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Framablog : Sortie du livre La renaissance des communs de David Bollier

lundi 3 février 2014 à 09:58

Les biens communs, parfois appelés les communs tout court, constituent une originale et salutaire grille de lecture d’un monde en pleine mutation économique, sociale, politique et écologique.

À la fois exemple emblématique et modèle à suivre, les logiciels libres en font tout naturellement partie.

C’est pourquoi la sortie de la traduction française du livre « La renaissance des communs - Pour une société de coopération et de partage » de David Bollier est une excellente nouvelle (tout comme le choix de la licence libre CC By-SA). On peut se le procurer pour 19 euros aux éditions Charles Léopold Mayer.

Nous vous en proposons ci-dessous la préface d’Hervé Le Crosnier.


La renaissance des communs - David Bollier


Préface d’Hervé Le Crosnier

La lecture du livre que vous avez entre les mains provoque un profond sentiment de joie, on y sent quelque chose qui pétille et qui rend l’espoir. Avec son style fluide (et excellemment traduit), David Bollier nous emmène dans un voyage du côté lumineux des relations humaines. Non que les dangers, les enclosures, les menaces sur les perspectives mondiales soient absents. Il s’agit bien d’une critique de la société néolibérale, de la transformation du monde sous l’égide d’un marché juge et arbitre des équilibres, et d’une critique de la façon dont les Etats baissent les bras devant les forces des monopoles privés. Mais cette critique se fait à partir des perspectives, des mouvements qui inventent ici et maintenant les utopies capables d’ouvrir les fenêtres et de faire entrer le vent joyeux d’une histoire à venir. La richesse des communs s’appuie sur leur longue histoire, rendue invisible par la suprématie du modèle économique individualiste. Mais c’est au futur que les communs peuvent offrir une architecture collective pour résister aux crises, économiques, sociales, politiques et écologiques, que nous connaissons.

Nous avions besoin d’un tel livre, à la fois accessible et pénétrant. Vous y reconnaîtrez les mouvements qui animent la planète internet comme la persistance des pratiques sociales collectives qui remontent du fond des âges. Vous y découvrirez un bouillonnement d’activités qui ont toutes pour point central l’investissement personnel des acteurs et la volonté de construire ensemble, de faire en commun. Les communs sont avant tout une forme d’organisation sociale, une manière de décider collectivement des règles qui permettent d’avoir une vie plus juste, plus équilibrée. Un buen vivir comme disent les latino-américains, c’est-à-dire l’exact opposé de la tendance à transformer tout en marchandise et à réduire l’activité des humains à l’expression de leurs intérêts personnels immédiats. L’homo economicus qui hante les réflexions politiques et économiques depuis John Locke et Adam Smith se trouve réduit à son squelette : une fiction qui sert à justifier la domination d’un marché qui pense pouvoir couvrir tous les champs de l’activité humaine et qui fabrique la soumission des pouvoirs publics à son ordre et son idéologie. Au travers des multiples exemples de construction de communs qui servent de support au raisonnement de David Bollier se dessine au contraire une conception des individus autrement plus complexe, et vraisemblablement plus conforme à la réalité. Si l’intérêt personnel est bien, et ce serait absurde de le nier, un des moteurs de l’action, ils est loin d’en constituer l’alpha et l’oméga. À côté, contre, en dehors et en face, les humains savent montrer des appétences à la sociabilité, au partage, à l’altruisme, à la coopération. L’homme est certainement sociabilis avant d’être economicus.

L’étude des communs, au travers de tous les exemples concrets présentés dans ce livre, nous montre qu’il y a des comportements collectifs, des normes sociales qui dépassent la seule addition des comportements individuels sur laquelle se base l’économie néo-classique. Quand Margaret Thatcher déclare « There’s no such thing as society », une phrase qui va servir de leitmotiv à toute la période néolibérale qui s’ouvrait alors, elle nie les évidences issues des pratiques quotidiennes pour les remplacer par une fiction. Les comportements des individus dans les situations les plus difficiles, la construction de ce que David Bollier appelle « les communs de subsistance » nous montre au contraire que la logique du « faire ensemble », la question de l’équité du partage, et la volonté de s’en sortir collectivement sont au contraire les ressorts des populations les plus démunies ou confrontées à des situations de crise.

