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Ploum : Le Web n’est pas très important mais il est essentiel !

lundi 23 septembre 2013 à 18:22
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Sur le web, il est facile d’interagir avec des milliers de personnes, de refaire le monde, de se sentir important. Parfois, lorsqu’on m’affuble du titre, hautement convoité, de « blogueur influent », je rappelle que mes articles sont lus, quand ils ont du succès, par quelques milliers de personnes. Très rarement par quelques dizaines de milliers de personnes. Voire, pour mes plus grand succès, par quelques centaines de milliers de personnes.

Si, en termes web, ces chiffres sont appréciables, force est de constater que la moindre émission de télé achat du jeudi après-midi a une audience au moins comparable. Le nombre de fois où j’ai été reconnu, dans un contexte autre que le web, par un lecteur, se compte sur les doigts d’une main. Par contre, les rares fois où je suis passé à la télévision locale, même quelques secondes, toute ma rue et mon quartier ne tarissaient pas d’éloges sur ma prestation.

Le web, une importance toute relative

Lorsque que, comme moi, on se plaît à prévoir le futur et à le construire, il est facile de s’imaginer déjà vivre dans ce futur. Un monde où le web aurait remplacé la télévision et les médias traditionnels.

Mais la dérouillée subie par le Parti Pirate en Allemagne et par le Wikileaks Party en Australie viennent nous rappeler que le web reste, encore et toujours, l’affaire d’une poignée d’initiés, généralement instruits et intellectuels. Si les smartphones se démocratisent, les utilisateurs n’en tirent que très peu profit. La plupart n’ont même pas un abonnement adapté, étant limité à 100 Mo par mois et, ne comprenant pas ce qu’est 1 Mo, n’utilisant internet qu’en Wifi à la maison. Quand ce n’est pas un abonnement « Facebook only ».

De plus, le web reste un média de l’écrit. Même pour regarder des vidéos, il est nécessaire de lire les titres, de savoir où cliquer. Or, 10% de la population francophone en Belgique est tout simplement analphabète. Et près d’un enfant de 15 ans sur trois sait lire mais ne comprend pas ce qu’il a lu. Cette réalité, je l’ai vécue de plein fouet lorsque, témoin de bureau aux dernières élections, j’ai vu des électeurs, désemparés, demandant qu’on leur explique ce qu’il fallait faire avec le bulletin. Un jeune homme d’une vingtaine d’années demanda qu’on lui pointe la case à cocher pour voter Front National, à quoi il lui sera répondu que le Front National ne se présentait pas dans la région.

Comme le souligne Alain Gerlache, on ne voit poindre aucun parti politique d’importance issu de la mouvance web et, même après des révélations comme celles de Snowden, les problématiques liées au web sont loin de s’imposer comme des enjeux politiques prépondérants. D’ailleurs, si les politiciens aiment se mettre sur les réseaux sociaux, aucun écart de voix significatif n’a encore été souligné comme étant lié à une présence active sur le web.

Le web n’est donc pas si important. Et pourtant, il est essentiel, primordial !

Le web sera important

Beaucoup voient dans le récent échec allemand la fin du Parti Pirate, la preuve que « le web n’est pas politiquement important ». Mais si cette observation est factuelle aujourd’hui, à l’heure où j’écris ces lignes, le monde change, évolue. Qu’en est-il de demain ?

La génération active a été élevé par la télévision. Moi-même, je suis issu de la génération « Club Dorothée » et je n’ai découvert le web qu’avec mon entrée dans la vie adulte, à peu près en même temps que mon premier téléphone portable.

Mais tous ces smartphones, toutes ces tablettes sont un accès au web. Il suffit d’un clic sur Facebook pour se retrouver confronté à des nouvelles idées. Les adolescents d’aujourd’hui sont la toute première génération à passer plus de temps sur le web que devant la télévision. Une génération qui a toujours connu le web, le chat, la video conférence. Une génération qui ne se souvient pas qu’on puisse exister sans Facebook. Et qui se réapproprie la communication écrite, au grand dam des puristes de la langue.

Si nous constatons que le web devient chaque jour plus important dans notre entourage technophile, un changement radical de société ne s’accomplit pas du jour au lendemain. Être trop en avance sur son temps n’est pas un avantage en politique.

Le web doit devenir important

Si je pense que ce changement est inévitable sur le moyen terme, je reste également convaincu qu’il est souhaitable et qu’il doit être encouragé par tous les moyens possibles.

Il n’est pas rare d’entendre des réflexions fatalistes comme quoi les jeunes ne comprennent pas réellement Internet, qu’ils ne savent pas réellement l’utiliser autrement que pour aller sur Facebook, que le niveau d’orthographe est en baisse.

