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Tuxicoman : The Guardian Project : sécurisez vos communications mobiles

mercredi 4 décembre 2013 à 19:45

The Guardian Project est une bonne adresse pour déjouer la NSA.

Voici 2 vidéos qui vous expliquent comment envoyer des messages sécurisés et appeler sans être espionné depuis votre smartphone Android (sous Cyanogen évidemment)

Concrètement, pour envoyer des textos privés ils conseillent d’utiliser la technologie Off The Record.

On peut l’utiliser avec tous les comptes XMPP (Facebook, Google, Jabber…) et quelques logiciels comme ChatSecure et Gibberbot.

Pour les appels sécurisés, ils conseillent la technologie ZRTP

On peut l’utiliser par dessus SIP avec des logiciels comme CSipSimple ou Linphone. Cependant, la fonctionnalité ZRTP est parfois absente de ces logiciels selon les versions.

 

 

 

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alterlibriste : Podcasting : BlogueLinux.ca et l'Après Cast

mercredi 4 décembre 2013 à 17:30

Après un petit tour en Belgique, notre exploration des podcasts francophone sur les logiciels libres nous emmène au Canada pour un aperçu de BlogueLinux qui comme son nom l’indique est un blog québécois sur Linux qui est devenu un podcast audio (flux rss).

Les deux animateurs sont Eric et Patrick, deux informaticiens aguerris passionnés par la technologie et les logiciels.
Toutes les deux semaines, les deux compères nous livrent un épisode d’environ 1h30 pour traiter des nouvelles.
Au moment où j’écris ce billet (j’écoute le podcast depuis une bonne dizaine d’épisode), les émissions se présentent généralement ainsi :

Le ton est très détendu et chacun donne son avis librement selon son expérience et son ressenti. Il s’agit vraiment du point de vue d’utilisateurs. Les sujets sont parfois très technologiques (smartphones, tablettes, routeurs) et pas toujours très libristes comme peut l’être la communauté française beaucoup plus préoccupée par le respect de la vie privée par exemple. Ici, nous sommes en Amérique et on sent que l’aspect libéral et pragmatique est prioritaire. Ainsi, les animateurs définissent à juste titre le libre comme la liberté d’utiliser le logiciel de leur choix. S’ils trouvent leur bonheur dans un logiciel libre, c’est bien mais si un logiciel ou un service propriétaire répond mieux au besoin, ils n’ont pas de problème pour faire ce choix.
Rassurez-vous, Microsoft, Apple et Google en prennent régulièrement pour leur grade et les mots ne sont pas mâchés. Avec leurs expressions québécoises, ils nous en mettent pleins les oreilles.

Démarré il y a environ 2 ans, le podcast compte 48 épisodes. A cela s’ajoutent 15 épisodes d’Après Cast (flux rss). Il s’agit là de conversations libres entre les deux animateurs qui discutent comme deux amis toujours sur les sujets technologiques mais sans fil directeur et sans aucunement surveiller leur vocabulaire... âmes sensibles s’abstenir.

Il est à noter que toutes les remarques des auditeurs sont prises en compte et qu’une certaine interactivité en découle. Si vous commencez à écouter l’émission et que quelques sujets éveillent votre curiosité, vous deviendrez vite impatient d’écouter les nouveaux épisodes pour savoir comment évoluent la vie et l’avis de nos deux podcasteurs.

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Framablog : Un magazine Linux décide de libérer son contenu après 9 mois de publication

mercredi 4 décembre 2013 à 14:13

Linux Voice est un nouveau projet de magazine anglophone autour de GNU/Linux et du logiciel libre. Il ne verra le jour que si son financement par crowfunding sur Indiegogo est couronné de succès (il est d’ores et déjà en passe de l’être).

Lors du lancement de la campagne, il avait été annoncé que le contenu du magazine serait rendu « free » au bout d’un certain temps.

Le problème c’est que ce terme est très flou a priori. Ils ont levé tous les doutes en adoptant la libre licence CC By-SA et s’en expliquent dans l’article traduit ci-dessous.

Un exemple à suivre pour notre presse spécialisée francophone ? (si, oui, nous sommes preneurs pour faire connaître et diffuser les articles en tout cas :))


Linux Voice (cover)


Licence libre après neuf mois

Free licence after nine months

Ben Everard - 18 novembre 2013 - LinuxVoice.com
(Traduction : Isammoc, Lordphoenix, Marie-Lou, Penguin, Mooshka, Sky, Zergy + anonymes)

Nous avons annoncé il y a une semaine que nous essayions de lancer un nouveau magazine Linux qui rendrait tous ses contenus « free » (NdT : free peut vouloir dire à la fois « libre » ou « gratuit ») après une période maximum de neuf mois. La réponse jusqu’à présent a été phénoménale et les fonds sont arrivés bien plus vite que nous l’avions prévu.

