PROJET AUTOBLOG


Planet-Libre

source: Planet-Libre

⇐ retour index

Manu Absolacom : Clonezilla: résoudre l’erreur « not a mounting point »

mardi 30 octobre 2012 à 18:30

Clonezilla est un système très pratique permettant de prendre l’image d’un système et de la réinstaller sur un autre ordinateur (ou sur le même). Je m’en sers régulièrement avant des manipulations dangereuses pour le système, pour avoir la certitude de pouvoir revenir à l’état initial au besoin. Ou pour transférer un système vers un autre disque.

Je sauvegardais mes images sur le réseau, à l’endroit proposé par défaut dans le live CD, sur /home/partimag. Mais la partition home devenant remplie, j’ai déplacé les sauvegardes dans un nouveau disque sur le serveur, et j’ai créé un lien de /home/partimag pointant vers /stockage/partimag.

Erreur. Depuis ce jour, le message  « Clonezilla image home directory /home/partimag is not a mounting point! Failed to mount other device as /home/partimag! » venait gâcher le plaisir que j’avais à utiliser ce logiciel, sans trop savoir pourquoi.

La réponse est que sshfs a des problèmes avec les liens symboliques et qu’il n’arrive pas à accéder au contenu du lien. La solution consiste à monter le dossier des sauvegardes de partimage à l’endroit attendu avec la ligne de commande suivante dans le fstab

/stockage/partimag /home/partimag auto bind 0 0

Assurez vous de créer le dossier /home/partimag puis montez le dossier des sauvegardes au bon endroit avec
mount -a
L’utilisation de clonezilla redevient identique à celle d’avant, et surtout fonctionnelle.

Quand à savoir pourquoi tenir à utiliser /home/partimag au lieu de taper l’adresse du dossier de sauvegarde, c’est qu’il est plus simple de taper sur entrée que de taper le chemin quand le clavier est accidentellement en qwerty…

D’ailleurs, j’aimerais modifier le liveCD afin d’intégrer mes clefs et personnaliser certaines opérations, mais je n’arrive pas à faire quelque chose de fonctionnel. Si vous avez des pistes ou des tutos (autre que celles du site de clonezilla), je suis intéressé.

Gravatar de Manu Absolacom
Original post of Manu Absolacom.Votez pour ce billet sur Planet Libre.

Articles similaires

Cyrille BORNE : Gestion des IPTC

mardi 30 octobre 2012 à 15:33

Lorsque l'on gagne de l'argent, rien de honteux à cela, n'est-ce pas ? en vendant des photographies (presse, Internet, publicité, etc.), comme des œuvres de l'esprit, je veux dire, quand photographier est une activité fiscalement déclarée, en l'occurrence "Photographe Auteur" ou "Photo-journaliste", certaines pratiques sont à connaître et à respecter. Un bon nombre d'agences exige des IPTC correctement renseignées pour exploiter les photographies. Légender une photographie, par exemple, est (presque) devenu une nécessité. Les IPTC ? Un petit détour s'impose…

Les IPTC sont des métadonnées sémantiques (sens) de l'image ; elles nécessitent donc l'intervention d'un agent humain pour être dûment renseignées : nom et titre de l'image, mot-clé descriptif, légende, date de création, auteur ou créateur, copyright, etc. Autant d'informations nécessaires au photographe pour une gestion efficace de ses photographies. Il existe une documentation détaillée sur ces spécifications, l'IPTC Core publiée par l'IPTC.

Ces métadonnées (IPTC) sont inscrites directement dans le fichier image. Les renseigner présente donc un avantage évident : comme elles sont associées à l'image elle-même et non à un logiciel particulier ou une machine, ces données sémantiques peuvent donc être automatiquement reprises telles qu'elles ont été éditées par l'auteur, pour en connaître, par exemple, la légende, l'origine, les droits, le sujet, etc. Inutile de dire aussi qu'un tel balisage facilitera, localement, sur votre propre machine, la recherche d'images par exemple. Par ailleurs, il est tout aussi inutile de préciser que les IPTC ne protègent nullement l'auteur contre le vol dans la mesure où ces métadonnées peuvent être rééditées.