Car contrairement aux mythes néo-classiques, les gens se parlent, s’organisent, font émerger des règles et se donnent les moyens de les faire respecter. Les communs ne sont ni des phalanstères, isolés et protégés du monde extérieur, ni des espaces sans droit, où chacun pourrait puiser à sa guise. La fable d’un commun abstrait qui serait ouvert à tous, sert de cadre aux réflexions de Garett Hardin sur la « tragédie des communs », mais ne ressemble nullement aux espaces dans lesquels vivent réellement les humains. On trouve certes des communs trop larges pour qu’on puisse en assurer aisément le contrôle. Ceux-ci apparaissent ouverts et sont vite dégradés par l’avidité marchande : épuisement des ressources, pollution, mépris des populations… Loin de constituer un domaine public, ces communs universels sont investis rapidement par les plus fortunés, les plus actifs, les plus influents, ne laissant que des miettes aux populations. Une situation qui conduit inéluctablement à une mainmise monopolistique et à la destruction des équilibres naturels.

Le mouvement des communs s’est souvent appuyé sur des actions locales, sur des analyses ponctuelles, sur des collectifs de taille maîtrisable. Ce n’est que récemment, suite à l’expérience de la constitution et du maintien de l’internet par une vaste population mondialement répartie, que nous considérons des ressources globales comme des communs universels. C’est au travers de l’étude de ces communs universels que David Bollier avance une proposition innovante de relation entre les communautés concernées et les structures étatiques. On connaît bien les porosités qui existent entre le marché et les communs, par exemple en regardant les logiciels libres, internet ou la production coopérative. La relation entre les communautés qui protègent, partagent et maintiennent des ressources et les États est plus complexe. Ceux-ci, depuis les révolutions du XVIIIe siècle se considèrent investis, par l’élection démocratique, de ces mêmes missions, et s’imaginent « propriétaires » du domaine public. David Bollier avance l’idée d’un autre type de contrat, une « garantie publique », qui rend les États (et les autres structures publiques, locales ou supranationales) garants des communs considérés et non décideurs. Il s’agit d’assurer aux citoyens investis que la décision définitive sera bien dans les mains de tous. L’autorisation d’exploiter, et souvent de sur-exploiter, ces communs universels ne pourra plus être donnée aux corporations et aux industries dominantes sans que les populations n’y soient associées. Cette proposition d’une relation complexe qui viendrait changer les modes de gestion de l’économie par les États apparaît comme une manière de contrer la montée de l’extractivisme, la destruction des environnements ou la mainmise sur le vivant et la biomasse. Elle renforce par ailleurs la pratique démocratique en accompagnant la délégation par l’action collective. Il s’agit d’articuler l’expérience acquise dans la gestion de communs locaux avec le besoin d’une gouvernance mondiale renouvelée pour faire face aux enjeux de notre siècle. Nourrir bientôt neuf milliards d’humains, s’adapter au changement climatique, répartir les richesses à l’échelle de la planète, et fondamentalement éviter que les logiques d’inégalités qui sont aujourd’hui dominantes ne nous conduisent à des explosions guerrières ou des conflits économiques dont les populations feront les frais, rend nécessaire cette activité en commun.

