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Planet Libre : Brèves du Planet Libre - lundi 27, janvier 2014

lundi 27 janvier 2014 à 00:00

Google Webfonts, The Spy Inside? | The FontFeed - Liens en vrac de sebsauvage

pistage google web


antistress : "Google AdSense (publicité). Google Analytics (statistiques). Google WebFonts (polices de caractères). Google Maps (cartes).  Bouton Google+ (partage). YouTube (inclusion de vidéos dans les pages web). Google CDN pour jQuery et les autres libs Javascript... Tu m'étonne que Google est trop content de fourguer tous ses services "gratuits" aux webmasters !
Si la moindre ressource Google est incluse dans une page, cela fait automatiquement une requête vers les serveurs Google à chaque affichage de la page, lui permettant de profiler tous les internautes, les suivant de site en site, de page en page, dans leur surf quotidien. Le tout avec la collaboration des webmasters trop contents de profiter de ces outils "gratuits"... qu'ils paient avec la vie privée de leurs visiteurs."


L'Europe invitée à abandonner les solutions de chiffrement américaines - Numerama

pistage chiffrement nsa institution europe


antistress : "Lors du forum international de la cybersécurité, le directeur général estonien en charge de la sécurité des systèmes d'information a invité l'Europe à se passer des solutions de chiffrement américaines et à concevoir ses propres outils. Des propos qui font suite aux révélations sur RSA, accusée d'avoir été corrompue par la NSA."


NSA : déçue par la réforme, Microsoft souhaite une convention internationale - PC INpact

pistage NSA institution droit Microsoft


antistress : Les annonces de Barack Obama sur les réformes de la NSA, et plus globalement des programmes américains de surveillance, ont globalement déçu. L’un des aspects les plus importants, à savoir l’implication des grandes entreprises, n’a pas été abordée. Aujourd’hui, Microsoft n’hésite plus à exprimer sa frustration et lance des pistes pour faire évoluer la situation. [...] Le souci selon Microsoft n’est en effet pas tant de devoir obéir aux requêtes de la NSA que d’être muselé quand elle tente de faire preuve de transparence sur le sujet. Les NSL (National Security Letters) sont en effet accompagnées d’un ordre de non divulgation. Un point qui est d’ailleurs amené à changer si les promesses du président américain sont tenues."


#FIC2014 : ces administrations françaises qui livrent ce que vous avez de plus intime à des tiers … #Google, #Xiti, … - Reflets

pistage google Xiti web


antistress : Le ministère de la santé, le site des impôts... Ces sites sous la responsabilité du gouvernement qui partagent les informations des citoyens avec des entreprises comme Google et Xiti tout en assurant le contraire, c'est pas beau ?


NSA : les annonces d'Obama critiquées à Bruxelles

pistage nsa institution droit


antistress : "Les réactions continuent d'affluer suite au discours de Barack Obama, prononcé vendredi dernier, sur la réforme des activités de la NSA et du programme de surveillance globale employé par les États-Unis. Après Julian Assange et l'Electronic Frontier Foundation, c'est au tour de l'eurodéputé britannique Claude Moraes de s'exprimer sur les annonces du président américain : celui-ci a regretté que le discours du président américain Barack Obama se soit focalisé uniquement sur la population américaine, alors qu'il s'agit d'un problème planétaire."


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Yannig : Installation de razor (ainsi que puppet, postgresql, tftp et dhcp)

dimanche 26 janvier 2014 à 18:52
Il y a quelques années, j'avais mis en place un serveur d'installation Linux. C'était basé sur le classique dhcp, tftp et kickstart. Un de mes collègues m'a parlé dernièrement d'un projet relativement intéressant : razor. C'est un projet qui est toujours en cours de développement mais est tout à fait utilisable.

Son principe est assez simple : il se base sur des briques classiques pour gérer la partie boot réseau (DHCP + TFTP + kickstart) et utilise un serveur JBoss couplé à postgresql pour la partie gestion de la configuration.