Si beaucoup de visualisateurs d'images intègrent une fonction de recherche et d'affichage de ces métadonnées, très peu en revanche autorisent l'édition des IPTC. J'ai longtemps utilisé Sagittarius, un petit utilitaire complètement dédié à cet usage, mais malheureusement Sagittarius a été abandonné et il est aujourd'hui complètement obsolète. Problème récurent dans le Libre mais c'est une autre affaire.

Je dois bien avouer que, lorsque Sagittarius m'a lâché lâchement, j'étais un peu désœuvré. Une rapide recherche sur la gestion des IPTC sous GNU/Linux m'a permis de trouver la seule parade (graphique) efficace aujourd'hui sous Linux : DigiKam. Il existe quelques autres solutions en CLI, notamment ExifTools et Exiv2 (utilisé par DigiKam), mais légender une photo en ligne de commande n'a rien de pratique.

Bon… autant le dire tout de suite, DigiKam est une authentique usine à gaz ! Rien n'y est intuitif. Ou presque. C'est au point où, l'urgence passée, j'ai toujours autant de mal à y revenir. Cela dit, même si ce logiciel n'est pas des plus simples à prendre en mains, il n'en est pas moins efficace pour ce qui m'intéresse présentement, à savoir, la gestion des IPTC, notamment grâce à la création de profils ou "modèles".

Au premier lancement du logiciel, la première des choses à faire est d'importer la collection de photos. Il est possible d'y revenir par la suite : Menu Configuration → Configurer DigiKam → Collections puis choisir "Collections locales". Ça n'a l'air de rien, n'est-ce pas ? mais sans cette petite manip', impossible de travailler sur la moindre photo. Ensuite, tout devient beaucoup plus facile. Croyez-moi, j'ai un peu ramé pour comprendre que sans l'importation d'une collection, je n'arriverais à rien du tout.

Pour ce qui est de la gestion des IPTC sous DigiKam, les possibilités offertes couvrent très largement les besoins ; il est possible de renseigner un très grand nombre d'informations, qui plus est, automatiquement, via le menu de configuration global "Modèles" (de métadonnées) :

Modèles IPTC sous DigiKam

Une fois le modèle de métadonnées renseigné et ajouté, il devient ensuite très facile de l'appliquer aux photos d'une collection depuis l'interface de Digikam par l'onglet vertical droit "Légende / Étiquettes" et les onglets horizontaux "Informations" (pour sélectionner le modèle) et "Description" (titre, légende, auteur de la légende et date).

Interface de DigiKam

Digikam est aujourd'hui incontestablement le logiciel graphique de référence sous GNU/Linux pour une gestion professionnelle des IPTC.

Gravatar de Cyrille BORNE
Original post of Cyrille BORNE.Votez pour ce billet sur Planet Libre.

Denis Szalkowski : Tester la vitesse d’une requête Http

mardi 30 octobre 2012 à 10:10
Par     30 octobre 2012  - Catégorie(s): Apache  Apache

Ne trouvant pas mon bonheur dans les outils de Benchmarking, je viens de composer un petit script pour tester la vitesse d’une requête Http en m’appuyant sur la commande Wget.

Le script Httpd Speed Test

Tester votre serveur Apache avec Httpd Speed TestSous Linux, la commande s’utilise suivie de l’url que vous voulez tester. Le script exécute 5 fois la commande wget et stocke les résultats dans le fichier results.csv. J’ai cherché à ce que la commande simule au plus près le temps mis par le navigateur à télécharger les éléments de la page ! Wget n’exécute pas les Javascripts. Il n’interprète ni le Html, ni les Css. Il ne lit pas les animations Flash. En testant le site zdnet.fr, j’aboutis à un temps de chargement moyen de 8.409 s avec le script, là où lori sous Firefox 15 / Fedora 17 me renvoie 6.183 s.

#!/bin/bash
# Copyright (C) Denis Szalkowski / Licence GPL v3
# $1 : passage de l'url à partir de la ligne de commande
fichier=results.csv
if [ ! $1 ]
then
    echo "httpdspeedtest http://www.dsfc.net/"
    exit
fi
if [ -f $fichier ]
then
    rm -f $fichier
fi
i=1
while ((i<=5))
do
    deb=`date +%s.%N`
    wget -e robots=off -p -q -U "Mozilla/5.0" -nd --delete-after $1
    fin=`date +%s.%N`
    echo -e "$1\\t$i\\t$deb\\t$fin">>$fichier
    i=$(expr 1 + $i)
done

Autres billets sur le sujet :

Dsfc Dsfc

Tester la vitesse d’une requête Http

3 votes, 3.67 avg. rating (76% score)

Gravatar de Denis Szalkowski
Original post of Denis Szalkowski.Votez pour ce billet sur Planet Libre.