Les communs, de l’échelle locale à l’échelle globale, sont la source d’une nouvelle conception de la richesse, qui ne se mesure plus en PIB ou en obligations boursières, mais s’évalue en fonction de la capacité des humains à vivre ensemble. Nous y apprenons à partager ce qui est disponible, et à inventer les formes sociales, les règles, les critères qui favorisent l’investissement de chacun dans l’intérêt de tous. C’est cette joie des communs qui transparaît tout au long de l’ouvrage de David Bollier. Il ne s’agit jamais de solutions clés en main, de rêves d’une humanité parfaite, mais bien de la nécessité de faire avec les humains imparfaits que nous sommes pour construire des sociétés inclusives, égalitaires. Comment partager les fruits de la nature et de la connaissance, protéger les ressources rares et travailler à étendre sans cesse les ressources inépuisables de la connaissance et de la culture grâce à de nouvelles formes d’organisation de la vie collective ? David Bollier, au long de ce livre ne cesse d’appuyer cette force humaniste sur des exemples concrets émanant de communautés engagées dans la construction et la défense de communs. C’est la force « d’utopie pragmatique » des communs qui s’exprime au long de ces pages. Sachons nous en emparer pour renouveler notre imaginaire politique.

Hervé Le Crosnier est enseignant-chercheur à l’Université de Caen. Sa recherche porte sur les relations entre Internet, et plus généralement le numérique et la société. Il travaille également sur la théorie des biens communs, et sur la communication scientifique. Il est membre de l’association Vecam.

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Progi1984 : Firefox OS : Statistiques sur le Marketplace

lundi 3 février 2014 à 09:30

Le Marketplace est l’outil par lequel sont distribués les applications pour Firefox OS. Comme chez Mozilla, ils font cela avec classe, le code du Marketplace est fourni, mais un export des applications du Marketplace est aussi disponible. Et si on faisait quelques statistiques sur le Marketplace ?

Informations

D’après la documentation, seuls les applications publiques sont exportées dans le dump journalier. Dans ce dump (fichier tar.gz), se trouvent tous les fichiers obtenues par requête GET sur le marketplace. Dès lors, de nombreuses informations sont disponibles. Ces informations évoluent au fur et à mesure que le code du Marketplace évolue. Arrêtons le blabla… et passons aux statistiques.

Evolution Globale

Voici l’évolution du nombre d’applications publiques sur le Marketplace :
Firefox OS Marketplace : Evolution du nombre d’applications

Evolution par type

Firefox OS Marketplace : Evolution du nombre d’applications par plate-forme

Depuis le lancement en Juin 2013, on voit bien que le nombre d’applications par plate-forme augmente.
On remarque surtout que du côté de la plate-forme Firefox OS, le nombre passe du simple au double par rapport aux autres plate-formes, et début février, le nombre d’applications pour Firefox OS est passé le triple des autres plate-formes.
De plus, depuis novembre 2013, le nombre d’applications publiques diminuent et ont augmenté en février 2014.

Firefox OS Marketplace : Evolution du nombre d’applications par type Package ou Hosted

Les différents types d’applications sont : hosted, privileged ou packaged.
Les applications privilégiés sont apparus au mois de Septembre 2013.
Les applications packaged ont plus rapidement augmentés en nombre que les applications hosted et ont gardé ce pourcentage global même après la baisse de Novembre 2013.

Firefox OS Marketplace : Evolution du nombre d’applications par type Premium ou Free

Les différents types d’applications sont : free et free-inapp, premium et premium-inapp et les autres.
Comme on peut le voir, le nombre d’applications avec paiement que ce soit in-app ou au niveau de l’application ne dépasse pas les 4%.

Firefox OS Marketplace : Nombre d’ajouts par mois

Mais pourquoi donc des applications dès février 2012 ? Tout simplement, parceque la bêta du Marketplace Firefox date de cette époque. (Source : Mozilla Blog)
En février 2013, après le Mobile World Congress et les annonces de Mozilla pour Firefox OS, la soumission d’applications augmente d’un coup.

Firefox OS Marketplace : Evolution du nombre d’applications par catégorie

Quels sont les catégories avec le plus grand nombre d’applications recensés ?
En janvier 2014, les jeux représentent plus de 19,28%, suivis par les utilitaires (13,55%), divertissement et sports (11,75%) productivité (7,91%) et infos et météo (6,79%). Les autres catégories contiennent entre 6,79% (Infos et Météo) et 1,39% (Livres et référence).

