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Paquet Fedora du Jour : La GUI du Jeudi : Hamster - Une interface de suivi du temps

jeudi 11 avril 2013 à 15:00

hamsterCombien de fois vous a-t-on demandé ce que vous avez fait la semaine passée ??? Combien de fois la réponse a été : "Euh, et bien ... trou de mémoire ... :D" La solution peut se trouver grâce à Hamster, c'est une simple interface qui permet de suivre le temps passé sur des tâches. Simple rapide et efficace !

Au passage, il existe également une extension GNOME : https://extensions.gnome.org/extension/425/project-hamster-extension/

Bref l'essayer c'est l'adopter !

Installation en ligne de commande : yum install hamster-applet

Installation avec l'interface graphique : Bureau GNOME > Time tracking applet

Localisation dans le menu : Accessoires

Lancement en ligne de commande : /usr/bin/hamster-time-tracker

Site web : http://projecthamster.wordpress.com/

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Framablog : Framasoft en voyage à la rencontre du libre Québec

jeudi 11 avril 2013 à 14:18

Bien que d’origine française, Framasoft est avant tout un réseau francophone. Si bien que quand l’Europe s’endort, son activité ne s’éteint pas pour autant et les utilisateurs-contributeurs du Québec n’y sont pas pour rien ! Depuis le temps que nous échangions et travaillions avec certains d’entre eux à distance, il nous tardait d’aller enfin à leur rencontre in the real life et de constater par nous-mêmes que là-bas aussi il y a plein de signaux positifs.

Récit de voyage par notre envoyé spécial Alexis Kauffmann…

C’est au départ pour des raisons d’ordre privé que je me suis rendu quelques jours en Belle Province. Ma fille, à peine bachelière, se retrouve en effet là-bas pour y entamer des études… d’informatique (aussi bizarre que cela puisse paraître je n’y suis pour rien, ou presque).

Mais il eût été plus que dommage de ne pas en profiter pour rencontrer quelques-uns des acteurs majeurs du logiciel libre local, autanft de personnes et de structures devenues familières avec le temps et ses nombreuses communications virtuelles.

Commençons par évacuer la question du climat. Oui, c’est pas une légende, il peut faire froid ! Mais cela est compensé, comme il se doit, par la chaleur des gens ;)

Montréal - CC by

PS : Désolé, va y avoir par la suite beaucoup de photos de moi, moi et moi.


Colloque de l’AQUOPS à Québec

Première étape, le 31ème colloque de l’association AQUOPS à l’hôtel Hilton de Québec, excusez du peu, sur invitation de son très sympathique président Mario Morin (qui produit par ailleurs un excellent saumon fumé, mais là n’est pas la question). L’AQUOPS c’est l’Association Québécoise des Utilisateurs de l’Ordinateur au Primaire-Secondaire, autrement dit tout ce qui touche au développement des nouvelles technologies en éducation.

Il y avait une volonté manifeste de la part de l’association de faire une place aux logiciels libres lors de l’événement (ce qui explique aussi ma modeste présence). Ainsi parmi la pléthore d’ateliers et conférences proposés, où la mobilité et la robotique figuraient en bonne place, j’ai pu noter à un atelier sur les ressources libres (cf son descriptif mis en exergue ci-dessous), le retour d’expérience d’une profitable introduction d’ordinateurs recyclés sous Ubuntu en classe ou encore des initiations à GeoGebra et Ren’Py.

Concilier la rigidité récente de la loi sur les droits d’auteur avec la volonté de mettre les élèves en projet, voilà le défi de l’enseignant d’aujourd’hui. Les textes, les images, les photos, les vidéos, la musique et les sons doivent être libérés de droits pour l’usage scolaire. Donc, les enseignants doivent apprendre à distinguer ce qui est permis de ce qui ne l’est pas et surtout inculquer cette nouvelle compétence à leurs élèves. L’atelier vous aidera à cerner les éléments de cette compétence et vous donnera des outils pour la mettre en pratique.

Patrick Beaupré (que je remercie pour son accueil), la « mémoire du libre québécois » André Cotte, Pierre Couillard et Pierre Lachance (ci-après sur la photo), alias « les deux Pierre », du mythique (pour moi) site RÉCIT MST… leurs animateurs ne m’étaient pas inconnus et je fus ravi de faire enfin leur connaissance en chair et en os.

Pierre Lachance - AQUOPS - CC by

Pour ce qui me concerne, j’ai fait une présentation de ce que propose Framasoft en insistant sur nos services libres en ligne qui rencontrent un certain succès dans le milieu éducatif, nom de code Framacloud.