Tasse de Café : Metaflop : créez vos propres polices de caractères facilement

mardi 30 octobre 2012 à 10:00

Quand on travaille sur un projet graphique, quel qu’il soit, il peut arriver qu’on ait besoin d’une police spécifique, tellement spécifique que quoi qu’on nous propose, rien ne nous plaît. On se dit alors qu’il faudrait créer soi-même sa propre police… ce qui n’est pas forcément simple et à la portée du premier venu. Si vous êtes dans un cas tel que décrit ici, Metaflop est un service qui devrait vous intéresser puisqu’il vous permettra de créer votre propre police de caractères.

Metaflop

L’interface du service est assez simple : vous trouverez au centre un cadre affichant un seul glyphe à la fois, glyphe que vous pourrez sélectionner parmi la liste affichée juste en-dessous. La barre latérale sera la partie intéressante de l’interface puisque c’est ici que vous allez pouvoir définir les différents paramètres de votre police : épaisseur, largeur de glyphe, hauteur, et plein d’autres petites options.

Ces options, vous en trouverez la signification dans un schéma disponible en haut, affichable via un petit lien « on » dans la rubrique « modulator« . C’est d’ailleurs dans cette même rubrique que vous trouverez les liens vous permettant de télécharger votre création au format Open Type, mais pas que. En effet, vous avez une autre possibilité : « webfont« , qui vous donne en fait une archive ZIP contenant les différents formats à utiliser dans le cadre d’une utilisation en CSS3 (si vous voulez être compatible avec un maximum de navigateurs).

Les polices téléchargées sont sous licence GNU GPL 3.0, ce qui vous permettra de les utiliser librement. Bien évidemment, ne vous attendez pas à recréer des polices très complexes, les glyphes resteront simples mais seront tout de même assez personnalisés, ce qui pourrait vous sauver sur quelques projets !

Via

Gravatar de Tasse de Café
Original post of Tasse de Café.Votez pour ce billet sur Planet Libre.

crowd42 : Réparer Grub ou le MBR de votre Ubuntu avec Boot Repair

mardi 30 octobre 2012 à 03:28

Souvent quand des ubunteros débutants rencontrent des problèmes avec Grub, ils choisissent la facilité et réinstallent leurs systèmes. Pourtant, il est possible de résoudre la plupart des problèmes liés à Grub en quelques minutes, grâce à quelques lignes de commande ou des petits softs. En plus du gain de temps, ça va vous épargner la perte de vos documents/fichiers si vous ne faites pas du genre à faire des sauvegardes.

Un des ces softs est Boot Repair, c’est un petit outil développé par YannUbuntu, un des piliers de la communauté francophone d’Ubuntu. Boot Repair se distingue par sa simplicité et la facilité de son utilisation, en quelques cliques, vous pouvez réparer, reconfigurer ou réinstaller Grub, il permet aussi de générer un rapport Boot-info, restaurer le MBR original… etc.

Pour pouvoir utiliser Boot Repair, vous avez bien évidemment besoin d’un LiveCD/LiveUSB (ben oui, sans Grub vous ne pouvez pas démarrer votre distribution), donc booter votre ordinateur sur un liveCD de Ubuntu, puis installez Boot Repair depuis ce PPA :

sudo add-apt-repository ppa:yannubuntu/boot-repair
sudo apt-get update
sudo apt-get install boot-repair

Lancez Boot Repair, et choisissez une tâche à exécuter. Dans la plupart des cas, l’option Réparation recommandé, suffise largement à résoudre la majorité des problèmes liés à Grub.

Cet article Réparer Grub ou le MBR de votre Ubuntu avec Boot Repair est apparu en premier sur crowd42.

flattr this!

Gravatar de crowd42
Original post of crowd42.Votez pour ce billet sur Planet Libre.

Articles similaires