Etat actuel en Février 2014

Firefox OS Marketplace : Répartition du nombre de votes
En février 2014, 1346 applications ont reçu des votes (1725 aucune).
Sur ces applications, la note moyenne (la note de chaque application divisé par le nombre d’applications) est de 1,693 sur 5.

Firefox OS Marketplace : Répartition géographique de la langue principale
Quelle langue par défaut est la plus répandue ?
Tout d’abord, la langue par défaut principale est l’anglais (en-US : 74,17%), suivis par l’espagnol (es : 11,93%), le portugais (pt-BR : 3,24% – pt-PT : 2,03%), l’allemand (de : 2,16%), le polonais (1,7%) et le français (fr : 1,27%).
Les autres langues ne dépassent pas 1%.

Conclusion

De nombreuses questions se posent après ces statistiques :

Si vous avez des informations, je reste ouvert à améliorer cet article.

Source : Firefox Marketplace API : Export

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Planet Libre : Brèves du Planet Libre - lundi 03, février 2014

lundi 3 février 2014 à 00:00

Un accord secret pour arrêter les voitures à distance d'ici 2020 - Numerama

DRM pistage voiture europe


antistress : "Le Comité permanent de sécurité intérieure (COSI) a approuvé un programme confidentiel de coopération police-industrie, qui a pour ambition d'obliger les constructeurs automobiles à installer en série un dispositif permettant d'arrêter les véhicules à distance."


[EN] Accessing YouTube - GNU/Linux Libre User Group sur gluglug.org.uk

logiciel VLC flash astuce vidéo


antistress : Lire ou télécharger une vidéo d'à peu près n'importe quel site sans Flash... Le plus simple pour les lire à mon avis, dans les méthodes proposées, et d'ouvrir les liens dans VLC ("Ouvrir un flux réseau") en plus ça vous éviter les pubs !


Surveillance : les géants du web ont enfin droit à plus de transparence - PC INpact

pistage nsa Facebook Google LinkedIn Microsoft Yahoo


antistress : "Les annonces de Barack Obama sur la réforme de la surveillance américaine avaient beau manquer de portée, elles contenaient tout de même quelques changements importants, dont la possibilité pour les entreprises de mieux communiquer sur ce qui leur était demandé par les différents services. C’est le secrétaire de la Défense, Eric Holder, qui vient de confirmer la nouvelle politique d’information mise en place."
Dommage : "Google et Microsoft [étaient] allées jusqu’à s’associer pour déposer une plainte commune contre le département de la Justice (DoJ), avant d’être rejointes par Apple, Facebook et LinkedIn" et finalement la procédure est interrompue par un accord "entre James Cole, numéro 2 du département de la Justice, et les responsables juridiques des cinq entreprises qui avaient déposé plainte", preuve que le gouvernement craignait ce sur quoi cette procédure aurait pu déboucher.


La NSA exploite Angry Birds et autres applications mobiles pour espionner - Numerama

pistage nsa mobile


antistress : "Selon de nouveaux documents confidentiels publiés dans la presse, la NSA utilise aussi les applications mobiles comme des mouchards. Ciblant des logiciels particulièrement appréciés, comme Angry Birds ou Google Maps, l'agence de renseignement américaine est capable de récupérer des données personnelles liées à l'utilisateur ou des informations techniques sur le téléphone."


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Zeph : Patch de Rabbitvcs pour Git sur ArchLinux

dimanche 2 février 2014 à 23:42

Suite à l'utilisation de dépôts GIT j'ai rencontré un problème avec RabbitVCS

bombesous Nautilus je me retrouve avec l'emblème d'une bombe, et plus de menu RabbitVCS Git ,,,

Il se trouve que cela correspond à une erreur de RabbitVCS.