Pour rendre l’exercice plus parlant et pragmatique, je me suis risqué à créer et éditer simultanément un Framapad (où le public était invité à poser des questions écrites au fur et à mesure de mon intervention), un Framacalc (pour prendre les coordonnées des participants) et un Framindmap (pour mieux visualiser le réseau Framasoft et ses différents et nombreux projets sur une carte heuristique). Et comme si cela ne suffisait pas, j’ai lancé au même moment une traduction Framalang (cf l’arrière-plan de la photo ci-dessous) illustrant en direct live notre travail collaboratif (le résultat est ). C’était un peu le bordel, car il fallait jongler avec différents onglets, mais au final je crois que cette manière originale de faire a été appréciée.

AQUOPS - Alexis Kauffmann - CC by

La ministre de l’éducation du Québec en personne, Marie Malavoy, est venue clôturer le colloque. Non seulement elle a accordé, dans son discours, une large place à la nécessité d’utiliser et favoriser le logiciel libre dans l’éducation mais elle a également insisté sur ses valeurs de coopération et de partage.

Du coup, je suis allé la remercier en lui glissant au passage que je rêvais d’entendre de tels propos dans la bouche de son homologue Vincent Peillon ;)

Marie Malavoy et Alexis Kauffmann - CC by


Rencontre avec le président de FACIL

À Québec habite aussi Daniel Pascot, pro-actif président de l’association FACIL qui partageait le stand logiciel libre avec moi lors du colloque.

L’acronyme FACIL signifie « FACIL, pour l’Appropriation Collective de l’Informatique Libre » (comme GNU, c’est récursif, les geeks comprendront). De par leurs objectifs, leurs modes d’action et le poids réel qu’ils ont désormais dans le débat public, on peut considérer FACIL comme l’April du Québec.

Quant à Daniel Pascot, vous en apprendrez plus avec cette vidéo. Il est un des premiers à avoir proposé un cours universitaire explicitement basé sur le logiciel libre.

Daniel Pascot - FACIL - Alexis Kaufmann - CC by

Il était ravi de m’annoncer la création par le gouvernement d’un futur « centre d’expertise en logiciel libre ». Sauf que comme le souligne cet article au titre explicite Un centre d’expertise en logiciel libre, mais un contrat à Microsoft, il convient de rester vigilant.

À propos de Microsoft, ils avaient également un stand au colloque AQUOPS (puisque, business is business, ils étaient sponsor de l’événement). Je suis allé les voir en leur disant que j’étais un grand utilisateur de leurs technologies et que j’aimerais beaucoup me faire photographier devant leurs jolis panneaux. C’est l’image que nous avons utilisée pour notre poisson d’avril ;)

Stand Microsoft - Alexis Kauffmann - CC by


Visite chez Savoir-faire Linux

Après l’associatif, le monde de l’entreprise… Difficile de s’intéresser au libre québécois sans aller rendre une petite visite à Savoir-faire Linux (SFL) sur invitation de Christophe Villemer.

Vous êtes accueilli ainsi en ouverture du site :

Savoir-faire Linux, c’est une équipe exceptionnelle de plus de 60 consultants en logiciels libres basés à Montréal, Québec et Ottawa qui, depuis 1999, fournit des services de consultation, d’intégration, de développement, de soutien technique et de formation sur les technologies ouvertes.

14 ans déjà mine de rien. Et puis c’est devenu plutôt rare dans ce milieu, et ça fait plaisir, de lire « logiciels libres » et non « open source ».

Cadre agréable et ambiance conviviale, la structure est à l’image de son charismatique président fondateur Cyrille Béraud (cf photo ci-après) qui non seulement attache une attention toute particulière à ce que SFL reverse du code aux projets libres auxquels ils participent (noyau Linux compris) mais agit également sur le front politique pour faire bouger les lignes (et ça marche !).

Je ne veux ni idéaliser ni donner l’impression de verser dans la publi-information, mais si j’avais été développeur c’est dans ce genre de boîte que j’aurais aimé travailler (qui sait, ma fille, dans quelque années peut-être…).

Savoir-Faire Linux - Cyrille Béraud - Alexis Kauffmann - CC by


Petit déjeuner des Communs (Communautique)

Invité par Monique Chartrand et Alain Ambrosi, je me suis également rendu de bon matin à un « Déjeuner des communs » organisé par Communautique en plein coeur de Montréal (pour info leur déjeuner c’est notre petit déjeuner français et leur dîner notre déjeuner, ce qui génère plein d’amusants quiproquos !).

Déjeuner des Communs - CC by

Il s’agit, en gros, de réunir des personnes de bonne volonté pour discuter, voire même agir, autour de la notion de bien communs (ou Commons en anglais). Nous subissons de manière croissante des phénomènes dits d’enclosure menés par le secteur privé avec la passivité voire la complicité du secteur public. C’est donc à nous, petits citoyens plus ou moins éveillés et engagés, de nous prendre en main pour résister d’abord et proposer ensuite des nouveaux modèles de société.

