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Angristan : Configurer un sous-domaine Apache

lundi 16 février 2015 à 14:17

L'article Configurer un sous-domaine Apache a été publié sur Angristan.

Ça fait déjà plusieurs fois que je voulais ajouter un sous-domaine à mon site, mais je n’ai jamais trouvé d’explication ou de tutoriel simple pour le faire, et pourtant ce n’est pas si compliqué.

Ce tutoriel sert donc à la fois de mémo mais aussi d’aide pour ceux qui souhaitent configurer un sous-domaine sans se prendre la tête.

 

Pour ce tuto vous devrez avoir :

 

Prenons un exemple : je souhaite que le sous domaine “dossier.angristan.fr” pointe sur “/var/www/angristan.fr/lesite/mondossier

 

> Configuration du domaine et des DNS

 

Mon nom de domaine est chez OVH, je vais donc sur l’interface de mon nom de domaine, dans la zone DNS, puis j’ajoute une entrée de type A.

Un CNAME marche aussi mais je préfère A puisque cela fait une requête DNS en moins. Si vous souhaitez faire pointer sur un domaine choisissez CNAME et si vous voulez faire pointer sur une IP choisissez A.

 

Configurer un sous domaine Apache

Configurer un sous domaine Apache

 

Il se peut que le sous-domaine ne soit pas actif de suite, vous devez attendre la propagation des DNS.

 

> Configuration d’Apache

 

Pour que Apache prenne en compte votre sous-domaine, il faut lui rajouter un VirtualHost.

Connectez-vous en SSH et tapez :

sudo nano /etc/apache2/sites-available/dossier.angristan.fr

Et rajoutez ces lignes  :

        ServerName dossier.angristan.fr
        DocumentRoot "/var/www/angristan.fr/lesite/mondossier

Ce sont les données de base d’un VirtalHost. Je vous laisse rajouter les lignes supplémentaires (ex: les logs) qui correspondent à votre configuration (vous pouvez vous inspirer de votre site principal).

 

Ensuite, activez votre site et redémarrez Apache:

sudo a2ensite dossier.angristan.fr
sudo service apache2 restart

Pour désactiver le site si besoin :

sudo a2dissite dossier.angristan.fr

 

Et normalement, votre sous-domaine devrait bien pointer là ou vous l’avez indiqué :)

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Angristan : Configurer un sous-domaine Apache

lundi 16 février 2015 à 14:17

L'article Configurer un sous-domaine Apache a été publié sur Angristan.

Ça fait déjà plusieurs fois que je voulais ajouter un sous-domaine à mon site, mais je n’ai jamais trouvé d’explication ou de tutoriel simple pour le faire, et pourtant ce n’est pas si compliqué.

Ce tutoriel sert donc à la fois de mémo mais aussi d”aide pour ceux qui souhaitent configurer un sous-domaine sans se prendre la tête.

 

Pour ce tuto vous devrez avoir :

 

Prenons un exemple : je souhaite que le sous domaine “dossier.angristan.fr” pointe sur “/var/www/angristan.fr/lesite/mondossier

 

> Configuration du domaine et des DNS

 

Mon nom de domaine est chez OVH, je vais donc sur l’interface de mon nom de domaine, dans la zone DNS, puis j’ajoute une entrée de type A.

Un CNAME marche aussi mais je préfère A puisque cela fait une requête DNS en moins. Si vous souhaitez faire pointer sur un domaine choisissez CNAME et si vous voulez faire pointer sur une IP choisissez A.

 

Configurer un sous domaine Apache

Configurer un sous domaine Apache

 

Il se peut que le sous-domaine ne soit pas actif de suite, vous devez attendre la propagation des DNS.

 

> Configuration d’Apache

 

Pour que Apache prenne en compte votre sous-domaine, il faut lui rajouter un VirtualHost.

Connectez-vous en SSH et tapez :

sudo nano /etc/apache2/sites-available/default

Et en bas du fichier rajoutez :


        ServerName dossier.angristan.fr
        DocumentRoot "/var/www/angristan.fr/lesite/mondossier"

Enregistrez le fichier et redémarrez Apache:

sudo service apache2 restart

 

Et normalement, votre sous-domaine devrait bien pointer là ou vous l’avez indiqué :)

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Cyrille BORNE : Proxmox c'est très bien mais ...

lundi 16 février 2015 à 12:00

Du fait d'être frustré par mes "ennuis" VDSL, je passe mes nerfs sur mon serveur et j'ai donc installé proxmox. Proxmox c'est concrètement virtualbox en distribution Linux, je m'explique. Je suis sous Linux et j'ai lancé Windows au travers de Virtualbox, c'est rigolo. Imaginez désormais un serveur sur lequel le système d'exploitation se limiterait à virtualbox, bon c'est pas virtualbox mais c'est pareil. Vous faites donc une installation serveur traditionnelle, c'est une couche debian, et au reboot vous arrivez sur une invite. Vous vous connectez par le biais de la passerelle en 192.168.1.x:8006 pour arriver aux écran ci-dessous :