J'ai trouvé 2 patchs que j'ai rassemblé en un seul  patch j'ai appliqué ce patch sur la version 0.15.3-4 disponible sur AUR

Le problème se situe principalement dans le fichier :

/usr/lib/python2.7/site-packages/rabbitvcs/vcs/git/gittyup/client.py sur le résultat de la fonction re.match sans aucun contrôle sur le retour

--- rabbitvcs/vcs/git/gittyup/client.py.orig
+++ rabbitvcs/vcs/git/gittyup/client.py
@@ -1195,9 +1195,10 @@
         untracked_directories = []
         for line in stdout:
             components = re.match("^(Would remove)\\s(.*?)$", line)
-            untracked_path = components.group(2)
-            if untracked_path[-1]=='/':
-                untracked_directories.append(untracked_path[:-1])
+            if components:
+                untracked_path = components.group(2)
+                if untracked_path[-1]=='/':
+                    untracked_directories.append(untracked_path[:-1])
 
         #Determine the ignored files and directories in Repo
         cmd = ["git", "clean", "-ndX", self.repo.path]
@@ -1208,15 +1209,16 @@
         ignored_directories=[]
         for line in stdout:
             components = re.match("^(Would remove)\\s(.*?)$", line)
-            ignored_path=components.group(2)
-            if ignored_path[-1]=='/':
-                ignored_directories.append(ignored_path[:-1])
-                next
-            statuses.append(IgnoredStatus(ignored_path))
-            try:
-                del files_hash[ignored_path]
-            except Exception, e:
-                pass
+            if components:
+                ignored_path=components.group(2)
+                if ignored_path[-1]=='/':
+                    ignored_directories.append(ignored_path[:-1])
+                    next
+                statuses.append(IgnoredStatus(ignored_path))
+                try:
+                    del files_hash[ignored_path]
+                except Exception, e:
+                    pass
         for file,data in files_hash.items():
             ignore_file=False
             untracked_file=False

Par la même occasion j'ai appliqué le second patch sur le fichier :
/usr/lib/python2.7/site-packages/rabbitvcs/vcs/git/gittyup/command.py à fin d'être sur d'utiliser un environ avec la variable LANG="C"

--- rabbitvcs/vcs/git/gittyup/command.py.orig
+++ rabbitvcs/vcs/git/gittyup/command.py
@@ -40,11 +40,14 @@
         return returner 
 
     def execute(self):
+        env = os.environ.copy()
+        env["LANG"] = "C";
         proc = subprocess.Popen(self.command,
                                 cwd=self.cwd,
                                 stdin=None,
                                 stderr=subprocess.STDOUT,
                                 stdout=subprocess.PIPE,
+                                env=env,
                                 close_fds=True,
                                 preexec_fn=os.setsid,
                                 universal_newlines=True)

 

Cela corrige le problème et rend RabbitVCS de nouveau fonctionnel.

J'espère que ce patch sera inclut  dans la prochaine version. Pour les utilisateurs de Archlinux c'est chose faite !

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T. BRIOLET : openSUSE 13.2 décalée à novembre 2014

dimanche 2 février 2014 à 23:02

Bonjour,

Étant donné le travail que nécessite une sortie d’openSUSE afin de garantir une qualité exemplaire, les développeurs ont décidé de décaler la prochaine version d’openSUSE, la 13.2, au mois de novembre.

Cette sortie était initialement prévue cet été et tombait près de l’openSUE Conference, cela ajoute une certaine surcharge d’autant que la version 12.2 sortie un été avait parfois été critiquée comme étant moins *bonne*. De plus, les développeurs SUSE ne participent plus aux créations de paquets pour les sorties de versions majeurs. Un cycle de 12 mois a donc été proposé.

Pour la version suivante, après la 13.2, rien n’est encore décidé.

Plus d’informations ici : http://lists.opensuse.org/opensuse-factory/2014-01/msg00416.html et ici : http://lists.opensuse.org/opensuse-factory/2014-01/msg00378.html

Source : http://www.phoronix.com/scan.php?page=news_item&px=MTU4ODY

Syvolc

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