Mais je vois les choses différemment : beaucoup plus de jeunes ont accès à internet et donc à la culture écrite. Ils découvrent, certes maladroitement. Ils façonnent leurs outils et développent une culture qui leur est propre. Les « memes » et autre « rage comics » sont, au delà de l’aspect humoristique, des moyens d’expression et d’échange. À travers eux, les adolescents relativisent les coutumes et les traditions locales, ils découvrent leurs points communs et leurs différences. Ils se font des amis tout autour du globe. Bref, ils s’éduquent, ils s’émancipent. Ils se forgent une citoyenneté mondiale, une conscience politique différente de tous les clivages gauche-droite que nous tentons de leur inculquer. Ils découvrent le goût de la lecture à travers les blagues Facebook plutôt qu’avec Zola.

Et si ils ne sont pas des informaticiens chevronnés, je rappelle que je conduis une voiture depuis quinze ans et ne sait toujours pas faire la différence entre une bielle et un joint de cardan.

Le web ne peut être contrôlé

À cause de son pouvoir de disruption, le web fait peur, très peur. Il serait tellement plus confortable de le cantonner dans un rôle accessoire de support commercial. Une sorte de gigantesque panneau publicitaire où les participants partagent volontairement des pubs mais où tout autre type de partage serait banni. On invoquera, au choix, la propriété intellectuelle, un contenu contraire aux bonnes mœurs ou une opinion « incitant à la haine ».

Ce bridage du web, cette censure généralisée peut réussir. Le récent scandale de la NSA prouve que le web est déjà beaucoup plus contrôlé que ce que nous imaginions. C’est pour cette raison que sont nés, entre autres, le Parti Pirate ou Wikileaks. Et s’ils viennent à disparaître, d’autres prendront la relève. Du moins je l’espère de tout cœur.

Car dans un an, cinq ans ou vingt, les enfants du web seront au pouvoir. Ils auront été éduqués par le web, formatés par le web. Et ils devront décider que faire de nous, pauvres vieillards cacochymes, devenus d’inutiles fardeaux dans une société contrôlée à l’excès et endettée jusqu’au cou.

À ce moment là, peut-être que nous nous mordrons ce qui nous reste de doigts d’avoir laissé le partage et l’entraide devenir des crimes. Nous regretterons l’époque où nous avons eu le choix et nous avons préféré voter pour de traditionnels politiciens affairistes, par simple peur du changement, convaincus que le web n’était pas si important…

 

Photo par Kvitlauk

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Noireaude : Flightgear 2.12 disponible – Un grand nombre d’améliorations graphiques au programme

lundi 23 septembre 2013 à 16:30
Crédits image

La dernière version stable de FlightGear a pointé le bout de son nez après un cycle de développement plus long que prévu et si j’en crois le billet worldofgnome.org, ce n’est pas un mal car cet opus a l’air d’être assez bestial. Beaucoup de changements concernent les graphismes et les animations, qui bénéficient par exemple d’une meilleure diffusion des lumières, de textures au sol possédant un meilleur rendu et de l’amélioration des conditions de faible visibilité et du mouvement des arbres, qui sont devenus plus réalistes en cas de vent. Ceux-ci perdent également leurs feuilles dans les endroits neigeux améliorant ainsi visuellement les sensations hivernales.

clouds-fg3-25Crédits image

L’environnement a lui aussi été enrichi de divers ajouts comme des icebergs apparaissant désormais en mer arctique, des nouveaux bâtiments, textures et objets pour l’Indonésie, le Royaume-Uni, Madagascar et le moteur Rembrant a permis de bénéficier de cinématiques très complexes au niveau des avions.

On notera également l’amélioration des ravitaillements en vol, l’amélioration des infobulles, l’amélioration de certains avions comme le Tupolev Tu-154B et diverses améliorations rendant plus facile l’utilisation du simulateur, ainsi que l’ajout d’un co-pilote virtuel qui peut désormais effectuer une check-list.

Les changements évoqués ont l’air vraiment très sympathiques et je n’ai qu’un seul regret, celui de ne pas avoir de machine assez costaud pour pouvoir l’essayer. En effet et je pense que vous l’aviez deviné, toutes ces belles choses ont un prix et il vous faudra quand même une config de base (et surtout une bonne carte graphique) capable de tenir tout ça. On n’a rien sans rien !

Si vous voulez en savoir plus vous pouvez consulter l’annonce de sortie en vous rendant sur la page officielle du projet et vous procurer la bête pour la plus part des distributions GNU/Linux, BSD, Windows et Mac OS X, depuis la page de téléchargement.

Amusez-vous bien et bon vol.

