PROJET AUTOBLOG


Planet-Libre

source: Planet-Libre

⇐ retour index

wilfried caruel : Présentation SpaRSS sous android et opensource

samedi 5 mai 2018 à 15:57

Présentation SpaRSS

 

Je vais vous présenter une application qui va vous permette de voir vos flux “rss” en effet “SpaRSS” est une application Android libre disponible sur Fdroid.

 

La définition d’un flux “rss” d’après wikipedia

Un produit RSS est une ressource du World Wide Web dont le contenu est produit automatiquement (sauf cas exceptionnels) en fonction des mises à jour d’un site Web. Les flux RSS sont des fichiers XML qui sont souvent utilisés par les sites d’actualité et les blogs pour présenter les titres des dernières informations consultables.

 

Ce flux “rss” a été créé par le regretté “Aaron Swartz” qui a fait beaucoup pour le web , que ce soit co créer “reddit” et plus encore en étant un des responsables de la création des célèbres licences Créative commons appelées aussi “CC”.

 

Revenons à l’application en question.

C’est un fork d’une autre application libre “flym” ce fork est disponible sous la licence “GPLv3

Concernant les fonctionnalités de ce lecteur de flux rss :

Cette application a été développé par “RENAUD-GOUD Arnaud

La vidéo

Mon avis

Ce lecteur est léger , avec beaucoup de fonctionnalités.

Il n’est pas reliable à d’autres lecteurs de flux rss (comme freshrss ou un autre)

j’ai apprécié cette application durant mon utilisation , même si je préfère “ EasyRSS “ car il est relié à freshrss , mais je l’utilise un peu pour différencier ma veille , même si en même temps je veille beaucoup moins.

Personnellement je me suis tourné vers les lecteurs de flux rss libre après la fermeture de “google reader”.

Je ne  pensais pas retrouver aussi bien voir mieux que celui de google.

Ce n’est pas le seul lecteur de flux rss sur android libre ou opensource mais c’est sans conteste un des meilleurs.

Et vous utilisez vous ce genre d’application pour lire vos flux rss sur votre androphone ?

Ies autorisations

Photos/multimédia/fichiers

Espace de stockage

Autre

spaRSS (Gratuit, Google Play) →

Liens ;

Projet github

Téléchargement (Play store)

Téléchargement (Fdroid)

Gravatar de wilfried caruel
Original post of wilfried caruel.Votez pour ce billet sur Planet Libre.

Framablog : Storify est mort. Longue vie à…

jeudi 3 mai 2018 à 12:51

Storify.com, service bien pratique qui permet de construire des histoires sous forme de pages web, à partir d’éléments divers (textes, tweets, vidéos, etc), fermera ses portes le 16 mai 2018. Framasoft, accompagné par d’autres acteurs, met à disposition une pré-version d’un logiciel permettant à des millions d’utilisateurs et utilisatrices, de ne pas rester sur le carreau.

Le jour où tout s’est arrêté

C’est l’histoire d’un tweet qui croise un autre tweet.

Au premier coup d’oeil, c’est l’amour, ils décident de vivre ensemble. Rien de trop ronflant au début, un petit fil sur Twitter ira bien. Mais la relation s’épanouit et ils décident un beau jour de sauter le pas, d’officialiser leur union : ils veulent vivre ensemble pour le reste de leurs jours et s’afficher au grand jour, pas juste auprès de leurs copains sur Twitter.

Comment faire ?

Storify ! Les deux tweets peuvent vivre au chaud sous un joli toit commun, avec pignon sur rue, et même inviter leurs amis… Enfin une vie hors de Twitter ! Tous les internautes peuvent désormais les trouver facilement, la maison est agréable à vivre, une unité, une esthétique… et pour ne rien gacher, le loyer est gratuit. Imaginez un peu ça : chauffage inclus, été comme hiver, tout ça pour que vos gazouillis un peu fouillis ne finissent plus en vague bouillie dans le Cyber-oubli… mais qu’ils soient lus et relus pour toute l’éternité !