Pour ce faire, on a un formidable truc à notre disposition qui s’appelle Internet. Sauf que ce dernier est menacé et c’était justement le thème central de la matinée.

Ça m’a fait repenser au drôle de contrat téléphonique de ma fille, BlackBerry Social chez Videotron, avec Facebook, Twitter et quelques messageries instantanées pour seul et unique accès au Net. Pas très neutre tout ça…

J’en ai profité un peu plus tard pour visiter les locaux de Communautique et leur dynamique Fab Lab en accès… libre. Ils n’étaient pas peu fiers de me montrer leur imprimante 3D faite maison à partir d’une RepRap ;)

Communautique - Alexis Kauffmann - CC by


Vive le Québec libre !

La conclusion sera facile et paresseuse avec ce détournement de la célèbre apostrophe du Général de Gaulle. Mais il est vrai que ça bouge bien de ce côté-ci de l’Atlantique et que je reviens plein d’énergies positives ;)

Le temps de prendre un café avec Anne Goldenberg qui réalise, ça ne s’invente pas, des très libres performances théâtrales sur l’Esthétique Relationnelle des Systèmes d’Exploitation, et l’avion m’attendait.

Rendez-vous l’année prochaine si tout va bien, et que… ma fille ne plante pas lamentablement son année de fac ;)

Montréal - CC by

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Nicolas Lœuillet : poche : retours, site et Flattr

jeudi 11 avril 2013 à 12:55

Après quelques jours de mise en ligne, petit bilan sur poche, un remplaçant open source et gratuit à Pocket, Readability, instapaper et les autres.

Je ne pensais pas qu’il y aurait autant de retours sur ce tout petit projet, c’est sûrement qu’il y a une attente, un besoin. Déjà 22 stars sur github (ce n’est pas ici le jeu de qui a la plus grosse, c’est juste un indicateur qui me permet de savoir si le projet intéresse).

logo

Avec tmos, on a pas mal bossé sur l’interface, un peu moins sur les fonctionnalités. Malgré tout le boulot fourni, on n’a pas encore l’interface idéale. poche est donc encore très instable, ce n’est pas à utiliser pour un usage quotidien : ça risque de bouger pas mal prochainement, surtout avec toutes les issues qu’on a ouvertes.

On a maintenant un petit site, sans prétention aucune : http://cdetc.fr/poche/ et la démo est dispo ici : http://cdetc.fr/poche/demo

Un compte twitter est également ouvert : https://twitter.com/getpoche

Si vous avez des idées, si vous souhaitez participer, n’hésitez pas, y’a de la place.

Si vous souhaitez soutenir le projet, on peut même le flattrer.

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Geek de France : Le libre comme alternative aux fins de support?

jeudi 11 avril 2013 à 07:00

winoffice

C’est officiel, Microsoft cessera l’an prochain le support de Windows XP et Office 2003. Dans ce contexte, certains en profitent pour proposer le logiciel libre comme sauveur des utilisateurs ainsi délaissés. Pour ma part, je pense que ce n’est vraiment pas aussi rose.

Malhonnête cette fin de support?

Microsoft l’explique clairement, si Office 2003 ne sera plus supporté c’est tout de même après un support de 10ans et la sortie de 3 versions ultérieures (2007, 2010 et 2013). Quant à Windows XP, le système d’exploitation a bénéficié d’un support de presque 14ans, un record en la matière!

findusupport

Sans vouloir me faire l’avocat du diable, je ne pense pas que beaucoup d’éditeurs (libres ou non) peuvent se targuer d’en avoir fait autant. Finalement, je suis content d’avoir encore des postes sous Windows XP dans mon parc et d’avoir devant moi 1 an pour envisager le renouvellement de leur OS. Après, il est sûr que les défenseurs du libre ont souvent du mal à accepter cette idée en entreprise : la productivité l’emporte sur les idéaux (merci de m’épargner en commentaire les points godwin potentiels pour garder une vision raisonnable du problème) et dans ce contexte Microsoft reste très bon.

Pour ma part, je trouve que la démarche de Microsoft qui cesse – assez tardivement (bon, il faut reconnaître qu’ils n’ont pas trop eu le choix puisque Vista a été un flop et qu’un renouvellement massif coûte cher) – son support est loin d’être malhonnête. Si on considère l’âge de ces logiciels et les dates de sortie de Office 2007 / Windows 7 SP1 (le 1er SP étant souvent un palier en entreprise), la majorité a réellement pu effectuer une migration sans problème vers une version ultérieure.

Le libre fait mieux en terme de support?

