, Debian et consorts, entrez ceci dans votre terminal :

sudo apt-get install python-pil python3-gi git

Pour Fedora entrez ceci :

sudo yum install python3-pillow python3-gobject

Et enfin si vous tournez sous Archlinux ou Manjaro, entrez ceci :

sudo pacman -S python-pillow python-gobject

Une fois que c’est fait il suffit de télécharger l’application et de décompresser l’archive dans le répertoire de votre choix.

Pour lancer le programme allez dans le répertoire à l’aide de votre terminal et entrez la commande suivante :

./photocollage

NB : Si ça ne fonctionne pas pensez à effectuer un « chmod +x ».

Vous devriez alors voir apparaître une fenêtre (pas très accueillante) à partir de laquelle vous allez pouvoir importer votre collection d’images.

Capture du 2014-06-04 18:33:02

Cliquez sur « Choisir les images d’entrée » et sélectionnez les images de votre choix. Comme vous pouvez le voir plus haut (sur l’image d’illustration du billet), la partie gauche représentera la grille de collage et la partie droite va vous servir à afficher l’aperçu du résultat.

Vous pourrez à tous moment générer une nouvelle grille (aléatoire) à l’aide du bouton dédié et choisir la couleur des bordures, le nombre de colonnes, leur largeur et la résolution de sortie, via le menu des options.

Capture du 2014-06-04 17:47:31

Pour le reste nous pourrons signaler que PhotoCollage est capable de travailler avec plus de 100 images et que son interface s’intègre à merveille dans un environnement GTK, ce qui en bon fanboy de GNOME ne me laisse pas insensible.

Si vous voulez en savoir un peu plus et suivre ce nouveau soft très sympa, vous pouvez vous brancher sur la page Github du projet.

Amusez-vous bien.

via

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