Storify - Esther Vargas - CC-by-sa 2.0

Storify – Esther Vargas – CC-by-sa 2.0

Enfin presque.

Car l’éternité se raccourcit : le propriétaire du lotissement annonce qu’il vend tout. Adieu veau, vache, cochon, couvée de tweets… il va falloir trouver ailleurs où se loger. Storify ferme.

Le jour où tout a recommencé

C’est l’histoire d’un autre tweet, celui de Silvère Mercier, qui réagit à cette annonce :

J’apprends avec horreur que storify va fermer en mai 2018 L’impression qu’une partie de ma vie aussi, triste que ce magnifique outil de curation n’ait pas trouvé de modèle ! 😞😤😢 Tragédie du code fermé, les convaincre d’ouvrir pour en faire un communs ! https://t.co/hY5U1EaxML

— Silvère Mercier👇 (@Silvae) 13 décembre 2017

Framasoft, qui passait par là, propose de « voir ce qui existe dans le libre » et de créer un « commonstory » : une sorte de lotissement en co-gestion où les murs appartiendraient à tout le monde.

Yannick François, qui passait aussi par là, mets la DINSIC dans le coup en lui faisant le joli compliment d’être un peu « les framasoft de l’état » (sic). Mais au fait, c’est quoi la DINSIC ? C’est la « Direction interministérielle du numérique et du système d’information et de communication de l’État » – merci Wikipédia ! Oui… mais encore ? Eh bien c’est un peu la DSI des DSI ministérielles, la direction qui anime la transformation numérique de l’État, et la politique d’ouverture des données publiques est portée par l’une de ses missions, Étalab. D’accord… mais quel rapport avec le logiciel libre ? C’est simple : depuis la loi pour une République numérique de 2016, les logiciels produits par l’administration publique sont des documents administratifs qui doivent être « ouverts par défaut », ou « open source par défaut », comme l’explique très bien Lionel Maurel. (Si vous n’avez pas encore senti que mon ton devient corporate, ça ne saurait tarder : je travaille en ce moment pour la mission Étalab de la DINSIC.)

Et donc Henri Verdier, qui dirige la DINSIC, répond… « Go ! » et met Laurent Joubert sur le coup pour suivre le dossier.

Merci du compliment. Pourquoi pas soutenir ? Contactez nous ;)

— _DINSIC (@_DINSIC) 17 décembre 2017

Quelques semaines plus tard, nous nous retrouvons dans le bureau de Laurent avec Silvère, Pierre-Yves, Thomas Citharel (développeur chez Framasoft) et moi-même, fraîchement embarqué dans le programme Entrepreneur d’intérêt Général (EIG). Nous faisons un point sur le travail de Thomas qui a déjà développé un prototype nommé « Storia » permettant de créer un compte et de sauvegarder les « stories » de feu Storify.com. Il manque la peinture et le chauffage, mais c’est un super début, nous décidons de repartir de là.

Voici les besoins dont Thomas nous fait part : rencontrer de vrais utilisateurs, travailler sur le design, anticiper l’évolution et la maintenance du projet pour la suite.

Comment faire ? Nous proposons de faire un garagethon.

– Un quoi ? !

Un garagethon ! C’est comme un hackathon sauf qu’on travaille pour de vrai et que le nombre de personnes est limité au nombre de celles qui tiendraient dans un garage, soit une douzaine. (Toute ressemblance avec cette vision de quelques « gus dans un garage » n’est pas fortuite.)

Nous voici donc partis pour l’organisation d’une journée le 30 mars. Nous mobilisons nos contacts : Silvère pour trouver des utilisateurs aguerris, Thomas pour contacter des développeurs Elixir, le langage dans lequel est développé la partie serveur du projet, Pouhiou pour trouver des concepteurs UX/UI et des graphistes, moi-même pour mobiliser des volontaires du programme EIG qui s’intéresseraient à VueJS pour le développement de l’interface Web.

