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wilfried caruel : Présentation de Polly, le client Twitter opensource

mardi 13 septembre 2016 à 20:26

Présentation Polly

Je vais débuter une suite d’articles de client Twitter opensource disponible sur le web.
Aujourd’hui je vais vous présenter « Polly » un client Twitter opensource.
« Polly » est un client GTK+
Même s’il est associé à« Ubuntu » la plupart du temps, il est bien évidement possible de l’utiliser sous d’autre « GNU/Linux » .

le logiciel est disponible sous la licence « GPLv3 ».

L’oiseau vert a besoin d’une dizaine de dépendances et il est écrit en « python« .

 

fonctionnalités

Ce client permet (à la manière de « Tweetdeck » d’avoir des colonnes et non des onglets, en outre il y a aussi :

la possibilité d’ajouter des colonnes et autres.

Le client « Polly » a été développé par « Marcelo Hashimoto ».

La vidéo

Mon avis :

au début je pensais que j’aimais bien ce logiciel (qui fonctionne comme « Tweetdeck » ; avec des colonnes mais peu à peu des manques se sont fait sentir.

le fait de ne pas voir le profils (localisation, site internet, détails etc) juste l’avatar (juste possible de regarder c’est autre tweet).

J’ai eu des ralentissements qui ont fait buguer mon ordinateur, au lancement de la timeline j’ai désactivé les notifications qui m’intéressent pas)

à part ça je ne  lui trouve rien d’autre.

Je ne suis plus un addict autant qu’avant, que ce soit Twitter même diaspora j’ai laissé un peu tomber (ce n’est pas le propos du blog).

Sinon graphisme je le trouve pas laid mais pas trop beau non plus.
Et vous, quel est le client que vous utilisez ?

Installations :

Archlinux

yaourt -S polly

Ubuntu

sudo add-apt-repository -y ppa:conscioususer/polly-daily
sudo apt-get update; sudo apt-get install -y polly
Liens :

Site officiel

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elementary OS : À la découverte de Loki (partie 1)

mardi 13 septembre 2016 à 14:11

J’ai installé elementary OS 0.4 Loki sur deux ordinateurs et j’aimerai en profiter pour vous partager mon avis et mes découvertes. L’installation en elle-même s’est bien déroulée. Au passage, je précise que je n’utilise pas l’UEFI donc je peux pas vous dire si cette version le gère bien ou pas. J’ai juste un soucis au démarrage de la session mais j’en suis le responsable, j’ai réutilisé un /home non formaté et j’ai dû rusé pour retrouver une session qui fonctionne. Le seul gros inconvénient que j’ai pu voir est la francisation qui n’est pas complète même si on met « Français » dans les paramètres. Par exemple, l’indicator de la date m’affiche Mon 12 Sep, bon ce n’est pas gravissime, c’est juste embêtant d’un point de vue esthétique.

Pensez à mettre à jour votre système, plusieurs petits bugs repérés sont en cours de résolution, actuellement j’ai pu remarque ceux-là:

Fix Steam install and use search_names_async
[file-roller-xenial] r4 updated to version 3.16.5-0ubuntu1.2
[fix-fail-to-stop-process-on-close] r2311 Quit application when first window deleted
[fix-1622053-restore-from-trash-crash] r2311 Rewrite restore to trash functions in Vala
[fix-1184606-multiple-protocol-servers] r2311 Show protocol after servers in network:// view
[trunk] r229 * Fix client desktop entries…
[fix-home-config] r229 Fix home config being not created because the user was never…

…la preuve que l’équipe ne se repose pas sur ses lauriers.

Partons à la découverte de Loki, à première vue, le bureau pantheon n’a pas trop changé depuis Freya, les modifications sont en réalité assez subtiles. Comme pour mon test de la beta 1, on retrouve un tout nouvel ensemble d’indicators, ils sont fait maison et ne nécessitent plus de dépendances à Ayatana (unity). De plus, un indicator est installé par défaut pour faire afficher les applications non encore compatibles avec ce nouveau système. Par exemple, je retrouve mon icone d’ampoule pour redshift-gtk ouf !

tumblr_inline_od8zxucwga1qaqqso_540

Il y a un Indicator power pour les portables qui affiche le niveau de la batterie mais aussi les programmes qui consomment de l’énergie.

Visuellement, ces indicators sont plutôt pas mal non ? Certains ont même un menu de paramétrages qui donne en fait accès au plug switchboard correspondant. L’interaction indicator / switchboard dans l’écosystème pantheon fonctionne de manière simple et logique.

Le menu paramètres de l’indicator de son affiche le plug des paramètres de son, le menu paramètres de l’indicator de réseaux affiche le plug de configuration réseaux…ainsi de suite. Même l’indicator des notifications a son plug de paramètres:

plus-notifications

Il est très complet, vous pouvez régler les notifications visuelles et sonores de n’importe quelle application supportée ou encore tout simplement activer « Ne pas déranger » si besoin est.

Le lanceur Slingshot a sa petite nouveauté, il peur prendre en compte certains actions d’applications directement dans sa zone de recherche. Par exemple, tapez le mot capture:

exemple-slingshot

Voilà il affiche déjà les actions possible avec l’application de capture d’écran (et même celle de Steam au passage). Plutôt pratique pour gagner du temps même si très peu d’applications affichent pour l’instant ce genre d’action dans Slingshot.

Bonus, il est possible de taper une URL dans la zone de recherche:

exemple-slingshot2

Le navigateur internet utilisé sera celui indiqué par défaut dans le plus des applications par défauts, dans cet exemple, Google Chrome.