Nous en avons discuté sur Hacker News, Reddit, Shashdot, The Register, The Guardian et des forums partout sur le web. Une question remontait régulièrement : Qu’entendez vous par « free » ? Tout le monde dans la communauté open source sait que ce simple mot peut être compris de différentes façons.

De toutes parts sur Internet, on nous a poussé à être fidèle à la liberté (NdT : au sens de « free as in freedom » comme le dirait Stallman). Clem, bien connu dans le projet Linux Mint, a même laissé entendre qu’il créera une app pour afficher le contenu libre, si tel était le cas.

Nous avons attendu avant de faire une déclaration précise car nous voulions débattre du sujet avec les différents contributeurs et les auteurs indépendants qui nous aideront à faire le magazine. La semaine dernière, nous avons compris qu’il était nécessaire de clarifier ce que nous allions faire. Il serait injuste, vis-à-vis de nos donateurs souscripteurs, de maintenir l’équivoque plus longtemps.

Il y a toujours la tentation d’ajouter des clauses aux licences. Celles qui, selon vous, n’affecteront pas vraiment la liberté mais vous protégeront un peu. Dans notre cas, ce fut la clause non commerciale. Que se passerait-il, imaginons, si un éditeur décidait de réimprimer nos articles et de gagner de l’argent avec notre travail ? Les autres magazines GNU/Linux pourraient publier nos articles sans avoir à débourser un centime.

Cependant, nous parlons des quatre libertés depuis assez longtemps pour savoir qu’elles signifient réellement quelque chose, et il est temps d’accorder nos actions avec nos paroles. Oui, les quatre libertés ont été écrites pour s’appliquer au code, mais leur esprit est facilement transférable, et une clause de non-commercialisation va clairement à l’encontre de ces libertés.

Aujourd’hui, nous pouvons annoncer que nous allons passer tout notre contenu sous licence Creative Commons Paternité - Partage à l’identique version 3.0 «unported» (CC By-SA) au plus tard 9 mois après sa publication. Pour ceux qui ne seraient pas familiers de cette licence, elle est dans l’esprit comparable à la GPL v2. C’est-à-dire que vous pouvez distribuer le contenu de la manière que vous souhaitez, et le modifier comme vous le souhaitez tant que vous mettez ces modifications sous la même licence (« unported » signifie simplement que c’est une licence internationale). Pour plus d’informations sur la licence, voyez le texte Creative Commons en anglais ou la version complète de la licence.

Vous avez peut-être remarqué que nous avons dit « après neuf mois maximum ». Nous prévoyons de rendre disponibles des articles plus tôt, spécialement ceux qui ont, d’après nous, une valeur pour la communauté. Donc, si vous voyez quelque chose qui devrait être disponible plus vite, faites-le nous savoir. Si vous êtes un enseignant désirant distribuer nos contenus à vos étudiants, ou un mainteneur de logiciels open source voulant inclure nos tutoriels dans vos pages d’aide, parlez-nous en, et nous essayerons de faire quelque chose.

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Quack1 : Utiliser des notes de bas de page avec Pelican en Markdown

mercredi 4 décembre 2013 à 09:45

Pelican est magique.

Plus ça va, et moins j'ai envie de repasser sur un moteur de blog comme Wordpress ou Tumblr.

On peut facilement lui rajouter des thèmes, on peut y ajouter un formulaire de recherche, ou encore utiliser la puissance de Git pour publier automatiquement les nouveaux articles. Et surtout, on peut écrire les articles avec Markdown

J'ai découvert hier qu'il était possible d'utiliser des notes de bas de page directement depuis Markdown, cette fonctionnalité étant prise en charge dans la bibliothèque Python-Markdown !

La syntaxe est très simple, et on peut définir des notes de plusieurs façons. Exemple de fichier source Markdown :

Une footnote[^1] numérotée.

Du texte

Une définition[^!Def] d'un mot donnée en bas de page, ou encore[^footnote] un label pour la note, nommé « footnote ».

[^1]: Le texte de la footnote numérotée.

[^footnote]: Le texte de la footnote qui avait un label.

[^!Def]: La définition du mot donné plus haut dans le texte.

    Cette définition fait plusieurs lignes,

    et chaque ligne est indentée.