La jour du Garagethon

Nous passons notre garagethon dans les locaux du Liberté Living Lab, nous avons pu y réserver une salle pour toute la journée. La salle est spacieuse et agréable, avec un espace à l’écart pour ceux qui souhaitent travailler en petit groupe.

Nous voici donc dans notre « garage » : Arnaud Rachez (datascientiste, EIG), David Panou (datascientiste, EIG), Gaël Dauvillier (BPI), Isabelle Degrange (BnF), Jean-Baptiste Le Dévéhat (concepteur UX/UI, EIG), Laurent Joubert (DINSIC), Louis Vinet (concepteur UX/UI), Silvère Mercier (ex-BPI), Tam Kien Duong (DINSIC), Thomas Citharel (développeur, Framasoft), Tristram Gräbener (ex-EIG, Codeurs en Liberté), Vincent Lara (Codeurs en Liberté), Xavier Damman (à distance, Open Collective).

Nous commençons la matinée par des présentations rapides, puis nous nous attaquons illico à l’exploration de storify.com, en tâchant d’expliciter nos besoins et notre expérience en tant qu’utilisateurs.

Ensuite, Thomas nous fait un point sur le prototype qu’il a développé, et nous commençons à y projeter les besoins évoqués plus tôt.

Après quelques pizzas bien méritées, nous avons une longue et intéressante entrevue à distance avec Xavier Damman, fondateur de Storify actuellement investi dans le projet Open Collective, dont le but est d’aider des projets ouverts à assurer leur financement… collectivement. Cet entretien permet de mettre le doigt sur des aspects structurants pour le projet qui nous occupe :

Après cette entrevue captivante, nous nous répartissons en groupes : certains pour travailler sur des maquettes, d’autres sur l’exploration du code, d’autres encore sur la création d’éléments de documentation et d’un mini-site pour le projet, etc.

Maquette pour la création d'une liste pour Storia

Maquette pour la création d’une liste pour Storia, © Louis Vinet

Le jour d’après

Et maintenant ?

Aujourd’hui, Framasoft annonce la sortie d’une version beta (= « en travaux ») de Framastory, un service pour vous permettre de sauvegarder vos anciennes Stories, destiné à évoluer avec vos retours, vos contributions. Attention : peinture fraîche ! Le calendrier nous presse car le site storify.com ne sera plus accessible à partir du 16 mai. Prenez bien note que pour l’instant, l’énergie a été concentrée sur le fait que vous puissiez importer vos stories existantes depuis Storify dans Framastory. La création de stories/picks dans Framastory est possible, mais encore très très largement « en travaux ». Les fonctionnalités et l’interface seront améliorées dans les semaines et mois qui viennent, mais Framasoft préfère publier le logiciel immédiatement, afin d’éviter aux utilisateurs et utilisatrices de Storify de perdre les heures passées à bichonner leurs stories.

 

Insérer un tweet dans une story, sur Framastory.org

Insérer un tweet dans une story, sur Framastory.org

 

D’autre part, Thomas Citharel publie un nouveau logiciel nommée PickWeaver, qui est le logiciel faisant tourner ce nouveau service.

Page d'accueil du logiciel PickWeaver

Page d’accueil du logiciel PickWeaver

PickWeaver est en version beta : comme pour tous les projets de Framasoft, les contributions sont les bienvenues !

Voici comment vous pouvez aider :

Voilà. À vous de jouer ! Découvrez la nouvelle version d’un service de curation qui vous a été indispensable ou un nouveau service qui vous sera sûrement utile. Partagez avec nous les idées que vos avez pour rendre ce projet viable sur le court, le moyen, le long terme.