Pour mémoire, l'installation se fera sur une CentOS 6.5 mais devrait s'adapter très facilement sur une autre distribution.

Mais trêve de bavardage, passons à la mise en oeuvre.

Installation et configuration de postgres

Pour faire fonctionner razor, nous allons avoir besoin d'une version très récente de posgresql (la 9.3). Le repository pour RHEL/CentOS contenant cette version de postgres s'installe avec la commande suivante :

yum install http://yum.postgresql.org/9.3/redhat/rhel-6-x86_64/pgdg-centos93-9.3-1.noarch.rpm

L'installation de postgresql à proprement parlé se fait ensuite simplement avec yum :

yum install postgresql93-server

De là, il nous faut initialiser le contenu de la base avec la commande suivante :

/etc/init.d/postgresql93 initdb

Ceci fait, nous pouvons démarrer la base :

/etc/init.d/postgresql93 start

Enfin, nous allons créer notre utilisateur ainsi que notre schéma :

psql
create user razor;
create database razor_prd owner razor;
\\password razor

Modifier ensuite le fichier /var/lib/pgsql/9.3/data/pg_hba.conf afin de faire apparaître la ligne suivante (vers la fin du fichier) :

local   all         all     127.0.0.1/32        md5

Un arrêt/relance de postgresql plus tard :

/etc/init.d/postgresql restart

Nous voici prêt pour la suite.

Installation de puppet

Par la suite, je m'appuierai énormément sur puppet pour mettre en oeuvre le produit. Je vous invite donc à l'installer avec la série de commandes suivante :

yum install http://yum.puppetlabs.com/puppetlabs-release-el-6.noarch.rpm
yum install puppet

Installation de razor

Le plus simple et de se servir de puppet pour faire le gros du travail. Pour se faire, lançons l'installation du module razor :

puppet module install puppetlabs-razor

Vous devriez voir le résultat suivant si tout se passe bien :

Notice: Preparing to install into /etc/puppet/modules ...
Notice: Downloading from https://forge.puppetlabs.com ...
Notice: Installing -- do not interrupt ...
/etc/puppet/modules
└─┬ puppetlabs-razor (v0.11.0)
  ├─┬ puppetlabs-java (v1.0.1)
  │ └── puppetlabs-stdlib (v4.1.0)
  └─┬ puppetlabs-tftp (v0.2.1)
    └── puppetlabs-xinetd (v1.2.0)

Passons maintenant à l'installation de razor :

export FACTER_server=ADDRESSE_IP_RAZOR
puppet apply -e "include razor"

Au bout d'un petit moment, vous devriez avoir un process Java JBoss pour héberger l'application razor ainsi qu'un serveur tftpboot fonctionnel (ou presque).

Rendez-vous maintenant dans le répertoire /opt/razor afin de recopier le fichier config.yam.sample en config.yaml :

cd /opt/razor
cp config.yaml.sample config.yaml

Adapter ensuite le contenu du fichier config.yaml à votre plateforme et lancer la commande suivante :

razor-admin -e production migrate-database

De là, il ne nous reste plus qu'à installer une version valide du client razor avec la commande suivante :

puppet resource package razor-client provider=gem ensure=latest

Si vous avez un parefeu sur votre machine, il vous faudra ouvrir le port 8080.

Configuration du tftp

Rien de particulier à signaler si ce n'est de bien faire attention d'ouvrir le port udp 69 sur votre parefeu.