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Noireaude : Effectuer facilement un screenshot de la page d’un site web avec Shutter

lundi 23 septembre 2013 à 13:30

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S’il y’a un logiciel que j’aime particulièrement sous GNU/Linux c’est Shutter, qui est un petit utilitaire servant à effectuer des screenshots de vos écrans et (ou) de vos fenêtres. Il propose l’enregistrement des fichiers dans un grand nombre de formats différents et il dispose en prime de diverses options d’édition vous permettant entre autres de découper des zones, d’ajouter des flèches à vos images, d’encadrer des zones afin de les rendre plus visibles ou à l’inverses, d’en flouter certaines parties afin de cacher des infos sensibles. Ce que je ne savais pas (je sais, je débarque), c’est que shutter permet également d’effectuer un screenshot complet de la page d’un site web et de tout ce qu’elle contient. J’avoue que j’utilise Shutter au quotidien depuis bientôt deux ans et que j’avais déjà vu l’icône permettant de le faire, sans vraiment avoir eu l’idée de voir à quoi elle servait. Ballot.

Alors pour se faire rien de compliqué. Il suffit de lancer Shutter, de cliquer sur l’icône en forme de globe;

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et d’entrer ensuite l’URL du site ou de la page que vous voulez capturer. C’est tout!

Cette petite vidéo vous montre ce que ça donne :

Alors bon ça ne vaut certainement pas la découverte du feu hein, mais je me suis dit que si je ne le savais pas peut-être que certains d’entre vous l’ignoraient aussi et que ça pouvait toujours servir. Ou pas…

Quoi qu’il en soit amusez-vous bien et bonne capture.

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Monitoring-FR : Nagios Core : Sortie de la version 4.0

lundi 23 septembre 2013 à 11:54

Le 20 septembre 2013 devient une date historique dans l’histoire de Nagios Core. C’est en effet plus de 5 anns après la version 3 (sortie le 13 mars 2008) que sort cette nouvelle version, qui au moins sur le papier (car je n’ai pas eu le temps de la tester), mérite vraiment une nouvelle version majeure.

Un bilan de la situation avant Nagios Core 4

Avant de rentrer dans les détails de ce qui est nouveau, je tiens à rappeler que cette nouvelle version 4 de Nagios Core est la première dont le développement a été porté par la communauté, notamment Andreas Ericsson chez OP5. Le travail a porté essentiellement sur les performances du Core.

Nagios Core 4 performance

Il faut dire que Nagios Core 3 se retrouvait désormais largement à la traîne par rapport à ses « descendants » comme Shinken (le premier à avoir jeter le pavé dans la mare des performances de Nagios 3), Centreon Core ou même un setup basé sur Mod Gearman + Icinga. Avec l’arrivé prochaine de Icinga 2, il y avait le feu dans la maison Nagios et de plus en plus d’architectes de solutions libres de supervision se tournaient vers une des alternatives possibles dès qu’il s’agissait de construire quelque chose de « scalable ». Ceci appartient désormais du passé et d’après ce graphe fourni par l’équipe de développement de Nagios Core 4, celui-ci repasse théoriquement en tête sur le niveau des performances.

Les nouveautés de Nagios Core 4 dans le détail

Mais en dehors de l’aspect performance, c’st bien une nouvelle version majeure avec son lot de nouveautés qui vient de sortir. Voyons ça dans le détail.

Amélioration des performances

Les améliorations de performance portent sur les principaux sujets suivants :

Core workers

Les core workers sont des processus dont le seul travail est d’exécuter des contrôles. On pense bien sûr au « poller » dans Shinken ou aux workers de Gearman. Ils communiquent avec le Core Nagios directement en mémoire, éliminant au passage les problèmes d’I/O rencontrés sur les grosses installations.

Vérification de la configuration

Chaque objet de configuration est désormais vérifié une seule fois.

Queue d’événements

L’insertion des événements est désormais beaucoup plus rapide et consomme bien moins de CPU.

Résolution des macros

Les macros sont triées au démarrage de façon à pouvoir utiliser une recherche binaire lors des recherches de macros. Les macros les plus utilisées comme $USERx$, $ARGx$ et $HOSTADDRESS$ sont traitées à part pour être disponible le plus tôt possible.

Définitions des objets de configuration

Des changements notables sont intervenus au niveau objets de configuration.

Comportement des objets de configuration

Configuration

Pas mal de changements également à noter concernant le fichier principal de configuration de Nagios Core.

Macros

Le gestionnaire de requête (Query handler)

Le gestionnaire de requêtes est un mécanisme de communication d’usage général qui permet aux applications tierces de communiquer avec Nagios d’une manière bien définie. A ce jour, toutes les communications avec le gestionnaire de requêtes s’effectue à travers un socket de domaine Unix dont l’emplacement est défini par la variable de configuration query_socket.

Il y a 5 gestionnaires de requêtes fournis.

Vous trouverez plus d’informations sur l’interface du gestionnaire de requête, y compris une introduction à la création d’un gestionnaire de requêtes personnalisée, dans la documentation.