Le texte des notes peut être placé partout dans la source de l'article (pas forcément en bas de l'article), et celui-ci peut également être multi-lignes, il suffit d'indenter chaque nouvelle ligne avec au moins 4 espaces.

Et le rendu est le suivant :


Une footnote1 numérotée.

Du texte

Une définition3 donnée en bas de page, ou encore2 un label pour la note, nommé « footnote ».


Et comme vous le voyez, aux notes sont automatiquement associés des liens pour naviguer dans l'article plus facilement. Détail, vous n'êtes pas obligés de mettre le texte des footnotes tout en bas de votre fichier source, Pelican se chargera de les placer en bas de l'article généré.

C'est quand même méga classe qu'un petit truc comme Pelican soit aussi puissant qu'un gros moteur de blog !

Source via @GetPelican


  1. Le texte de la footnote numérotée. 

  2. Le texte de la footnote qui avait un label. 

  3. La définition du mot donné plus haut dans le texte.

    Cette définition fait plusieurs lignes,

    et chaque ligne est indentée. 

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Nicolargo : Ma shortlist d’Ultrabooks sous GNU/Linux

mercredi 4 décembre 2013 à 08:19

dellxps

Je cherche à remplacer mon bon vieux PC laptop personnel qui commence un peu à dater (Fujitsu Lifebook S Series de 2009). L'utilisation que je fais de ce PC est assez varié: Surf sur le Web, blogging, développement, traitement d'image (photo)...

A partir de mon expérience sur le Fujitsu, les caractéristiques minimales sont les suivantes (par ordre décroissant d'importance):

Comme vous pouvez le voir, ces caractéristiques collent parfaitement avec les laptop de type ultrabook.

J'ai donc commencé à chercher sur le net des informations sur les machines pouvant coller à mes besoins. De manière assez surprenante, la liste n'est pas si grande que cela. En effet, à l'heure actuelle (décembre 2013), beaucoup d'Ultrabooks ne proposent qu'une résolution "HD Ready"  (1366x778 pixels) ou d'une mémoire trop juste (4 Go).

Ainsi, ma shortlist  initiale se compose d'une dizaine de machines: CLIQUEZ ICI pour consulter ma liste sur Google Drive.

Voici, par ordre alphabétique, les ultrabooks qui sortent du lot par rapport à mes besoins/goûts.

Clevo W840SU 14"

Proposé par le site Anglais PCSpecialist, ce laptop n'est pas à proprement parler un ultrabook mais dispose d'une configuration paramétrable, d'un port Ethernet (oui madame !) et de composant de qualité. Il peut de plus être commandé sans OS Windows, d'ou un prix de vente assez concurrentiel (moins de 1200 € pour une configuration musclée).

Le seul problème pour moi est le design général qui n'est pas vraiment glamour.

cosmos

 

 

Dell XPS 13 Dev

La deuxième machine est beaucoup plus connue car elle avait fait le buzz au moment de sa commercialisation. Imaginer un ultrabook design, doté d'une configuration musclée pour les développeurs sous Ubuntu (au moins on est sûr de la compatibilité) !

Vous en avez rêvé ? Dell a essayé de le faire avec son XPS 13 Dev Edition.

Au niveau du look, rien à dire, c'est une belle machine que l'on a pas honte de sortir en public. Au chapitre des points négatifs: pas de port Ethernet et un prix qui grimpe à plus de 1300€ avec la livraison.

dellxps2

 

Lenovo Ideapad Yoga 2 Pro 59386559

Quoi ? Un IBM (enfin Lenovo) dans cette sélection ? Et oui, l'Ideapad Yoga 2 est une bien belle machine avec notamment une dalle HD avec une résolution de 3200x1800 pixels, un design très sympa (si on aime le orange) et une configuration qui tient la route pour 1200€.

Il est par contre très difficile de le trouver en France et la compatibilité avec Linux demande quelques manipulations.

lenovo

 

MOUNTAIN Portátil LightU T744G

Enfin, pour finir cette sélection, nous allons aller du coté de l'Espagne ou l'intégrateur Mountain propose des PC et laptops à configurer et compatible avec Ubuntu (il propose même d'installer nativement l'OS avant de vous l'expédier).

La configuration est bonne, le design plus sexy que le Clevo Anglais mais le prix grimpe à plus de 1300€.

capture_145

 

Conclusion

Je ne suis pas encore fixé sur mon choix final. Pour l'instant, le Montain, le Dell et le Lenovo tiennent la corde.

Avez-vous d'autres pistes ?

Cet article Ma shortlist d’Ultrabooks sous GNU/Linux est apparu en premier sur Le blog de NicoLargo.

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