Récupération du microkernel

Nous allons déposer le micro kernel dans un sous répertoire de razor (/var/lib/razor/repo-store). Ci-dessous les commandes à lancer pour le faire :

wget http://links.puppetlabs.com/razor-microkernel-003.tar
tar xfv razor-microkernel-003.tar -C /var/lib/razor/repo-store

Configuration du serveur DHCP

Il existe un fichier d'exemple dans le module puppet que vous pouvez récupérer avec la commande suivante :

cp /etc/puppet/modules/razor/examples/isc-dhcpd-example.conf /etc/dhcp/dhcpd.conf

Reste ensuite à adapter le fichier /etc/dhcp/dhcpd.conf et démarrer notre serveur dhcp en s'assurant qu'il soit démarrer au lancement de la machine :

puppet resource service dhcpd ensure=running enable=true

Nous allons pouvoir commencer quelques tests ...

Installation d'une CentOS 6.5

Création d'un broker par défaut

Avec razor, il est possible de faire tout un tas de chose en post installation. Dans notre cas, on va se contenter quelque chose de simple avant d'aller plus loin :

razor create-broker --name=noop --broker-type=noop

Création d'un repository

Nous allons récupérer un repository CentOS. Cette opération se fait avec la commande razor create-repo :

razor create-repo --name centos-6.5 --iso-url=http://.../CentOS-6.5-x86_64-minimal.iso

Nous pouvons ensuite vérifier la présence de notre repository avec la commande razor repos :

# razor repos
From http://192.168.122.3:8080/api/collections/repos:

    id: "http://...:8080/api/collections/repos/centos-6.5"
  name: "centos-6.5"
  spec: "/razor/v1/collections/repos/member"

Ainsi que le détail du repos en ajoutant son nom :

# razor repos centos-6.5
From http://192.168.122.3:8080/api/collections/repos/centos-6.5:

       id: "http://...:8080/api/collections/repos/centos-6.5"
     name: "centos-6.5"
     spec: "/razor/v1/collections/repos/member"
  iso_url: "http://.../CentOS-6.5-x86_64-minimal.iso"

Création d'un tag

Nous allons procéder à la création d'un tag testant si la machine est virtuelle ou non. Pour se faire, alimenter le fichier virtual.json avec le contenu suivant :

# cat virtual.json
{
  "name": "virtual",
  "rule": ["=", ["fact", "is_virtual"], "true"]
}

Donnons ça à manger à razor avec la commande razor create-tag :

# razor create-tag --json virtual.json
From http://192.168.122.3:8080/api:

    id: "http://localhost:8080/api/collections/tags/virtual"
  name: "virtual"
  spec: "/razor/v1/collections/tags/member"

Création d'une policy

Alimentons maintenant le fichier centos-6.5.json avec le contenu suivant :

# cat centos-6.5.json
{
  "name": "centos-6.5",
  "repo": { "name": "centos-6.5" },
  "task": { "name": "centos" },
  "broker": { "name": "noop" },
  "enabled": true,
  "hostname": "host${id}.local",
  "root_password": "ChangezMoi",
  "max_count": "100",
  "rule_number": "100",
  "tags": [{ "name": "virtual"}]
}

Le contenu du fichier va donner un minimum d'information pour l'installation à savoir :
  • Le nom de la police (centos-6.5) ;
  • Le nom du repository (idem) ;
  • Le type de tâche d'installation (ici une CentOS). Pour connaître la liste complète, on peut utiliser la commande razor tasks ;
  • Le type de broker : Il s'agit d'une espèce de post install. Pour l'instant, l'installation s'arrête là ;
  • Enabled : pour savoir si la police est active ou non ;
  • Un template pour le nom de la machine ;
  • Le mot de passe root ;
  • Le nombre max de création et son numéro ;
  • Enfin, les tags sur lesquels cette police s'appliquera (ici virtual).
Donnons ça à manger à notre ami razor avec la commande razor create-policy :

razor create-policy --json centos-6.5.json

Dès que nous démarrerons une machine virtuelle sur notre réseau, cette dernière commencera son installation. Si vous aviez une machine en attente, cette dernière redémarrera et commencera son installation.

Le mot de la fin

Vous l'avez vu, il s'agit vraiment d'une aide pour mettre en oeuvre razor le plus rapidement possible sans forcément chercher à personnaliser les choses.