J’en profite ici pour remercier chaleureusement tous les participants de ce premier garagethon : l’ambiance était à la fois conviviale et productive, cela laisse augurer de belles choses pour la suite. Mention spéciale à Laurent Joubert qui nous a sustenté le midi.

Et n’hésitez pas à nous rejoindre si vous voulez contribuer.

Ce n’est qu’un combat, continuons le début !

Gravatar de Framablog
Original post of Framablog.Votez pour ce billet sur Planet Libre.

Damien Pobel : Veille de la semaine #18 de 2018

jeudi 3 mai 2018 à 12:12

(En plus du flux RSS global, les billets veille et uniquement ceux là sont listés dans le flux RSS veille)

Gravatar de Damien Pobel
Original post of Damien Pobel.Votez pour ce billet sur Planet Libre.

Full Circle Magazine FR : Mieux vaut tard que jamais

mercredi 2 mai 2018 à 14:52

Bonjour,

L'équipe du FCMfr est heureuse de vous présenter le numéro 131 en français, bien mis en page et presque sans erreur ou coquille. Nous essayons de faire un travail de "pro", mais nous ne sommes que trois. D'accord, nous sommes tous en retraite et vous devez penser que nous avons « tout notre temps ». À cela, je dirais « Quid de la famille ? Quid de nos vacances à nous ? Quid de journées ensoleillées où nous n'avons envie de rien faire à part profiter du jardin ou des parcs dans les environs ». Jusqu'à présent, je pense que je peux dire que nous avons appliqué la philosophie de l'Open Source à la lettre, à savoir fait ce que l'on veut quand on peut. Mais, là, ça devient très, très difficile...

Pour pouvoir sortir une revue de la qualité voulue, il faudrait nettement plus de relecteurs sérieux : pas besoin de connaître l'anglais - une anglophone -moi - vérifie toutes les traductions (que de temps passé à cela !) ; mais il faut savoir lire ce qui est écrit et connaître la grammaire et l'orthographe française. Rassurez-vous, vous avez droit à vos dictionnaires pour cet exercice et, croyez-moi, les relecteurs que nous sommes les utilisent très, très souvent.

Sans aide, le moment viendra où nous prendrons notre retraite, bien méritée, du FCM. Si la version française est chère à votre cœur, trouvez, s'il vous plaît, le temps de venir nous aider régulièrement.

Merci.

Le numéro 131 est disponible sur notre page NUMÉROS ou, directement, en cliquant sur la photo de couverture ci-dessous. N'hésitez pas, car il est rempli d'articles intéressants et, parfois, étonnants même. Je vous laisse les découvrir tout seul...

issue131fr.png Bonne lecture,

Bab, notre scribeur, AE et d52fr, les traducteurs, et AE, Bab et d52fr les relecteurs. Avant d'être incorporé dans le PDF chaque article fut relu par deux personnes différentes. Avant la sortie du PDF final, chaque article fut relu, puis vérifié, version après version, par nous trois. On fait du bon boulot, mais nous sommes au bord du burn-out...Si vous voulez qu'une version en français du FCM continue à paraître, venez nous aider.

Gravatar de Full Circle Magazine FR
Original post of Full Circle Magazine FR.Votez pour ce billet sur Planet Libre.

Articles similaires

Guillaume Kulakowski : Fedora 28 est là !

mardi 1 mai 2018 à 19:43

C’est aujourd’hui que le projet Fedora, après une phase de développement de plus de 6 mois, vient de libérer le 28ème opus de la distribution Linux Fedora. Comme d’habitude, vous pouvez consulter la liste complète des changements sur le wiki du projet : Fedora 28 Changeset. On y remarquera rapidement : GNOME 3.28, GCC 8, […]

Cet article Fedora 28 est là ! est apparu en premier sur Guillaume Kulakowski's blog.

Gravatar de Guillaume Kulakowski
Original post of Guillaume Kulakowski.Votez pour ce billet sur Planet Libre.