Core workers

Auparavant, tous les contrôles d’hôtes et services étaient effectuées par le core Nagios. Cela engendrait donc un fork (voir deux) du core pour chaque contrôle. De plus, des fichiers disque étaient utilisés pour le mécanisme de communication inter-processus (IPC) entre le processus Nagios exécutant la vérification et le processus principal de Nagios. Bref, pas top.

Dans Nagios Core 4, l’exécution des contrôles est confiés aux workers. Ils peuvent être lancés à tout moment après le démarrage de Nagios. Si la commande de contrôle est « simple », le processus de travail peut exécuter la commande directement.

Toujours dans Nagios Core 4, les workers rapportent les résultats du contrôle au Core Nagios directement en mémoire, éliminant les problèmes d’i/o dans les grandes installations.

Nagios Event radio Dispatcher (NERD)

Le Nagios Event Radio Dispatcher (NERD) est un service basé sur le nouveau gestionnaire de requête. Il permet de faire suivre les événements du Core Nagios vers des souscripteurs. Actuellement, il existe trois canaux pouvant être souscrits: hostchecks, servicechecks et opathchecks.

libnagios

libnagios est une bibliothèque de fonctions pouvant être utilisés par les développeurs de gestionnaires de requêtes et workers.

Tests

De nombreux tests ont été ajoutés avec la distribution des sources.

RPM

Le fichier de spec RPm a été complètemet refait pour être plus conforme aux standards actuels en la matière.

Fonctionnalités retirées

Fonctionnalités obsolètes

En attendant de tester

Un grand bravo à toutes les personnes qui ont particpé au développement de Nagios Core 4. C’est à n’en pas douter une version importante dans l’histoire du logiciel qui gomme pour bonne partie les défauts reprochés à sa prestigieuse lignée d’aînés. Reste à voir maintenant comment l’écosystème qui entoure Nagios Core va réagir. Les forks basés sur Nagios 3 ont-ils encore un avenir du coup ? Les personnes parties vers Icinga, Centreon Core et autres vont-elles vouloir réintégrer le navire Nagios au vue des nouvelles fonctionnalités proposées ? Pas mal de question vont se poser car Nagios Core 4 semble bien redistribuer les cartes de la supervision Open Source, au moins au niveau technique.

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Noireaude : Tetzle – Un jeux sympa entre un puzzle et Tetris

lundi 23 septembre 2013 à 10:30

tetzel

Comme on adore bosser mais que dès fois il faut savoir lever le pied et faire une (ou de nombreuses) pause(s), quoi de mieux qu’un bon vieux Tetris ou un puzzle pour se détendre au bureau?! Si vous aimez les deux Tetzle est un jeu très sympa qui allie les deux et qui propose plusieurs niveaux de difficultés. Comme vous pouvez le voir sur la capture le principe est assez classique et le jeu fonctionne comme les autres applications de puzzle que nous avons présenté sur le blog, à une exception près. Après avoir choisi de découper les pièces en un celles-ci ne seront pas forcément placées dans le bon sens et ressembleront à celles que vous pouvez retrouver dans Tetris (c’est d’ailleurs la seule similitude avec Tetris). Le but du jeu va donc être de recomposer l’image de votre choix en associant les bonnes pièces, après les avoir bien entendu replacées dans le bon sens. C’est assez sympa et si ça vous tente nous allons voir de plus près ce que ça donne.

La première chose à faire (après être revenu en courant de la machine à café avec le ravitaillement) va être d’installer Tetzel sur votre distribution, ce qui peut être fait très facilement en vous procurant ce qu’il vous sur cette page. Vous y trouverez les paquets pour Debian, Ubuntu (disponible ici aussi), Archlinux, Fedora, Gentoo, Mageia, freeBSD, OpenBSD, PCLinuxOS, Windows et Mac OS X. Rien que ça!

Il va falloir ensuite ouvrir l’image de votre choix et la découper en fonction du nombre de pièces que vous souhaitez afficher. Plus il y en a plus c’est compliqué.

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Pour assembler les pièces il va falloir ensuite effectuer un ou plusieurs clics droit sur celle de votre choix pour la placer dans le bon sens et effectuer un clic gauche pour la déplacer et l’assembler avec une autre. Si les deux pièces concordent elles vont alors s’imbriquer en s’attirant un peu comme un aimant.

Quand la dernière pièce est assemblée votre puzzle est terminé et vous pouvez retourner bosser (ou refaire une partie si le chef ne traîne pas dans le coin :)). Bien entendu il n’y a pas que la glandouille au bureau dans la vie et Tetzle va également convenir parfaitement à vos bambins.

Tetzle-02

Si ça vous tente je vous ai fait une toute petite vidéo histoire de vous montrer à quoi ça ressemble.

Sur ce amusez-vous bien et bon Puzzle Tetzle :)

sourcevia

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