J'essaierai dans un second temps de revenir avec un nouvel article pour vous présenter le mécanisme permettant de personnaliser vos installations.

A noter que le produit est en pleine refonte et que certaines parties de ce document vont sûrement être amené à évoluer ou devenir un peu obsolète. Je vous laisse ci-dessous une bibliographie m'ayant permis de mettre en oeuvre le produit.

Bon courage et bon déploiement !

Bibliographie

http://technodrone.blogspot.com/2013/11/installing-razor-yes-new-version.html
http://technodrone.blogspot.com/2013/11/installing-razor-client-and-creating.html

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Stéphane Laborde : Entrevue Lilloise sur la TRM et OpenUDC

dimanche 26 janvier 2014 à 14:47

François, un libriste de la première heure des environs de Lille a réalisé un podcast suite à l’entrevue qu’il nous a proposée, jbar et moi-même, à l’occasion de notre venue aux Roumics de Lille en Novembre 2013 (suite à une invitation aux Roumics de Simon Sarazin et Julie Bailleul avec la participation de Virginie Deleu).

Cette entrevue aborde des éléments de la Théorie Relative de la Monnaie, en commençant par la critique des système monétaires dominants centralisés et privateurs, une analyse de la contradiction entre monnaie non-libre et l’économie des logiciels libres, et un raisonnement relativiste menant à la description de la structure d’une monnaie libre. Enfin on aura pour terminer une description par son fondateur, jbar, du projet de protocole de monnaie libre et logiciels libres OpenUDC.

L’article et le podcast intégral cc-by-sa f.0×2501.org que vous pouvez consulter aussi sur sa page originale.

STÉPHANE LABORDE, JBAR, la monnaie libre

Le système d’échange de valeurs monétaires est la colonne vertébrale autour de laquelle s’organise nos sociétés et on peut le dire, nos vies. Mais ce système, ce bien commun, comment fonctionne t il ? Est il encore adapté à notre époque, est il pertinent, peut il être amélioré comme un système libre au même titre qu’un protocole internet ou le Logiciel Libre ?

Dans cette émission Stéphane Laborde et Jbar abordent entre autres sujets: La création monétaire, l’argent dette, le système bancaire, la création de valeurs, le logiciel libre, les valeurs libres, la monnaie libre, la Théorie Relative de la Monnaie, Le revenu de base, OpenUDC, Bitcoin.

Ğaluel et jbar dans un estimanet Lillois cc-by-sa f.0x2501.org

Ğaluel et jbar dans un estimanet Lillois cc-by-sa www.f.0×2501.org

Stéphane Laborde est l’auteur de la Théorie Relative de la Monnaie (TRM), il anime le site Création Monétaire et le podcast Monnaie Libre.

Jbar est le développeur fondateur du projet OpenUDC, un ensemble de logiciels libres permettant de gérer, de manière décentralisée, une monnaie libre modélisée selon les principes exposés dans la TRM.

Téléchargez l’émission – 2h23mn – 124 Mo – Format audio ogg

À propos
Émission publiée sous licence Creative Commons CC BY-SA.
Enregistrée le 19-11-2013 lors des ROUMICS 2013.
Merci à JULIE et à l’équipe de LA COROUTINE.

Musiques
Digi G’Alessio – The Istanbul Clan – Licence CC BY-NC-SA
Professor Kliq – Nations Theme – Licence CC BY-NC-SA
Blastcraft – Uploaded – Licence CC BY-NC-SA
Manicure – Unreast of Souls – Licence CC BY-NC-SA

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SckyzO : Nouvelle documentation : Calendrier

dimanche 26 janvier 2014 à 09:00

Calendrier/Maya, rendez-vous, réunion, vous êtes perdus ? Alors cette mise à jour de la documentation est faite pour vous. Calendrier est relativement jeune, certes, mais dispose d'un design assez bien pensé; en une seule vue vous pouvez voir le prochains rendez-vous qui arriveront.