 

L'utilisation est vraiment basique, vous chargez les isos, vous paramétrez la machine virtuelle au niveau hardware et c'est parti, vous avez une nouvelle fenêtre de navigateur qui vous montre l'installation de la distribution, ici j'ai fait le choix d'ipfire. Attention pour le fonctionnement d'ipfire, par défaut il ne m'a pas activé la deuxième carte réseau, il faut le faire, et donc créer une deuxième carte virtuelle vmbr1 que j'ai associée sans IP à eth1 et qui est liée à la borne Wifi. Alors effectivement Proxmox c'est très bien sauf si on n'a pas la machine avec les options de virtualisation comme c'est mon cas, il s'agit d'un optiplex 360 qui embarque un E5200 processeur sympathique mais qui n'a pas ces fameuses options. Moralité, vous aurez un message sur la prise en charge hardware qui ne fonctionne pas, qu'il faudra désactiver et là c'est le drame, ça se traîne comme un veau à bouffer le processeur pour une simple installation de distribution alors que le but c'était pour moi d'installer une debian en parallèle.

Pourquoi ? Tout simplement parce que si Ipfire est vraiment indispensable à mon domicile pour le contrôle parental, je trouve qu'il est trop limité, les versions de Owncloud pour exemple défilent et on reste en version 6. Si actuellement cela ne pose pas de problème, ça pourrait devenir tendu d'ici quelques temps. L'idée c'était de supprimer Owncloud et de revenir à des produits individuels comme Baikal pour la gestion du calendrier et des contacts pour synchroniser par dav. Je vous renvoie d'ailleurs vers l'article de Idleman très complet sur l'installation, déplacer mon serveur jabber de mon poste, etc ... Contrairement à ce qui est noté dans le commentaires, vous ne pouvez pas faire du caldav chez o2switch et pour preuve : Bonjour, Est ce qu'il y a un moyen de synchroniser le calendrier dans Horde par caldav ? Merci Cyrille BORNE et la réponse Bonjour, Malheureusement caldav ne sera pas exploitable dans le contexte d'hébergement mutualisé o2switch. Cordialement, Merci de votre confiance envers nos services, Vous souhaitant une agréable journée, Alexandre.

Conclusion et moralité

Pour faire de l'autohébergement il faut des connaissances du tonnerre, une machine adaptée et une vraie ligne internet bien sûr et pas du 56k. Voyez pour exemple, si j'avais des connaissances du tonnerre je ferai un serveur debian tout seul comme un grand qui ferait tout, j'ai fait un essai et je bute sur la partie dhcp pour faire communiquer les deux cartes entre elles. L'intérêt d'avoir une machine proxmox c'était de faire des choses simples et que je maîtrise, ma solution ipfire pour faire régner l'ordre et la terreur dans le foyer, et un petit serveur web de l'autre côté. J'aurai pu éventuellement compenser avec mon hébergement mutualisé mais malheureusement il est bridé (mot du moment), si bien que je ne peux pas. Moralité il faudrait penser à un serveur dédié qui permet de tout faire, qui a une bp de folie et un prix pas si onéreux. Toutefois on se retrouve dans des problématiques similaires quant aux connaissances mais aussi sur les informations personnelles qui ne sont pas chez soi.

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Wooster by CheckmyWebsite : Plugin Check my Website pour Wordpress

lundi 16 février 2015 à 07:00

Après le premier plugin pour récupérer les données de votre compte Check my Website dans une solution comme Nagios, Shinken ou Icinga, voici un deuxième type de plugins destinés à afficher ces mêmes données dans un Système de Gestion de Contenu, aussi appelé Content Management System « CMS ».

Et pour ouvrir le bal, je vous propose de suivre l’installation et l’utilisation du plugin Check my Website pour Wordpress développé par Ludovic Valentin. L’auteur me demande d’ailleurs de préciser qu’il considère ce plugin en “beta”. Je n’ai pour ma part connu aucun problème dans son installation et utilisation comme nous allons le voir maintenant.

Installation du plugin

Avant de pouvoir utiliser le plugin, il faut récupérer l’ID Check my Website du site dont les données sont à récupérer.

Configuration au niveau console.

Vous trouvez cette information en mode avancé dans l’onglet préférences de votre site.

Sélection de l’ID du site dans la console
Sélection de l’ID du site dans la console

La page de statut pour le site doit également être activée.