Pour finir cette première partie, je vais vous parler du dock, Plank ou pantheon-dock. Toujours aussi stable, certains diront qu’il n’a pas moyen de le paramétrer, je vais vous donner quelques astuces 🙂

A bientôt pour la seconde partie 😉

Le billet À la découverte de Loki (partie 1) a été publié sur le site de la elementary OS -

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Thuban : Artwork :: OBSD Rejoin the Force Libre

mardi 13 septembre 2016 à 13:10

Voici trois nouveaux fonds d'écran, au format 1920x1080, en 300ppp, que je vous présente ...

Le thème est "OBSD - Rejoin the Force Libre" !

Licenciés directement dans le domaine public ... L'auteur est mon alter-ego EsteBaN Hache.


: format jpg, png ...

: format jpg, png ...

: format jpg, png ...


Le logo d'OpenBSD est la propriété intellectuelle de son auteur.

Les polices utilisées sont celles de FreeBSD, la Montserra Bold, et la Roboto.

Le logo est celui d'EBNH ; c'est une oeuvre "Copyleft", sous Licence LAL. C'est l'imbrication d'un phoenix et du symbole "Copyleft" imbriqué l'un dans l'autre ...


 

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Okki : GUADEC 2016

mardi 13 septembre 2016 à 12:33
Photo de groupe lors du GUADEC 2016
Crédit : Bin Li (CC BY-NC-SA 2.0)

Après la ville suédoise de Göteborg l’an passé, l’édition 2016 de la conférence européenne annuelle des utilisateurs et développeurs GNOME (GUADEC 2016), s’est tenue cette année du 12 au 17 août dans la ville allemande de Karlsruhe.

L’occasion pour les différents développeurs, traducteurs, designers… présents aux quatre coins du monde, de se rencontrer, d’assister à des conférences et des hackathons, ou plus simplement de discuter de l’avenir du projet.

Niveau conférences, on peut citer celles concernant la technologie Flatpak et ce que nous réserve son futur; le fonctionnement interne de Logiciels et les nouveautés à venir; les questions de sécurité et de vie privée; les mises à jour de sécurité de WebKit (Web, le navigateur du projet GNOME, utilisant WebKitGTK+); les graphes de flot de contrôle dans GNOME et GTK+; l’obtention d’une meilleure intégration des applications Qt; l’actuelle dépendance à des services tiers et le souhait d’une meilleure décentralisation; la présentation du film d’animation ZeMarmot entièrement réalisé avec des logiciels libres; la compilation d’applications GTK+ pour Microsoft Windows à l’aide de MinGW; les modification à apporter au projet GNOME pour qu’il puisse mieux fonctionner dans les pays ne bénéficiant pas de connexions Internet fiables; les ordinateurs portables et les tablettes commercialisés avec GNOME; la personnalisation de l’environnement pour les administrations… et bien plus encore.

Les différentes conférences ayant été filmées, vous pouvez retrouver les vidéos, en anglais et sans sous-titres, sur la chaîne YouTube officielle. Une page du wiki référence également quelques albums photos.

Jehan, qui était présent sur place avec Aryeom, a également publié un compte rendu en français.

De nombreux participants ont également blogué sur le sujet :

Rendez-vous l’an prochain à Manchester ;-)

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alterlibriste : Mettre à jour sans s'en occuper

lundi 12 septembre 2016 à 16:31

Aujourd’hui, un petit billet technique parce qu’il fait beau et que ce serait dommage de rester devant l’ordi trop longtemps. Le sujet : les mises à jour de sécurité automatiques sous les dérivés de Debian.

Si les aficionados des rolling-release et autres distributions mises à jour très régulièrement ne commencent jamais une journée derrière leur PC sans avoir machinalement fait un update et un upgrade, pour ceux qui aiment les distributions stables, la mise à jour des paquets peut être plus aléatoire et s’espacer de plusieurs semaines, voire de mois, et je ne parle même pas du PC que vous avez installé chez un membre de votre famille.

Certaines distributions ou gestionnaires de bureau intègrent d’office un système de mise à jour qui nous rappelle les jours heureux passés sous Windows, mais ce n’est pas le cas pour tous les environnements et cela s’applique aussi au serveur sur lequel on auto-héberge des services mais qu’on aime oublier quand tout tourne comme il faut.

Pourtant, comme on le sait tous, la clé d’un système sécurisé passe en premier lieu par un système à jour sur lequel les dernières failles découvertes auront été patchées. D’où les mises à jour de sécurité. Mais rien de folichon pour l’utilisateur, cela n’apportera aucune nouveauté, ne corrigera aucun bug et n’apportera pas la dernière killer-feature. Ça ne fera que colmater d’éventuelles brèches et ça doit être fait au plus tôt.

Alors, comme je trouve cela moyennement passionnant, que ces mises à jour sur versions stables sont testées et quasi sans risque pour la stabilité du système et que j’ai plusieurs systèmes à maintenir à jour, je laisse l’ordi faire ça tout seul grâce à unattented-upgrades.

Pour ceux qui veulent mettre ça en place sans se casser la tête, voici les deux commandes à lancer :
sudo apt install unattended-upgrades apt-listchanges
sudo dpkg-reconfigure -plow unattended-upgrades
Et voilà, par défaut, les mises à jour de sécurité seront faites automatiquement chaque jour s’il y en a.

Pour aller voir si des mises à jour ont été faites et sur quels paquets, tout est tracé dans /var/log/apt/history.log mais il y a aussi moyen d’envoyer un mail à root (ou un autre user) en allant modifier les fichiers de conf. Il est aussi possible de faire d’autres mises à jour que celles de sécurité ou blacklister des paquets à ne pas mettre à jour. Pour les détails techniques, tout est dans la doc de Debian ainsi que dans ce billet didactique.

Je retourne profiter du temps estival.

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