A la limite c’est surtout sur ce point que je trouve tendancieux de mettre en avant le libre comme alternative puisque les éditeurs open sources offrent rarement un support aussi long. Le support d’une LTS d’Ubuntu est de 5ans pour 10ans pour une Red Hat. Autant se dire que si Microsoft limite à 10ans son support, il ne fait pas pire que sa concurrence open-source, alors avec un support de 14ans…

ubuntu-release-cycle-2

Pour LibreOffice ou OpenOffice (concurrents directs et libres de Microsoft), c’est plus vague. Du moins l’information est moins accessible (traduire par je n’ai pas su la trouver et 10minutes pour trouver une info simple, c’est trop). Il semblerait que l’on soit plus sur un support sur 6 mois avec une sortie de micro-releases tous les 3-5 semaines.

LibOReleaseLifecycle

Je sais pas pour vous mais pour moi, en terme d’administration et gestion, une mise à jour tous les deux mois ça signifie cauchemar. Je m’égare peut-être et mettrais volontiers à jour cet article si des personnes avisées pouvaient m’éclairer mais je pense que cette politique de support est particulièrement difficile en entreprise (même si je reconnais son avantage de rapidité de mises à jour des bugs et évolutions demandées).

 

Le libre comme alternative de renouvellement, encore que…

Par contre, là où éventuellement le libre peut devenir une alternative viable c’est dans le renouvellement qu’implique cette fin de support. Je m’explique : une licence Microsoft Windows coûte en moyenne aux entreprises 100€/PC et Office 150€/PC. Faisant prévaloir la politique open-source, les éditeurs libres peuvent effectivement faire valoir le gain financier que peut apporter le renouvellement des licences OS+suite bureautique par un ensemble libre. Par exemple, les couples Ubuntu + LibreOffice ou Linux Mint+LibreOffice sont tout à fait exploitables en entreprise.

argent.gif

Il reste toujours que la problématique formation des utilisateurs signifie lenteurs et coût. Celle-ci peut donc rebuter bien des acteurs professionnels. Toutefois, la tendance générale constatée en entreprise est une maîtrise superficielle du système (accès aux fichiers et aux applications) et une utilisation plus poussée de Microsoft Office. Aussi, je pense que la possibilité d’utiliser GNU/Linux comme système d’exploitation est plus simple à proposer que celle de se passer de Microsoft Office.

L’idée se ferait simplement et à peu de frais de plusieurs façons possibles (je ne parle volontairement pas de la possibilité réécrire ses softs en multiplate-forme) :

Dans le premier cas, la partie logicielle n’est plus un problème puisque la solution permet l’utilisation des applications en se départissant de l’OS. C’est surtout pour la seconde solution que ça se corse. Alors, c’est vrai que l’on peut d’ors et déjà utiliser Office 2010 sous Linux grâce à Play on Linux. Pour ma part, c’est ce que je fais depuis maintenant 2mois sur ma Linux Mint et cela fonctionne très bien. Toutefois, c’est très loin d’être pro.

word2010_sous_Mint

word2010_sous_Mint2

Les rumeurs lancées en début d’année par Microsoft deviennent alors très intéressantes puisque la firme laissait penser qu’elle réfléchissait à porter Office sous Linux. Je sais que la nouvelle peine les plus fermes défenseurs du libre ou les développeurs de LibreOffice mais je la vois d’un très bon œil.

Pour beaucoup, l’open source a été découvert grâce à des initiatives libres sous Windows, je pense par exemple à l’excellent VLC. Beaucoup d’autres se refusent à passer sous GNU/Linux pour ne pas perdre leur applications préférées. Steam a récemment sauté le pas provoquant un engouement pour le système Linux. Je reste persuadé que si la suite Office de Microsoft était aussi disponible sous Linux, beaucoup de ceux qui hésitaient cesseraient de le faire!

Enfin, ce sont des idées et nous sommes encore très loin de réussir ; les pro-libres et les autres ne sachant pas s’entendre pour atteindre un tel résultat…

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Nizar Kerkeni : Multi-écran : notification sur l’écran actif

mercredi 10 avril 2013 à 17:42

Récemment, et après des années d’attentes, nous avons eu des nouveaux PC dans notre département. Des PC avec des cartes graphiques à 2 sorties, une HDMI et une VGA classique. C’était donc une bonne occasion pour tester le multi-écran avec Ubuntu. Comme d’habitude tout fonctionne parfaitement out of the box, des petits réglages d’ici et par là et tout était en place. Il y avait un seul problème, les notifications OSD sont affichées sur l’écran “secondaire”, donc il m’arrive souvent de rater ces notifications.

Une petite recherche, et hop, la solution est trouvée dont voici une reproduction:

  1. Dans une première étape il faut installer, si ce n’est pas déjà fait, l’utilitaire Éditeur dconf
  2. Ensuite il suffit de lancer l’application dconf-editor avec le raccourci ALT+F2, naviguer vers apps > notifyosd et changer la valeur dans “multihead-mode” de “dont-focus-follow” à “focus-follow“.

Editeur_dconf

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