Installation dans Wordpress

En attendant que le plugin soit disponible depuis le dépôt Wordpress officiel, il est possible de récupérer le code source directement sur Github.

L’installation peut alors se résumer à un

git clone https://github.com/checkmyws/checkmyws-plugin-wordpress.git

Suivi du déplacement du dossier inclus au code source vers le répertoire des plugins de votre installation Wordpress; ce qui donne dans mon cas :

mv checkmyws-plugin-wordpress/check-my-website /usr/share/nginx/html/wp-content/plugins/

Rien de plus à faire à part activer le plugin ainsi installé depuis l’interface d’administration de votre installation Wordpress.

Activation du plugin dans Wordpress
Activation du plugin dans Wordpress

Paramétrage du plugin

Il suffit de se rendre maintenant dans le menu Réglages de votre interface d’administration Wordpress et sélectionner Check my Website pour effectuer les réglages propres au plugin.

Réglages du plugin dans Wordpress
Réglages du plugin dans Wordpress

Une fois ces réglages terminés, il n’y a plus qu’à profiter !

Utilisation du plugin

Le plugin est plutôt complet puisqu’il propose à la fois un tableau de bord et un widget pour la partie administration mais aussi un widget et un shortcode pour afficher les données sur la partie publique du site Wordpress.

Visualisation des données

Un tableau de bord complet et un tableau de bord sous forme de widget sont disponibles pour affichage dans la partie administration de Wordpress.

Widget Check my Website pour le tableau de bord dans Wordpress
Widget Check my Website pour le tableau de bord dans Wordpress

Pour voir le tableau de bord complet, il faut se rendre dans le menu Tableau de bord et sélectionner Check my Website ou cliquer Dashboard dans le widget présenté précédemment.

Tableau de bord Check my Website dans Wordpress
Tableau de bord Check my Website dans Wordpress

Trois onglets vous permettent d’afficher les principaux compteurs mais aussi les événements survenus sur votre site ainsi que les graphiques montrant les évolutions des données dans le temps.

Utilisation du shortcode

Un shortcode dans le jargon Wordpress est un bout de code qui permet de créer des macros utilisées dans le contenu d’articles.

Ainsi, dans notre contexte, utiliser le shortcode suivant dans un article :

[cmws url=true state=true yslow=true latest=true]

permet d’afficher dans cet article

Affichage du shortcode dans Wordpress
Affichage du shortcode dans Wordpress

Utilisation du widget

Un widget accompagne également ce plugin pour créer un affichage des données dans la barre latérale ou tout autre zone de votre blog Wordpress acceptant les widgets, ce qui dépend du thème.

Rendez-vous dans le menu Apparence -> Widgets de l’interface d’administration pour effectuer le paramétrage du widget Check my Website.

Réglages du widget Check my Website dans Wordpress
Réglages du widget Check my Website dans Wordpress

Ces réglages donnent le widget suivant à l’affichage sur Wordpress, en fonction du thème sélectionné bien sûr.

Widget Check my Website dans Wordpress
Widget Check my Website dans Wordpress

Pour conclure

Comme tous les plugins Check my Website, celui-ci fonctionne à partir de n’importe quel type d’abonnement au service, à l’exception des comptes gratuits qui ne peuvent pas utiliser l’API nécessaire à la récupération des données.

Ce type de plugin permet vraiment d’intégrer les données recoltées par Check my Website directement dans Wordpress. C’est un vrai confort de ne pas avoir à se connecter à la console pour suivre l’évolution des performances de son site et d’utiliser son logiciel habituel en lieu et place. Si vous avez un site fabriqué avec Wordpress, ne passez pas à côté !

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Planet Libre : Brèves du Planet Libre - lundi 16, février 2015

lundi 16 février 2015 à 00:00

LibreOffice 4.4 : sous le capot - LinuxFr.org



antistress : Toujours intéressant de plonger dans les coulisses d'un projet (cela fait quelques temps que Michael Meeks nous gratifie de ces points détaillés, que LinuxFR relaie en français [1]).

[1] Cf les dépêches des versions précédentes : http://linuxfr.org/news/libreoffice-4-3-est-sorti, http://linuxfr.org/news/libreoffice-4-2-0-est-disponible, http://linuxfr.org/news/sous-le-capot-de-la-beta-libreoffice-4-1


Penguin Foundation Australie : Des Pulls en Laine pour Sauver les Manchots - MaxiTendance

Linux


antistress : "La Penguin Foundation située sur l’île Philipp dans l’Etat de Victoria en Australie a une manière singulière de venir en aide et de sauver les manchots touchés par les marées noires puisqu’elle leur tricote des pull-overs". Un peu de culture sur nos amis manchots...


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