Pour voir cette documentation il faut cliquer ici. Comme évoqué par Devil505, la synchronisation vers les services tiers (Google, Exchange ou autres) n'est pas encore à l'ordre du jour, mais un message posté sur le Launchpad de Calendrier/Maya pourrait bien changer la donne ! Rendez-vous dans la documentation pour en savoir plus.

 

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Antistress : Rassurez-vous, il ne s'agit « que » de métadonnées. Vraiment ? Mais ne s'agit-il pas « que » de votre vie privée en fait ?

samedi 25 janvier 2014 à 19:18

Homme portant chapeau et imperméable sombres

Je ne résiste pas à l'envie de partager avec vous cette partie de la conférence donnée le 12 décembre 2013 par Bruce Schneier, à l'invitation d'Eben Moglen (j'adore ce type), suite aux révélations d'Edward Snowden (la conférence, vraiment très instructive, dure 1h05 + 25min de questions-réponses)

Il s'agit de bien souligner l'enjeu de l'espionnage des métadonnées (contrairement au discours de banalisation qui nous est servi par les autorités).

Je donne en premier ma traduction, puis la version originale :

Version traduite

Bruce Schneier : Au moment des premières révélations concernant Verizon et l'espionnage des téléphones portables, une des justifications avancées était – le Président l'a dit – : « Ne vous en faites pas, il s'agit uniquement de métadonnées. Personne n'écoute vos conversations ». Je pense que c'est extrêmement.... Je ne trouve pas le mot...

Eben Moglen : Fourbe.

Bruce Schneier : Oui, c'est ça. Parce que les métadonnées sont synonyme de surveillance. Et c'est facile à comprendre.
Imaginez que vous louiez les services d'un détective privé pour espionner quelqu’un. Ce détective cacherait un micro dans le foyer, dans la voiture et dans le bureau de cette personne et vous obtiendriez le compte-rendu de ses conversations. Voilà ce que sont les données. Si vous demandez au même détective privé de surveiller quelqu'un, vous auriez un compte-rendu différent : où il est allé, à qui il a parlé, ce qu'il a acheté, ce qu'il a lu. Tout cela sont les métadonnées.
Quand le Président dit : « Ne vous en faites pas, il s'agit uniquement de métadonnées », j'entends : « Ne vous en faites pas, vous êtes simplement sous surveillance 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 ».

Version originale

Bruce Schneier: When the first stories about Verizon and cellphone eavesdropping, one of the defenses was-- the President said this-- he said, : "Don't worry, it's all metadata. No one is listening to your conversations." I think this is an extremely... I don't know what word I want to use...

Eben Moglen: Disingenuous.

Bruce Schneier: Yeah, and it is. Because metadata equals surveillance. And it's easy to understand this.
Imagine you hired a private detective to eavesdrop on somebody. That detective would put a bug in their home, and their car, and their office, and you would get a report of their conversations. That's what the data is. If you ask that same detective to surveil somebody, you'd get a different report: where he went, who he spoke to, what he purchased, what he read. That's all metadata.
When the President says, "Don't worry, it's just metadata" I hear "Don't worry, you're all just under surveillance 24/7."

Conclusion

Dorénavant, lorsqu'un responsable politique vous expliquera que les téléphones des journalistes ne sont pas sur écoute mais que « seules les métadonnées » sont collectées (cf l'affaire des « fadettes », abréviation des factures téléphoniques détaillées), ou lorsque vous lirez qu'il est possible de collecter les numéros de téléphone portable des personnes alentour ou encore qu'il est possible de pirater les moyens de paiement sans contact (technologie NFC) mais que cela ne concerne « que » la liste des achats, les adresses et les horaires de ceux-ci, vous devriez mieux situer mieux l'ampleur des enjeux...

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